Chuck Hogan

Ok, soi-disant une histoire de vampires ! Je dirais plutôt des Zombies !!! Autant j'aime les vampires à la "Anne Rice" autant les histoires de zombies,... NON ! Alors qu'on ne fasse pas passer l'un pour l'autre. Je l'ai lu jusqu'au bout car je n'aime pas abandonner une lecture et c'est vrai qu'on s'y fait quelques frissons. Je comprend tout-à-fait qu'on puisse aimer ce genre de bouquin... quand c'est ça qu'on y cherche !

Soit, j'ai pas aimé, surtout parcqu'il y a tromperie sur la marchandise !

Idée de départ / Accroche du début de livre : 10/10

Développement des personnages : 10/10

Style de l'écriture : 10/10

Rendu de l'histoire : 10/10

Total 40/40 Babelio 5/5



La lignée, tout simplement jouissif un pur moment de bonheur où plutôt d’horreur. Guillermo Del Toro associé au génialissime Chuck Hogan (Le prince des braqueurs), nous offrent un roman, presque d’anticipation, quasi parfait. Il y a du suspense, de l’adrénaline booster à la nitro, de l’héroïsme et de l’horreur.



J’avais déjà lu ce roman il y a des années et je suis forcé de constater qu’avec les années le roman s’est bonifié. Suite à la crise que nous avons connue, on se rend compte que les deux auteurs mettent le doigt sur tous les points sensibles que nous avons connu. En gros la conclusion c’est que nos gouvernements sont incapables de nous protéger du pire. L’exemple le plus probant c’est leur incompétence à gérer une crise minime. Autrement dit quand quelque chose de vraiment méchant nous tombera dessus on est tous mort.



Ce roman qui commence un peu comme un film à la J.J Abrams met tout de suite les bases sur un scénario solide et sans faille avec une crédibilité à toute épreuve. Là où Justin Cronin (Le passage) se plante du tout au tout (un vrai nanar littéraire), Del Toro et Chuck Hogan nous montrent que tout se tient dans leur histoire. On a vraiment l’impression que l’auteur Du passage a voulu surpasser Del Toro et Hogan (qui ont écrit leurs romans avant lui), mais c’est tout le contraire qui se produit.



Il faut aussi remettre l’église au centre du village, le roman parle de vampires, cela reste donc un roman fantastique. Mais cette histoire est racontée d’une telle manière qu’on y croit d’un bout à l’autre. Une fois que vous avez fini le premier tome, vous n’avez qu’une envie plonger dans le second.

Ce livre m'a surpris au début car je n'arrivais pas à m'en détacher ... le mystère de cet avion qui "s'endort" subitement sur le tarmac de JFK .... vers le milieu, et l'arrivée des vampires, mon attention s'est un peu endormi (comme l'avion au départ) mais vers le fin, c'est reparti et on a envie de savoir la fin .... ce livre est le premier d'une trilogie (suivent "la chute" et "la nuit éternelle") ... là, je fais une pause mais peut être je lirai la suite .... à voir !!!

La lignée s’inscrit dans aucun style des maîtres du genre : pas la romance des Twilight, pas le gore et le gothique comme chez Anna Rice, ou le classisme de Stocker. Ce livre tiendrait plutôt d’un Stephen King, boosté à la vitamine C, avec en plus un petit dépoussiérage qui nous fait immanquablement penser au film de Ridley Scott Alien. C’est efficace, on ne voit pas les pages défiler et on se prend à s’attacher aux personnages.C’est l’occasion d’apprendre quelques éléments sur la structure de Manhattan et de ses bas-fonds.



Il y a cependant quelques maladresses et longueurs dans ce livre. La narration de l’épisode de l’éclipse solaire est non-seulement longue (une quinzaine de pages, presqu’autant que pour le final, on y revient un peu plus loin), sans grand intérêt scientifique, et encore moins pour le livre. Rien ne rapproche cette description de la trame narrative et aurait pu être très bien mise dans un autre livre, sans aucun problème.



