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Critiques de Carlos Trillo (104)
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Cybersix, tome 1

Chouette BD, oscillant entre manga (les visages, les caractères outrés des personnages) et comic (la mise en case, les perspectives souvent bousculées). Une sorte d'ovni argentin, pour moi en tous cas qui n'avais jamais croisé ces auteurs.



Les 20 premières pages sont un peu confuses, on en prend plein la poire, mais l'histoire se révèle prenante au fur et à mesure qu'elle se construit. Pas dit que je m'envoie tous les tomes, ça date des années 90 et je ne sais pas si c'est encore facile à dégoter, mais j'ai bien envie de continuer.
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Zachary Holmes, tome 2 : L'affaire du sorcier

Bande dessinée qui mélange deux univers et qui joue de manière assez amusante avec les références croisées, les décalages.

Ici en premier, c'est bien sûr celui de Sherlock Holmes qui s'incarne dans un enfant-adolescent, Zachary correspondant au public visé par le bouquin. Son fidèle Watson prend la forme d'un petit animal de compagnie du genre rongeur mais émettant des "cui" comme seule expression.

En deuxième : Merlin et l'univers merveilleux de la table ronde, Excalibur en pièce maîtresse.

Le scénario est donc construit autour de ces deux univers, l'incontournable Moriarty faisant le liant.

C'est quand même assez "bavard".

Graphiquement, c'est spécial, très coloré, très dessin numérique.

Cela agresse un peu les yeux...
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Spaghetti brothers, tome 1

Lors du voyage menant une famille d'emmigrés italiens aux USA, la mère meurt en couche. Le fils ainé voue une haine mortelle a son cadet pour ce fait.



Ce premier tome met en place les personnages. l'ainé de cette famille est un gangster connu et "respecté" , leur frère est pretre et le cadet est devenu flic.

Chacun protège sa famille a sa façon.

Cette bd qui a une certaine noirceur est toute emprunte d'humour. J'ai assez apprécié ce tome 1 mais bien évidemment ce sera les tomes suivants qui seront décisifs.



Les cases de cette Bd sont toutes bien délimitées et très carrées. au niveu des graphismes, ce ne sont pas mes préférés (je préfère des traits plus fins et plus doux) mais néanmoins il faut avouer qu'ils correspondent parfaitement à l'histoire et aux personnages de cette époque. Le gangster fait un peu penser a Brando dans le parrain.



Maintenant , il ne reste plus qu'à savoir ou les aventures de cette famille vont me mener
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L'héritage du colonel

Nous sommes en Argentine dans les années 80, dans une république presque démocratique. Elvio Guastavino travaille dans un ministère. Il est le fils unique du grand colonel Aaron Guastavino, mort dans d'étranges circonstances. Il est célibataire et vit avec sa maman, handicapée, dont il a du mal à s'occuper. Il faut dire qu'il a d'autres soucis en tête. En effet, il voue un certain culte pour une poupée autrichienne du XIXe siècle, Luisita. Amoureux fou d'elle, il n'a pas les moyens de se l'acheter, le prix que propose le magasin est au-dessus de ses moyens. Il n'hésite pas à droguer sa mère au Valium pour aller rejoindre Luisita en pleine nuit. Mais Elvio est également torturé par ses rêves dans lesquels il revoit son père torturer de jeunes femmes. D'ailleurs, l'une d'entre elles retrouve la demeure d'Aaron et vient harceler la maman d'Elvio. Celle-ci meurt d'une crise cardiaque et c'est avec un certain soulagement que ce dernier voit arriver le bel héritage qui lui permettra d'acheter enfin Luisita. Malheureusement, celle-ci vient d'être vendue. Il n'a plus qu'à aller la retrouver... à n'importe quel prix.



Voilà pour la petite histoire car derrière cet album à l'apparence anodine se cache la grande Histoire, celle de la dictature argentine dans les années 70, avec son lot de tortures, de violence et de viols. Carlos Trillo nous livre un album dérangeant et complexe, voire malsain. Car sous ces airs bon-enfant, c'est tout un gouvernement et l'église catholique argentine qu'il dénonce dans sa préface.

Elvio Guastavino n'est qu'un pâle reflet de la société actuelle traumatisée par la dictature.

