C.C. Mahon

Lyly Ford : Dans une danse poétique, Lyly nous emporte dans un monde fort diabolique. Avez-vous déjà pensé une seconde en voyant vos outils de tous les jours s’ils ne pouvaient pas être plus que ça ? J’avoue qu’après cette nouvelle sublime et sanglante, je regarde les miens différemment. Ha ha ! Un récit court, mais tellement prenant à la fois que j’ai eu un sourire sadique et rempli de joie a chaque mot dépeint avec une finesse magique. J’en suis même triste que ça soit si court.



Cécile Ama Courtois : une histoire de pouvoir et d’entraide où un objet insolite va être le sauveur d’une trahison certaine. Une plume fluide et volontaire nous transporte dans des épreuves qui ne se passent pas comme prévu et pourtant tout va changer. Une nouvelle addict dont on n’aimerait jamais s’arrêter de lire.



VirginieT. : Une nouvelle ou suspense et enquête sont de mise, j’ai vraiment aimé le personnage Asty qui autant sérieuse que décontractée dans sa manière d’être. Accompagner d’un collègue pas comme les autres, elle nous offrira de belle énigme et un combat au top. Une plume vive et incisive que je ne me lasse jamais de lire. Et savoir qu’il y aura un roman entier me ravit encore plus !



Mariann Helens : une nouvelle juste époustouflante ! J’ai été hypnotisé du début à la fin tant le suspense et l’effroi de l’histoire sont juste géniaux ! La plume profonde de l’auteur est un délice sanglant ! Mon cœur en a encore des palpitations au moment où j’écris fraîchement ces quelques lignes.



Eva de Kerlan : une nouvelle originale, passionnante et drôle à la fois. J’ai passé un super moment avec ces trois personnages hauts en couleur ou pas vu leur état. Ha ha ! La douceur de la plume de l’auteure a su m’emporter avec légèreté dans cette aventure rocambolesque.



Florina L’Irlandaise : une plume naturelle remplie d’humour qui donne envie d’en savoir plus ! Cette fraîcheur qu’inspire la plume de l’auteur à travers cette histoire est magnifique. Une vie tout ce qui a de plus basique bien qu’elle soit magique rend vraiment l’ensemble authentique, je m’y suis cru le temps d’un instant auprès d’eux a les entendre rire avec cette histoire de pelle.



C.C.Mahon : une rencontre fortuite entre deux êtres différents qui malgré tout échangent pour trouver un compromis. Une petite aventure vraiment rafraîchissante et naturelle dans sa description permettant de « regarder » les scènes avec facilité et appréciations.



Un deuxième recueil hyper intéressant et enivrant avec ces 7 plumes différentes qui donne envie de les découvrir. Foncé sans hésiter vers ces aventures de Pelle originale !
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Je ne présente plus cette saga, et comme les tomes précédents, j’ai été ravie de retrouver Érica qui doit trouver un moyen d’empêcher la destruction de Vegas. Dans ce tome, j’ai trouvé dommage que la plupart du groupe d’Érica ne soit pas beaucoup présent, heureusement cela enlevait rien à l’histoire qui est toujours aussi addictive. Ces livres se dévorent, j’ai passé un bon après-midi au soleil (et sous la neige). Avec tout ça je ne sais pas comment les humains ne vont pas découvrir la magie alors j’ai hâte de lire le tome 5 afin de savoir comment Érica va arriver à sauver la situation.

Lecture audio

Tome deux très rythmé en aventure. Pour ce tome ci on suit Zagan un démon qui au final un ange déchu. Après un quiproquo il se retrouve en enfer, avec Germain un vampire et Anastasia une jeune humaine traumatisé. L'aventure prend fin avec Satan/Lucifer. C'est très drôle.

Vampire, mage, détective et homme de main occasionnel d’un baron de la drogue/proxénète parisien qui le fait chanter, Germain Dupré n’a pas besoin de davantage de problèmes dans sa vie et surtout pas d’un démon surgissant de son passé (ni d’une voisine collante et d’un chaton chelou, mais on ne lui demande pas son avis).

Germain est un excellent personnage, de ceux auxquels on s’attache tout en aimant bien les voir galérer. C’est le genre bien-pensant (toute une éducation chrétienne) mais dont la moralité devient vite plus souple quand ça l’arrange. Au fond, c’est un bon gars, alors on lui pardonne d’être un peu tête à claques et un rien chouineur (il n’est pas aidé, faut l’avouer).



La suite sur mon blog...
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Las Vegas au bord d’une apocalypse magique, des morts qui se relèvent, Erica, nouvelle valkyrie n’a pas le temps de chômer. En plus, elle doit s’occuper de son club et aussi apprendre à passer les portes avec ses ailes. Comment ne pas lire d’une traite les nouvelles aventures d’Erica. C’est une nouvelle fois un coup de cœur pour cette héroïne badasse. Comment ne pas craquer pour cet Urban fantasy remplie de magie, d’action et d’humour. La question la plus difficile c’est, lire le reste de la sage tout de suite ou patienter un peu afin de faire durer le plaisir.

