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Critiques de Blanka Lipinska (166)
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365 jours, tome 1

365 jours le film, avait fait polémique, il y a quelques mois lors de son arrivée sur la plateforme Netflix. Arrive maintenant la trilogie de romans dont le film s’est inspiré. Et je ne sais même pas par où commencer cette critique. D’habitude, j’ai une idée, un plan avec les points que je veux aborder, ici j’ai tellement détesté ce livre tout comme le film que j’ai du mal à organiser mes idées.



L’intrigue : Massimo a réchappé a la mort et pendant son coma, il a eu des visions d’une femme dont il est tombé amoureux. Il n’a cessé de la chercher et quand enfin, il l’aperçoit après 5 ans de recherche, il decide de l’enlever et de la garder prisonnière pendant 365 jours (le temps selon lui pour qu’elle tombe amoureuse de lui).



Apologie du viol, de la soumission féminine, ce roman m’a fait rouler les yeux, pester et mise en colère tout au long de ma lecture. Heureusement, il est court et se lit très vite car j’aurai sans aucun doute abandonné en cours de route.



En même temps, on a pas à faire a de la grande littérature, a côté, Fifty shades pourrait prétendre au Goncourt. Le roman est en effet bourré de défauts : chaque chapitre ou presque débute par Laura qui se réveille. On a ensuite une description de sa douche et des produits de beauté qu’elle utilise, des superbes tenues de marque qu’elle porte et comme l’auteure n’est plus très inspirée, elle nous lâche une scène de sexe torride, puis l’on passe au chapitre suivant où Laura se réveille… Et vous connaissez la suite.



Le livre pourrait avoir un intérêt puisqu’il se déroule en Sicile et l’on pourrait s’attendre à de belles descriptions des lieux hors l’auteure se contente de banalité, de stéréotypes sur les italiens : beaux mecs bruns et mafiosos, d’italiens qui parlent forts et le fait que l’on ait besoin d’attendre longtemps au restaurant. Tout ça pour ça….



Les personnages : Massimo est sans doute le personnage le plus détestable de toute l’histoire de la littérature. Je ne comprends même pas comment il peut être un objet de fantasme pour la gente féminine. Il est arrogant, il ne supporte pas qu’on lui résiste, et tout le monde doit lui obéir. Il a un sérieux problème avec la notion de consentement parce qu’il ne comprend ni le mot « non » ni le mot « stop ». C’est un pervers narcissique, toxique à souhait que beaucoup de femmes chercheraient à fuir sauf bien sur notre héroïne.



Laura est le parfait exemple du « syndrome de Stockholm » et ferait un parfait sujet d’étude. Elle développe une dépendance à son bourreau en un rien de temps. Elle se soumet à lui en fermant les yeux, ne prend plus aucune décision puisque monsieur décide de tout pour elle, jusqu’à choisir ses sous-vêtements, ou lui faire un enfant dans le dos…. Bref des années de féminisme pour en arriver là ! Si encore le roman était écrit par un homme, je penserai à un peu de misogynie mais le pire c’est que c’est une femme qui écrit ce genre de livre.



Certaines critiques parlaient de scène très limite dans le film, notamment au niveau du consentement mais sachez que le livre est encore pire : l’hôtesse de l’air qui se fait agressée sexuellement dès les premières lignes, la violence verbale de Massimo envers Laura, les attouchements dont elle est victime. C’est juste une succession d’agression sexuelle et de viol mis bout à bout pour faire un roman. A fuir absolument !
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365 jours, tome 1

Connaissant mon intérêt pour la littérature de l’Est, et de la Pologne en particulier, un ami m’a fait cadeau de ce livre.

Autant le dire d’emblée, il m’a déplu: comment dans une époque oû l’on met en avant l’importance et la nécessité du consentement, accepter le personnage de Massimo Torricelli et son comportement envers les femmes - et Blanka Lipińska nous le montre dès les toutes premières pages - cela m’a rebuté d’emblée !

L’autrice aurait pu, par son écriture me scotcher à son roman, mais là encore, rien ne m’a attiré : le style est sans relief, sans recherche.

L’autrice aurait pu me faire oublier tout cela en me plongeant dans une atmosphère sensuelle ou érotique, mais là encore, les descriptions brutes ne la créent pas.



À oublier donc, désolé pour l’ami qui a voulu me faire plaisir…

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365 jours, tome 1

Trigger Warnings. Ce livre est déconseillé :



- aux allergiques aux spoilers. Cet avis en contiendra, ainsi que des citations pour appuyer le propos ;

- aux personnes indifférentes, voire allergiques, à la mode, à l’étalage de bling-bling non-stop et à la superficialité ++ ;

- aux anciens alcooliques ou aux personnes susceptibles de faire un coma éthylique rien qu’en regardant des protagonistes écluser du champagne comme des puits sans fond ;

- aux personnes qui savent qu’un non est un non, qu’un oui est un oui et que ce oui permet en réalité beaucoup de choses sans que cela soit problématique, et enfin qu’un non n’est pas un oui déguisé, sauf dans la tête de l’agresseur. Dans ce livre, le « non » de l’héroïne n’est pas entendu la plupart du temps ;

- aux personnes ayant subi un viol ou une agression sexuelle ;

- aux personnes victimes de violences conjugales. Si vous vous reconnaissez dans certaines situations du livre qui relèvent de l’abus au sein du couple (grille de référence ici), n’hésitez pas à vous rendre sur ce site pour trouver de l’aide.





L'avis :



À ma gauche, Dory, pardon, Laura. Polonaise d’1,65 m pour 50 kg soit un IMC de 18,4, donc maigre (souvenez-vous en quand elle compare un chibre à la taille de son poignet), qui aime le champagne rosé et boit au réveil pour faire passer son mal de tête, le luxe, qu’on lui offre des cadeaux très chers, s’admirer dans le miroir portant des vêtements de marque, le sexe décomplexé (le seul bon point sur son CV) et critiquer ce qu’elle juge être de mauvais goût. Elle a aussi une mémoire très sélective et ponctue ses phrases avec des « putain ».



À ma droite, Massimo, archétype de l’homme alpha, dit « L’homme en noir » (195 occurrences dans le livre), mafieux sicilien à la tête d’un empire mondial, riche, possédant des villas, maisons, appartements, hôtels, yachts, voitures dans toutes les villes de France et de Navarre, des comptes bancaires dans les paradis fiscaux et plein de vêtements pas noirs. Il est toujours prêt à menacer physiquement quelqu’un quand il s’emporte, y compris Laura.



D’un côté, nous avons une femme en vacances qui n’avait rien demandé et de l’autre, un homme à l’obsession maladive pour la femme de son rêve qui va utiliser tous les moyens à sa disposition pour obtenir ce qu’il veut. Et il veut Laura, et quand Massimo veut, Massimo retrouve une mentalité de gamin de 5 ans, pique une colère et devient menaçant. « Tu n’as toujours pas encore compris que j’obtiens toujours ce que je veux ? » et « – Tu seras à moi, je te le promets. Je te prendrai comme je veux, quand je veux et où je veux. », par exemple. Massimo a les traits de caractère d’un homme possessif et manipulateur qui souffle le chaud et le froid pour mieux déstabiliser sa victime. Il lui dit qu’il ne fera rien qu’elle ne désire, pour lui dire quelques pages plus loin qu’il ne contrôle rien, mais que c’est de sa faute à elle. (« – J’ai promis de ne rien te faire sans ton autorisation, mais je ne sais pas si je vais pouvoir me retenir, murmure-t-il en me regardant droit dans les yeux. ») En plus de menacer ses parents, il a tendu un piège à l’ex-petit ami pour le faire disparaître de l’équation et il a fait en sorte que ses amis rentrent en Pologne pour mieux l’isoler. Il lui invente même une histoire de toute pièce pour qu’elle n’ait pas l’obligation de retourner chez elle. Ne parlons même pas du fait qu’il a été récupérer toutes ses affaires en Pologne sans lui dire, qu’il a fait une enquête sur sa vie (mais est curieusement passé à côté de sa maladie de cœur), qu’il lui fait croire qu’il lui a mis un implant contraceptif dans son sommeil pour calmer une crise quand il éjacule en elle (la capote, c’est pour les faibles, surtout lors de la première fois), alors qu’elle a des problèmes cardiaques et qu’il le sait. Il lui implante surtout une puce GPS pour la suivre à la trace et estime que la mettre enceinte sans l’avertir sera le meilleur moyen de la faire rester auprès de lui.



