Bertrand Santini

Que de bêtises! Gurty une chienne qui ne fait que des bêtises se retrouve dans sa maison de vacances en Provence.Elle a des amis et des ennemis comme " Tête de fesse". Elle fait le vacarme partout où elle passe.

J'ai aimé ce livre car il y a beaucoup d'aventures et beaucoup d'humour.

Thimeo

Un petit moment de pur délire. Ça fait du bien au moral. Gurty est à croquer sur les croquis qui accompagnent les réflexions et la vie trépidante d'une petite chienne. Tordant ! A mettre dans toutes les mains sans distinction d'âge ni de sexe.

Le journal de Gurty est un roman de Bertrand Santini qui raconte la vie d'un chien.IL s'appelle Gurty et est en vacances en Provence.C'est un livre animalier avec de la société et de l'amitié qui font de ce livre quelque chose de bien. Gurty est drole ,amusant et aventurier. Ce livre est rigolo,est facile à lire et à comprendre.Si je lui donnerai une note sur 5, je lui metterai 3.

Je recommande ce livre pour ceux qui cherchent des livres facile à lire.

Le journal de Gurty est un roman de Bertrand Santini qui raconte la vie d'un chien.IL s'appelle Gurty et est en vacances en Provence.C'est un livre animalier avec de la société et de l'amitié qui font de ce livre quelque chose de bien. Gurty est drole ,amusant et aventurier. Ce livre est rigolo,est facile à lire et à comprendre.Si je lui donnerai une note sur 5, je lui metterai 3.

Je recommande ce livre pour ceux qui cherchent des livres facile à lire.

C'est l'histoire d'un chien rigolo qui adore son maître, il adore faire la sieste et adore manger. Il part en vacances en Provence et retrouve une amie qui s' appelle Fleur. Un jour, ils s'amusaient dans l' herbe et Fleur perdit sa médaille. Elle voulut absolument la retrouver. Le chat du voisin dit qu'il voyait tout dans le noir, alors Fleur voulut absolument qu'il la trouve mais le chat accepta a une condition : que Fleur dise que les chats sont les meilleurs. Mais le chat dit que c'était pour se moquer d'elle parce qu'il ne voyait pas dans le noir...

C'est nul qu'il n'y ait pas trop de suspens.

Ce livre est très rigolo.

Corto

Une chienne pleine de malice !!!!

Vous pensez qu'un chien ne peut pas chasser un monstre en s'asseyant sur des trous ? Qu'il ne peut pas fuguer en restant dans son jardin ? Qu'il ne peut pas se moquer d'un chat qu'il appelle Tête de Fesses (Jean-Jacques) ? Vous avez tort !! Ce chien est une chienne et elle s'appelle Gurty. Elle est capable de tout ! Pendant ses vacances à Aix-en-Provence, cette petite chienne intrépide va vivre des tas d'aventures avec Gaspard, son maître, Fleur sa copine, et Tête de Fesses, son ennemi le chat.

Une belle histoire avec des personnages drôles et attachants. Des fous rires sont au rendez-vous et des cascades plus folles les unes que les autres !!

Partez a Aix-en-Provence avec une petite chienne, Gurty !!!! Alice B

Drôle d'histoire : un chien qui parle

Gurty est une chienne qui est en vacances à Aix en Provence.

Il lui arrive plein d'aventures avec son amie Fleur et son ennemie Tête de fesse."Fleur n'est pas normal mais il ne faut pas se moquer.Par exemple elle ne sait pas dire oui elle dit ui"."Le chat de notre voisin s'appelle Jean-Jacque,mais moi je l'appelle Tête de fesse parce que je trouve qu'il ressemble a des fesses.



Mon avis : J'ai vraiment adoré ce livre car il me fait beaucoup rire .

Je trouve que cette histoire est pour tous les âges. On s'attache beaucoup aux personnages .Gurty est un chienne qui parle et c'est original.

Lyséa J

De l'humour, de la joie de vivre et de la bonne humeur ! Ce livre est parfait pour rire avec les enfants ! Aussi bon que le premier tome :)
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Un conte d'un genre nouveau.