Cette suite est aussi palpitante que le tome 1, c’est un nouveau coup de cœur pour les nouvelles aventures d’Érica, cette humaine vers qui de puissantes créatures se tournent pour avoir de l’aide. On découvre de nouvelle créature, parfois assez originale. J’aime ce personnage qui est, à la fois fort et fragile. Son combat contre les abus qu’elle a subi par le passé. Ses amis et son désir de les protéger lui donnent la force de dépasser ses peurs afin de devenir plus forte. L’intrigue sur sa mystérieuse épée est approfondie avec les légendes scandinaves que j’adore. La plume de l’autrice est toujours aussi addictive, elle ne se lit pas, elle se dévore. Je suis impatiente de découvrir la suite.

Le palais des illusions fait partie de la série Paris des Limbes dont j’avais chroniqué le premier tome Le codex de Paris un an auparavant. Ce nouveau roman sorti le 15 mai 2023 se déroule en 1900. Vous pouvez lire ce prequel indépendamment des deux autres tomes déjà paru. D’ailleurs, je n’ai pas encore lu Un Casse en enfer. Si j’avais apprécié l’enquête surnaturelle de Germain Dupré comme une lecture divertissante, j’ai adoré Le palais des illusions qui m’a emprisonné entre ses pages. Je remercie C.C. Mahon pour sa confiance.



1900. Paris présente l’exposition universelle pour la cinquième fois. Kiyoshi y œuvre comme secrétaire du commissaire Legall et faussaire pour le compte de son oncle Masao. Cali, une jeune Rromni, danse pour le plaisir des yeux et pour nourrir sa famille. Ils appartiennent à deux mondes distincts. Pourtant, un meurtre les amène à croiser leur chemin. Lorsque l’acariâtre Agrippine Martin est balancée par-dessus le garde-fou du tapis roulant, c’est la mère de Cali qui est accusée. Devant préserver les secrets de ses employeurs, Kiyoshi garde à l’œil la Bohémienne déterminée à disculper Mama.



Ce roman nous transporte à la charnière des siècles. À la Belle Époque où les Dames défilent en longue robe corsetée et les hommes dirigent en costume austère. Une ère pendant laquelle les cultures s’entrechoquent dans cette période où l’innovation et l’ingénierie semblent sans limites, un moment durant lequel le paraître règne, surtout quand il s’agit de montrer la gloire d’un pays. C’est ce qu’incarne l’exposition universelle où les décors en papier mâché offrent une image idéalisée de contrées lointaines. Une illusion trop propre, éloignée de la réalité, car elle associe des éléments folkloriques sans respect pour l’authenticité des lieux d’origine. Pourtant, ces portraits attirent, remodèlent les pensées et bousculent la créativité des autochtones.



Dès le XIXe siècle, le choc culturel provoque de l’émulsion, de l’adoration pour les civilisations lointaines. Les Européens s’approprient, souvent mal, les objets, vêtements, traditions qui les envoûtent par leurs exotismes. Cette attitude exaspère profondément Kiyoshi. Celui-ci voit l’envers du décor invraisemblable, les conditions de vie des « acteurs » de cette scène internationale, surtout quand Madame Martin s’en prend à eux pour une question de loyer non payé.



Peu commode, voire imbuvable en raison de son avidité, Agrippine Martin a une liste d’ennemis (et de susceptibles assassins) bien trop longue pour nos deux protagonistes. Son bourreau est facilement identifiable, même si nous n’avons pas toutes les cartes en main à propos des mobiles. Qu’est-ce qui t’a maintenu en haleine tout au long du récit si ce n’est pas l’enquête ? me direz-vous sans doute. La réponse est simple : Cali et Kiyoshi. Leurs personnalités, leur rencontre, leur relation, l’évolution de leur histoire m’ont captivée. Une romance slow burn se développe avec une lenteur qui ne plaira peut-être pas aux amateurs du genre, car tous est édulcoré et délicat. Ce sont des réactions, des paroles, des réflexions qui parsèment le livre au fil des pages. C’est une rencontre entre deux êtres diamétralement opposés qui rêvent de vivre de manière authentique envers soi-même. Un choc entre deux cultures. Une Rromni, marginalisée par son statut, qui apprivoise un Japonais serré dans un étau de pessimisme à cause de son vécu et de la maltraitance de Masao. Kiyoshi désire au plus profond de lui la liberté. Il envie la franchise de Cali dont les émotions éclatent au grand jour sans filtre. Pourtant, elle possède aussi des secrets qui brident ses envies. Le poids des traditions enclave ses désirs. Des lois séculaires qui élèvent des barrières entre les peuples et engendrent des parias. Sa famille étant la chose la plus importante dans sa vie, Cali devra affronter ses craintes et trouver un équilibre entre son cœur et son esprit.