Seule déception, le final du livre est plutôt décevant. Après plus de 500 pages on pourrait s’attendre à un final éclatant, violent, sanglant, saignant, dans lequel un ou plusieurs héros auraient perdu la vie ou un parent proche, ici en quelques pages assez molles on se rend compte que ce n’est que la fin du premier tome d’une série. Et oui! Depuis je me suis renseigné, et il se trouve que La lignée est suivi de La chute et enfin, à ce jour, de La nuit éternelle. Autant dire que l’on n’est pas prêt de voir la fin de l’aventure menant Eph, Mona et les autres.
Lien : http://quoilire.wordpress.co..

J'ai aimé la vision des auteurs par rapport à la condition vampirique. Les vampires agissent un peu plus comme des zombies. C'est-à-dire, ils ne parlent pas, agissent par instincts animals. La ''maladie'' se propage comme une épidémie. En fait, devenir un vampire est plutôt traité comme une maladie. Le corps change physiquement et les personnes touchés ne restent pas avec l'allure humaine comme nous sommes habitués de le voir dans les histoire de vampires. Enfin, un peu de changements et un retour un source par rapport à l'aspect et aux moeurs des vampires..on oublie les vampires qui peuvent aller à la lumière du jour sans dommages et les vampires brillants...! J'ai hâte de lire la suite!

Je dois vous avouer que c'est la sixième fois que je lis cette histoire, mais je n'avais cependant jamais écrit d'avis dessus et pourtant... Déjà que l'on soient bien, d'accord c'est une trilogie donc une fois les trois romans lus, je ferai un point de vue global, mais pour le moment c'est un avis pour un livre. Maintenant passons aux choses sérieuses. Dès le début, on commence direct dans le vif du sujet avec l'avion et après les évènements s'enchaînent incroyablement vite, on as pas le temps de souffler que déjà la catastrophe est la... Puis vers la page 560 plus ou moins, mon personnage masculin favoris (l'un de mes Bookboyfriends quoi) entre en action et ça, j'ADORE. Sans compter que la fin du premier tome montre clairement que les choses ne va pas s'arranger donc vite que je me plonge dans le second tome pour relire encore une fois la suite de cette trilogie. D'ailleurs ce roman me permet de rayer un challenge de mon #liriadeslivresetsondefilecture2023 soit: Un livre avec une histoire de vampires horrifique.

Agréable à lire, "La lignée" souffre cependant d'un récit sans grande surprise, se contentant de dérouler une intrigue prévisible et bourrée de lieux communs. Même constat en ce qui concerne les personnages, certes attachants mais n'évitant pas les clichés du genre. En résumé, ce premier roman du duo Del Toro / Hogan est loin d'être de la grande littérature mais fait efficacement le boulot, même s'il donne clairement l'impression d'être devant un scénario transformé en livre par la force des choses.

Avec La Lignée, Guillermo Del Toro (le papa du Labyrinthe de Pan) co-signe avec Chuck Hogan le premier roman d’une trilogie vampirique tout sauf glamour ! Si vous êtes accro aux vampires ado made-in Twillight ou Vampire Diaries… ne vous retournez peut-être pas vers ce roman où les vampires sont tous sauf beaux et à moitié méchants.



L’histoire débute quand un avion atterri sur une piste de l’aéroport de JFK (New-York). Jusque là, rien de bien palpitant, sauf que depuis son atterrissage, personne ne répond à bord. L’avion semble abandonné de toute forme de vie… ou presque ! À part 4 rescapés en piteux états, tous les passagers sont morts. Mais le soir même 200 cadavres (en provenance de l’avion) disparaissent mystérieusement des morgues de la Big Apple. Ephraïme, épidémiologiste, va vite comprendre que ce phénomène n’a pas grand chose d’humain…



Ces vampires là, faites moi confiance, vous feront frémir de peur. Guillermo Del Toro et Chuck Hogan nous livre ici un bon roman, bien ficelé et bien mené qui a la particularité de reprendre un mythe on ne peut plus fashion à leur sauce ketchup-hémoglobine en contraste total avec la mode actuelle. Dans son traitement du « vampire », ce roman m’a rappelé Le fils des ténèbres de Dan Simmons (que je vous conseille aussi !) : des vampires, des vrais, des durs à cuire et bien antipathiques.



