Citations de Christina Lauren (1495)
Je ne réponds rien, je me tourne pour chercher un pull dans la commode. Chloé m'observe, je tremble sous son regard. Je n'ai jamais eu beaucoup de copines - surtout, jamais une copine comme Chloé Mills -, je suis assez intelligente pour la craindre. Je crois que même Bennett a peur d'elle.
Ziggy est la petite soeur de Jensen. Ziggy est la famine que je n'ai jamais connue.
Hanna est la femme pleine d'assurance et de fantaisie pour qui mon petit monde pourrait bien s'effondrer.
" C'était juste un fantasme. Rien du tout. Ziggy est une famine adorable. Elle est jolie. Mais un, c'est la soeur de Jensen. Deux, c'est la soeur de Liv, et tu as peloté Liv dans une cabane quand elle avait dix-sept ans. Tu as déjà utilisé ton ticket avec les soeurs Bergstro. Et trois..." Je prends une grande inspiration. " Trois. Tu portes trop souvent des shorts de sport pour fantasmer sur elle sans qu'elle s'en rendre compte. Arrête ça tout de suite. Rentre à la maison, appelle Kitty ou Alexis, fait-toi sucer et calme-toi."
- Tu ne te souviens pas ? Tu avais dit que Jensen était un beau parleur, et toi un beau lécheur. Et puis tu avais relevé les sourcils.
- C'est affreux ! Tu n'aurais pas pu oublier ça ?
Le bruit résonne dans mes oreilles, dans la chambre.
L'amour.
Nous venons de faire l'amour.
C'était sublime. Pas seulement bon... réel.
Et il ne s'écarte pas tout de suite, il ne se retire pas immédiatement.
- Tu n'as pas de problèmes relationnels.
Je le laisse réfléchir, en me demandant s'il trouvera cette affirmation drôle, surprenante ou incroyable étant donné le début de notre relation dans l'avion.
Après un instant, il me sourit dans l'obscurité :
- A moins que tu ne boives du champagne et que tu ne rotes dans l'avion.
- Ouais. (Je ris). Des vacances. Jusqu'au vingt-deux.
Vacances. Mon esprit bute sur le mot, si peu familier surtout dans la phrase : Moi, Jensen Bergstrom, je pars en vacances.
Seigneur, rien que d'imaginer une semaine avec une fille pareille...
La fille blonde à côté de lui grimace avec sympathie.
J'ai fait semblant de dormir pendant quatre heures, dit-il et puis il frisonne - pour de vrai.
J'éclate de rire, je roule sur lui en glissant mes doigts dans sa masse de cheveux transpirants et merveilleux. Je l'embrasse sur la bouche, profondément, amoureusement; je voudrais le dévorer. Je l'embrasse parce qu'il me fait rire, parce qu'il me fait crier. Je l'embrasse parce qu'il est la seule personne qui me comprenne vraiment, parce que son caractère est aussi impossible que le mien - à se demander comment nous parvenons à nous mettre d'accord. Je l'embrasse parce qu'il est Bennett Ryan, mon Beautiful Bastard.
Une fois de plus, cela me frappe, comme une rafale de vent chaud: je l'aime follement. J'aime chaque centimètre carré de sa peau, chaque émotion qui passe dans ses yeux, chaque pensée que je devine sans qu'il dise un mot
il sait que ses mains sont la seule chose capable de m'empêcher de me désintégrer dans un ouragan de stress
Mon fiancé me lance un regard de glace avant de cligner des yeux.
Qu'il aille en enfer, lui et ses clins d’œil sexy. Ma colère se dissipe instantanément, mon désir de lui me submerge. Cet enfoiré arrogant choisit de se concentrer sur sa tâche. Donc, je me rends insupportable.
J'éclate de rire, je roule sur lui en glissant mes doigts dans sa masse de cheveux transpirants et merveilleux. Je l'embrasse sur la bouche, profondément, amoureusement ; je voudrais le dévorer. Je l'embrasse parce qu'il me fait rire, parce qu'il me fait crier. Je l'embrasse parce qu'il est la seule personne qui me comprenne vraiment, parce que son caractère est aussi impossible que le mien - à se demander comment nous parvenons à nous mettre d'accord. Je l'embrasse parce qu'il est Bennett Ryan, mon Beautiful Bastard.
Tout angoisse me quitte. Je sais que nous ressentirons toujours un désir fiévreux l'un pour l'autre, Bennett et Chloé, M. Ryan et Mlle Mills, M. Mills et Mme Ryan. Mari et femme. Bastard et Bitch.
Quand je dis "je t'aime" ça ne signifie pas que j'apprécie ce que notre relation apporte à ma carrière, ou que j'aime que tu sois toujours partante pour baiser. Je t'aime, toi. J'aime te faire rire, te voir réagir à toutes sortes de choses, t'écouter me raconter des anecdotes. J'aime qui je suis quand je suis avec toi, et je suis sûr que tu ne me feras pas de mal.
- Suis-je le seul a trouver hilarant que ce soit la Saint-Valentin et que nous agissions comme des idiots en les pourchassant, plutôt que l'inverse ?
- J'y ai pensé une ou deux fois, oui, dis-je en hochant la tête. Ces filles nous font marcher sur la tête.
– Will…
– Ouais ?
J’ose finalement la regarder. Elle est belle, putain. Son maquillage léger met en valeur son beau visage, ses cheveux légèrement bouclés se déploient sur ses épaules. Son regard a la même intensité que quand je l’ai enlacée par terre, dans mon salon, ou quand j’ai glissé les doigts sur son clitoris. Je fixe sa bouche, qu’elle humecte.
– Dis-moi ce que tu fais ici.
Je hausse les épaules en appuyant mon front contre sa poitrine.
– Je ne pouvais pas supporter l’idée que quelqu’un d’autre te possède.
Elle glisse les doigts dans le col de mon manteau, me caresse le cou.
– Ouais. Dylan voulait coucher avec moi.
Instinctivement, je la serre plus étroitement.
– Ça ne m’étonne pas.
– Mais… je ne savais pas comment faire. C’est censé être simple, non ? Il devrait être facile de m’amuser avec quelqu’un qui me plaît. Je le trouve charmant. Je m’amuse avec lui ! Il est gentil et attentionné. Il est drôle et beau.
Je préfère ne rien répondre.
« Mais en l’embrassant, je n’ai pas ressenti ce que je ressens avec toi. »
- Sara chérie. Je t'entends presque penser... crie George de son bureau. Trident et de plus en plus hystérique. "Calme tes sens. J'ai mis une flasque dans le tiroir de ton bureau. Elle est rose et pailletée mais ne tombe pas amoureuse : elle m'appartient".
- Je suis heureux que nous soyons au complet, dit Bennett en entrant, l'air d'avoir gagné le pari le plus ridicule et le plus important de tous les temps " Belle photo Stella. Un bar ?"
Mes yeux s'écarquillent.
- Quoi, tu penses que la cage d'escalier du dix-huitième étage, c'est mieux .
Il tourne la tête vers Chloé :
- Sérieux, Chlo ? Tu lui as raconté ça ?
- Bien sûr !
- Ce que je veux dire, c'est que tu es merveilleux. J'ai envie de t'embrasser dans un bar. Je m'en fous si quelqu'un me voit et pense : Wahou ! Cette femme a envie de devenir madame Stella. Comme c'est pathétique ! Est-ce qu'elle sait qu'il baise une femme différente tous les soirs ?