Chuck Hogan

Bonjour a tous ,venant de finir la lecture de cette ouvrage ;je suis partagé entre 2 sentiments :

_ 1er :le livre est un peu confus,on se perd un peu au début.

_2 eme :la mise en place est un peu longue a mon goût .

Il manque un peu d action pour tenir en haleine le lecteur mais a côté de cela ,,j y ai découvert quelque rouage du mode opératoire d un négociateur ainsi que de la difficulté d exercer ce métier dont les séquelles peuvent être grande .

La fin du livre m a laissé un goût d inachevé .

J'ai apprecié ce livre pour son côté dark de la société actuelle en période de pandémie mondiale qui décrit bien que c'est chacun pour soi. Puis surtout, pour relancer le genre du vampire qui est bien différent du Comte Dracula ou des Twilight et Vampire Diaries. Quand on commence à le lire, on se demande jusqu'où cela va aboutir. Pour tous ceux qui aime le fantastique et la révision des classiques en terme vampiriques, je vous le conseille sans hésiter.

Le synopsis de ce roman et certaines chroniques sur internet m'ont tout de suite donné envie de le lire ! Malheureusement si en apparence l'histoire vend du rêve c'est loin d'être le cas du contenu du livre en lui même.



Les deux auteurs nous sortent un récit bateau reprenant tous les poncifs du genre sur les vampires, le tout est écrit plus comme un scénario ( et encore scénario de nanar') de film plus que comme une vraie oeuvre littéraire. Les dialogues sont assez plat, Les personnages sont assez sommaires ( même les principaux dont on ne sait quasiment rien) on avance juste dans le récit avec beaucoup de blabla et quelques scènes d'actions qui donneraient certainement bien dans un film mais qui tombent à plat dans ce roman.



Pour tout résumer je me suis plutôt ennuyé pendant ce premier tome et je ne vais donc pas lire la suite de cette saga...

Idée de départ / Accroche du début de livre : 10/10

Développement des personnages : 10/10

Style de l'écriture : 10/10

Rendu de l'histoire : 10/10

Total 40/40 Babelio 5/5



La lignée, tout simplement jouissif un pur moment de bonheur où plutôt d’horreur. Guillermo Del Toro associé au génialissime Chuck Hogan (Le prince des braqueurs), nous offrent un roman, presque d’anticipation, quasi parfait. Il y a du suspense, de l’adrénaline booster à la nitro, de l’héroïsme et de l’horreur.



J’avais déjà lu ce roman il y a des années et je suis forcé de constater qu’avec les années le roman s’est bonifié. Suite à la crise que nous avons connue, on se rend compte que les deux auteurs mettent le doigt sur tous les points sensibles que nous avons connu. En gros la conclusion c’est que nos gouvernements sont incapables de nous protéger du pire. L’exemple le plus probant c’est leur incompétence à gérer une crise minime. Autrement dit quand quelque chose de vraiment méchant nous tombera dessus on est tous mort.



Ce roman qui commence un peu comme un film à la J.J Abrams met tout de suite les bases sur un scénario solide et sans faille avec une crédibilité à toute épreuve. Là où Justin Cronin (Le passage) se plante du tout au tout (un vrai nanar littéraire), Del Toro et Chuck Hogan nous montrent que tout se tient dans leur histoire. On a vraiment l’impression que l’auteur Du passage a voulu surpasser Del Toro et Hogan (qui ont écrit leurs romans avant lui), mais c’est tout le contraire qui se produit.



Il faut aussi remettre l’église au centre du village, le roman parle de vampires, cela reste donc un roman fantastique. Mais cette histoire est racontée d’une telle manière qu’on y croit d’un bout à l’autre. Une fois que vous avez fini le premier tome, vous n’avez qu’une envie plonger dans le second.

Sympathique roman de vampires qui ne laissera pas une grande empreinte dans la littérature. Il se lit vite, facilement et s'oubliera vite car peu de choses sont vraiment creusées. L'action s'enchaîne, la personnalité des personnages est effleurée à la surface et la mythologie du vampire, ici revisitée, n'est pas dénuée d'intérêt mais trop peu développée pour s'y passionner. Lecture idéale entre deux romans plus consistants, parfait pour s'évader l'espace de quelques heures.

Après avoir lu il y a un peu plus de 5 ans l'ouvrage de base de la littérature vampirique, le Dracula de Bram Stoker, me voilà dans une adaptation des plus modernes du genre, par un duo original d'auteurs, associant un réalisateur de cinéma renommé et un jeune écrivain.