Notre petite bohémienne est un personnage fort, vivant, authentique, brisant les préjugés avec bravoure malgré les difficultés rencontrées par son statut de nomades et de femmes. Rappelons-le, cette période n’est pas charmante avec la gent féminine. Si celle-ci se bat pour ses droits et acquiert des postes dans des métiers réservés à la base aux hommes (nous avons ici le bel exemple d’Adeline Mercier, reporteresse à la Gazette des finances [oui, oui, des finances]), le patriarcat assied son oppression et façonne des comportements et des visions construites de toutes pièces tels l’homme est fort et la femme un être frêle. D’abord protecteur, Kiyoshi se rend compte qu’il est bien plus faible que la demoiselle qui se relève malgré l’angoisse et les coups durs, alors que lui grogne entre ses dents, caché dans sa tanière intérieure.



C.C. Mahon nous offre un roman riche en émotions dans un cadre maîtrisé. Les recherches minutieuses sur le contexte, l’exposition universelle, les développements urbains, etc. sont palpables dans les décors, l’émerveillement de Cali, l’exaspération de Kiyoshi, les éléments qui semblent anodins sans l’être. Elle y incorpore avec soin, sans que ça jure avec ce paysage la magie bohémienne et nippone. Les superstitions et le folklore s’invitent avec naturel. Ils servent l’évolution de nos personnages et de l’histoire.



En bref, Le palais des illusions nous embarque aux portes d’un nouveau siècle où les différences s’entrechoquent, s’affrontent et s’entremêlent pour donner une meilleure version de deux âmes désirant vivre sans masque ni secret dans une société où le paraître et les règles patriarcales dominent. Ce roman montre le pouvoir libérateur que l’ouverture d’esprit et la compréhension de l’autre peuvent engendrer.
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Après avoir dévoré le club66, j’ai sauté sur l’occasion de découvrir le nouveau roman de C.C.Mahon. J’ai été très surprise pendant les premiers chapitres car le style est très différent mais je me suis vite prise d’affections pour les personnages et l’ambiance du roman. Cali est très touchante et on ne peut qu’aimer Kiyoshi avec son passé douloureux, et son présent rempli de désespoir. J’aurais aimé en apprendre plus sur leur passé qui est assez peu développé cependant l’histoire se suffit à elle-même. La symbiose entre les mythes et la magie des Bohémiens et celui des Japonais est envoûtante. Alors qu’on suit Cali et Kiyoshi dans leur enquête pour découvrir le vrai meurtrier afin de sauver la mère de Cali, on les voit avec plaisir apprendre à se connaître et s’apprivoiser doucement. J’ai aussi beaucoup aimé l’ajout de l’histoire secondaire avec Germain. Je n’ai pas lu le codex de paris alors découvrir le personnage principal de la duologie était un plaisir. Je lirais les aventures de Germain avec plaisir

J'ai dévoré ce roman d'une traite. C'est le genre d'urban fantasy que j'adore. La plume de l'autrice est facile à lire, une fois commencée, on n'arrive plus à s'arrêter jusqu'à la fin. Erica est une humaine dans un monde de créatures surnaturelles tous plus puissants qu'elle et pourtant celle-ci est la maman ours de l'équipe. Elle est forte et sûre d'elle mais elle n'a pas toujours été ainsi et les blessures du passé sont toujours là. Alors qu'elle pourrait se renfermer à cause de son passé, elle décide de s'ouvrir à ses employés et de les protéger. Elle commence donc à mener l'enquête qui est bien développée. Maintenant ce n'est pas un livre qui sort des sentiers battus mais il n'en pas besoin. C'est un excellent livre pour passer un après-midi détente pendant laquelle on quitte la réalité pour aller dans ce Las Vegas surnaturel

L’hiver ayant finalement rejoint ma contrée en janvier, j’ai profité de la présence de la neige pour sortir Le secret du Tsar de C. C. Mahon. Une lecture de saison. Je remercie l’autrice des Plumes de L’imaginaire pour ce service presse et sa confiance !



1709. Nina débarque avec un groupe de serfs à Saint-Pétersbourg. Le Tsar délaisse Moscou pour construire sa nouvelle capitale sur les berges de la Neva. Loin de la ville rutilante qu’elle deviendra, la jeune femme découvre une cité en chantier où la boue et les insectes pullulent. Accompagnée de son amie Mikhaela qu’elle veut protéger à tout prix, elle mentira sur ses compétences de couturière pour la suivre aux cuisines où elle fera la rencontre du vieux Boden. L’étrange coupeur de légume et boucher. Dans cette ville en construction, des disparitions de jeunes femmes inquiètent Nina. Lorsque le tour de Mika arrive, elle est prête à tout pour la retrouver.