Ouvrons les yeux un instant : ce degré de possessivité et de contrôle sur l’autre, c’est celui d’un homme maladivement jaloux qui considère la femme comme un objet que personne ne peut posséder sauf lui. C’est ce qui, aujourd’hui, est le mobile de beaucoup de féminicides : si l’homme ne peut pas avoir SA femme, qu’elle ose partir, alors personne d’autre ne l’aura. Et Laura se raccroche à ces moments où il est doux, où il s’excuse, où il la couvre de cadeaux, pour lui pardonner. S’il est violent, ce n’est pas de sa faute, il n’a rien connu d’autre, il est comme un petit garçon perdu. Ce qui place Laura dans le rôle de la sauveuse, en plus de celui de la mère. Et puis, il est tellement sexy qu’on lui donnerait le Bon Dieu sans confession, même quand il tue des gens. Un schéma tristement classique… vendu comme un sommet du romantisme.



Difficile d’atteindre la suspension d’incrédulité et de profiter de la soi-disant romance dans ces conditions.



Alors, certes, il serait facile de dire : mais c’est de la fiction, on a le droit de fantasmer comme on veut (surtout qu’imaginer être « forcée » à faire des choses que l’on n’ose s’autoriser soi-même est d’une banalité sans non dans la littérature érotique depuis toujours, mais c’est mis en scène avec plus ou moins de talent), ce n’est pas bien grave, rolalala faut se détendre. Et là-dessus, j’ai envie de dire : pas de problème, chacun est libre de faire ce qu’il veut de ses fesses et de ses petits doigts tant que ça engage des personnes majeures et consentantes. Ça s’appelle la consensualité et ça permet déjà beaucoup beaucoup de choses. D’ailleurs, si les deux personnages principaux avaient écouté leurs envies plutôt que de se chercher pour mieux se repousser pendant de longs chapitres, le livre aurait été beaucoup plus court et le sexe moins soumis à la coercition systématique avec des « non » et des « stop » qui ne sont jamais entendus. Le hic, c’est que tout le livre repose sur ce « non qui veut dire oui », et le fait qu’il soit lu et adulé par beaucoup de femmes entretient plus ou moins inconsciemment l’idée que c’est ce qu’elles recherchent réellement au fond d’elles-mêmes. Donc que le « non qui veut en fait dire oui » est toujours une excuse valable pour forcer les choses. Or, non. Pas dans l’extrême majorité des relations. Et dans les quelques cas particuliers, il y a toujours une entente à un moment entre les deux parties pour établir que le non ne sera pas pris en compte. Toujours. Sinon, il y a viol et agression sexuelle.



L’héroïne est donc retenue prisonnière contre son gré avec menaces proférées contre sa famille et un ultimatum fixé à 365 jours pour tomber amoureuse, ce qui arrive en fait à la moitié du livre. Il suffit que l’homme insiste (la couvre de cadeaux et soit prévenant le reste du temps) pour obtenir ce qu’il veut. De trop nombreuses scènes de sexe démarrent par de la colère, de l’énervement, des menaces de la part de Massimo et un non de Laura en retour, mais il insiste jusqu’à ce qu’elle finisse par céder (« Il va arriver à ses fins, que je sois d’accord ou pas. ») Ce schéma se reproduit à plusieurs reprises et comme elle finit toujours par éprouver du plaisir, voire par jouir, c’est qu’il a bien eu raison. Voilà le message. Les seules scènes qui fonctionnent à peu près d’un bout à l’autre sont celles où c’est Laura qui prend les devants. Le reste du temps, c’est l’homme qui impose ses envies jusqu’à ce que la partie adverse s’y plie.



Pour preuve, je vais me contenter de citer un extrait. Un seul.



"Je sens que quelqu’un caresse mon clitoris. Je sens deux doigts me pénétrer. Dans un demi-sommeil, je suis un peu désorientée. Je ne sais pas ce qui se passe, si je suis dans la réalité ou si je rêve.

– Massimo ?

– Oui ?

– Qu’est-ce que tu fais ?

– Il faut que je te pénètre, sinon je vais devenir fou, dit-il en se collant contre moi de sorte que je sens sa superbe érection contre mes fesses.

– Je n’ai pas envie.

– Je sais, répond-il en me pénétrant. "



Si vous ne voyez pas le souci, une lecture s’impose : Troubles dans le consentement d’Alexia Boucherie.



Au final, 365 jours n’est pas très bien écrit, pas correctement retravaillé par l’éditeur polonais, sinon il serait plus cohérent, moins répétitif et contiendrait moins d’erreurs factuelles, et pas correctement corrigé par l’éditeur français. Ce qui n’aide pas. Il ne mérite ni son étiquette de romance ni celle de dark romance, qui impliquerait un développement minimum de la psychologie des personnages et donc un travail de recherche. 365 jours est juste l’histoire fantasmée de l’alter ego de papier de l’autrice qui s’est mise en scène, elle ainsi que ses connaissances, dans un monde aussi dangereux que jouissif selon ses critères (alcool, culte du corps, luxe et luxure, argent). C’est surtout l’occasion pour elle d’écrire des scènes de sexe chaudes mâtinées de porno tout à fait dans l’air du temps et de surfer sur la vague tout en pensant réinventer le fil à couper le beurre. Hélas, en plus d’être problématique pour les raisons invoquées plus haut, c’est juste un mauvais livre qui est bien loin d’être aussi transgressif ou émancipateur que son autrice veut bien le faire croire. Encore une fois, il ne s’agit que d’un coup médiatique très rentable. Mais le sacrilège ultime, ce qui est définitivement le plus choquant, c’est qu’il y a une belle bibliothèque dans la villa de Massimo et que Laura n’y prend jamais un livre. Elle préfère lire les nouvelles du monde dans… Vogue. Ça, vraiment, ça ne passe pas.



Mon royaume pour la villa au bord de la mer de Massimo, mais sans Massimo, un transat, le soleil et un bon livre. Et une citronnade bien fraîche, parce que tout ce champagne m'a donné la gueule de bois.


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365 jours, tome 3

Un grand merci aux éditions Hugo Roman pour l’envoi de ce roman (et pour toutes les petites attentions)



J’étais très impatiente de découvrir la suite et fin des aventures de Laura et Massimo. Et je dois dire que je ne sais pas quoi en penser. Je dois avouer que je suis plutôt déçue. Déçue et triste de la tournure de l’histoire pour Massimo qui, vous le savez, dès le premier tome a été un personnage que j’ai beaucoup apprécié, et qui avait fortement attisé ma curiosité.J’espère que vous êtes confortablement installé, cette chronique risque d’être longue.



Clairement il m’est impossible d’écrire cette chronique sans révéler des détails de l’histoire et des tomes précédents, je veux pouvoir vous partager mon ressenti en détail. C’est pourquoi si vous n’avez pas lu le tome 3 ou si la saga vous intéresse, faites attention.



Déjà, sachez que ce troisième tome, commence par la fin, ou nous découvrons une Laura heureuse et épanouie, mais surtout follement amoureuse d’un autre que Massimo. D’ailleurs elle accepte la demande en mariage de Nacho. Oui, Nacho, l’homme qui l’a kidnappée dans le deuxième tome.