On assiste vraiment à la version 2.0 du mythe avec une tentative d'explication scientifique, même médicale, le vampirisme étant traité à la fois comme une épidémie et comme un cancer. La progression dramatique est plutôt réussie, commençant comme un banal phénomène étrange, un soupçon d'épidémie amené par un vol fantôme dont tous les passagers décèdent... ou paraissent décéder. Écrit il y a plus de 10 ans, le roman résonne particulièrement avec l'actualité Covid. Les craintes d'épidémie mondiale étaient présentes à l'époque mais moins concrétisées qu'aujourd'hui. La lecture en est d'autant plus captivante, renforcée par le talent narratif de del Toro qui montre son talent certain à nous conter une histoire. Les ellipses nombreuses, le récit découpé en scènes particulièrement cinématographiques permet d'observer la patte du réalisateur. le livre n'aurait pas du tout besoin d'être adapté s'il devait être porté à l'écran, en série ou en film. le roman est d'ailleurs le premier tome d'une trilogie qui continue avec la Chute et se termine avec la Nuit éternelle.



La lecture est bien agréable, les personnages bien fouillés, avec beaucoup de personnages secondaires mais avec chacun un background bien développé. L'espace littéraire est utilisé à plein pour se permettre ce qu'un film ne peut qu'effleurer. La vie privée des protagonistes prend peut-être parfois bizarrement le dessus sur l'action et l'aventure, quand par exemple le héros principal tente une médiation de couple juste avant d'aller dégommer du vampire... mais qui sait comment nous agirions en pareilles circonstances, pourrions-nous totalement nous détacher des contingences quotidiennes ?



La petite déception est plutôt venue du final, presque trop dans l'action pure, comme destiné à offrir le feu d'artifice final d'un grand long métrage pour en mettre plein la vue aux spectateurs. Le lecteur s'y retrouve un peu moins, peut-être aussi parce que l'effet trilogie oblige à différer la résolution totale et frustre donc un peu. Cela reste un très bon thriller horrifique, prenant et efficace. Quant à savoir ce qu'on doit à chaque auteur, il est toujours difficile de se prononcer. Si on connait le travail cinématographique de Guillermo del Toro et qu'on peut donc identifier assez clairement ses apports au récit, il nous reste à découvrir le travail de Chuck Hogan seul, qui finira après un travail de deux trilogies avec del Toro, par écrire seul deux livres plutôt à ranger dans le polar. Je mets ça dans la PAL, mieux comprendre comment peut fonctionner l'écriture en duo restant une de mes envies.

Pas fan du genre et pourtant j'ai bien aimé !

un livre à voir plus qu'à lire. on sent nettement l'influence cinématographique de G. del Toro, des phrases courtes et rythmées, des actions qui s'enchaînent et très peu de temps mort. Ça ce lit vite, très vite...mais del Toro a su créer une équipe attachante et revisiter le mythe du vampire.

A noter qu'au niveau visuel la scène d'ouverture du livre est à peu de chose près la même que la scène d'ouverture de la série US Fringe.

Fan de littérature concernant les vampires, je n'ai pas été déçue par l'ouvrage de Guillermo Del Toro et Chuck Hogan. Si le mode de transmission décrit par les auteurs diffère de la traditionnelle morsure, on retrouve les incontournables tels que cercueils et maître vampire. Et on est très loin des gentils vampirounets tels Edward Cullen et sa famille. Les créatures de Del Toro et Hogan sont mauvaises, irrécupérables, assoiffées, bref, de vrais terreurs. Le mythe du vampire revisité, loin de toute concession ou d'espoir de trouver une once d'âme chez ces sangsues. J'attend la suite avec énormément d'impatience ! Vraiment !!!

Guillermo Del Toro est familier de l’univers des vampires. Il a déjà eu l’occasion de nous montrer sa vision moderne des vampires via Blade 2, avec Wesley Snipes. Les prémices de la Lignée sont là : modernisation de la mythologie du vampire, explication scientifique du phénomène, mutation de la créature, arsenal ultra moderne pour la contrer, intégration du phénomène vampire dans les grands moments de l’histoire de l’humanité, etc.



