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Citations de Carlos Gimenez (59)


Aujourd’hui en me regardant dans le miroir de la salle de bains, je me suis trouvé face à un vieil homme aux cheveux blancs dont je ne sais qui il est.
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- Non, Monsieur TRUFFAUT... PEPE n'est pas là...
- Comment ça, pas là ? Vous permettez que j'aille le chercher par l'oreille, Madame ENCARNA ?
- Je vous dis qu'il n'est pas là...!
- PEPE... Sors de sous le lit ! Je compte jusqu'à trois !
- Un, deux et ...
- Je peux pas sortir je suis pas là !
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Une scène récurrente est entrée dans les annales.
- Où sont les pages de PEPE ?
- Il ne les a pas livrées...
- Téléphone-lui.
- C'est déjà fait, il y travaille...
- S'il n'a pas fini, va le chercher chez lui, colle-lui au train jusqu'à ce que ça soit fait.
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Si après ma mort on m'incinère, je vais flamber pendant quinze jours, vu tout l'alcool qui coule dans mes veines... !
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Il lui a aussi remis le prix. Une montre magnifique... Et il ne veut pas la porter...!
- Elle est trop grande.
- Montre-lui...
- La vache ! Une sacrée montre...! Tu la mets pas ?
- Comment veux-tu que je fasse ? Elle pèse une tonne...!
- Faut bien que tu la portes !
- Pourquoi ?
- Parce que c'est une super montre et qu'elle représente la reconnaissance de ton travail.
- Parce que c'est une montre américaine...! Qui donne l'heure de TOKYO, de BUENOS AIRES, de MONTREAL...
- Elle pèse plus d'un kilo... !
- Je m'en fous d'avoir l'heure de MONTREAL !
- Elle a aussi une boussole !
- Moi, j'aime les petites montres...!
- C'est une montre très chère !
- Je n'en veux pas !
- Si ! Tu vas la mettre... !
- Ben non... !
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"(...) Mon Dieu, sauvez-moi ! Faites-en mourir un autre ! Faites mourir un pauvre ou un nègre ! Faites mourir un joueur du Real Madrid ! (...)"
Carlos GIMENEZ, Aux risques de l'amour 2, 1994, Audie / Fluide Glacial (p. 29).
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"(...) Hors du mariage, forniquer est un péché. Et dans le mariage, forniquer est un ennui. (...)"
Carlos GIMENEZ, Aux risques de l'amour 2, 1994, Audie / Fluide Glacial (p. 26).
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A propos du préservatif:
"(...) Quelle merde d'invention ! Ils font ça pour des bites de mômes...! Les fabricants doivent l'avoir comme le petit poucet ! (...)"
Carlos GIMENEZ, Aux risques de l'amour 2, 1994, Audie / Fluide Glacial (p. 24).
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"(...) - Eh bien moi, j'aime bien ma fiancée. Elle n'est pas très belle, mais elle n'est qu'à moi ! (...)"
Carlos GIMENEZ, Aux risques de l'amour, 1993, Audie / Fluide Glacial (p. 41).
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"(...) - Réponds, réponds ! Si c'est Grégorio, je ne suis pas là... je tire un coup avec Robert de Niro ! (...)"
Carlos GIMENEZ, Aux risques de l'amour, 1993, Audie / Fluide Glacial (p. 36).
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"(...) - Tu as peur que je te refile le sida ? J'ai une tête à l'avoir ? (...)"
Carlos GIMENEZ, Aux risques de l'amour, 1993, Fluide Glacial (p. 32).
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"(...)
- Je ne veux pas que tu penses !
- Pourquoi ?
- Parce que c'est moi qui dois penser et toi seulement... obéir ! (...)"
Carlos GIMENEZ, Hom, 1975, d'après "Le monde vert" de Brian ALDISS (1961), Campus (p. 22).
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"(...) Ce qui est curieux chez les esclaves, c'est que plutôt que d'être libres, ils ne désirent que devenir chefs. (...)"