Avec des dessins inoffensifs, aux couleurs vivantes et claires et aux traits presque caricaturaux, cet album nous entraine dans la folie d'Elvio et la tourmente. L'ambiance devient pesante et oppressante au fil des pages, le personnage principal et les situations en deviennent ridicules voire grotesques.

Les deux Argentins nous livrent donc un récit indispensable et atypique pour comprendre cette sombre période de l'histoire.



L'héritage du colonel... lourd à porter...
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Spaghetti Brothers, tome 2

Ah cette saga familiale elle a du pep's. C'est un peu caricatural mais franchement ça paye,.

Le pretre est franchement excellent et surtout quand il s'énerve avec son sang italien ça me fait bien rire.



Dans ce deuxième tome, nous faisons la connaissance de la dernière soeur. Une femme remarquable dans une vie bien rangée, épouse et mère modèle. Mais tout cela n'est qu'apparence....
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Spaghetti Brothers, tome 3

La famille c'est sacré et nos italiens sont là pour le montrer. Ils font cause commune lorsque l'un d'eux est dans le tourment.. mais les choses ne se passent pas toujours comme prévu.



J'aime de plus en plus cette BD et son humour. Il y a aussi un petit coté noir qui sert bien à montrer le caractère de certains personnages.

Je commence aussi a me faire aux graphismes et je n'en verrais pas d'autres pour mettre en avant cette famille.
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Je suis un vampire, tome 1 : La résurrection

J'avais acheté cette BD à peu près au moment de sa sortie et j'avais adoré.

Aujourd'hui, 15 ans plus tard (mais comme le temps file!) je suis moins transportée.

Certes, il y a beaucoup de bonnes idées et surtout un dessin magnifique. Le traitement en noir et blanc par aplat et sans nuances est vraiment une réussite.

Les personnages, bien que fort caricaturaux, sont réussis et on suit les aventures à New-York d'un vampire né prince d'Egypte antique qui revient, de temps en temps, sur une anecdote de son passé et de sa rivalité avec l'ancienne favorite de son père, elle aussi vampire et, elle aussi, à New-York à l'époque actuelle.

L'idée de vampires qui sont régénérés par le soleil est plutôt originale et sympathique, la résurrection du héros, par exemple, est très réussie.

Bon, pour le reste, c'est très très cul, c'est quand même culcul.

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La grande arnaque

Je serais surement passé à côté de cette BD, si elle n'avait pas été publiée par l'Écho des Savanes. J'ai toujours apprécié ce magazine et ses bandes dessinées subversives. La qualité de l'art graphique de ce récit policier argentin, noir et sexy, est indiscutable. Belle surprise.
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La grande arnaque

Un roman noir des années 40 qui se déroule dans une sanguinaire dictature d’Amérique latine. Tous les ingrédients sont là pour faire de cette BD un chef d’œuvre.

La Colonie est un pays imaginaire d’Amérique latine. Il est sous le joug d’un dictateur de la pire espèce maintenant son pays dans la peur en utilisant la torture et le meurtre des opposants. Bon, ça, c’est classique et ça ressemble à ce qui se passait en Argentine ou au Chili par exemple. Ci dictateur totalement dénué du moindre scrupule a l’idée de faire de sa nièce, Malinche, une icône populaire, une vierge mystique qui prône l’abstinence afin que la population fasse moins d’enfants. Et qui dit moins d’enfant, dit moins d’opposants. Là, ça commence à être plus déjanté. Le summum, c’est qu’il a des relations incestueuses et malsaines avec cette nièce et que celle-ci le trompe avec quelqu’un d’autre ! Mais des photos compromettantes sont en circulation. Malinche demande donc de l’aide à un détective privé, Donaldo Reyoso, ex flic incorruptible et alcoolique qui accepte de l’aider alors que l’Iguane, le tueur en chef du régime est lui aussi sur l’affaire.

Ce polar, avec une grosse couche de politique brille tant par le scénario de Trillo que par les dessins de Mandrafina. A travers une intrigue policière classique des polars noirs des années 40/50, Trillo nous permet de découvrir ce système politique dont la peur est le seul moteur. On y découvre les coulisses et la corruption endémique, les mécanismes de fonctionnement et les absurdités de ce type de régime et c’est souvent drôle. Cet humour est encore accentué quand les personnages parlent directement au lecteur, comme dans certaines sitcoms des années 90.

