Citations de Christina Lauren (1495)
Le Je t'aime tu es un Amour, ce n'est rien. C'est nous tout craché : je plonge directement, il teste la température de l'eau du bout de l'orteil et réfléchit. Notre relation fonctionne ainsi, je l'ai compris avec le temps.
A chaque pas vers la salle de bains, la douleur dans mes muscles et entre mes jambes me rappelle exactement à quel point c'était bon. Le désir contenu et la frustration que Niall a déchaîné. Max a raison, New York pourrait réellement envisager d'avoir une source d'énergie alternative.
- Le fait que tu ne me surprennes jamais fait partie des raisons pour lesquelles je t'aime.
Nous nous figeons tous les deux.
- JE viens de le dire à haute voix ? demande-t-elle en fermant les yeux, l'air mortifié. Dis-moi que je n'lai as dit à haute voix !
Je l'embrasse sur le front.
- Tu es un amour.
Je me sens soudain extrêmement mal. J'ai été incapable de lui dire ce qu'elle voulait entendre.
Je t'aime.
Tu es un amour.
Son aveu n'a rien de surprenant. Alors pourquoi n'ai-je pas préparé une réponse à l'avance ? C'est officiel : je suis le plus gros idiot du monde.
- Le fait que tu ne me surprennes jamais fait partie des raisons pour lesquelles je t'aime.
Nous nous figeons tous les deux.
- JE viens de le dire à haute voix ? demande-t-elle en fermant les yeux, l'air mortifié. Dis-moi que je n'lai as dit à haute voix !
Je l'embrasse sur le front.
- Tu es un amour.
Je me sens soudain extrêmement mal. J'ai été incapable de lui dire ce qu'elle voulait entendre.
Je t'aime.
Tu es un amour.
Son aveu n'a rien de surprenant. Alors pourquoi n'ai-je pas préparé une réponse à l'avance ? C'est officiel : je suis le plus gros idiot du monde.
On dine chez toi ou chez moi ce soir ? Et avant même que tu répondes, rappelle-toi que j'ai une colocataire, un petit lit et que je suis la pire cuisinière de l'histoire des mauvaises cuisinières. PS : Arrête de te prendre la tête.
J'éclate de rire :
Dans ce cas, je crois que tu es obligée de venir chez moi. Je vis seul, j'ai un grand lit et je dois être un tout petit peu plus doué que toi en cuisine (seulement un tout petit peu, il y a des chances pour que je commande à emporter).
- Donc. C'est le moment de prendre des décisions. Tu veux sortir avec moi ce soir ? (Elle pose le mains sur mon torse.) Aucune pression. Je peux aller dans ma chambre et me masturber devant un film de Ryan Gosling, et toi passer la soirée seul à te mortifier parce que tu ne m'as pas vue seins nus. Le choix t'appartient.
- J'imagine qu'elle parle de ta Ruby, glisse Max.
- Ce n'est pas ma Ruby.
- Bien sûr que non, coupe Chloé. C'est ce qu'ils disent tous.
- Ruby, tu vas me vole George, lance Will en souriant.
- Aucune chance. (George tapote le nez de Will.) Elle. N'a. Pas. Les. Bonnes. Parties. Génitales.
- D'accord, les interrompt Bennett en levant son verre. Maintenant, on passe au thème "parties génitales". Tout va bien.
Bennett Ryan est un connard perfectionniste, exigeant, têtu, dominateur. Aucune autre femme n'y survivrait plus de deux secondes. Il n'en ferait qu'une bouchée.
Et bordel, parfois j'aimerais vivre avec un homme souple et facile à vivre... Mais hors de question d'échanger mon Beautiful Bastard.
- Qui sont tous ces gens ?
- Un peu plus fort, fiston. Ton arrière-grand-mère ne t'a pas entendu ! Ils font partie de notre famille. Cousins, tantes, neveux, nièces. Il fronce les sourcils en voyant les gens se masser devant le bar : "Je ne suis pas sûr de tous les connaître. Ceux-là boivent déjà, ils doivent être du côté de ta mère." Il serre mon épaule. "Ne lui répète pas ça."
- Tu ne crois pas que je suis déjà allé trop loin ? Si tu décides que tu ne veux pas être avec moi, ça va me faire souffrir. Même si c'est vrai depuis un moment, j'ai décidé de prendre le risque. J'ai décidé que tu en valais la peine. C'est la différence. Putain, je pense que j'ai finalement compris : on ne tombe pas amoureux de la personne avec qui on se sent le mieux, on tombe amoureux de la personne dont le départ nous détruirait.
- Écoute, je ne te demande pas d'aller aux réunions de sex addicts, mais réfléchis à ce que tu fais et à qui tu es vraiment. Tu es un type brillant et chanceux, mais tu traites les femmes comme une salle de gym.
En dessous, une grande enseigne en fer forgé se balance dans le vent :
Mais si quelqu'un scandalisait un de ces petits qui croient, il vaudrait mieux pour lui qu'on lui mît au cou une grosse meule de moulin, et qu'on le jetât dans la emr.
Marc, 9,42
J'ai honte d'avoir fait machine arrière ce matin. Mais j'apprends vite, je ferai n'importe quoi pour elle. Si elle veut attendre pour mettre une étiquette sur notre relation, ça me va. Si elle veut que nous ne vivions qu'une amitié améliorée, je prendrai patience, je lui donnerai du temps. Je veux être avec elle, c'est tout ce qui m'importe. Aussi pathétique que cela puisse sembler, je prendrai tout ce qu'elle me donne. Sans rien demander en retour.
Pour l'instant, je veux bien être Kitty.
- Tu as enlevé ton T-shirt.
Je murmure, étonné :
- C'est une blague ?
- Non, je veux dire, les tatouages. Elle hausse les épaules. "Il a fait froid. Je ne les ai vus que deux fois, je les ai surtout regardé samedi et j'ai pensé... et je t'ai vu..."
- Et tu es tombée ?
J'éclate de rire. Elle maugrée.
- Ouais. N'en rajoute pas.
Elle murmure : "Reste en moi pour toujours."
- Continue à me dire ce que tu penses. N'arrête jamais de me demander ce que tu veux.
- Promis.
Je lui appartiens.
Euh... Pourquoi suis-je en train de penser à Will ? Un peu de concentration, Hanna.
- Max, elle est géniale. Drôle, douce, honnête, belle... Je suis totalement perdu.
- Je serais le plus vieux, là-bas ?
- Sûrement. Tu seras aussi le plus sexy.
Premier message : WAOUH
Deuxième message : TROP POUR... RÉPONDRE TOUT DE SUITE. IL ME FAUT UNE MINUTE. VOIRE CINQ MINUTES.
Je tape maladroitement : MONDIEUDESSOOLLEE
Je voudrais entrer dans un trou de souris et y mourir.
JE VEUX DIRE DESOLEE. JENARRIVEPASACROIREQUEJAIDITCA.
TU TE MOQUES DE MOI. UN VRAI CADEAU DE NOËL. JE DOIS AUGMENTER LES EXIGENCES. LAISSE MOI DEUX MINUTES POUR M’ÉTIRER