Carlos GIMENEZ, Hom, 1975, d'après "Le monde vert" de Brian ALDISS (1961), Campus (p. 18).
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"(...) Merde ! Et qu'est-ce qu'il y a de mal à être caissière ? Tu vas voir que maintenant, si on n'est pas poète ou artiste, on n'a plus droit de vivre ! (...)"
Carlos GIMENEZ, Amour toujours, 1993, Audie / Fluide Glacial (p. 8).
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"(...) Si les refoulés volaient on n'aurait plus besoin d'avions. Nous serions tous en train de voltiger sur les toits. (...)"
Carlos GIMENEZ, Amor, Amor, 1993, Audie / Fluide Glacial (p. 10).
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"(...) Mon opinion c'est qu'au lycée, en plus d'apprendre aux enfants à lire et à écrire, on devrait aussi leur apprendre à baiser. (...)"
Carlos GIMENEZ, Amor, Amor, 1993, Audie / Fluide Glacial (p. 7).
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En train de se baigner en été - Je me trouvais sur un banc de sable au milieu du fleuve. La marée avait changé et je ne savais pas que ces choses-là arrivaient d’un seul coup, personne ne m’avait averti de rien. Et je n’ai pas fait attention jusqu’à ce que je me rende compte que tout le monde était sorti de l’eau et qu’il ne restait plus que moi sur le banc de sable. Il s’était formé un cours d’eau assez puissant entre la plage proprement dite et le banc de sable où je me trouvais. Plus bas, ce cours d’eau s’élargissait et se jetait dans la rivière pour achever son trajet jusqu’à la mer. Je devais le traverser et il n’était pas très large, à peine 5 ou 6 mètres. Je n’ai jamais été un grand nageur, mais j’ai pensé que, même si le courant m’entraînait un peu, j’arriverais à couvrir le court espace qui me séparait de la plage. Je me trompais complètement. J’ai commencé à nager vers la berge, et j’ai vite compris que je n’avançais pas, le courant m’entraînait. Pendant que je nageais désespérément je voyais passer devant mes yeux, à toute vitesse, les gens qui étaient sur la plage sans que personne ne me voie, ni se soucie de moi. L’estuaire s’élargissait démesurément devant moi et je voyais que je m’éloignais de la berge et m’enfonçais dans le puissant courant central qui m’emporterait irrémédiablement jusqu’à la mer, la haute mer. Je n’avais plus de force… Et soudain, je ne sais pas d’où elles sortirent, mais apparurent devant moi un groupe de barques attachées les unes aux autres, des barques de pêcheurs. Dans un ultime effort, je me suis agrippé à la plus proche.
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Dans cette société où nous vivons, il n’y a pas de place pour les intellectuels. Ils se sont éteints et n’existent pratiquement plus. Si l’on appelle intellectuels les sages penseurs ou philosophes qui, en liberté et à haute voix, disaient ce qu’ils pensaient, dénonçaient les mensonges et nous aidaient, nous autres, à comprendre le monde et à faire nos choix. À l’inverse, ont proliféré et en abondance, les beaux parleurs, les professionnels de l’intox. Tous des vendus et chacun pour sa pomme, à faire chorus avec les intérêts de leurs maîtres. Ils me dégoûtent.
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Après avoir claqué la porte du journal Le Petit Parisien, Marie se présenta aux autres grands quotidiens français, avec son enquête de fond mettant en lumière les véritables aspirations des puissances unies par les différents traités de la Triple Alliance. Que ce soit Marianne, Mère Russie ou Britannia, chacune était dévorée d'un appétit d'expansion colonialiste insatiable. Face à la Triple Alliance grondèrent d'autres faims à dimensions gargantuesques, celles de l'Allemagne, de l’Italie et de l'Autriche-Hongrie. Marie était persuadée de tenir l'article qui démontait les mécanismes mis en place par ces puissances bellicistes. Ces états voulaient la guerre pour redessiner la carte géopolitique de l'Europe, de l'Afrique et du Moyen-Orient. Et peu importaient les millions de morts que ce conflit allait provoquer.
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