Plusieurs morales se détachent de ce texte ce qui permet plusieurs études et plusieurs lectures (la différence, la tolérance, l'amitié, la monstruosité, l'éducation des enfants aujourd'hui ...).

L'écriture du texte est très bien menée et très bien maîtrisée : à la fois poétique, drôle et ingénieuse (texte en prose ponctué de rimes et de figures de style).

Un monstre pas si terrifiant que cela qui se dessine au fil du texte, bien que les illustrations soient sombres et inquiétantes (pour les plus petits). Une histoire d'amitié forte et bouleversante qui pousse à s'interroger sur la figure du monstre et sur la nature humaine. L'histoire m'a d'ailleurs fait penser au dessin animé "Monstres et compagnie", un monstre qui malgré lui, reste très attachant et finira par prendre un autre chemin que celui qui était tracé pour lui ...

Une belle découverte mais une question subsiste, pour quel public s'adresse ce livre? Pour les adultes certes, mais du côté des enfants, je pense pas avant 8-10 ans, de part la complexité du vocabulaire, des tournures de phrases, mais aussi de part la réflexion qu'on peut avoir à travers ce texte.

Une réussite et un conte moderne qui je l'espère deviendra un classique.

Hugo vit avec ses parents sur une propriété où il y a un vieux cimetière. Mais on commence à trouver dans celui-ci du pétrole, qui intéresse évidemment des gens. Heureusement une plante qu’on pensait disparue y pousse aussi, permettant de protéger le site. Mais celle-ci est arrachée…



Je m’arrête là de ce résumé très succin pour ne pas gâcher la surprise, même si ce roman va parler de fantôme. Un peu inquiétant, parfois drôle, émouvant, ce roman nous entraîne dans une histoire farfelue, pleine de sens et poétique.



Mais, j’ai trouvé, premièrement, que Hugo, qui est supposé avoir quasiment 12 ans, avait les attitudes et réactions d’un enfant de 8-9 ans, ce qui m’a un peu gêné. De même on tombe parfois dans de l’humour un peu scatologique souvent utilisé dans les livres pour enfant, ce que je n’apprécie pas vraiment. Tout le passage avec les zombies, les fantômes et les humains qu’il ne faut pas mouiller, m’a vraiment moyennement plut.



Alors qu’en revanche, toute la fin de l’histoire, avec les révélations, la manière dont l’auteur nous retourne le cerveau, ça j’ai beaucoup aimé.



Du coup, je suis un peu déçue de n’avoir pas pu apprécier totalement le roman, qui aurait pu être une très belle histoire adressée aux adolescents, alors que là, finalement, on oscille entre la jeunesse et l’adolescence, avec des écarts parfois trop grands.



Néanmoins, c’est un roman court, alors je vous enjoins à le découvrir par vous-même !
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Certes il y a de l'humour et Gurty est une petite chienne attachante mais il m'a manqué une véritable narration, un fil conducteur dans cet enchaînement de saynètes.

Au moment où je vous écris ces lignes, j’achève ma lecture et j’en suis toute retourné.



La couverture est absolument divine et le résumé, des plus intriguant.



Lorsque l’on débute ce livre, c’est simple, on le termine dans la foulé.



J’ai essayé de m’arrêter, car j’avais des choses à faire, mais l’histoire m’obsédait.



Nous allons donc suivre ici Hugo, un petit garçon qui va fêter ses douze ans et qui est juste adorable ! Très vif et très imaginatif c’est le genre de gamin que tout le monde aimerait avoir je pense.



Cependant, le jour de son anniversaire l’enfant va mourir.



Bim ça mets dans l’ambiance n’est-ce pas ? Et ce n’est que le prologue.



Si au début je me suis dis « ouh glauque » et que j’ai eu un peu peur pour ma lecture, la mort d’un enfant n’étant pas un sujet très facile à aborder, j’ai rapidement changé mon point de vu en découvrant la plume, terriblement addictive, de Bertrand Santini qui nous conte cette histoire frissonnante et horrifique avec douceur et humour.