Je comprends les choix de Blanka Lipinska, surtout que son histoire est inspirée de son vécu. J’ai vraiment l’impression écrire cette histoire a permis à l’autrice de se libérer de son passé. Coucher les mots sur papier peut être libérateur et surtout thérapeutique. Et beaucoup d’auteurs/autrices l’ont eut fait. Ce n’est pas cela qui me chagrine, non c’est que au final, je dois dire que l’histoire de Laura,ne m’a ni convaincue ni transportée.



J’ai trouvé Laura très superficielle, peut être trop pour que j’arrive à comprendre sa psychologie et ses choix, il y a des personnes qui ne savent pas vivre et être seules, Laura en fait partie. Pour se sentir heureuse et épanouie, pour avoir la sensation d’exister vraiment, elle a besoin de quelqu’un à ses côtés, du moins c’est l’impression que j’ai eu en lisant les trois tomes de la saga.



Pour ce qui est de Massimo, clairement c’est le personnage que j’ai le plus aimé durant ma lecture, celui qui m’a le plus attirée, celui qui au final m’a le plus touchée. Sa personnalité sombre, sa complexité m’ont tellement plu. C’est pourquoi je n’ai pas compris se revirement de situation vis à vis de lui. Et même si dans ce tome, il ferait de l’ombre à satan, il a les pires côtés, les pires bassesses. Et si il est devenu un dangereux psychotique, je n’ai pas réussi à le détester, à l’inverse de Laura qui ne supporte plus qui il est. J’ai vraiment eu l’impression que tout était fait pour que je comprenne les choix de Laura. Diaboliser Massimo, le rendre détestable, en soi oui, le pari est gagné, son comportement est infâme, odieux, inexcusable. Il se perd complètement, alors est ce sa véritable nature ou le désespoir ?







Il y a une scène dérangeante, choquante. Appelons un chat un chat, dans ce tome il y a une scène de viol. Une scène qui m’a perturbée, qui m’a laissé un goût amère, car si la saga « 365 jours » est une dark romance, tout actes sexuels dans l’histoire était consentis. Ce n’est ni une banalisation du viol ni son apologie car l’autrice montre parfaitement les ravages et les traumatismes qu’une telle agression peut avoir.



Bref, revenons aux personnages et à Nacho. Nacho qui est certes plus maître de lui et de ses émotion. Nacho qui semble si détendu en short et tongs, Nacho qui fait du surf, Nacho qui est riche, Nacho qui lui offre de fabuleux orgasmes, et une vie parfaite. Nacho qui semble être le prince charmant, si parfait, peut être trop pour que j’arrive à apprécier le personnage. Alors oui, il semble être tellement mieux par rapport à Massimo mais comment aurait il réagi en traversant pareil épreuve ? Comment surmonter la perte d’un enfant qu’on a toujours voulu ?







En soi, ce n’est pas spécialement un « gentil » vu qu’il est tueur à gage, à croire que Laura aime les hommes dangereux (et très riches). J’aurais peut être plus compris si elle était tombée amoureuse du vendeur de glace local, ou celui qui peine à trouver un emploi, la réalité du monde dans lequel on vit et qui semble si éloignée de Laura, si elle était tombée amoureuse de celui qui trime pour joindre les deux bouts et qui a conscience que l’argent, si il peut contribuer au bonheur ne le garanti pas.



Si la conclusion de l’histoire essaie ne prouver que le bonheur ne peut être acheté, qu’une belle maison, que des vêtements hors de prix ou encore une osmose sexuelle parfaite n’est pas la clef pour être heureux, pour Laura j’ai vraiment eu l’impression qu’il y contribuait fortement…







Pour ce qui est de la plume et du style de Blanka Lipinska, j’accroche toujours autant, j’aime son côté sans filtre et incisif. Les chapitres défilent à une vitesse folle, et si j’ai été plutôt déçue par ce final, je dois reconnaître que l’autrice m’a complètement surprise.



Pour conclure, « 365 jours » a été une découverte, une aventure que j’ai vécu ses trois derniers mois. Et je ne regrette pas de m’être laissé embarqué par cette histoire. Je finirais en disant que mon ressenti pour cette histoire m’est propre, et que je ne veux en aucun cas vous influencer. Si cette saga vous tente, foncez ! Embarquez pour la Sicile aux côtés de Laura et Massimo.
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365 jours, tome 1

Je vais être plutôt brève. Je ferais partie de la minorité qui en ressort déçue de sa lecture. Peut-être que j’avais trop d’attente….



S’il vous plaît pas de tomates. J’ai le droit de ne pas tout aimer dans une romance… Ce ressenti n’engage que moi.



Bizarrement même si j’étais mitigée par le film. J’ai préféré ce dernier avec son effet bas de gamme que le livre. Pourtant, je trouve que le roman explicitait certains points importants qui faisaient polémique à l’adaptation.



Voici mes points négatifs :

- une romance trop édulcorée par rapport au milieu de la mafia

- Laura je l’ai trouvé infect dans le roman alors que dans le film, j’aimais beaucoup son personnage même si elle est vite conquise

- un roman qui est un cran en dessous de certains best-seller

- j’ai un gros problème avec la traduction. J’en deviens chiante et je finis par lire que des auteures françaises.

- un manque d’érotisme même s’il y a beaucoup de scène de sexe. Ma petite culotte est restée en berne.



Voici mes points positifs :

- on apprend beaucoup plus de choses qui donnent envie de lire la suite.

- le personnage de Massimo est mieux travaillé.



Malgré que les points négatifs soient nombreux, je lirais la suite. Très curieuse de lire l’évolution de l’auteure. Il y a un truc qui attire et j’avoue que le tandem Laura/Massimo y est pour beaucoup.



Affaire à suivre.
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365 jours, tome 3

{Instagram : aur131}



Je remercie les éditions Hugo New Romance pour l’envoi de ce roman.



Après une énorme déception pour le second tome, je n’étais pas certaine de poursuivre les aventures de Laura et Massimo. Cependant, puisque j’avais déjà lu les deux premiers, je me suis dit que je n’avais rien à perdre à vouloir tenter de poursuivre ma lecture. D’autant plus que je déteste commencer une saga sans aller au bout de celle-ci et je dois dire que la façon dont s’est terminé le précédent opus donnait malgré tout envie de lire la suite. J’ai donc débuté ce troisième tome avec pas mal d’appréhension. Pourtant, qu’elle ne fut pas m’a surprise lorsque je me suis rendue compte que ce troisième et dernier tome était sans aucun doute le meilleur de la série !



Honnêtement, après avoir quitté Laura et Massimo à la fin du second tome, je ne pensais pas que leur relation prendrait une telle tournure dans ce dernier volet. Un petit conseil : vous pouvez dès maintenant oublier tout ce que vous aviez lu jusqu’à présent car les cartes sont désormais totalement redistribuées. On peut dire que l’auteure n’a pas été en reste pour nous offrir une fin de saga aussi hallucinante que prenante. Ce dernier tome est à lui tout seul un incroyable retournement de situation ! Blanka Lipińska est parvenue dès les premières pages à me captiver, une prouesse qui m’a agréablement surprise étant donné que j’avais trouvé le précédent récit brouillon et très mal mené.



De plus, il faut dire que les personnages ne m’avaient pas non plus aidée à apprécier le deuxième tome. On y retrouvait une Laura agaçante, superficielle, accro au sexe, vulgaire et surtout bien naïve. Je n’étais malheureusement pas parvenue à retrouver la Laura du premier tome. Ici, ça serait mentir si je vous disais que Laura a depuis pris un peu plus de plomb dans la cervelle, mais le fait est que j’ai eu l’impression de retrouver la Laura des débuts et ce n’était pas pour me déplaire. Elle s’impose, se montre un peu plus réfléchie et je pense que c’est finalement quelque chose que j’attendais depuis le début. Laura commence petit à petit à se rendre compte que sa relation avec Massimo n’est peut-être pas aussi magique et saine qu’elle le pensait. Un drame lui fait changer sa façon de voir les choses et la pousse à devoir prendre des décisions pour son avenir. Comme je le disais, Laura est encore loin d’être une personne totalement sensée, mais je suis tout de même satisfaite de l’évolution de son personnage. Elle est encore loin de me plaire à 100%, néanmoins je ne ressens plus l’aversion que j’avais pour elle en refermant le second opus.