Cette approche scientifique est intéressante dès le début du roman : un avion se pose à l’aéroport JFK mais aucun des occupants ne donne signe de vie. (voir le pilote de la série tv the Fringe). Croyant avoir à faire à une attaque bio-terroriste, les autorités envoient sur place une équipe spécialisée dans les maladies infectieuses …



L’auteur aime utiliser le folklore populaire pour nous montrer ce qui se cache dans l’ombre. Et l’histoire des vampires est un support idéal pour le faire. La formation de l’équipe est symptomatique de ce que veut créer le romancier. Elle sera chargée dans cette trilogie d’affronter le mal et la maladie qui menace de ravager la planète. Elle compte deux scientifiques incarnant le côté rationnel, un pseudo prêteur sur gage qui représente le chasseur Van Helsing qui connaît l’historique du mal qu’ils affrontent, et un dératiseur, qui leur sera d’une grande aide en leur expliquant son art de la chasse au nuisible … Face à eux, le Maitre et un millionnaire qui rêve de la vie éternel … Tour à tour, le lecteur pourra facilement s’identifier à chacun des héros qui représentent une facette des différentes sciences. Facettes que les chasseurs devront maîtriser pour avoir une chance de parvenir à leurs fins. Et pour surtout échapper à la faim des vampires …



Guillermo Del Toro et Chuck Hogan préfèrent oublier le côté romantique du vampire en costard avec deux jolies canines pour mettre en place une propagation qui s’apparente plus à celle d’un virus et d’un fléau. Oubliez le beau gosse, faites place au Monstre ! Danny Boyle avait déjà donné un coup de jeune aux zombies avec 28 jours plus tard. Et Del Toro utilise le même genre de procédé pour incarner son vampire type. En s’éloignant des clichés du genre, il réécrit la mythologie vampire en créant un phénomène que les scientifiques du roman peuvent explorer et tenter de comprendre. Il va expliquer les changements physiologiques qui s’opèrent à l’extérieur et surtout à l’intérieur de l’être contaminé.



Il annonce surtout son plan en nous expliquant très vite que cette introduction n’est que le début d’une première phase de transformation du vampire. Une première « éclosion » qui doit mener à la création d’une seconde génération, plus résistante, plus intelligente et plus en osmose avec le corps qu’elle « vampirise ». Car ici, le vampire est considéré comme un parasite qui prend possession de l’être vivant. En modifiant ses organes internes, il reste très virulent au sein de son hôte, même quand ce dernier est hors d’état de nuire. (Je crois me souvenir que c’était aussi de cette manière que Roberto Rodriguez avait présenté ses envahisseurs dans son remake de l’Invasion des Profanateurs, via des êtres infestés).



Côté reproche, on pourra juste trouver que certains combats à la fin du roman sont assez répétitifs et qu’au final, ce premier tome ne recèle pas de surprises dans son intrigue. Libéré de cette phase de présentation de l’histoire et du casting, le tome 2 permettra aux auteurs de rentrer dans le vif du sujet et de jeter sur la table les véritables grosses cartes de leur(s) jeu(x).

Un Boeing en provenance de Berlin se pose à l’aéroport de New York. Silence radio. A l’intérieur, tous les passagers sont morts. Pas la moindre trace de sang. Juste une indécelable piqure dans le cou. En soute : un cercueil géant rempli de terre polonaise. La Grosse Pomme ne le sait pas encore, mais...
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J'adore l'univers de Guillermo del Toro et dieu sait si "Le Labyrinthe de Pan" est pour moi une référence...



Mais là je n'en peux plus...

Il a traîné pendant 2 semaines à la page 130, donc, il me faut bien admettre qu'il va en rester là !



25 pages pour décrire une éclipse, ça me saoule...
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Je n'ai pas lu le livre de suite après l'avoir acheté, presque de peur d'être déçu. Alors pourquoi l'avoir acheté? Parce que ce n'était pas une histoire de vampire à l'eau de rose, qu'il s'agissait de Guillermo del Toro, et que j'avais envie de savoir ce qu'il pouvait faire. Et bien je n'ai pas été déçu. Certe Monsieur Del Toro n'est pas un grand écrivain, mais l'histoire est bien ficelée, on a toujours hate de tourner la page pour savoir ce qu'il va se passer. Pour ma part, je ne me suis jamais ennuyée.



L'action et la tension monte au fil des pages.



J'ai finis ce tome, et actuellement, j'en suis au tome 2, qui est tout aussi bon.

Ce livre se lit facilement et l'histoire se déroule petit à petit, laissant le suspens s'installer, puis l'horreur gagner le lecteur. Certaines descriptions auraient pu être plus développées, mais malgré cela j'attends déjà la suite!
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un avion avec des passagers paralysées, un etrange cercueuil, des etranges créatures, de l'action, un bon livre. Je n'ai pas encore lu le tome 2 et 3 mais j'ai l'impression que l'effet de surprise est passé dans les suites de ce livre

Il y a 9 mois, je découvrais une nouvelle série télé : "The Strain". J'ai adoré voir cette première saison. Et peu de temps après, j'ai su que cette série était une adaptation d'une trilogie écrite par Guillermo Del Toro.



Je suis donc partie en quête de ces romans.

J'ai réussi à dénicher le premier tome juste avant qu'il ne soit en rupture de stock. Et il y a moins d'une semaine, j'ai fait l'acquisition des volumes 2 et 3.