La Lignée est le premier volet d’un triptyque, autant vous l’annoncer tout de suite : la fin vous laisse sur votre faim (on vous l’avez jamais faite celle-là). Le second volet, La Chute, est paru fin 2010 aux Presses de la Cité. Je ne l’ai pas encore lu, mais ça ne saurait tarder. S’il est aussi accrocheur que le premier, il risque d’être bien vite dévoré.



Pour les amateurs de vampires, les fans de frissons, les adaptes de l’hémoglobine et des phénomènes étranges ainsi que pour tous les admirateurs de Guillermo Del Toro et de Chuck Hogan, n’hésitez pas un seul instant : La lignée est pour vous ! Un très bon achat.
Lien : http://www.cappuccino-time.f..

Plébiscitée par mon compagnon, la série « La lignée » me tentait depuis pas mal de temps. Beaucoup de blogueurs l’ont déjà soulignée mais cette saga est vraiment écrite sous forme cinématographique. Chaque scène est facile à imaginer et le rythme est vraiment haletant. Je suis ravie de bientôt pour découvrir cette histoire sous forme de série tv car jamais un roman ne m’a semblé autant taillé pour cela.
Lien : http://iluze.eu/?os_books=la..

Dès le début j'ai eu la sensation de "lire un film". Le style des deux auteurs est simple, descriptif, mais surtout tout est hyper cinématographique. Le rythme, l'enchainement des chapitres, la manière dont l'histoire est racontée, tout m'a fait penser à un film. Il y a beaucoup de lieux, et de personnages dont la vie nous est raconté. Le tout créée une très bonne ambiance, mais le rythme est resté finalement assez lent. Le lecteur comprend très vite, à contrario des personnages qui continuent à se poser des questions. J'avoue... cela est parfois un peu agaçant....

Il a également quelques facilités : entre les rencontres heureuses, la confiance qui nait très vite entre certains personnages, parfois j'avoue avoir pensé à un film d'action américain où tout est un peu facile....

J'ai pensé plusieurs fois à un grand roman (je ne veux pas dire lequel.... si jamais vous ne savez pas de quoi parle ce roman....) avec un groupe de personnages qui va se regrouper, et affronter un grand méchant.



Globalement, une lecture sympathique, quelques défauts, mais avec laquelle j'ai passé un bon moment.

Premier opus d'une trilogie, Guillermo del Toro se lance dans le récit de vampires dans un cadre apocalyptique. Bien que ce projet commence par une trajectoire manuscrite et littéraire, il n'est pas une fin en soi. Il ne s'agit finalement que du script du projet destiné à la télévision. Projet qui vit le jour il y a deux ans avec la série « The strain ». Alors, qu'on ne s'égare pas, del Toro n'a pas pris de surprenant virage en abandonnant sa carrière cinématographique pour épouser une carrière littéraire, il a seulement décidé de publier son synopsis avant de démarcher des producteurs (ou POUR démarcher des producteurs ?).



Quant au timing de cette initiative, on ne peut pas dire qu'il soit dû au hasard, le livre étant publié en pleine vague de zombies et vampires dans l'univers littéraire et télévisuel. Alors, ici, pas de morts vivants amoureux, pas de satire, mais une approche réaliste et survivaliste, enrobée d'ésotérisme.



Alors ouvrons la couverture et regardons. de prime abord, c'est le mystère et l'excitation qui planent sur ce livre. Un Boeing jonché de cadavres et une mystérieuse éclipse solaire. Attendons voir. Puis, soudain, l'auteur intègre de nouvelles thématiques, un peu de roman policier, de l'analyse scientifique, de la religion, de la biologie et du surnaturel. Ce ne serait pas choquant si tout n'était pas mélangé. Guillermo del Toro, bien conscient que le thème « vampirique » est éculé depuis quelques années, décide d'y ajouter du Da Vinci Code, des Experts Miami, de l'Armée des 12 singes, du Walking Dead et du 28 jours plus tard, le tout se passant sous le regard avisé du Lex Luthor local. L'avantage, lorsque l'on jongle avec autant de sujets, c'est qu'on peut faire tenir le suspense ad vitam, et qu'on peut sortir du chapeau des retournements de situation à chaque bas de pages. Finalement, tout est pensé pour une adaptation série, avec « La » révélation avant la publicité, ou « le » cliffhanger de fin d'épisode ! Là où le bât blesse dans un livre, c'est que « La » Révélation apparait entre deux lignes et qu'il faut continuer la lecture. C'est d'autant plus lassant qu'il y en a à chaque page. de ce point de vue-là, la lecture est chaotique et perd en pertinence.