Ce court roman nous plonge dans le récit dès les premières pages. Ensuite, le rythme devient plus lent en raison de la galerie de personnages qui nous sont présentés au fil des rencontres de Nina. Quand le malheur frappe son amie, je n’ai plus réussi à lâcher le livre bien que le déroulement de ce thriller fantastique reste classique. La plume de C. C. Mahon est efficace et brosse les scènes à coup de pinceau épais de noirceur et de réalisme. Elle exploite les lieux, les berges vaseuses d’un fleuve, et les techniques de construction de manière intelligente. Tout s’imbrique à la perfection. Vu la longueur du texte, je ne m’étalerai pas sur le world-building. Je vous laisse le découvrir en apprenant ce que cachent le Tsar et les disparitions des serves.



Le secret du Tsar est une histoire d’amitié. Nina accompagne Mikhaela dans ce nouvel endroit pour la protéger. Travaillant depuis de nombreuses années ensemble, elle ne peut lâcher son insouciante amie pleine de vie. Prudente, la jeune couturière prend des risques en se faisant passer pour une autre. Peu croyante, l’apparition de fantômes va fragiliser son monde et lui donner la confiance d’Ielenna. Contrairement à mes craintes, celle-ci sera une alliée. J’apprécie grandement que C. C. Mahon évite de tomber dans l’habituelle rivalité entre femmes, trop souvent employée dans la situation des deux serves ou dans d’autres genres.



En bref, si Le secret du Tsar s’édifie sur la structure classique d’un thriller fantastique, l’autrice nous brode une histoire captivante. Si vous avez besoin de ce type de lecture, foncez.
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un livre que j’ai totalement adoré, je pense que je ne vais pas attendre longtemps pour lire la suite ! L’auteure a construit un univers captivant, tout cela avec des personnages géniaux, drôles, originaux, touchants, et qui savent nous rendre accros !
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Ayant reçu le premier tome de la série Bayou détective de C. C. Mahon dans le cadre du partenariat avec Les Plumes de l’imaginaire, je l’ai sélectionné dans ma PAL du Pumpkin Autumn Challenge dans le Menu Automne Frissonnant. L’histoire se passe en Louisiane, riche en fantômes et démons, elle était parfaite pour la catégorie Ghost Hunt.



Noter que Bayou détective se déroule après la trilogie Bayou Fantasy que je n’ai pas lue. Je n’ai pas été gênée lors de ma lecture, car l’autrice insère certains éléments du passé des deux détectives privés. Ça pourrait s’apparenter au divulgâchage. Toutefois, j’ai tellement apprécié les personnages que ça m’a donné envie de me plonger dans le récit de leur rencontre.



Prudence et Moore se rendent à Beau Séjour pour enquêter sur un mystérieux fantôme qui balance des objets à la tête des touristes. Juju, imminent sorcier et ami, leur a seulement demandé de vérifier la véracité des faits et la présence réelle d’un spectre à exorciser. Cependant, le professionnalisme de Moore le pousse à découvrir l’identité et le meurtrier du poltergeist au grand dam de sa collègue qui redoute son expérience passée avec le monde surnaturel. Leur investigation va déterrer plus d’un secret terrifiant et scandalisant.



L’univers de Bad Karma se déroule au cœur de La Louisiane historique avec ses plantations de cannes à sucre dirigées par les maîtres blancs qui exploitent les esclaves noirs. De nos jours, Beau Séjour est devenu un lieu touristique qui privilégie la suprématie des maîtres à la réalité des opprimés. La majestueuse demeure est mise en avant alors que le quartier des esclaves est soigneusement dissimulé sous la végétation. Enfin, c’était la gestion de l’ancien directeur : Auguste Gauthier. Sa remplaçante, Grace Morgan, a une tout autre vision. L’application de ses décisions semble coïncider avec le début des événements mystérieux.



« Ce n’est pas parce que le passé est désagréable qu’il faut le glisser sous le tapis. »



Le récit oscille entre sphère humaine et fantastique. À un moment, on se demande si l’origine des maux prend sa source dans la première, l’instant d’après, on croit que la vérité se trouve dans la seconde. J’ai adoré la façon dont l’autrice tisse la toile de cette intrigue. Même si les thèmes (racisme, esclavagisme) et la trame de fond ont déjà été exploités par pléthore d’écrivain.es, sa manière de tricoter l’histoire m’a entraînée dès les premières pages. D’autant plus que ses protagonistes sont attachants.



