Citations de Chen Jiang Hong (39)
Cet enfant a perdu la raison, se lamentait la grand-mère. Je savais bien qu'il était né sous un mauvais présage.
-Mon fils n'est pas un garçon comme les autres, répondait la mère.
Elle ne dit pas "Catastrophe !"
Elle croit aux enfants.
C'est une belle philosophe
Notre maison Terre.
Parfois, très rarement, nous apercevions des étrangers dans l’autobus. Tous les enfants du quartier se précipitaient pour les voir de plus près. Nous étions fascinés par leurs odeurs, qui nous étaient inconnues et que nous sentions de très loin : c’était du parfum.
Je serai toujours à tes côtés. Je te protégerai.
- Cet enfant a perdu la raison, se lamentait la grand-mère. Je savais bien qu'il était né sous un mauvais présage.
- Mon fils n'est pas un garçon comme les autres, répondait la mère.
Un jour de tempête, Tong, un enfant, partit en mer, même si son père lui avait interdit. Il alla pêcher. Mais il pêcha un squelette;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;; a suivre
V.J
Le soleil brille dans les coeurs. Et l'or se mêle à la soie
Sous le palanquin où fleurit la joie.
Souhaitons aux époux longue vie et bonheur.
La révolution, c'est un soulèvement, un acte de violence par lequel une classe en renverse une autre.
Mao
Je serai toujours à tes côtés. Je te protégerai. Ensemble, nous découvrirons tous les secrets de la mer.
Au bout de la nuit, il n'y a pas la nuit mais l'aurore. Au bout de la mer, il n'y a pas la mer mais le ciel. Dors ! Je t'emmenerai demain.
La vieille vieille femme lui dit :
" L'injustice, la cupidité et la cruauté ne triompheront pas. Sèche tes larmes, va et sauve Monsieur Lo."
n jour, Han Gan livra un repas chez le célèbre peintre Wang Wei.
Au moment de repartir, il vit de beaux chevaux derrière la maison, et ne put s'empêcher de les dessiner sur le sable.Intrigué Wang Wei s'approcha et regarda attentivement le dessin.
Une nuit, un valeureux guerrier vint frapper à la porte de Han Gan. Il lui dit que le pays était en danger, qu'il devait partir se battre demain, et lui demanda de faire apparaître pour lui le plus fougueux et le plus vaillant des coursiers. Han Gan se mit au travail... Il ne savait pas encore qu'il allait donner vie cette nuit-là à un cheval invincible, au caractère noble et indomptable.
Quand il était petit, Han Gan adorait dessiner. Il aimait surtout dessiner des chevaux, et toujours il voulait qu'ils aient l'air le plus vivant possible. En grandissant, Han Gan devint un très grand peintre, même l'Empereur connaissait son talent. Mais bientôt, on raconta sur lui des choses étranges. On murmurait que ses chevaux étaient plus vrais que nature, et même que son pinceau magique pouvait leur donner la vie.
Le départ de mon père fut un arrachement. Je me débattais dans les bras de mes sœurs et de ma mère en criant: «Papa,
où vas-tu ? Quand reviens-tu ?»
Monsieur Lo est un pêcheur solitaire.
Sa jonque est sa maison.
Il est triste, cette année le poisson est rare.
Il passe ses journées à attendre.
Il ne faut jamais sortir en mer quand les nuages sont couleur de suie et que les oiseaux s'enfuient vers le rivage
Le lendemain, Sann retourna voir le vieil homme, qui lui offrit à nouveau du thé.
Derrière lui, sur un drap rouge, Sann aperçut les trois pierres.
"Toi aussi, tu ramasses les pierres ? lui demanda-t-il, tout excité.Tu vas m'aider à déplacer la montagne ?
-Trois est le bon chiffre, répondit seulement le vieil homme en tortillant sa barbe autour de son index.N'oublie pas de revenir demain."
"Je vais déplacer la montagne ! cria-t-il plus fort.
- Tu rêves, mon garçon, c'est impossible, lui dit son père en secouant la tête. Dix mille hommes n'y suffiraient pas.
- Je vais travailler tous les jours, toute ma vie, s'il le faut. Et je réussirai", dit Sann.
Vous êtes mes deux mamans, celle de la forêt, et celle du palais. Maintenant, je dois retourner au palais pour apprendre ce que savent les princes. Mais je reviendrai souvent, car je ne veux pas oublier ce que savent les tigres.