Pour ce qui de Massimo, alors là je dois dire que je suis littéralement sur les fesses ! Bon, on savait que Massimo était spécial, dangereux et un peu psychopathe sur les bords. C’est loin d’être un enfant de choeur et pourtant, après l’avoir découvert, on finit malgré tout par se sentir fascinés par sa personnalité. Je pensais vraiment qu’il avait changé aux côtés de Laura, il était beaucoup plus tendre et avenant dans le second tome, mais comme on dit souvent ; chassez le naturel, il revient au galop ! En fait, je ne sais pas qui de Laura ou de nous, pauvres lecteurs que nous sommes, Massimo a le plus berné. Comme quoi, il ne faut jamais se fier à une gueule d’ange et à de belles paroles… et Massimo en est le parfait exemple.



Tout comme Laura, je me suis fait avoir en beauté ! Peut-être qu’inconsciemment je savais que c’était trop beau pour être vrai, mais cela ne m’a pas empêché de tomber de haut en découvrant la véritable nature de Massimo. Croyez-moi, ce qu’il nous montre dans le premier tome n’est qu’un tout petit aperçu de son sadisme et de sa cruauté. Pour tout vous dire, j’ai été plus que déstabilisée face à ce revirement, je ne comprenais pas pourquoi l’auteure décidait d’avilir un personnage qu’elle avait pourtant mis au centre de son histoire. Mais plus j’avançais et plus je me rendais qu’en réalité, il n’a jamais été question de Massimo; la pièce maîtresse du récit a toujours été Laura. Je ne peux pas dire que je sois déçue par ce revirement car comme l’explique l’auteure, tout n’est pas tout blanc ou tout noir. Une personne aussi impitoyable que Massimo ne peut pas devenir aussi charmant du jour au lendemain, et ce même par amour.



Enfin, on découvre plus en détail le personnage de Nacho qui avait fait son apparition à la fin du précédent tome. Retenez bien son nom car il devient un personnage important de l’intrigue. D’ailleurs, je ne pensais pas qu’il prendrait une aussi grande place dans la vie de Laura. Pour moi, il était surtout présent pour redonner du souffle à l’histoire, mais j’étais loin de me douter que Blanka Lipińska en ferait un personnage central. C’est un personnage qui m’avait dans un premier temps fait ni chaud ni froid, toutefois l’auteure est parvenue à le rendre intéressant. En dehors de leurs activités peu orthodoxes, on peut dire que les personnalités de Nacho et Massimo n’ont vraiment rien à voir, c’est le jour et la nuit. Nacho est quelqu’un de tendre, de doux, de sympathique. On notera tout de même le milieu dans lequel il évolue, toujours est-il qu’il traite Laura avec beaucoup de délicatesse. Si j’étais au départ sceptique, je dois dire que Nacho est rapidement venu me convaincre.



Concernant la romance, c’est ici que les choses prennent un tournant décisif. Certains d’entre vous seront peut-être déstabilisés par les choix de l’auteure et je ne peux que vous comprendre, pourtant ça ne rend pas l’histoire moins attrayante ou moins bonne. Après tout ce que l’on découvre sur Massimo et la façon dont il a manipulé Laura, je pense qu’au contraire ce revirement était nécessaire. Dès les premières pages, on sent qu’il y a quelque chose de cassé dans leur relation, ce n’est plus comment avant. Massimo est distant, Laura se pose mille et une questions sur son mariage et finit même par ne plus apprécier autant qu’avant la présence de son mari. Vont-ils se retrouver ? Vont-ils surmonter cette épreuve ?



Malheureusement, pour des raisons évidentes je ne répondrai pas à ces questions. C’est pourquoi il est très difficile de parler de cette romance dans son ensemble car ça serait prendre le risque de dévoiler une grosse partie de l’intrigue. La seule chose que je peux dire c’est que cette romance fait surgir un triangle amoureux (Hum… Ne m’en parlez pas, j’étais moi-même dégoutée…). Un triangle amoureux que l’on ne voit pas forcément venir, que l’on voit davantage comme une trahison et qui, finalement, se révèle être plutôt intéressant. D’une manière générale, je n’ai pas été déçue par la romance. Quand j’y pense c’est assez paradoxal étant donné que j’ai horreur des triangles amoureux. Pourtant, l’auteure fait en sorte que la transition d’un homme à l’autre se fasse d’une façon très naturelle et surtout, Laura ne passe pas son temps à se demander quel homme doit-elle choisir. Quelle que soit l’issue, il y a de l’amour, du romantisme, de la passion et je suis heureuse que Laura ait pu avoir son happy end avec l’homme qu’elle aime.



Pour finir, si j’avais eu des difficultés avec le style de Blanka Lipińska dans le deuxième tome, avec celui-ci il n’en est rien. J’ai retrouvé sa plume avec plaisir. C’est fluide, addictif, l’intrigue est bien menée et l’action est au rendez-vous. Vraiment, cette conclusion m’a scotché ! Bien sûr, il y a encore quelques passages qui sont un peu trop rocambolesques et clichés, mais le reste du récit est tout de même bien construit. Moins de scènes de sexe également, il y en avait beaucoup trop dans le précédent et à force ça devenait très désagréable. J’ai donc été heureuse de constater que l’auteure avait réussi à trouver un équilibre entre la romance, le sexe, l’action et les rebondissements.



Autre point que je voulais soulever et qui a fait débat : les scènes de viol. Dans le premier tome, je n’avais rien relevé qui s’apparentait à du viol. Dans le second, il y a une scène qui est à la limite d’en être un, mais là encore cela dépend des perceptions de chacun. Par contre, ce troisième tome contient une scène de viol, difficile de la qualifier autrement puisque c’est assez explicite. Sur le moment, je vous avoue que j’ai bugué quelques minutes devant cette scène, elle est ignoble. Maintenant, il faut remettre les choses dans leur contexte, cette histoire est une Dark Romance et en poursuivant ma lecture, j’ai compris le choix de l’auteure de vouloir incorporer ce genre de scène. En tout cas, je n’ai à aucun moment eu la sensation que la série 365 Jours faisait l’apologie du viol, au contraire. Après, comme je l’ai dit dans ma précédente chronique, cette histoire est pour un public averti et oui, il peut y avoir des scènes qui dérangent, mais c’est ce qui fait la particularité de ce genre d’histoire. Dans tous les cas, je préférais vous prévenir, surtout si c’est quelque chose qui vous met très mal à l’aise.



En conclusion, bien que ce ne soit pas la fin à laquelle je m’attendais, je suis tout de même très satisfaite de cette conclusion. Ce troisième tome est pour moi le meilleur de la trilogie et vient largement rattraper ma déception du second tome. Ce n’est pas passé loin d’être un coup de coeur ! Pour être honnête, je ne regrette pas de mettre lancée dans la lecture de cette série qui donnait l’impression d’être « interdite ». Tout le monde en parlait plus ou moins en mauvais termes, le film a été au coeur d’une monstrueuse polémique, pourtant malgré tout cela je suis heureuse d’avoir pu me faire mon propre avis sur la question et d’avoir découvert une sympathique histoire.
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365 jours, tome 1

Massimo...



Alors comment dire ? Biensur qu'on voudrait toutes être kidnappées par un beau sicilien avec un physique d'apollon et le compte en banque bien garni.