Second point, Guillermo del Toro eut le bon ton d'engager Chuck Hogan pour rédiger son script, l'exercice littéraire s'avérant bien différent de la réalisation. Bien mal lui prit, tant la plume est stéréotypée. Je n'aurais pas été étonné que « La lignée » ait été rédigée par un algorithme informatique. Somme toute, peu importe si le récit est fait pour une adaptation télévisée ! Mais dans ce cas, on ne le publie pas.



Une petite pensée émue pour les coeurs nobles qui vont aller jusqu'au tome 3…je n'en serai pas.

Oui, Guillermo Del Toro a fait des films sensationnels (L'Echine du Diable, Hellboy 2, Le Labyrinthe de Pan...), mais non cela ne fait pas de lui un écrivain pour autant.



Si cette histoire d'invasion vampirique est parfois carrément haletante, il n'en reste pas moins que le livre n'est pas particulièrement bien écrit, que la plupart du suspense est cousu de fil blanc et qu'il n'est nullement difficile de deviner les évènements avant qu'ils arrivent...



Paradoxalement, j'ai quand même fini l'histoire... et acheté le tome 2... et j'ai fini le tome 2... et j'achèterais le 3 en poche...

Guillermo del Toro revisite le mythe du vampire avec brio. Pour une fois les vampires sont abordés de façon "scientifique". Si au début le fait de suivre plusieurs personnages différents peut troubler, on finit par s'y habituer et comprendre parfaitement où l'auteur veut en venir et pourquoi ce personnage est important. Je le conseille à tout ceux qui aime les récits de vampires mais pas la bit-lit jeunesse.

J'adore l'univers de Guillermo del Toro et dieu sait si "Le Labyrinthe de Pan" est pour moi une référence...



Mais là je n'en peux plus...

Il a traîné pendant 2 semaines à la page 130, donc, il me faut bien admettre qu'il va en rester là !



25 pages pour décrire une éclipse, ça me saoule...
Lien : http://les-fantasmes-de-cami..

Un avion en provenance de Munich atterrit à New York ; la majorité des passagers sont morts, seuls quatre d'entre eux ont survécus. Ephraïm et Nora, deux épidémiologistes, sont chargés d'enquêter sur ces morts mystérieuses. Ils font connaissance avec Abraham Setrakian, survivant de la Shoah et ancien professeur, qui leur fournit de nombreuses et incroyables informations. Ces morts ont en fait été infectés par Czardu, un vampire d'Europe centrale, visiblement en train de s'expatrier.



J'avais beaucoup entendu parler de cette série, recommandée par beaucoup. Malheureusement, elle ne m'a pas beaucoup plu. C'est une espèce de modernisation de Dracula, à la sauce « virus-parasites-alerte nationale-survivants désespérés- incompréhension générale- » Blabla, rien de très subtil, ce sont les gros sabots qui ont été chaussés. Attention, je ne dis pas que c'est un mauvais roman, mais c'est du déjà-vu et l'écriture ne rattrape rien parce qu'elle n'est pas meilleure que le reste. On a l'impression de regarder une série plutôt que de lire un roman. C'est divertissant, sans plus.



Pour ceux qui ne veulent pas s'éloigner des sentiers battus tout en se divertissant avec une série à l'américaine : vous êtes au bon endroit !
Lien : http://leslecturesdecat.cana..

Excellent premier tome qui donne envie d'avaler d'un trait la trilogie!!!

Un avion en provenance de Berlin attérit à New York mais personne n'en descend et personne ne répond. Une équipe d'épidémiologistes monte à bord et découvre que tous les passagers sont morts, sans violence apparente, sauf quatre survivants qui ne savent pas ce qui s'est passé. Une attaque bactériologique est évidemment évoquée mais les choses dérapent quand les morts disparaissent de la morgue et sont retrouvés errants en ville.



Un petit groupe se forme pour découvrir ce qui se passe tandis que ce qui semble être une terrible épidémie se répand avec violence et que des personnages énigmatiques apparaissent et semble comploter dans l'ombre contre... l'humanité, tout simplement.