Prudence a abandonné ses études. Les épreuves qu’elle a endurées ont baissé l’estime en ses capacités. Elle se sent plus fragile qu’elle ne l’est. C’est pourquoi Juju lui a fabriqué un bracelet protecteur. Au fil de l’enquête, elle va apprendre les ficelles du métier de détective. Les bons, comme les mauvais côtés. Son empathie rend l’exercice du rôle d’actrice difficile. Elle n’aime pas interroger les personnes ébranlées par la disparition de leur proche ni mentir pour obtenir des informations sans éveiller la méfiance. À travers ce personnage, C. C. Mahon exploite la complexité et la noirceur de l’âme humaine par la question : doit-on rendre justice à un criminel qui a été assassiné ?



Moore est un ancien policier originaire de New York. Né pour investiguer, il se reconvertit en détective privé et entraîne son amie pour l’aider à reconstruire une confiance en elle. Il croit en ses aptitudes et est déterminé à lui prouver. Prudence le nomme le chevalier servant, car il a une nette tendance à protéger la veuve et l’orphelin et à courir délivrer la princesse en détresse. Derrière sa droiture se cache un homme qui n’hésite pas à tirer profit de son côté beau gosse pour charmer les suspect.es et leur extorquer les indices.



J’aime leur duo. Leur amitié est palpable dans leurs gestes, leurs paroles et leurs disputes. Ils se taquinent en jouant sur leur différence du Nord et du Sud. Cette touche d’humour donne une légèreté au roman dont le style fluide élabore une atmosphère tantôt énigmatique tantôt terrifiante.



En bref, j’ai dévoré Bad Karma. Si le décor des plantations ne lui confère pas un cachet original, la construction de l’intrigue et son duo attachant ont verrouillé mon âme, à coup de signes Hoodoo, dans le monde élaboré par C. C. Mahon. Les tomes suivants et la série précédente sont d’or et déjà inscrits à ma wishlist.
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Livre audio



Germain est un détective mais surtout un vampire. Il essaie d'avoir une conscience même si cela n'est pas facile. Romane est juste une meuf trop sympa avec qui on veut être ami sauf Germain.

Je pense que le démon est plus sympa qu'il n'y paraît.

J'ai beaucoup aimé cette lecture. Et je pense lire la suite.

Oh lalaaaa ! J’avais tellement hâte de lire la suite de Paris des Limbes, retrouver Germain, Chaton et Zagan ! Alors quand j’ai vu que ce second tome était centré sur lui j’ai sauté de joie ! Cette fois-ci donc le récit se centre sur le démon et quel démon ! Un être qui cache tellement tellement de secrets que j’ai adoré les découvrir au fil des pages ! Je me suis régalée du début à la fin et j’ai même cru que mon petit cœur allait se briser ! J’ai ri, beaucoup et souvent, puis j’ai frissonné — trop à mon goût lol — et puis j’ai crié… Vous l’avez compris, cette lecture ne m’a pas laissée indifférente et l’autrice m’a réellement surprise.

J’ai adoré découvrir le personnage de Zagan que l’on voit selon le point de vue de Germain dans le premier tome. Cette fois-ci on se retrouve dans sa tête, et ça, c’était génial ! Découvrir ses pouvoirs, ses secrets, ses amis, ses pensées… je me suis frotté les mains et j’ai bu du p’tit lait ! J’ai également adoré le personnage d’Anubis, ce combattant hors norme, au langage que j’ai beaucoup apprécié. Il apporte un certain dynamisme au récit, mais aussi une dose de réalisme. J’ai adoré retrouver Germain et Chaton, même si le récit n’est plus de son point de vue, revoir ce vampire pas comme les autres m’a fait très plaisir, d’autant plus qu’il n’est pas là non plus pour faire tapisserie.

Retrouver la plume de CC m’a fait vraiment plaisir, elle est toujours aussi plaisante, le rythme est entraînant, et CC nous immerge dans son monde. Elle nous décrit l’Enfer en nous donnant l’envie d’y aller, c’est fortiche quand même ! Les décors sont si bien décrits que j’en ai frissonné, parfois d’horreur, parfois de froid (ou d’effroi). J’ai adoré cette nouvelle intrigue dans cette série que décidément j’adore de plus en plus ! Tout est parfaitement maîtrisé et l’univers s’étoffe, on découvre certains personnages plus en profondeur et l’autrice nous réserve quelques surprises de son cru !



En Bref :

Un très bon second tome dans lequel l’univers s’étoffe pour mon plus grand plaisir ! Une intrigue palpitante qui nous réserve de belles surprises et des personnages que l’on découvre plus en profondeur. Les chapitres défilent les pages se tournent et on en demande encore ! J’ai suivi avec plaisir le personnage de Zagan et j’ai hâte de tous les revoir ! CC, à quand la suite ?