Alors oui on en prends pour notre grade de femme qui doit se soumettre qui n'a pas le choix mais bon qui n'aime pas ne lit pas tout le livre clairement. clairement on lira le 2eme tome sans hésiter.



Pouffissime.
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365 jours, tome 1

Je n'ai jamais regardé l'adaption donc c'est sans point de comparaison que je me suis lancée dans 365 jours. Il était en tête de gondole, j'avais entendu parler du film et de son fameux Massimo... Bref quand j'ai vu que c'était en réalité une série de trois livres, je me suis dis : "super". Et en fait non... Heureusement, je n'en avais acheté qu'un seul... Avec tout ce qu'on entendait, avec toute cette polémique que le film avait suscité, je dois avouer que je m'attendais à être susprise ! À lire un best-seller. Quelle déception.

Les personnages sont bâclés, sans profondeur. Le roman ne suscite aucune émotion, ne montre aucune psychologie. Il est complètement dénué de romance et autant vous dire que les scènes de sexe sont plus vulgaires qu'elles ne sont érotiques. Zéro romance.

Après plusieurs pages de roulements de paupières, de bâillements incessants et de "il me reste combien de pages encore ?", j'ai fermé le bouquin. J'abandonne et sans regret.
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365 jours, tome 1

Après avoir vu le film, décevant à mon goût pour le jeu des acteurs et le manque de sentiments qu'il véhicule, je me suis laissée tenté par le T1 du roman dont il s'inspire. Car habituellement, c'est mieux. Pas cette fois.

C'est de mon point de vue... tristement décevant... Je peine à comprendre l'engouement pour cette saga tant d'autres histoires du genre sont plus passionnantes et émouvantes écrites par nos auteures françaises.

Parlons tout d'abord de la plume de l'auteure, respectée à la lettre par le traducteur de Hugo. Factuelle. Plate. La lecture est désagréable. Vraiment je n'ai pas apprécié du tout. Je sais, je suis exigeante, mes attentes sont élevées. J'aime les phrases qui chantent. Cependant, dans le cas contraire, je m'en accommode quand la romance est belle, l'intrigue palpitante. Là, ce n'est pas le cas au contraire.

Tout d'abord le texte est truffé d'incohérences et d'un manque flagrant de recherches. J'estime cela honteux et visiblement cela ne dérange pas la ME à ce que l'auteure écrive des telles monstruosités. Attention spolier !

Dans une scène qui arrive, entre parenthèse comme un cheveu sur la soupe, l'auteure explique qu'on a dû opérer l'héroïne des artères et pour ça qu'ils sont passé par l'aine pour accéder au coeur pour atteindre l'artère fémorale J'ai failli m'étrangler face ce manque flagrant de méconnaissance en anatomie ! Un minimum s'impose , Bon sang ! Autre incohérence, je sais pas vous, mais je pense pas que l'on trouve un test de grossesse dans sa pharmacie comme on trouverait du doliprane, encore moins dans une maison qui ne vous appartient pas.

Il y en d'autres mais je vous ne vous partage que celles qui m'ont hérissé le poil.

Venons en aux personnages.

Argg, non mais là, c'était juste pas possible. Leurs comportements ne sont pas du tout en adéquation avec la trame de l'histoire.

1° Laura.

Je n'ai pas du tout cru à sa forte personnalité, les quelques actes de rébellion, (totalement logiques) et attendus au vu de la situation) sont très vite noyés dans l'amour qu'elle porte à Massimino après lui avoir cédé, au bout, de quoi, une semaine ? Il est ou mon syndrome de Stockholm ? A quoi servent les 365 jours, logiquement nécessaires à la cohérence de l'histoire ? Finalement, Laura, n'a aucune personnalité et se laisse séduire par le corps ma-gni-fi-que de son kidnappeur et ne gère pas du tout sa libido galopante.

Ouais, eh bien, personnellement, j'attendais plus de résistance, plus de bagarres avec beau gosse!

2° Massimino

Ah, parlons en de de celui-là !

Si en tant que lectrice on peut tomber sous le charme de sombres personnages, (cela m'est arrivé plus d'une fois) et bien le mafieux ne m'a pas du tout séduit. Blanka Lipinska ne le fait pas se comporter comme il devrait, comme l'on s'attend, vu le thème de la romance. En tout cas, moi il ne m'a ni convaincu ni séduit.

Ne cherche-t-il pas à ce que Laura tombe amoureux de lui ? Rien dans ses actes ne le laissent penser. Bon sang ! Où sont la romance, les émotions, les sentiments ? Je n'ai que du sexe ! Et j'attendais un peu de psychologie également pour de la cohérence. Pour tout dire, je ressors avec le sentiment que l'auteure s'est inspiré de de grands succès littéraires, les a mises dans un shaker pour en sortir un cocktail indigeste, mal dosé et fade. C'est mon sentiment personnel, qui visiblement n'est pas celui de la majorité des lectrices. J'assume et rejoint le clan des déçues.

Tout est fouillis, brouillon, incohérent et finalement ennuyeux. Et je ne parle pas des clichés ni des scènes de sexe pas du tout érotiques. Parce que pour moi érotisme évoque la sensualité et non pas la vulgarité.

Pour moi l'émotion fait défaut tout comme l'aspect romantique de l'histoire comme prétendu en accroche. Quant à la sensualité promise... je la cherche encore.

50 nuances de Grey a été énormément critiqué, néanmoins, même si la plume était basique, la romance suscitait de l'émotion. Là, rien de rien.

Ceci, bien évidement reste une opinion subjective, mais assez raccord avec bon nombres d'avis. 365 jours c'est finalement coup de coeur ou rien.

Je vais donc en rester là et me centrer sur des auteures françaises aux plumes plus à mon goût, à l'imagination débordante proposant des romances bien plus originales, aux personnages plus touchants, plus aboutis, des histoires moins clichées que celle-ci.

Allez, après une déception, comme dirait mes copines de lecture : Next








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365 jours, tome 2

les histoires de mafia siciliennes sont donc toutes les mêmes : guerre de clan, jolie fille et descendance.



Avec Laura et Massimo, les règles sont les mêmes. Beaucoup de sexe et de cadeaux extravagants. On visite le monde, on se scandalise par tant de violence. Mais le sex ans drugs fonctionnent tellement bien.



séduction !
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365 jours, tome 1

Don Massimo est le beau et ténébreux chef de la famille Torricelli, la mafia sicilienne. Depuis cinq, il est à la recherche de la femme au visage d’ange qui lui est apparue en rêve pendant un coma, suite à une blessure par balles.

Quand la jolie Laura atterrit sur l’ile pour une semaine de vacances, elle ne se doute pas qu’elle va bientôt être enlevée et séquestrée par le chef de clan, et se voir proposer un étrange contrat : 365 jours pour tomber amoureuse de l’homme le plus dangereux d’Italie…



Étonnée de trouver cette romance corsée en version ciné sur Netflix, je me suis laissé tenter. Je m’attendais évidemment à quelque chose d’assez violent, vu le milieu choisi par l’autrice, avec des scènes plutôt hot, mais la couverture prometteuse m’inspirait aussi quelque chose de qualitatif.

Au final c’est une lecture bien en dessous de mes espérances…

Pour la violence, le ton est donné d’entrée de jeu avec l’exécution d’un homme sur le pas de la porte; Les scènes coquines sont elles-mêmes assez violentes, avec un enlèvement, une séquestration et des coups donnés (et consentis) des deux côtés mais finalement la romance reprend vite ses droits et notre beau et dangereux mafieux devient rapidement dégoulinant de guimauve. On vacille donc entre mièvrerie et hyper sexualisation de la femme, sans juste milieu.