Dans ce récit, nous seront donc accompagné d’Hugo, et nous allons découvrir sa famille, une mère devenue riche et célèbre grâce à ses écrits, un père botaniste, tous les deux très gentils et vraiment très attachant, propriétaire d’un domaine où depuis peu, des flaques de pétroles vont être retrouvées à plusieurs reprises et vont, évidement, bouleverser leur quotidien et leurs petites vies tranquille.



En effet, il n’y avait jamais eu de trace de l’or noir jusqu’à présent alors les bruits courent vite dans les environs.



Les premières questions arrivent, comment ça se fait ? Et surtout pourquoi maintenant ?



La famille va connaitre quelques mésaventures avec le voisinage et certaines personnes dirigées par la convoitise mais elle restera bien déterminé à protéger le domaine et son cimetière.



Forcément qui dit pétrole dit jackpot, et certaines personnes sont prêtes à tout pour une poignée de billets…



Même à tuer ?



Suite à la mort d’Hugo, nous feront également la connaissance de fantômes, des protagonistes loufoques qui nous montreront que la mort n’est pas telle qu’on l’imagine et qui vous mettrons le sourire aux lèvres plus d’une fois.



Je les ai simplement adoré.



Je ne vais pas pouvoir vous parler de l’histoire en elle-même encore bien longtemps car je ne veux vraiment pas risquer d’en dire trop (même si je l’avoue c’est tentant) car le livre est assez court, mais surtout car vous devez la lire.



Oui vraiment je veux que vous la lisiez.



Ce conte à tout pour plaire, mystère, secrets, fantômes, zombie, complot.



De mon côté je sais que c’est un roman que je prendrais plaisir à relire encore et encore, que je conterai cette histoire aux enfants que je garde et que je la conterai à mes enfants plus tard.



En définitif, une plume poétique, fluide, qui vous plongera dans l’univers, la vie d’Hugo sans peine et où il vous sera difficile de faire la part des choses entre onirique et réalité.



On ne ressort pas indemne de ce voyage et j’ai qu’une envie, me replonger dans cette histoire !
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Je n’ai pas souhaité inventer un résumé de mon cru pour garder un certain mystère autour de ce conte jeunesse. Car ce qu’il y a de mieux dans ce livre, ce sont les surprises! Et il y en a plein! On sait que le cerveau de Santini déborde d’imagination et ici on le retrouve fidèle au poste.



Ce que j’ai préféré dans l’écriture fluide de l’auteur, ce sont surtout les dialogues. Justes, drôles, rythmés, ils cadencent et donne une légèreté à cette histoire plein d’héroïsme mais aussi très sombre.



Les enfants, et les moins sages des adultes, jubileront certainement en lisant les scènes comiquo-cracras de gelée verte de zombies, de chutes sur le derrière et même de vomis! Mais je rassure les lecteurs que la scatologie rebute (et j’en suis une), ça passe comme une lettre la Poste tant le reste du texte est bien dosé en douceur, humour, poésie et même en philosophie.



Bien sûr, on ne peut s’empêcher de penser à Neil Gaiman et son Graveyard Book en lisant ces pages; mais pas comme si Santini avait crée une quelconque copie, plus comme si l’auteur français avait écrit un compagnon, égal en tout point, à celui de Gaiman.
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Ce conte est tout simplement magnifique ! Le Yark ! Monstre poilu qui m’était inconnu jusque là. Mais grâce à Bertrand Santini, je comprends maintenant d’où viennent mes insomnies ! Ce qui me dérange d’après le conte, c’est que je sois toujours en vie. En effet, le Yark ne semble se délecter que des enfants sages… mais ceci ne saurait durer. Au fil des pages, le Yark devient un monstre touchant.



Bertrand Santini est un génie de la plume hautement mis en valeur par les illustrations, à la fois comiques et poignantes, de Laurent Gapaillard. Le texte est facile à lire pour le jeune public (dès 8 ans) et fera rire plus d’un adulte. J’ai trouvé drôlement sympathique les quelques proses en rimes qui parsèment le texte sans pour autant rentrer dans le cadre de la poésie.