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J'ai choisi ce livre dans le cadre du Pumpking Autumn Challenge.Je découvre a la fois le genre et l'auteur.



C'est une enquête avec un détective privé vampire, qui malgré sa condition est martyrisé par un dealer à Paris, une voisine un brin casse pied et un chaton caractériel.

Le début est assez cocasse et le début de l'enquête bien intriguant.

Puis après j'ai eu du mal. Car on se retrouve avec un "panel" de créatures surnaturelles qui doivent partir en "quête" contre une espèce de secte de cathos psychopathes pour sauver le monde. C'est assez particulier.

Je ne pense pas lire la suite

A la recherche d’un livre d’urban fantasy j’ai découvert Vegas Paranormal, un univers créé par deux autrices : C.C. Mahon et Charlotte Munich. Elles se partagent ce monde et certains de leurs personnages à travers deux séries parallèles. En l’occurrence, j’ai commencé par Club 66 le premier tome de la série de C.C. Mahon.

On y découvre Erica St Gilles, la propriétaire d’un club réserver aux créatures surnaturelles. L’intrigue se noue vite autour du meurtre de sa barmaid, une dryade. Le rythme haletant, les métamorphes, vampire et walkyrie sont aussi de la partie.

J’ai beaucoup aimé Erica qui s’est avérer être une femme cachant son passé troublé derrière une façade de dur à cuir qui n’a besoin de personne et surtout pas des hommes. Mais son caractère indépendant est à double tranchant. Je trouve que c’est vraiment agréable d’avoir un personne féminin fort qui ne tombe pas dans l’excès.

Loin des archétypes les autres personnages sont bien travaillés. Certains éléments qui n’ont l’air de rien rapportent beaucoup de saveur à l’univers ; comme le fait que les magies ont un parfum ou que certains vampires se nourrissent d’émotions.

J’ai hâte de me pencher plus sur la suite pour découvrir tous ses secrets.

Quelle tristesse de devoir dire au revoir à toute l’équipe du club, je n’étais pas prête pour ça, mais le moins qu’on puisse dire c’est que C.C leur a offert un final explosif !

Attention Risque de spoil si vous n’avez pas lu les tomes précédents !

Vous êtes encore là ? Alors, accrochez-vous parce que « Guerre magique » c’est une déferlante d’actions et de combats des plus épiques !

On retrouve donc l’équipe du club alors que Vegas subit les retombées des articles de JVA, le grand secret est mort. Les humains savent. Et le moins que l’on puisse dire c’est qu’ils n’aiment pas la présence, ni l’existence, des Surnats. L’ambiance en ville est électrique et la tension est à son comble. Les humains se rassemblent et s’en prennent au club 66. Lorsque même la police refuse de venir en aide aux surnats coincés dans le club, Erica comprend qu’elle, son équipe et ses clients sont seuls face aux humains armés jusqu’aux dents. Le siège commence alors.

Cet ultime tome m’a gardé en haleine tout du long. Je ne l’ai pas lâché une seconde avant d’avoir le fin mot de l’histoire. J’ai été happée dans le récit et j’ai suivi, fébrile, les combats qu’ont menés nos amis. J’ai sursauté à chaque tir de roquette, j’ai stressé, j’ai pesté, j’ai crié, je me suis même rongé les ongles ! On ressent tellement la tension qui habite le groupe, l’équipe, les Surnats qui tente de survivre et de s’échapper qu’elle nous habite nous aussi. C’est d’autant plus vrai lorsque l’on découvre que parmi les réfugiés se cache un meurtrier. L’auteure en rajoute une couche. Et encore une autre et encore une autre. À chaque fois que je me suis dit, ça ne peut pas être pire, je me trompais affreusement. Ce tome porte bien son nom, nous assistons véritablement à la guerre entre les surnats et les humains, à l’échelle du club évidemment.

Une fois encore je me suis laissé emporté par la plume merveilleuse de l’auteure. Elle est toujours aussi fluide et intense, elle décrit très bien les scènes de combats qui sont nombreuses dans ce tome. Elle m’a fait passer par toutes les émotions possibles et imaginables.

Ce tome vient admirablement clore cette série, même si je trouve dommage que certaines questions restent sans réponse, non pas sur l’histoire, mais sur la situation dans la ville à la fin de ces affrontements. Peut-être aurons-nous les réponses en suivant Vegas Paranormal de Charlotte Munich puisque les deux auteures se partagent l’univers. Ou peut-être l’auteure nous préparera un spin off ou une nouvelle je ne sais pas, mais je l’espère sincèrement. Ce fut un crève-cœur de tourner cette dernière page, je n’avais pas envie de les quitter.

