Dans un pays civilisé, une police propre aurait ouvert une enquête, mais ici, nous vivons sous un régime féodal. Don Luciano est le seigneur, il a droit de vie et de mort.
Il faut vivre son destin, Mario. Se révolter contre lui ne sert à rien, on finit toujours par passer où l’on doit passer, où il est écrit que l’on doit passer.