La langue quand à elle manque de classe. C’est assez vulgaire, voir grossier et très répétitif. Il faut dire que l’intrigue n’est jamais développée (Non, vous ne saurez pas d’où viennent les visions de Massimo, elles ne servent apparemment que de prétexte à cet enlèvement improbable) et les actions plutôt limitées. En résumé : Les personnages boivent beaucoup, prennent de la coke, s’envoient en l’air et tuent des gens.

C’est consternant mais prit au second degré j’ai trouvé le côté bling bling plutôt marrant; Outre la violence gratuite et l’ambiance machiste, c’est l’aspect chick lit de luxe qui m’a vraiment déplu dans tout ça, les interminables séances de shopping et de manucure, les visites au spa, la description minutieuse des tenues de créateur que porte Laura m’ont écœurée. Les escarpins Prada ou les bottes Vuitton ? Le sac Chanel ou la pochette Dior ? semblent être ses seules préoccupations dans la vie…

L’autrice voulait certainement donner un côté «pretty woman » à son livre, grand et universel fantasme de filles (il parait !) mais franchement j’ai trouvé cela rétrograde et ennuyeux à mourir.

Une lecture junk food rigolote au second degré (et encore…) mais qui mériterait un peu plus d’élégance.
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365 jours, tome 3

Et patatras.



Ce dernier tome est une apothéose autant que l'histoire du 2ème tome était un peu bancale autant que ce 3eme tome est grandiose.



Laura prise entre deux hommes ne sait que faire et quand ces deux hommes sont aussi dangereux que séduisants le choix est d'autant plus dur.



Je referme avec beaucoup de surprise ce livre qui n'est pas aussi superficiel qui n'y paraît.



Sympatoche



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365 jours, tome 2

J’ai entamé cet opus sans trop avoir aimé le premier tome, dont le côté très clinquant m’avait fait rire mais qui s’est avéré très creux.

Je partais donc moyennement conquise, mais avec l’espoir de voir l’intrigue se développer, les personnages prendre de l’épaisseur et les secrets se dévoiler enfin. Car l’idée de départ est intrigante : Massimo le chef mafieux sicilien a des visions d’une femme pendant un accident. Il en tombe amoureux et la cherche pendant cinq ans, avant de la croiser par hasard à l’aéroport. Il la kidnappe et nous les retrouvons dans ce tome 2 mariés et bientôt parents.

Le lecteur se pose donc de nombreuses questions : Quid de ses fameuses visions ? Se sont-ils déjà rencontrés par le passé ? Étaient-ils liés avant même de le savoir ?

Et si oui, Laura appartient peut-être déjà à la famille ?

Des interrogations auxquelles l’autrice ne répond malheureusement jamais, trop occupé à faire gémir son héroïne sur son petit nombril. Eh oui, c’est dur de choisir entre la Porshe et la Ferrari…

Bref, arrivée à un peu plus de la moitié, écœuré par toutes ces gesticulations de pauvre petite fille riche, tout ce sexe à la moindre occasion (Ce n’est plus érotique ça vire au porno !) et tout ce vocabulaire dégoûtant, j’ai finit par abandonner.

Je ne saurais jamais le fin mots de l’intrigue et franchement je m’en fiche pas mal, mais j’aimerais beaucoup comprendre, en revanche, comment les scénaristes de Netflix ont pu imaginer qu’une adaptation ciné de ce navet très vulgaire pouvait être une bonne idée ?

Malheureusement ça restera pour moi un mystère.
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365 jours, tome 2

{Instagram : aur131}



Je remercie les éditions Hugo New Romance pour l’envoi de ce roman.



Après avoir découvert le sulfureux couple que formaient Massimo et Laura dans le précédent volet, j’avais hâte d’avoir ce second opus entre mes mains. Il faut dire que le premier tome avait frôlé le coup de coeur. Malheureusement, j’ai cruellement été déçue par cette suite. Je ne suis pas parvenue à retrouver le même intérêt et le même engouement que j’avais précédemment ressentis. Honnêtement, je ne sais vraiment pas par où débuter cette chronique. J’ai relevé tellement de points négatifs que je ne saurais dire ce qui m’a le plus énervée ou ennuyée dans ce tome.



Premièrement, le personnage de Laura. C’est un personnage que j’avais beaucoup aimé suivre dans le premier tome. On y découvrait une jeune femme au tempérament fougueux, avec un très fort caractère et qui surtout, savait tenir tête à Massimo. J’avais également aimé sa personnalité pour sa douceur et sa bienveillance. Pourtant, je n’ai pas du tout accroché avec elle dans ce tome. Elle passe son temps à faire des caprices, à se plaindre. Elle est immature, frivole, passe la plus grande majorité du livre à s’extasier sur les vêtements de luxe et je ne vous parle même pas de sa copine, Olga… Bref, je me suis demandée à plusieurs reprises si j’avais affaire à la même personne. En plus de cela, elle est d’une incroyable vulgarité. Certes, elle aime le sexe, c’est une femme libérée à l’esprit ouvert, mais je ne m’attendais pas à ça en débutant ma lecture. Elle pense principalement qu’au sexe, c’est à croire que sa relation avec Massimo ne repose que sur l’attirance physique. Pour tout vous dire, Laura donne plutôt l’impression d’être une bimbo.



Autre point qui m’a fortement dérangée; sa constante attirance pour des hommes qui ne sont pas Massimo. On peut trouver une personne agréable à regarder, mais la façon dont Laura décrit certains hommes donne plutôt l’impression qu’elle ne dirait pas non pour coucher avec eux, quitte à devoir tromper Massimo. Au final, toutes ces petites choses ont fait que plus j’avançais dans ma lecture et plus je détestais Laura. C’est vraiment regrettable étant donné que je l’appréciais énormément dans le premier tome. J’espère tout de même que la suite parviendra à la faire remonter dans mon estime.



Pour ce qui est de Massimo, j’aurais aimé pouvoir vous en dire plus à son sujet. Je pensais qu’il se dévoilerait davantage dans ce second tome, cependant il ne se passe pas grand-chose de son côté. Je l’ai trouvé très peu présent et le peu de fois où il apparaît, c’est pour une partie de jambes en l’air avec Laura. C’est un personnage que je trouvais complexe, sombre, très intéressant à suivre. Le personnage de Massimo était justement ce qui m’avait donné envie de lire cette suite, mais j’ai rapidement déchanté lorsque je me suis rendu compte que l’autrice  avait préféré concentrer son récit sur Laura. Alors oui, Laura est un personnage principal, toutefois j’aurais nettement préféré que Massimo soit beaucoup plus sur le devant de la scène. Je ne vois pas l’intérêt de construire une trilogie autour de son personnage si c’est pour ensuite le mettre de côté. Après, il n’est pas non plus totalement absent. Au fur et à mesure de la lecture, on se rend compte à quel point Massimo a changé. Il est plus doux, plus tendre et aussi un petit peu plus patient. N’allez tout de même pas croire que Massimo s’est ramolli, il reste et restera toujours un homme dangereux.



Parlons ensuite de la romance. Comme je le disais plus haut, j’ai eu l’impression que Laura passait le plus clair de son temps à vouloir sauter sur tout ce qui bouge. Ce tome-ci est un peu plus « hot » que le précédent, les scènes de sexe sont beaucoup plus explicites, plus crues et le côté « dark » est toujours bien présent. Ça plaît ou ça ne plaît pas, mais il est vrai qu’on ne lit pas ce genre d’histoire en espérant lire une gentille romance. Si on débute ce genre de roman, il faut s’attendre à en prendre plein la vue de ce côté-là. En général, les scènes de sexe ne me dérangent pas plus ça, il en faut beaucoup pour me choquer.



Pourtant ici, elles m’ont vraiment dérangée. J’avais surtout la sensation que Blanka Lipińska était venue combler le manque d’action avec du sexe. Certaines scènes d’amour n’apportaient rien à l’intrigue et plutôt que de nous émoustiller, ces scènes finissent par nous ennuyer. Je l’avoue, j’ai quelquefois sauté certaines de ces scènes. Après, ça colle parfaitement bien avec le contexte du récit, mais si la romance avait réussi à me convaincre dans le premier tome, ça n’a malheureusement pas été le cas ici. Ça manquait de profondeur pour ma part, la relation de Laura et Massimo me donnait l’impression d’être superficielle.