Toutefois, c’est le personnage de l’Iguane qui marque les esprits, car avec lui la peur est réelle, une peur qui gagne tous les personnages mais aussi le lecteur, une peur qui vient des profondeurs de notre subconscient et qui est une des grandes forces de l’œuvre.

Cette tension palpable est renforcée par les dessins tout en clair-obscur de Mandrafina. La galerie des personnages sont incroyables et les visages, les émotions sont rendues avec une maestria bluffante. C’est à la limite de la parodie, mais cela permet aussi de donner un peu de légèreté à la noirceur du récit.

Cette BD sud américaine n’est pas reconnu à sa juste valeur en France et si vous aimez les romans noirs et les ambiances latino américaine des années 50, à vous plonger dans cette intégrale.
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Bang Bang, tome 1 : La fiancée d'Al Capone

Cicca Bang-Bang, célèbre coco girl de Chicago est tombée amoureuse d'un photographe. Cette jolie femme irrésistible ne se contente pas de l'amour, elle a un train de vie à assumer. Pour qu'elle puisse le conserver, son amant spolie Al Capone en personne. le célèbre gangster n'a qu'une idée, retrouver les deux amants et se venger d'eux. Cicca et son amoureux fuient à New-York où ils se font passer pour la mère et sa fille vertueuse, espérant ainsi échapper au parrain et à ses sbires…



Cicca n'hésite jamais d'abuser de ses charmes pour se sortir de tous les dangers. Les conséquences pour son entourage sont parfois catastrophiques. le scénario est trépident, même s'il parait souvent invraisemblable. Les dessins sont vintage, inspirés de l'école américaine alors que les auteurs sont européens. C'est rythmé, enlevé, croustillant. Cicca est insatiable et l'érotisme est le fil rouge de cette histoire qui mêle personnages ayant existé à la fiction. Les auteurs se permettent même de revisiter le massacre de la Saint-Valentin. Ah bon ? Vous ignorez qu'Al Capone l'a provoqué à cause de Cicca Bang-Bang ? Bref, c'est plein d'humour, c'est léger et cette bande dessinée reste agréable à lire. Attention, la série compte 6 tomes, plutôt à lire en interlude qu'en plat principal !

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L'héritage du colonel

Je vous dis souvent que j'aime sortir de temps en temps de ma zone de confort pour découvrir des ouvrages vers lesquels je n'irai pas naturellement.... 



Et bien cette fois-ci j'ai pris cette  BD à la bibliothèque, en voyant la couverture je me doutais qu'il y avait malaise, la bibliothécaire me prévient : oh là c'est du dur....., bon mais je prends quand même car il y avait quelque chose dans l'illustration sur la couverture qui m'interpellait.



On suit ce petit bonhomme sinistre, dans son travail inintéressant, qui n'a qu'une idée en tête : retrouver Luisita, une poupée aux grands yeux qui trônent dans la vitrine d'un antiquaire. Il passe tout son temps à l'admirer, à économiser aux dépends même de sa vieille mère afin de pouvoir l'acquérir. 



Nous sommes en Argentine dans les années qui ont suivi la dictature militaire dans ce pays. Le père du héros était un sinistre colonel, tortionnaire, qui n'hésitait pas à ramener ses victimes chez lui pour continuer les "interrogatoires" à sa façon. Inutile de vous dire que ce que le fils a vu et vécu l'a fortement perturbé et qu'il en garde des séquelles à vie.



Je ne vous révélerai rien de l'histoire, de qui est cette poupée mais je vous confirme on met les yeux dans un album qui ne laisse pas indifférent. On a tous entendu parler des atrocités qui ont été perpétré dans ce pays, des disparitions, des assassinats, de la terreur qui y régnait mais y replonger ainsi n'est pas facile. 



Je ne vous cache pas que j'ai eu un peu de mal sur certaines pages, pas par le traitement (illustrations et textes sont parfaits) mais finalement c'est le sujet qui m'a plus perturbée. Difficile pour moi d'apprécier totalement car on plonge dans l'horreur d'une dictature avec ce que tout cela comporte : tortures physiques et morales, violence, avilissement de l'être humain.



