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Citations de Blandine de Caunes (80)


« Bon, lui dit le docteur après divers examens, j’ai deux nouvelles : une bonne et une mauvaise. Par laquelle je commence ?
– Par la mauvaise.
– Eh bien, vous avez la maladie d’Alzheimer. »
Le patient digère lentement puis demande : « Et la bonne ?
– Dans dix minutes, vous aurez oublié. »
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Alors qu’aujourd’hui nous vidons ses armoires de la rue de Bourgogne ... Tristesse infinie. J’ai l’impression de pousser maman dans sa tombe. Maman qui part par petits bouts...
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J'ai perdu le 1er avril ma fille unique et le 20 juin, ma mère unique. Maman est un mot qui a disparu de ma vie. je ne le dirai plus et ne l'entendrai plus.
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Je pense à Kafka apostrophant son ami étudiant en médecine qui ne le quittait plus vers la fin alors qu’il souffrait terriblement : « Si vous ne me tuez pas, vous êtes un assassin. » L’ami est devenu un assassin.
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Écrire, c’est hurler sans bruit.

Marguerite Duras
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La vie ne se laisse pas si facilement oublier ; elle est là, à vous talonner, du matin au soir. 
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Le plus beau courage est celui d’être heureux, comme l’a écrit Joubert.
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C’est la vieillesse qui est une saloperie, pas la solitude.
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Je croise Danièle Sallenave, présidente de la Foire du livre de Brive, dans le train des écrivains qu’on appelle aussi le train du cholestérol, vu la quantité d’alcool et de foie gras qu’on y déguste.
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Hier au téléphone, maman a dit à Lison, entre deux borborygmes : je suis incarcérée. C est triplement vrai : elle est à l’hôpital, elle est attachée, et elle est prisonnière de son corps et de sa vieillesse
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Virginia Woolf a écrit que le premier devoir d’une femme qui veut écrire est de tuer la fée du logis en elle...
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Il y a quelque chose d’immoral dans la solitude quand on a vingt ans. 
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A-t-on le droit de soigner, pour qu’il vive, un être qui se déshonore et qui serait horrifié s’il se voyait ?
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Le plus beau courage est celui d’être heureux, comme l’a écrit Joubert.
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J'ai maintenant compris que mon chagrin était une maladie chronique, avec laquelle je dois apprendre à vivre.Il y a des périodes de rémission et des rechutes.
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La mort de ses parents, c'est le premier coup de tocsin : on découvre qu'on est mortel, et en première ligne désormais.
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Je suis heureuse de la voir bien dans sa peau; heureuse de nos relations apaisées. Je n'étais sans doute pas une mère facile-mais quelle mère l'est pour sa fille ? (...)
D'accord, on est une lignée de mères fortes et ce n'est pas évident de trouver sa place. Maman a connu ça, et moi aussi avec elle. Mais il faut bien digérer sa mère, un jour. (p. 49)
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Une vraie conversation, ce matin :
"Comment tu vis la solitude, toi ?
-Mais maman, j'ai 69 ans, je travaille, j'ai plein d'amis, un amant, une fille et une petite fille, et j'aime la solitude. Mais ma solitude est choisie, volée même, à ma vie hyperactive. Toi, tes amis sont morts ou malades, tu ne peux plus faire ce que tu aimais...
C’est la vieillesse qui est une saloperie, pas la solitude.
-oui, c'est ça, tu as raison". (p. 24 / Livre de poche, 2021)
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Jane pensa qu'elle détestait la vieillesse, ce vivant portrait de la mort. Pourtant s'il est injuste de vieillir, il est satisfaisant de penser qu'on n'est jamais mieux trahi, ou servi, que par soi-même. Car c'est à vingt ans qu'on porte un masque: celui de la jeunesse, qui fait tout passer.
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Maman, si je suis toujours vivante et heureuse de l'être, c'est d'abord parce que tu m'as aimée, follement aimée, même si on s'est beaucoup heurtées pendant l'adolescence - mais ça c'est l'éternelle et banale histoire entre mère et fille - ce qui compte, c'est d'avoir été nourrie par cet amour inconditionnel et unique. Et j'ai eu la chance d'en profiter si longtemps..Cela donne des forces pour la vie entière.
Merci maman Je t'aime!
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