Pour finir, ma déception ne vient pas forcément de la plume de l’auteure. Malgré mon désappointement, je n’ai pas eu de difficulté à lire et à terminer ce second tome. Tout n’est pas parfait bien sûr, cependant on ne peut pas dire que la plume de Blanka Lipińska soit désagréable. Maintenant du côté de l’intrigue, c’était vraiment très fragile comparé au précédent opus. À vouloir bien faire, l’auteure a tellement souhaité incorporer de l’action et des rebondissements au récit, qu’au final ça donne un second tome très médiocre. L’histoire part dans tous les sens, certains points m’ont semblé un peu trop tirés par les cheveux pour être crédibles à mes yeux. 



Il y a également quelque chose qui m’a véritablement mise mal à l’aise durant ma lecture et je dois absolument vous en parler. Si je n’avais pas spécialement relevé de scène de viol dans le tome précédent, eh bien ce second tome présente une scène qui est pour moi à la limite d’en être un. La personne concernée ne voit pas ça comme tel puisqu’elle désirait coucher avec l’autre personne. Sur le moment, je vous avoue que je me suis sentie très bête face au comportement et aux propos de la « victime ». Qu’elle en ait envie ou non, ça ne justifie pas le comportement honteux dont a fait preuve la personne avec qui elle a couché ! Dans tous les cas, je tenais à vous prévenir et vous faire part de mon ressenti face à cette scène.



En conclusion, vous l’aurez donc compris, je suis vraiment très déçue de ce second tome. Le personnage de Laura a été insupportable et l’histoire, bien qu’elle ne manque pas d’action, manque pourtant de crédibilité. En ce qui concerne la romance et le personnage de Massimo, je regrette également le manque de développement et de profondeur. Je suis quand même impatiente et curieuse de lire le dernier tome car le dénouement donne très envie de découvrir la suite !
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365 jours, tome 1

J’ai enfin eu l’occasion de sortir un livre de ma pile personnelle. Cette romance érotique me faisait de l’œil depuis la sortie. Au point de ne lire aucun avis dessus (pour éviter tout spoiler et autre) et de ne même pas savoir qu’une polémique avait éclaté dessus. Rien de mieux que la communauté bookstagram pour te mettre à jour. Et bien vous savez quoi les livres qui font polémique j’adore ça, d’une certaine manière cela les fait vivre. Le dernier en date qui avait éclaboussé la toile et qui avait attiré mon attention, était la dark romance de Maryssa Rachel, Outrages que j’avais adoré.





Ici point de coup de cœur mais un super moment de lecture.





Direction la Sicile au cœur d’un domaine ultra protégé. Le maître des lieux, à la tête de la Cosa Nostra, vient d’assouvir un des ses plus anciens désirs. Mettre la main sur la femme qui l’a hantée pendant son coma. Son rapt n’était pas du tout prémédité mais à fortiori c’était bien la seule solution pour avoir l’objet de ses désirs à portée de mains. En parfait gentleman il expose sa volonté. Si son apparence de gangster ne joue pas en sa faveur, il n’usera jamais de la violence et de la contrainte.





Laura n’est pas du genre à accepter toute proposition inconvenante et saugrenue pour les beaux yeux du type en face d’elle. A la moindre occasion elle retrouvera sa liberté même si l’attirance qu’elle éprouve pour le beau spécimen risque d’être son point faible.





365 jours privée de sa liberté cela à de quoi chambouler n’importe qui. Surtout quand le cœur n’en fait qu’à sa tête et que la raison s’est peut être barré à l’autre bout du monde.





Cette romance érotique ne fait pas allusion à la violence et à la soumission. Si les rapports sont quelque peu tendus au départ vous seriez surpris de la tournure qu’ils prendront. Je ne vous parle pas des scènes hyper érotiques et sexy, de la tension qui empreigne les personnages, et les nombreux rebondissements qui jalonnent le récit. Laura est à l’image des femmes caractérielles et indépendantes. Sa détermination est aussi farouche que sa nouvelle obsession. Alors il est vrai qu’elle est agaçante, souvent. C’est le genre de nana que tu peux adorer et l’instant d’après détester. Alors que Massimo est dans un certain contrôle prêt à exploser au moindre pépin.

Quand on parle de romance érotique souvent le point de comparaison est la fameuse romance de EL James (que j’ai vraiment pas aimé, au passage) et ce n’est vraiment pas lui rendre justice. 365 jours est vraiment addictif et je t’assure que je l’ai dévoré en quelques heures. Le fond du récit est intéressant. Une intrigue générale aux trois tomes apparaît et donc quelques révélations sont à prévoir. Sur la forme, la plume de l’auteure polonaise n’est pas aussi fluide que je l’aurais espérée. Quelques redondances viennent gâcher la lecture et il m’a manqué cette osmose qui change tout. J’ai beaucoup apprécié l’alchimie entre les personnages qui offrent des moments mémorables.





Je n’ai pas envie ici d’évoquer cette polémique (qui peut être émane de la série Netflix ?) car chacun à son propre jugement. Cette romance ne m’a absolument pas choquée et dans l’ensemble je l’ai plutôt appréciée malgré quelques couacs. Je ne peux que vous inciter à découvrir cette trilogie surtout que le format poche vient juste de sortir.
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365 jours, tome 1

Tout d’abord, je souhaite remercier les éditions Hugo Roman pour l’envoi de ce roman.



Je me faisais une joie d’entamer ce livre étant donné que j’avais plutôt bien apprécié le film (mon avis : https://booksbookmarks.wordpress.com/2020/06/10/365-jours-2020/) . J’avais entendu de meilleurs retours sur le livre et j’étais ainsi curieuse de le découvrir avec tout de même quelques appréhensions au niveau des scènes de sexe (j’avais peur qu’elles soient trop présentes, trop violentes/décrites, viol ou non ? Trop de questions !) mais aussi au niveau des interviews de l’auteure. Certains de ses propos ne m’ont pas vraiment plu et j’ai été très anxieuse à l’idée de lire ce roman du coup..



Et… Je n’ai vraiment pas aimé ce que j’ai lu. J’ai nettement plus préféré le film au livre. Ce qui ne m’a pas plu dans le livre par rapport au film est que là, on a le point de vue des personnages, et aucun des deux ne rattrapait l’autre… Massimo est un personnage que j’ai d’ores et déjà détesté.. Les pensées crues à outrance ne sont absolument pas passées sur moi (et pourtant, j’aime plutôt bien la dark romance (à petite dose) donc j’ai essayé de passer outre car c’était le milieu qui voulait ça, mais.. trop c’est trop..), j’en suis venue à rigoler à plein de passages improbables qui m’ont plus dégoûtée qu’autre chose.. Quand on voit des passages avec cette citation « Je lui écarte les fesses et je promène ma langue sur son trou sucré»… Je ne sais même plus que penser.. Puis, je n’ai vraiment pas aimé comment il agissait avec les femmes donc forcément ce n’est pas passé… Puis Laura, je ne sais pas ce qui est le pire, son allure condescendante et hautaine ou bien le fait qu’elle ait peur mais qu’elle mouille pour le bel homme qui vient de la kidnapper..



A partir de là, je savais que cela n’allait pas être une partie de plaisir et je n’allais pas aimer ce que j’allais lire. Pourtant, j’avais de l’espoir car le livre m’intriguait tellement ! Mais non, ce n’est tout simplement pas passé, je ne sais plus si je suis faite pour de la dark romance tout compte fait.. Ceci dit, la fin était sympa et je verrais le deuxième film pour cela, mais le livre, je m’arrêterais ici.