Certains personnages ont des visages de mort-vivant, monstrueux, glauques, représentatifs de leurs rôles, la poupée devient très présente et gênante comme le rappel au passé d'Elvio. Même les couleurs rendent parfaitement le climat lourd, pesant sombre.



Une lecture que je ne vais pas oublier, qui ne laisse pas indifférent, impossible, mais  utile pour ne pas oublier les années noires de ce pays, qui ont traumatisé pour longtemps la population comme elles ont rendu fou Elvio.
Lien : https://mumudanslebocage.wor..
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Zachary Holmes, tome 1 : L'affaire du monstre

Je dois l'avouer, la couverture me faisait sombrement douter du contenu, intrigue et dessin confondus...

Mais qu'elle agréable surprise ! Une sympathique BD jeunesse, mettant en scène un Holmes en herbe, avec pour Watson un octodon (ou une autre de ces créatures exotiques à fort potentiel affectif. Oui, j'aime les petites bêtes) Nous rencontrons donc Holmes, mais surtout la Créature. Celle de Frankenstein, accusée des pires méfaits. C'est un géant à la force surhumaine, certes. Mais... rien n'est aussi simple qu'il n'y parait.

Une sympathique lecture, et des dessins, qui sans être d'une originalité folle se rapprochent des Quatre de Baker Street : réaliste, mais avec ces petites rondeurs et couleurs pastels qui les adoucissent.

Un grand merci au SWAP de Lavoleusedelivres (et à elle, qui fut ma binôme)
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Je suis un vampire, tome 2 : La malédiction

Suite de cette histoire qui m'avais pourtant beaucoup plu quand je l'avais achetée - à sa sortie...tout ça ne me rajeunit pas du tout- et qui est très décevante à la relecture.

C'est assez poussif, très racoleur et inutilement long. Les anecdotes historiques évoquées par le héros étaient plutôt sympathique au début mais leur appréciation historique, parfois discutable, finit par lasser quelque peu. Tout comme les scènes de sexe qui finissent par prendre le dessus sur tout le reste alors que cela n'a pas d'intérêt pour l'histoire.

Le dessin est très sympa toutefois avec un contraste très net et un trait efficace.

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Qui a peur des contes de fées

Cinq histoires fantasmées, et, vu le style du graphisme, peut-être cauchemardées, par Breccia et Trillo. Une, au moins, Blanche-Neige, fut publiée en janvier 1982 dans le bimestriel Fantastik consacré aux contes de fée avec les couleurs d'origines qui sont beaucoup plus contrastées que dans ce recueil, les blancs et des noirs bien plus nets aussi. Quand on connait, on ne peut être que déçu par l'apparence terne qui diminue l'intensité et la puissance du travail de l'artiste. Heureusement en faisant une googueulisation de "Breccia+cendrillon", on peut retrouver quelques unes des planches (14) dans leur apparence originale (voir le lien sous ce billet).
Lien : http://www.alberto-breccia.n..
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La guerre des magiciens, tome 1 : Berlin

Berlin 1936. Bob et Charly, anciens policiers et anciens amis, se retrouvent à Berlin. Lily, une ancienne maîtresse "commune", a disparu et sa fille leur demande de l'aider à la retrouver. Mais elle est en danger dans cette Allemagne dirigée par les Nazis. Et, en toile de fond, se déroule une guerre entre magiciens. Magie noire, magie blanche..., qui sera vainqueur ?



Sur le sujet original de la magie, les auteurs font un très bon portrait du Berlin des années sombres. le sujet est original, le dessin et les couleurs intéressantes. Un bémol toutefois pour le scénario que je trouve un peu embrouillé... Je lirai toutefois le volume 2 à l'occasion.
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La française, tome 1 : Mireille

