Citations de Cecily von Ziegesar (109)
"Jenny Humphrey progressait avec confiance entre les énormes flaques qui s'étaient multipliées sur la longue allée pavée menant hors du campus de Waverly Academy, l'eau clapotait contre ses robustes bottes en caoutchouc J. Crew vert kaki d'il y a trois saisons."
"En quittant le pavillon Jameson après le court de portrait, Jenny Humphrey inspira une bouffée d'air frais."
"Une pluie grise et froide éclaboussait les immenses baies vitrées de l'atelier."
"Étonnés d'avoir de mes nouvelles ?"
Il aurait pu avoir du charme pour peu qu’il se lave et soigne sa paranoïa.
C'est l'été depuis cinq petites minutes et, déjà, il fait 38°C sur les trottoirs de la ville...
Oh vraiment? songea Jenny, tout excitée. Elle toucha le petit alligator chic sur son polo, ravie de s'être si bien habillée pour rencontrer ses nouvelles colocs super cool. Puis elle remarqua un grand brun aux cheveux emmêlés, comme s'il venait d'enlever son chapeau, qui traversait la pelouse. Il portait un grand chevalet de bois sur l'épaule, et son jean était tout éclaboussé de peinture. Le souffle de Jenny se coinça dans sa poitrine.
- Qui est-ce? demanda-t-elle en le montrant du doigt.
- Lui? marmonna Yvonne. C'est Elias Walsh.
- Elias. Super prénom, observa Jenny d'un ton songeur. Est-il artiste, quelque chose comme ça?
- Je ne le connais pas très bien, mais il a le don de se fourrer toujours dans le pétrin. (Yvonne fronça le nez.) Il fume, murmura-t-elle.
Pour une fille qui n'aimait pas les potins, elle en connaissait assurément un paquet.
Le garçon passa les doubles portes de la bibliothèque. Jenny souhaita brusquement laisser tomber ses sacs - et Yvonne - pour le suivre.
- Bon cheval... chuchota-t-elle encore.
Elle aurait pu me le répéter toute la journée et toute la nuit, je ne me serais jamais lassé de l'entendre. L'amour est une drogue. [Red]
Merritt fixait le sol. Elle était quand même différente, cette fille. Étrange. Comme blessée par la vie, mais pas pourrie ou dépravée comme comme Béatrice. Ou moi. [Red]
La vie d'un cheval se résume aux gens auxquels il appartient. [Red]
Des cheveux blonds volant au vent. Un manteau en tissu écossais Burberry. Des bottes en daim marron éraflées. Un nouvel uniforme marron - choix curieux mais, sur elle, c'était fantastique. On aurait dit que...non, ça ne pouvait pas...est-ce que c'était...non! Si?
Chuck voyait la fille avec qui il voulait coucher depuis le jour où il se rappelait avoir voulu coucher avec des filles - depuis le CP peut-être?. Kati voyait la fille qu'elle copiait depuis qu'elle avait commencé à s'acheter elle-même ses propres vêtements- le CE2 peut-être?Isabel voyait la fille qui s'était transformé en ange avec des ailes en vraies plumes au spectacle de Noël de l'Eglise du Repos Céleste, tandis qu'elle même n'était qu'un pauvre berger et devait porter un sac en toile de jute. CE2, elle aussi. Kati et Isabel voyaient toutes les deux la fille qui leur volerait inévitablement Olivia et les laisseraient en tête-à-tête, perspective pour le moins déprimante. Et Olivia voyait Serena, sa meilleure amie, la fille qu'elle aimerait et détesterait toujour. La fille à la cheville de laquelle elle n'arriverait jamais et qu'elle avait eu tant de mal à remplacer. La fille que tout le monde voulait que tout le monde oublie.
J'ai lu tous les livres Gossip Girl de Cecily, à une époque où j'étais encore très jeune (fin collège, début lycée) Je n'étais pas une lectrice très assidue et ces livres m'ont aidé à lire un livre et ses suites sans les laisser pourrir entre les rayons de la bibliothèque.
Bien évidemment, maintenant que mes goûts littéraires ce sont élargis à d'autre chose que les lectures d'adolescents, je ne suis pas sûre que je m'y replonge rapidement et avec délectation.
En tout cas, entre deux gros pavés complexes, cela détends et ne prends pas la tête.
De toute façon, il faut être sincère que l'on ne s'attend pas à de la grande littérature en achetant ce genre de bouquin.
J'aime bien le livre mais la série est mieux ;)
À cet instant, les espoirs de Nate reprirent du poil de la bête. Olivia était sensuelle et sexy. Est-ce que... ? Quelque chose allait-il se passer ? Olivia serra la main de Nate et l'entraîna dans sa chambre. Ils avancèrent en trébuchant, tombèrent sur le lit et renversèrent leurs boissons sur le tapis en mohair. Olivia gloussa ; tout le whisky qu'elle avait descendu lui était monté à la tête.
C'était une matinée de juin embaumée, et une agréable brise faisait bruire les pommiers sauvages qui bordait le trottoir, jonchant l’avenue de pétales et de jolies feuilles vertes.
Serena arrivait d'un pas tranquille dans sa direction, ses résilles noires trouées à un genou, ses lumineux cheveux blonds remontés en un chignon négligée. Le genre d'allure qui fait tout de suite trash chez certaines, mais que Serena pouvait se permettre, parce que même habillée n'importe comment, elle avait la classe.
Maybe it wasn't true love she wanted after all. Maybe it was just ... love. And that was all around her.
She had a habit of picking things up without even realizing she was doing it. Lemonade, boys ...
Les vérités étaient toujours bien plus intéressantes.