Citations de Bertrand Galic (40)
Je ne sais s'il faut en rire ou en pleurer, mais j'ai entendu dire que des mathématiciens faisaient écrire sur des gaufrettes les théorèmes que leurs étudiants devaient assimiler, si possible digérer. Au sens propre comme au figuré.
On aura beau dire... La communication et l'échange paraissent nécessaires au bon fonctionnement du monde démocratique, n'est-ce pas ?
Comment un tsunami peut-il à ce point paralyser une centrale nucléaire ? C'est absurde !
L'orgueil amène l'écrasement.
N'oubliez pas petit Pierre...
Nous avons toujours été pauvres dans notre famille. Si nous avions été bêtes par-dessus le marché, nous serions tous morts de faim. Il faut faire marcher sa tête pour rester en vie.
Faites donc marcher la vôtre, je vous en prie !
Certains hommes mettent les enfants en cage, d'autres les aident à voler.
Je ne suis pas non plus comme mon père. L'abandon n'a jamais été une option envisagée.
La chienne du monde est décidément une saleté. Elle peut mordre n'importe qui, n'importe quand !
Il y a quelques temps déjà, certaines personnes montèrent à Laputa, tant pour leurs affaires que pour le plaisir. Après un séjour de cinq mois là-haut, elles revinrent avec une légère teinture de mathématiques, mais la tête emplie d'humeurs volatiles qui s'acquièrent dans ces régions éthérées...
Ça a été terrible, vous ne vous rendez pas compte. Il n’y a jamais eu et j’espère qu’il n’y aura jamais plus d’hommes obligés de combattre en même temps trois réacteurs accidentés, déchaînés, enragés.
On a payé le prix fort, vous savez…
O puissance du temps ! O légères années !
Vous emportez nos pleurs, nos cris et nos regrets
que sont-ils devenus, les chagrins de ma vie ?
tout ce qui m'a fait vieux est bien loin maintenant
et rien qu'en regardant cette vallée amie
je redeviens enfant
Les arbres rattachent la terre au ciel. [...] Le ciel est si léger qu'il semble toujours sur le point de s'envoler, de prendre la fuite... S'il n'y avait pas d'arbres, il nous dirait adieu. Et alors, il ne nous resterait qu'à mourir.
S'ils ne nous mettent pas trop de bâtons dans les roues, ce sera déjà pas mal.
Ils ne se rendent pas compte...
Pas la peine de nous dire, "faites ci, faites ça", à tout bout de champ, comme si on ne faisait rien ! On fait ce qu'on peut, encore une fois !
Ce séisme doit être considéré comme le plus violent de notre histoire.
Tout le Japon, toute la planète vous regardent. Sortez-nous de cette situation, il en va de l’honneur du pays !
Et s’il faut faire des sacrifices, faites-les ! Vous avez mon feu vert !
Si tu comptes sur les politiques pour nous tirer d’affaire, bon courage…
Regarder derrière soi, puisque les circonstances l'exigent... Essayer de comprendre, pour repartir de l'avant... Pour éviter, peut être, qu'à la fin ce soit pire.