A lire avant d’aller dormir, autour du feu avec une guitare ou sous la couette avec une lampe torche éclairant votre seul visage, Le Yark est un petit bijou pour passer un bon moment.




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Complètement déjanté : ce sont les premiers mots qui me sont venus à la lecture de ce roman jeunesse ! Les histoires un peu barrées peuvent me plaire mais là malheureusement, je suis restée complètement en dehors de l’histoire. Ça part vraiment dans tous les sens et l’on se demande un peu où l’auteur veut en venir. Je n’ai pas trouvé que cela apportait grand-chose à l’intrigue. En plus de cela, j’ai trouvé l’histoire assez violente. Hugo meurt très rapidement, et cela est annoncé dès les premières pages. Il découvre ensuite l’identité du coupable et assiste au double assassinat de ses parents, assez sanglant. Cela fait beaucoup d’informations traumatisantes à intégrer… Je ne dis pas qu’il faut proposer des récits édulcorés aux enfants mais là ça m’a semblé too much. Cette impression a été peut-être d’autant plus forte que je n’avais pas réussi à entrer dans l’histoire. Je me suis souvent exclamée au début de ma lecture, surprise et frappée par les événements, témoin à l’appui !

Il est vrai que la révélation finale vient donner un certain sens à tout ce qui précède. L’idée aurait pu être bonne mais n’étant pas impliquée, je l’ai trouvé un peu facile pour justifier le délire des pages précédentes.
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Le Yark est un monstre super poilu qui adooooore les enfants mais qui cache une faiblesse, il ne peut manger que les enfants sages autrement gare aux maux d'estomac, pourquoi? Car les bêtises modifient la composition chimique de l'enfant qui devient alors un poison terrible pour ce pauvre monstre.Le problème c'est que part les temps qui courent les enfants sages ça a du mal à se trouver... Un peu comme dans la vie d'aujourd'hui ;-)



S'ensuit alors une quête pour se nourrir pleine de péripéties qui vont conduire notre Yark tout doux tout mignon à rencontrer une petite fille qui va changer sa vie. Que faire ? Satisfaire c'est besoin primaire ou préserver cette amitié précieuse? Je ne vous en dis pas plus.



Pour moi ce livre est à mettre entre toutes les mains, la morale est tellement belle et douce, j'en suis sorti émue et ravie. Il m'a fait penser au film Le Grinch, vous savez avec Jim Carrey en monstre vert grincheux.



Concernant le style d'écriture il est recherché, drôle tout en restant accessible pour un petit lecteur et que dire des illustrations tout en noir et blanc, cela reflète totalement l'ambiance du livre et cela permet aussi de projeter soit même des couleurs dans certains dessins.
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J'ai adoré ce livre car il est facile à lire et très émouvant. C'est un conte magnifique de Bertrand Santini, illustré par Laurent Gapaillard. L'histoire se passe un peu partout car le Yark un monstre ailé vole de maison en maison. Les illustrations représentent bien le texte. Ce livre est plutôt court mais l'histoire est bien racontée. En résumé, le Yark aime manger les enfants mais il va faire une rencontre inattendue avec l'un d'entre eux :-)

Louane

Un petit conte poétique où grouillent assonances, rimes et jeux de mots.La lecture est facile et agréable et les illustrations juste splendides... à la hauteur du texte, tout simplement.



Le Yark est une espèce d'ogre qui mange les enfants mais, celle-ci ne digère bien que les enfants sages et gentils. Quand par mégarde il s'en prend à des canailles, mieux vaut pour nos nez et oreilles ne pas être dans les parages...



Par contre, la fin est peut-être un peu trop lisse, trop bonne. J'ai eu du mal à y croire alors que le reste du récit est juste délicieux.

Aucune ambiance dramatique dans cet album qui parle du manque et de la disparition. Les squelettes sont remplis de vermines, sans paraître pour autant effrayants.
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L'ensemble livre une impression de légèreté triste, de mélancolie douce, de beau chagrin. Un bouquin «à la» Burton, mélodieux et bizarre, mais qu'on aime fatalement…
Lien : http://jeunesse.actualitte.c..