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Citations de Cecily von Ziegesar (109)


Comme vous le confirmerait n'importe quelle fille, être belle revient très cher mais qu'est-ce que ça vaut le coût !
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Les relations à distance sont vouées à l'échec de toute façon...
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Croyez-moi, je serai la première à le découvrir et vous, les seconds. Garder des secrets, c'est franchement pas mon truc !
Vous m'adorez, ne dites pas le contraire.
Gossip Girl.
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Bienvenue à New York, dans l'Upper East Side, où mes amis et moi vivons dans d'immenses et fabuleux appartements, où nous fréquentons les écoles privées les plus sélectes. Nous ne sommes pas toujours des modèles d'amabilité, mais nous avons le physique et la classe, ça compense.
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"Des parents pas gênants ne seraient pas de vrais parents, hein ? réfléchit Jenny."
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"Parfois, rien qu'à te regarder, j'ai mal. Parce que je ne peux pas t'avoir."
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"- On vous appelle vraiment les Hiboux de Waverly ?

Le garçon se pencha pour regarder la page. Il sentait le savon Ivory.

- Oui ! répondit-elle dans un grand sourire.

Elle, Jenny Humphrey, allait devenir un Hibou de Waverly ! Elle tourna la page.

- «Les Hiboux de Waverly n'ont pas droit à une intimité sexuelle. Un Hibou de Waverly ne doit pas entreprendre d'acti vités qui pourraient être dangereuses, comme sauter du Richards Bridge. Un Hibou de Waverly ne doit pas porter de bretelles spa ghettis ou de minijupes au-dessus de mi-cuisse.»

Le garçon partit d'un petit rire grivois.

- Quand il s'agit de filles, on parlerait plutôt de chouettes, non ?

Jenny referma le livre d'un coup.

- OK, à ton tour maintenant.

- Eh bien, je viens juste de l'attaquer, donc je commence par le commencement. (Il sourit d'un air narquois et ouvrit le livre à la première page.) «Dès le commencement, j'ai dû m'entraîner à ne jamais avoir de désirs trop violents.»

Marrant, songea Jenny. Elle vivait le problème inverse - elle avait des désirs beaucoup trop violents.

- «J'étais pourri, poursuivit-il. Pourri au départ.»

- Je suis pourrie ! lâcha-t-elle étourdiment. Mais pas depuis le départ.

Ancienne Jenny ne parvenait pas à croire ce que disait nouvelle Jenny.

- Ah ouais ? fit le garçon en refermant le livre. Je m'appelle Sam, au fait.

- Jenny.

Elle baissa les yeux pour voir si Sam voulait lui serrer la main,

mais elle se trouvait toujours coincée sous sa jambe. Tous deux sourirent, mal à l'aise.

- Alors, ta dépravation a-t-elle un rapport avec la raison pour laquelle tu as quitté New York pour aller au pensionnat ? s'enquit Sam.

- Peut-être, répondit-elle en haussant les épaules, tentant d'avoir l'air à la fois sainte-nitouche et mystérieuse.

- Allez, accouche !"

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Même si nous sommes mortels, nous sommes avant tout vivant.
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- Mais tu es Chuck Bass!
- Je ne suis pas Chuck Bass sans toi...
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Son regard s'attardait sur les mèches de cheveux de shilpey, qui brillaient dans la lumière de feu. Ils avaient des reflets d'or de platine et de rose. Auburn, prune, violet, aubergine et citron. J'oubliais, il y a aussi de la pivoine dans ses cheveux. Merde je suis complètement déchiré ...
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C’était marrant de commérer et de papoter, mais pas au détriment d’une vieille amie.
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Contrairement à la plupart des Anglais, les Américains ne consommaient pas du thé à longueur de journée, comme une sorte de carburant vital sans lequel l’organisme ne pouvait fonctionner.
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J'ai toujours raison. C'est pour ça qu'on a tant de mal à me joindre. Les gens comme moi sont extrêmement demandés.
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- C'est juste que plus personne ne me parle. Je ne sais même pas pourquoi mais depuis que je suis revenue, c'est comme si j'avais la maladie de la vache folle, quelque chose de ce genre, lui expliqua-t-elle.
(…)
- Et Olivia et Nate ? Ils doivent bien te parler, ces deux-là, dit Erik. Ce sont tes meilleurs amis.
- Plus maintenant, répliqua calmement Serena.
(…)
- Eh bien, tu sais ce que j'en dis ? fit Erik.
(…)
- Quoi ?
- Tu les emmerdes ! A fond ! T'as pas besoin d'eux. T'es la nana la plus cool de tout l'hémisphère Ouest. Tu les emmerdes, tu les emmerdes, tu les emmerdes, c'est tout.
- Ouais, répondit Serena d'un ton dubitatif. Mais ce sont mes amis.
- Plus maintenant. Tu viens de le dire. Tu peux te faire de nouveaux amis. Je suis sérieux, poursuivit Erik. Tu ne vas pas laisser ces enfoirés te transformer en enfoirée. Emmerde-les, c'est tout.
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Le pauvre Nate était toujours à deux doigts de dire ce qu'il ressentait mais il ne voulait pas faire de scène ni dire quelque chose qu'il risquerait de regretter plus tard. Il se taisait et laissait donc le soin à d'autres de mener la barque pendant qu'il se laissait bercer par les vagues.
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Dans le doute, mangeons.
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Bien, Beth, on me demande de classer toutes les vieilles affaires du conseil dans une base de données. On m'a donné le boulot de larbin parce que je suis nouveau.
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- Désolée, soupira Callie en s'asseyant sur son lit et en fixant la jeune fille avec ses immenses yeux noisette. Il fallait que je fasse tout pour que M.Pardee croie que j'étais énervée...

- Eh bien, il l'a cru, c'est clair.

Callie haussa les épaules.

- On ne va pas en faire un plat.
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Elle sortit un portant à vêtements de robes brillantes, de jupes et de blouses. Elle s'empara d'une robe Donna Karan ivoire.

- Jolie, non ?

Elias tourna la tête sur le côté pour lire le prix : 2250 dollars.

- Oh oui, souffla Callie.

Avoir mis sa nouvelle camarade de chambre dans le pétrin ou avoir menti à l'administration ne semblait pas du tout l'inquiéter. Loin de là. Tout ce qui la préoccupait, c'était de savoir si cette robe existait dans une taille assez petite.

- Tu pourrais presque la porter à ton mariage !

Tracey colla la robe sur le corps de Callie.

- Si tu étais une traînée, ajouta Elias, grossier.
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CallieVernon : Viens avec moi à Pimpernels. Midi.

EliasWash : Faire les magasins ? Non.

CallieVernon : C'est important. Il faut que l'on parle.

EliasWash : On ne peut pas parler sur le campus ?

CallieVernon : Tu peux entrer avec moi dans la cabine d'essayage...

EliasWash : Nous ne sommes déjà pas assez dans la merde comme ça ?
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