Dans ce tome on va voir beaucoup plus, Vera Applebaum la dragonne ainsi que Gertrude, la trolle. Elles vont toutes les deux se retrouver sur le devant de la scène et au cœur des combats avec Barbie la Harpie et Eupraxie la Gorgone. S’il y avait bien un personnage que je voulais voir dans ce dernier tome, c’était Eupraxie ! Je le souhaitais, C.C l’a fait ! J’ai adoré ses répliques, son entrain, sa sollicitude et ses combats !

Il y avait aussi à la fin du tome 5, des éléments qui nous permettait d’espérer une romance entre Erica et le Beau Nate… il vous faudra le lire pour découvrir ! (oui je sais je ne suis pas gentille !)

Club 66 fut un gros coup de cœur pour moi, chacun des tomes. Je trouve que cette série apporte un truc que je ne retrouve plus depuis quelque temps dans les séries d’urban fantasy du moment, tout en étant originale grâce à la diversité des espèces présentes et dans la façon dont sont traités celles qui sont plus connues. La plume de C. C., très immersive, est douce, mais intense quand il le faut, parfaite pour le ton qu’elle a souhaité donner à sa série. On y retrouve tous les ingrédients que j’adore : humour, suspense, combats, actions, rebondissements, révélations, de nouvelles espèces, des pouvoirs hors du commun. L’héroïne est elle aussi comme je les aime : indépendante mais elle réfléchit et ne se jette pas dans la gueule du loup, elle sait s’entourer et elle n’est pas toute puissante et sans peur. En vérité, on peut aisément s’y identifier, car elle reste très accessible et a des réactions tout à fait cohérentes et « normales ». Une série qui vient entrer dans mon top Ten ! Merci C.C pour ce beau voyage à Vegas !


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Tout d’abord je souhaite remercier l’auteure pour m’avoir permis de découvrir son roman !





Bayou nous entraîne en plein cœur de la Louisiane pour suivre Prudence, une jeune étudiante à la fac. Elle va se retrouver confrontée à une série de morts mystérieuses liées à des forces surnaturelles.

Le résumé du roman ne nous en apprend pas beaucoup plus et moi non plus, car dans ce cas-ci, c’est un plaisir de découvrir les choses par soi-même.

Si je remercie l’auteure, je tiens aussi à m’excuser pour le temps d’attende… Il m’a fallu un long moment avant de me plonger dans la lecture de Bayou (j’avoue que je me suis laissé engloutir sous mes lectures), mais il ne m’a fallu que quelques jours pour dévorer cette histoire !



Magie, possession, démons et esprits, … sont au cœur de ce roman et de l’univers mis en place par C.C Mahon. L’auteure nous offre une histoire où l’on découvre la Louisiane, le bayou et les cajuns. C’est toute une ambiance particulière qui a été créée et dans laquelle on plonge facilement et ce après quelques pages. De plus, c’est un lieu propice pour le développement de cette histoire et des croyances qu’on rencontre au fil de notre lecture.

Prudence qui a une petite vie tranquille, entre la fac et son travail de guide touristique dans le bayou, va voir sa vie basculer. Et à partir de ce moment-là, les choses vont s’enchainer et notre héroïne va devoir faire face à des choses qui la dépassent. On ne s’ennuie donc pas une seule seconde à la lecture de ce roman.

J’ai beaucoup aimé le personnage de Prudence parce que ce qui lui arrive ne la transforme pas en machine super badasse qui vainc facilement tous ceux qui lui barrent le passage. Non, elle continue de perdre, de se prendre des coups, il lui arrive de perdre sa détermination, … Quoi de plus normal, quand on se retrouve propulsé dans un monde que l’on ne connait pas. Mais elle finit par se relever à chaque fois.

Dans les autres personnages, on croise Céleste, une étudiante qui partage la chambre de notre héroïne. J’ai beaucoup aimé sa personnalité détonante. Et l’inspecteur Moore que j’ai beaucoup apprécié découvrir dans ce roman.

Il y a d’autres personnages très intéressants à suivre, notamment Cynthia, Amano, David, Juju, Corain, …

C.C Mahon a une écriture fluide et agréable et on ne voit pas les pages défiler.



En terminant le roman, je me suis dit que ce serait top d’avoir une série sur la suite des événements vu la fin que nous propose l'auteure. Et ben, ça existe !! Donc je me replongerais dans cet univers avec plaisir pour continuer de suivre Prudence, Moore (et les autres ?)
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On va plonger dans un univers absolument fantastique dans tous les sens du terme ! Erica, humaine parmi les Surnats, tient un bar appelé le club 66 et qui est d’ailleurs réservé aux créatures en tout genre, comme une oasis de calme au milieu des lumières et de la folie de Las Vegas. Elle a fui son passé en même temps que son ex, aussi macho que dangereux, et a posé ses valises dans la ville de tous les péchés.