Des "gentils" qui m'ont fait pensé à un mix entre les Ghostbusters et Grissom des Experts avec le classique duo d'amants au boulot, le vieux qui en sait long, le membre de gang qui est mêlé à tout ça malgré lui et qui sait se débrouiller, le dératiseur qui sait qu'il n'y a pas que des rats dans les sous sols et pleiiiiin d'outils super sophistiqués pour shplouker (oui, ça fait ce bruit) les vampires. Un méchant très vieux avide de pouvoir ouhhh le vilain. le monstre, le vampire donc puisque c'est de ça qu'il est question, qui m'a fait penser à un Nosferatu dans l'allure et l'angoisse que peut provoquer sa vue. Plein de vampires qui m'ont fait plus penser à une horde de zombies qui veulent t'arracher la figure et la langue pour se faire un quatre heure (avec du nutella ©) Des "ahhh berk", des "ooohh le pauvre", des "mais ne va pas là, pffff...", du gore (un passage m'a un peu gênée j'avoue), de la respiration bruyante dans un couloir de métro désaffecté et sombre qui rend les mains moites...donc du classique, valeur sûre. Et un petit "oh mais que va-t-il se passer après? tadadadam..." vu que ça se termine avec un cliffangher du tonerre (normal c'est une trilogie).



Du classique donc...et oui, double tranchant...un vampire, moui...style épidémie/virus...moui...la montée en puissance de l'angoisse...moui...un méchant humain fait une alliance avec un méchant pas humain...moui...aïe...alors étant donné que j'adore ce que réalise Guillermo del Toro, j'ai mis cet ouvrage en tête de liste pour commencer le challenge 1% mais j'avoue que j'ai été un peu déçue par rapport à ce que j'imaginais. Si del Toro venait à l'adapter en film, ça serait une autre histoire car le rythme y est, c'est juste que pour l'instant, l'histoire me parait assez convenue.



J'allais le lire en anglais et paf! il sort pour la rentrée littéraire. La couverture française ressemble à l'édition anglaise, va pour le challenge 1%! J'ai trouvé le début un tout petit peu longuet mais comme ça doit être une trilogie, il faut bien installer le cadre et présenter les personnages. Puis, je me suis laissée emporter par l'action et les chapitres courts, à la façon d'une série télé. Ah làlà, je suis partagée...un livre bien sympa mais qui ne casse pas deux canines à un vampire non plus...

Je ne vais pas mentir, j'ai survoler ce roman avec lequel je n'ai absolument pas accroché. C'est pourquoi je ne trouve pas juste d'en faire une critique puisque mon point de vu sera forcement biaisé !



Alors à vous de découvrir vous même cette histoire de vampire et qui sait, nous pourrons peut-être échangé dessus !



Bonne lecture à tous.

[Attention spoiler] J’ai découvert ce livre un peu par hasard en consultant le catalogue Belgique Loisirs et cette histoire d’avion qui se pose à JFK et dont tous les passagers sont mystérieusement morts m’a immédiatement séduit. Plus tard, j’ai eu la désagréable surprise d’apprendre, en lisant un autre résumé qui était beaucoup moins laconique et sans doute un peu plus racoleur, qu’il s’agissait en fait d’une « banale » histoire de vampires. Je dois bien avouer que ça m’a refroidi…



C’est donc avec une légère appréhension et un a priori plutôt négatif que j’ai attaqué cette Lignée. Eh bien, j’ai été agréablement surpris ! Le début du roman est très encourageant. On découvre le héros, Eph, on le suit dans les premiers pas de l’enquête épidémiologique. On fait également la connaissance d’un personnage mystérieux qui semble en savoir long sur ce qui se passe. Bref, cette entame de livre est assez prenante. Malheureusement, après une centaine de pages, le récit commence un peu à se traîner. Toutefois, cette partie est relativement brève et l’action refait surface rapidement. Cependant, plus loin dans l’histoire, ces longueurs réapparaissent et la succession des différents points de vue n’apporte pas grand-chose au récit. On a droit cinq fois à la même scène ; on change de lieux, de personnages et on recommence. C’est un peu redondant.