Un tome 2 de La Française est prévu pour 2013 malgré le décès du scénariste Carlos Trillo en 2011. C’est sur le paquebot George Philippar, revenant d’un d'un reportage à Shanghai en Chine, que débute le récit. Le lecteur historien devine que la fin de cette série se terminera avec la mort d’Albert Londres (son bateau faisant naufrage suite à un incendie du à un court-circuit). Cette sorte de suite du Chemin de Buenos Aires : La Traite des Blanches censé écrire ce dernier durant ce tome ne paraîtra pas. De courts passages du Chemin de Buenos Aires paru en 1927 sont mis fidèlement en scène dans cet album (aux pages 7-8) et adaptés pour décrire comment le maquereau français (pages 17-18 ) fait la connaissance de sa protégée et la ramène en Argentine. Il s’agit ici de raconter comment la courtisane la plus réputée une Franchuchas venue du Havre, est accusée à tort de l’assassinat d’un magistrat. Toutefois à côté de l’action principale, il est une intrigue secondaire autour d’une fille juive polonaise. L’arrivée en 1927 d’Albert Londres précéda de quatre ans le démantèlement du réseau de proxénétisme qui était dirigé par des membres de la communauté juive en recrutant auprès des familles israélites de l’Europe de l’Est. Enfin une troisième piste nous amène vers le tenant d’un café qui désire retrouver la courtisane parisienne (de qui Toulouse-Lautrec avait fait le portrait) qu’il avait abandonné avec en attente un enfant de lui. Ces trois intrigues sont imbriquées les unes dans les autres. Le graphisme sobre est centré sur le désir de faire passer les sentiments du personnage, aussi le décor est-il assez sommaire. Les couleurs passent brusquement d’un chaud qui fait un clin d’œil à Toulouse-Lautrec à un froid lié la plupart du temps aux scènes sordides ou les annonçant. Au sujet du démantèlement du réseau ashkénaze avec l'appui de la communauté juive de la capitale, on peut lire La traite des blanches dans Le Figaro du 24 juillet à la page 2.
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Spaghetti Brothers, tome 7

Spaghetti Brothers est une bande dessinée de Carlos Trillo (scénario) et Domingo Mandrafina (dessin). Aux États-Unis dans les années 1930, la famille Centobucchi, d'origine italienne, ne passe pas inaperçue. Cinq frères et soeurs que tout oppose : un mafieux, un policier, un curé, une star de cinéma et mère de famille tueuse à gage ! C'est drôle, violent et réussi !
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Spaghetti Brothers, tome 5

Spaghetti Brothers est une bande dessinée de Carlos Trillo (scénario) et Domingo Mandrafina (dessin). Aux États-Unis dans les années 1930, la famille Centobucchi, d'origine italienne, ne passe pas inaperçue. Cinq frères et soeurs que tout oppose : un mafieux, un policier, un curé, une star de cinéma et mère de famille tueuse à gage ! C'est drôle, violent et réussi !
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Zachary Holmes, tome 1 : L'affaire du monstre

Cette série met en scène les aventures d'un jeune garçon qui devient détective par passion pour une jeune fille admiratrice de Sherlock Holmes. Mais nous n'apprendrons ce postulat que dans le second et dernier tome. Nous passons en revue tous les personnages de la littérature : une large part pour Frankenstein dans le premier tome, Dracula, Merlin, Moriarty...



Je n'ai pas vraiment aimé ce mélange de genre. L'histoire est d'une très grande naïveté destinée surtout à un public en bas âge. Rien de fracassant ou d'original et trop enfantin pour convaincre...
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Fulù, tome 1 : Le mauvais sort

Quand j'ai commencé ma lecture, j'ai d'abord crié à l'horreur en voyant les dessins des différentes planches qui se succèdent. Je me suis demandé si l'auteur n'avait pas fait exprès de commettre autant de faute de perspective. Je n'ai toujours pas la réponse... Nous avons par exemple des visages totalement déformés et surtout à certains endroits plats de profil comme s'il s'agissait de papier dépliable (voir case n°2 page 7 du premier tome, c'est flagrant !).



Petit à petit, on est pris par l'histoire de cette esclave noire aux cheveux blond platine genre suédoise. J'ai jamais vu cela. On va me rétorquer que cela existe. Ouais, je demande à voir !!!



J'ai été particulièrement touché par le calvaire enduré par cette esclave à la fois belle et sensuelle. On lui souhaite continuellement de s'échapper et de connaître enfin la liberté. Il est vrai qu'elle va porter malheur à beaucoup de ses maîtres successifs.



L'exotisme voulu et recherché par les auteurs n'arrive toutefois pas à atteindre les sommets connus dans une autre bd que j'apprécie à savoir Djinn où il est également question d'esclave et d'Afrique.
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