Tout se déroulait bien pour elle jusqu’au jour où sa barmaid disparait et réapparait, morte dans un bateau en flamme, dans la fontaine d’un casino du Strip… À partir de là tout part à volo dans la vie d’Erica et dans celle de ses fidèles employés. Car quelqu’un se sert d’eux pour faire pression sur Erica. Son passé la rattrape plus vite que son ombre, mettant en danger la vie de ceux qu’elle aime. Erica va devoir se battre et pas qu’un peu. Mais qu’est ce qu’une humaine adepte du Krav maga peut bien faire contre un ennemi pareil ?





J’ai adoré plonger au cœur des intrigues et des embrouilles au côté des membres du club 66. Découvrir chacun des personnages que C.C nous avait présentés pendant la journée et les voir évoluer au cœur de cet univers admirablement bien construit et extrêmement riche dans lequel se côtoient de nombreuses espèces que nous n’avons pas l’habitude de voir ou abordées sous un jour nouveau. Harpies, vampire émotionnel, métamorphes, Trolls, walkyrie furieuse et autres sorciers. Une immersion totale et dépaysement garanti !





Ce que j’ai aimé c’est qu’au milieu de ces beaux gosses autant bourrés de testostérone que de pouvoirs Erica, humaine de prime abord, se découvre une affinité avec un certain artefact… Même si elle semble plus fragile que les autres elle ne se laisse pas couver par les Surnats et mène son combat elle-même. Elle n’est pourtant pas du style héroïne à se jeter bêtement dans la gueule du loup, mais elle compose avec ses atouts de manière intelligente.





L’intrigue qui se dévoile nous emmène au cœur des mythes et légendes pour mon plus grand bonheur. J’ai adoré ce clin d’œil à la mythologie Nordique que j’apprécie particulièrement. Décidément, après avoir tapé dans le mille avec la Louisiane et le Bayou dans Bayou détective, C. C. me harponne de nouveau dans ce bel univers ou je me sens chez moi.



Un réel plaisir d’y voyager tellement la plume de l’auteure est immersive et on se plait à vivre l’aventure aux côtés des personnages plutôt que de la lire simplement. Les personnages sont tous très bien travaillés et aucun ne sonne ni creux ni inutile. Chacun apporte sa pierre à l’édifice rendant le tout très cohérent.





En Bref :

J’ai adoré ce premier pas dans l’univers que se partagent Charlotte Munich et C.C Mahon. Un univers dans lequel je me sens comme chez moi. J’ai rapidement adopté la petite bande qui gravite autour d’Erica. La plume de l’auteure, la richesse des espèces ainsi que la manière dont elles sont abordées ont ravi mon cœur de lectrice. De l’action, des combats, des pouvoirs, une intrigue palpitante, des personnages hauts en couleur et une pointe d’humour… Un savoureux cocktail à déguster sans modération ! J’ai hâte de poursuivre l’aventure aux côtés d’Erica et de la bande du club 66 !
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Je suis vraiment tombé sous le charme de cet univers original dans lequel on croise de nombreuses espèces très peu vues tel Henry l’homme- araignée ! Non non pas Spiderman hein ! J’ai adoré retrouver Erica et son équipe qui peu à peu se transforme en famille et qui doit faire face à une nouvelle menace… ou ancienne …



On va donc retrouver Erica, toujours au club, qui a acquis une certaine notoriété après les évènements surgi dans le tome 1. Cette notoriété va pousser certains Surnats à lui demander son aide dans une affaire de multiples disparitions. Elle refuse de prime abord mais lorsqu’un des disparus est retrouvé mort, elle décide de se charger de l’enquête puisqu’après vérification il n’existe pas de police surnaturelle ni de shérif en ville. Elle embarque donc son équipe au complet dans une nouvelle aventure.



J’ai adoré rempiler avec l’équipe pour une nouvelle enquête et voir arriver la menace. Pour ne pas vous spoiler je ne vous en dirait pas plus sur ce nouvel ennemi que vont affronter nos amis mais alors celle-ci je ne l’avais pas vu venir ! C.C a réussi à me surprendre et à m’embarquer une fois de plus dans un enchainement d’actions et de rebondissements.



J’ai aimé le fait qu’on en apprenne plus sur les conséquences, pour elle, de ce combat contre la Valkyrie du premier tome et sur ce lien étrange qu’elle entretient avec l’épée. J’ai trouvé l’idée admirablement bien exploitée. Un excellent second tome donc qui nous entraine plus au cœur de cet univers dont je suis tombée sous le charme.



Je me suis quasiment jetée sur la suite, car si Club 66 a bien un défaut c’est qu’on en veut toujours plus. Bien que l’histoire et l’enquête soient arrivées à leurs termes respectifs, on n’a vraiment pas envie de quitter les personnages. Puis il faut dire aussi que l’auteure sait comment vous appâter pour que vous lisiez la suite !
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