En tout cas, même si je n’ai pas adhéré, je vous conseille de vous faire votre propre avis, chacun est différent. S’il vous tente, alors foncez, ne vous privez pas ! Mais si vous doutez, alors n’y allez pas, faites comme vous le sentez mais j’ai hâte de voir les différents retours en tous les cas !
Lien : https://booksbookmarks.wordp..
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365 jours, tome 3

Ce dernier tome aura véritablement été une grande surprise, en commençant cette saga on n’imagine pas une seule seconde que le roman puisse prendre ce genre de tournures. Bien que je n’aie pas su être à 100% réceptive, j’ai aimé que cette fin de roman soit totalement surprenante et le message qu’à voulu faire passer l’auteure. Cependant d’un autre côté j’ai trouvé cette fin presque trop facile pour l’histoire 😅



Avec la fin du T2, on se doute du tournant que va prendre ce T3 et malheureusement, les triangles amoureux ce n’est vraiment pas ma tasse de thé. Ce tome nous permet de découvrir davantage le personnage de Nacho et pourtant je n’ai pas été convaincue par son image toute lisse, presque trop parfaite.



Pour le personnage de Laura, plus les tomes avançaient moins je parvenais à l’apprécier. C’est une personne qui ne sait pas vivre seule, ce tome en est la preuve. Ici, la vie dans ce tome se résume à être bourrée en permanence et de quémander du sexe encore et encore. Les scènes m’ont parue assez répétitives et surtout prévisibles.



Pour être honnête avec vous, cette saga est pour moi une déception, je suis souvent resté de marbre face à l’histoire, la lecture s’est parfois avérée compliqué cependant je suis tout de même très heureuse d’avoir le fin mot de l’histoire et d’avoir une certaine avance sur les films🤫



Plein de love, C✨


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365 jours, tome 3

Hop hop hop la !

Je ne m’attendais pas à ça !

Je pense que je me doutais dans le fond de ce qu’il allait se passer mais pas comme ça, j’ai fait des découverte et ma veste c’est retourné toute seule !!!!



On retrouve Massimo et Laura après le kidnapping, on découvre la choix qu’a du faire Massimo, bon c’est un choix logique, je ne m’attendais pas à autre chose, donc Laura ou Luca?



On va voir que l’épreuve que ce couple va subir est difficile, ils n’ont que deux choix possible se souder et se soutenir ou s’éloigner et s’évader.



J’ai découvert de nombreuses choses dans ce dernier tome, quand on y pense on aurait du comprendre les choses bien avant et ne pas se laisser embarquer.

Quand a moi je vois maintenant les choses totalement différemment, l’autrice a fait en sorte de nous amener exactement la ou elle le voulait, c’est talentueux selon moi.

Je n’ai pas vu les choses arriver, ce tome n’aurait pas du se terminer ainsi vu les précédents et ça c’est génial, un virage a 360° !



La note finale nous prouve bien que l’autrice a réussi son coup !

Je suis vraiment très contente d’avoir lu cette saga qui apporte de nombreuses choses, autres que les scènes de fesses bien évidement, pour ça il y en a tellement et je confirme Laura est complètent accro c’est une nympho, elle a peur elle baise, elle angoisse elle baise, elle stress elle baise ... je ne l’apprécie vraiment pas !



Bref la chose à retenir est que ce troisième tome est Le meilleur de la trilogie, je me suis vraiment éclatée avec tout ces rebondissements, et surtout avec cette fin, ce livre ce termine très bien même si c’est assez surprenant !



Enfin bref je vous invite vraiment à vous lancer dans la lecture de cette trilogie, mais il ne faut pas oublier qu’il y a énormément de scènes sexuelles et dans ce tome il y a la scène qui peut porter à discussion alors que dans les tomes précédents je ne lai pas resssenti tel quel !
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365 jours, tome 3

Et voilà ce dernier tome qui clôture la sage



Je dois avouer que je suis satisfaite de cette fin mais j'ai cependant quelques remarques à dire.



Pour commencer Laura est insupportable je ne l'a supporterai pas dans mon cercle d'amis. Elle mérite de bonne claque. C'est une femme superficiel essentiellement motivé par l'argent.

Heureusement son histoire avec le beau Nacho redonne espoir en elle quant au sentiment qu'elle est capable d'éprouver. L'auteure le dit elle même, elle est stuipe cette jeune fille. Elle tombe quand même amoureuse chaque fois qu'un homme l'enlève.



Je suis déçue que le personnage de Massimo ne soit pas plus exploiter que ça, ceci dit le fait qu'il devienne complètement infecte et surtout d'une violence sans nom ne me fait pas regretter que Laura change de partenaire.



Je remarque une certaine similitude à l'histoire de Massimo et Laura et de Nacho et Laura. Notamment la grossesse. Ce qui m'a plus c'est que pour l'histoire avec Nacho j'ai ressenti un réel amour entre les personnes contrairement à l'histoire avec Massimo qui n'exercait d'un pouvoir sur elle garnit d'argent de luxe.



Sa meilleure ami Olga est tout bonnement une mauvaise amie. Qui laisse sa meilleure amie (ou amie simplement) se faire traiter ainsi et fermer les yeux sur tout ce qu'elle sait ? Domenico était un personnage que j'aimais beaucoup, j'étais déçue de le voir disparaître au fur et à mesure bien qu'il reste un rampart flagrant entre Massimo et Laura et qu'il l'a protège malgré tout.



J'étais satisfaite de l'opération du cœur de Laura il était temps je n'en pouvais plus de ses evanouissement à répétition (à noter que le stress était dangereux pour son cœur mais que visiblement les parties de jambes en l'air aussi brutal soit-elle ne causait aucun dommage 👀).



La redondance des chapitres qui commencent par le réveil de Laura n'a vraiment quittait aucun des trois romans. Et c'est dommage le peu de fois où les chapitre commençait autrement ça rendait vraiment l'histoire plus fluide.



Un élément que je reproche pour clôture ceci c'est qu'à certains moment on se perd dans la chronologie des événements. L'histoire entière se déroule en 365 jours et pourtant lorsqu'il s'agit des rêve de Laura le temps défile autrement et je trouve que c'est à se perdre dans la continuité des choses.



Enfin je dirais que j'ai beaucoup aimé le tome 1, le 2 m'a ennuyer par ses parties de jambes en l'air beaucoup trop répéter et ennuyeuse sans véritable histoire (on remercie les derniers chapitres de sauver le coût) et enfin le 3ème tome relève les choses donnant lieux à une véritable histoire d'amour et des rebondissements satisfaisant.



Hate de voir comment Netflix va massacrer cette saga.
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365 jours, tome 3

Si vous n'avez pas lu ce tome ne lisez pas ma chronique ! ⛔



Si vous l'avez lu, est-ce que vous avez été révolté comme moi par Massimo?! Mais quelle déception!



J'en ai énormément voulu à Laura de délaisser Massimo et inversement à Massimo de délaisser Laura après cette si terrible épreuve...



J'en ai également beaucoup voulu à Laura de fantasmer sur ce Nacho... Même si sa gentillesse, sa douceur... commençaient moi aussi à me séduire... 😏😏



Mais Massimo quoi! Ce charisme, cette beauté, ce tout! Leur amour si intense, si fort... Balayé comme ça... J'étais outrée ! 😒😒



Et puis, la folie, la démesure de Massimo où j'ai fini par le détester... Mais je me disais quand même que Laura est fautive, qu'elle ne l'a pas assez aimé, qu'elle l'a abandonné...



En résumé, j'ai adoré ce 3ème tome, je l'ai dévoré c1r je voulais tellement savoir comment cela allait finir.

La fin m'a déçu car je voulais tellement que Laura & Massimo finissent ensemble... Même si Nacho a l'air bien meilleur comme homme...
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