L'homme a voulu maitriser son espace, mais il a manqué cruellement d'imagination. C'est ainsi que d'une ville à l'autre on retrouve les mêmes ronds-points, les mêmes zones commerciales ou parcs industriels. Quelle tristesse pour l'œil, quelle chance pour la consommation
Aujourd'hui, on est surchargé d'activités, de corvées, d'occupations, on "zappe" même au fin fond des montagnes. l'écriture devient alors, au même titre que se nourrir ou s'habiller, une nécessité. La vie ne peut pas passer sans, c'est indispensable, mais parce que je le veux. À cette condition et uniquement dans ce cas, j'aurai du temps pour écrire. L'inspiration ne sera pas présente à chaque fois, c'est certain, mais peu importe, ceux qui réussissent sont ceux qui n'abandonnent pas.
Certaines lectures sont des révélations, il suffit d'une phrase, d'un mot et tout paraît évident. On comprend mieux qui nous sommes et la société dans laquelle on vit ou comment vivre dans la société dans laquelle nous sommes. D'autres nous sont totalement indifférents ou arrivés au mauvais moment. Ces livres, je les oublie, je passe mon tour.
Toute petite déjà, j'étais fascinée par l'écriture. Je regardais les adultes aligner des signes que seuls eux pouvaient déchiffrer. J'attribuais alors au stylo un pouvoir immense. Un lien avec l'invisible. Puisqu'il était à l'origine des contes de princesses et de dragons, tout était possible. Tous les mondes s'ouvraient à moi, c'était l'univers au bout des doigts. Cet objet discret du quotidien qui permettait de transmettre et d'échanger dans le silence le plus total avec un simple bout de papier allait changer mon existence. J'ai commencé par l'écriture de nouvelles et d'histoires jamais achevées. La vie m'a éloignée. Aujourd'hui, mes émotions me précipitent sur le papier. Je dois exprimer ce que je vis, mettre des mots sur ma douleur.
« L’étendue d’eau et les berges dorées par le soleil sont un éloge à la sérénité. Le contraste avec ma vue urbaine qui n’excédait pas trois mètres est saisissant. Je n’oublierai jamais ces paysages, ils gravent mon esprit, fascinent mon être et font partie de moi désormais. Je suis née dans la ville, mais mes racines sont dans les montagnes. »
Dans un monde où la folie reste le choix le plus raisonnable.
Certaines lectures sont des révélations, il suffit d’une phrase, d’un mot et tout paraît évident. On comprend mieux qui nous sommes et la société dans laquelle on vit ou comment vivre dans la société dans laquelle nous sommes. D’autres nous sont totalement indifférents ou arrivés au mauvais moment. Ces livres, je les oublie, je passe mon tour.
L’homme a voulu maîtriser son espace, mais il a manqué cruellement d’imagination. C’est ainsi que d’une ville à l’autre on retrouve les mêmes ronds-points, les mêmes zones commerciales ou parcs industriels. Quelle tristesse pour l’œil, quelle chance pour la consommation !
J’aimerais aujourd’hui que tu réalises que ce que pense ou dit Jérémy n’a finalement pas grande importance si ce n’est celle que tu décides de lui donner. Rien ne t’empêche de profiter à partir du moment où tu le souhaites.
Découpé en multiples tâches, le travail devient envisageable, presque acceptable.