Pour rester dans le négatif (mais pas trop), je dirais que, porté à l’écran, ce livre donnerait un bon gros navet, un film d’horreur de série B. Certaines scènes m’ont d’ailleurs semblé tout droit sorties de ce type de film à deux balles. On retrouve pas mal de clichés du genre : les méchants vampires, le très méchant vampire et le très méchant monsieur qui veut la perte de l’humanité, le gentil héros sans peur et sans reproche qui sait, du jour au lendemain, se servir d’une épée comme d’un crayon et tue les vampires comme on se brosse les dents, le vieux sage qui sait tout, etc. He bien figurez-vous que, moi qui suis (très) critique de ce point de vue là, je n’ai pas trouvé ces lieux communs désagréables outre mesure. Certes, je me rendais compte qu’ils étaient là, et certes je me disais : « ouais, c’est pas méga original tout ça », mais force est de constater que les points forts du bouquin ont réussi à contrebalancer ces aspects négatifs.



Tout d’abord, j’ai beaucoup aimé les vampires de Guillermo Del Toro et Chuck Hogan. Rien à voir avec ce que j’avais pu lire ou voir jusqu’à présent (ok, je suis pas une référence en la matière, mais quand même). Cette idée de virus qui prend entièrement possession du corps qui l’abrite est vraiment originale et, à mon sens, assez bien exploitée par les auteurs.

En outre, les 150 dernières pages (celles qui contiennent la majeure partie des clichés) défilent à un rythme effréné et la tension est omniprésente et plutôt insoutenable. Bref, la fin est vachement prenante. Et ça, c’est bien. Malheureusement, et je n’aime pas terminer sur une mauvaise note alors que j’estime que ce livre est tout à fait valable et digne d’intérêt, la fin laisse un peu à désirer. Ou plutôt quinze lignes à la fin du roman gâchent un peu le dénouement qui, sans être sensationnel, aurait été honnête.



Au final, si ce livre ne casse pas trois pattes à un canard, il a été très agréable à lire et j’ai bien l’intention de lire la suite de la série. Je suis parvenu à faire abstraction des défauts du roman, à profiter de ses qualités et ainsi à passer un très bon moment avec ces charmants suceurs de sang.

Quel livre!!!Presque un film qui défile noir sur blanc mais surtout rouge (ou blanc) on ne sait plus où donner de la tête!!!C’est fou ce que ce livre contient comme tension!! On est aussi happé que devant un écran géant…Grande fan de film d’horreur (une vraie passion devrais-je dire…), je suis restée scotchée par toutes ses scènes d’angoisse et le frisson m’a foudroyé à plusieurs reprises!!!Je dirais qu’il se situe entre [Rec] et Alien, mais on reconnaît la touche de Guillermo avec ce fond d’Histoire effroyable qui font qu’on est dans le Fantastique mais jamais tout à fait étant donné l’horreur indescriptible de notre passé….Un grand bravo pour cette ambiance électrique et qui répond à nos peurs les plus primitives !!!



Je me demande bien pourquoi ses auteurs ont choisi le mythe vampirique quand leurs personnages ne sont qu’à un pas du Zombie et que l’aspect essentiel est le sujet de contamination….Mais j’espère obtenir toutes mes réponses dans les prochains tomes!!!évidemment, il fallait bien posé le contexte surtout pour le tome 1 d’une trilogie, mais j’attends beaucoup de la suite et voir apparaître plus de vampires et d’immortalité pour la suite!!!



Je ne sais comment ils se sont partagé le travail d’écriture mais plus ou moins on ne voit pas de grande différence dans le récit sauf pour la description de l’éclipse…J’ai senti à certains moments un des deux beaucoup plus inspiré, une folie poétique qui nous embarque, mais presque après une « chute », un passage à vide, comme si c’était une deuxième personne….Mais bon ça n’enlève rien au récit, c’est superbement écrit, l’intrigue monte crescendo, on a comme des zooms d’écrans sur certains personnages, qui la rendent plus vivante , bref, on ne s’ennuie à aucun moment et je suis très impatiente de me replonger dans ce New York apocalyptique!!!!



Le petit plus: J’adore la couverture du livre!!!L’édition de France loisirs est beaucoup plus jolie que les autres, je trouve…



Le petit bémol: R.A.S
Lien : http://fairystelphique.wordp..