Mais c'est avec "La lignée" que l'histoire commence : un avion qui atterri à l'aéroport JFK et qui ne donne plus aucuns signe de vie, tous les passages sont morts ou presque.

Le Dr Doodweather, du CDC, est chargé d'enquêter sur ce mystère. Pourquoi et comment sont morts les passagers de l'avion ?

Et à partir de ce moment, tout va se compliquer.



Un roman qui nous propulse dans un univers apocalyptique, des monstres qui font surface, l'horreur qui s'installe.

J'ai lu ce roman en une semaine tellement j'ai apprécier me plonger dans sa lecture.

Les scènes longuement détaillées pourraient rebuter certaines personnes, mais elles sont indispensable à la bonne compréhension de l'histoire et sa mise en situation.

Les détails diffèrent de ma série, mais je n'en ai que plus apprécier ce roman, car j'ai pu découvrir certaines facettes.



Si vous ne connaissez pas encore l'univers de Del Toro et sa façon si particulière de voir les choses, alors ce roman peut-être un bon début.

Mais je vous prévient, vous ne verrez plus votre voisin de la même manière ensuite.


Lien : https://aelbooking.wordpress..

Dès le début j'ai eu la sensation de "lire un film". Le style des deux auteurs est simple, descriptif, mais surtout tout est hyper cinématographique. Le rythme, l'enchainement des chapitres, la manière dont l'histoire est racontée, tout m'a fait penser à un film. Il y a beaucoup de lieux, et de personnages dont la vie nous est raconté. Le tout créée une très bonne ambiance, mais le rythme est resté finalement assez lent. Le lecteur comprend très vite, à contrario des personnages qui continuent à se poser des questions. J'avoue... cela est parfois un peu agaçant....

Il a également quelques facilités : entre les rencontres heureuses, la confiance qui nait très vite entre certains personnages, parfois j'avoue avoir pensé à un film d'action américain où tout est un peu facile....

J'ai pensé plusieurs fois à un grand roman (je ne veux pas dire lequel.... si jamais vous ne savez pas de quoi parle ce roman....) avec un groupe de personnages qui va se regrouper, et affronter un grand méchant.



Globalement, une lecture sympathique, quelques défauts, mais avec laquelle j'ai passé un bon moment.

Je ne vais pas ressortir le cliché du "mythe du vampire revisité", mais l'approche quasi-scientifique des vampires dans ce premier volume d'une trilogie m'a bien plu. Ca se lit bien, comme le scénario d'un film, et ce n'est pas étonnant quand on sait que c'est co-écrit par le réalisateur Guillermo Del Toro est que le roman a été adapté en série TV récemment.

...Dès le départ, les avis furent divergents et cela a permis d’échanger longuement sur le genre du livre, le propos et le style de l’auteur. Ainsi Lyndsay n’a pas aimé l’abondance des détails du début alors que c’est justement ce que moi j’ai apprécié. La découverte de l’avion, les morts inexpliquées, cette lente mise en place des éléments et les hypothèses avancées par les médecins m’ont plu d’emblée.

Catherine, elle, a aimé le glissement en douceur du réalisme vers le surnaturel. Moi, c’est là que j’ai décroché n’allant pas au bout de ma lecture.

Lindsay, spécialiste du genre, a regretté l’étendue des points de vue et le nombre d’intervenants qui mettent finalement au deuxième plan les personnages principaux.

Là où nous sommes tombées d’accord, c’est sur le style. Nous nous accordons à dire qu’il est très scénaristique et pas aussi soigné que nous aurions aimé. Cela a déplu à Lindsay mais pas trop gêné Catherine qui craignait surtout qu’il n’y ait trop de vampires ou de zombis. Au final, c’est elle qui a été la plus positive et elle envisage même de lire la suite… un jour.

Quant au mail de Catherine, il nous confiait qu’elle avait trouvé l’atmosphère angoissante et éprouvante dès le départ et avait failli arrêter la lecture. Puis elle s’est surprise à adorer la montée en puissance inéluctable du récit. Elle s’est laissée prendre au jeu et a finalement apprécié l’écriture et l’histoire.

Un roman qui n’a donc pas fait l’unanimité et récolte une moyenne de 7/10, grâce à l’engouement des Catherine. :-)
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J’ai décidé de lire ce livre après avoir vu l’intégralité de la 1ère saison en série (The Strain) portée à l’écran par Guillermo del Toro lui-même.



Ayant beaucoup aimé la série (sanglante et gore à souhait), je me suis précipitée pour acheter les livres et lire le 1er tome.



L’histoire commence avec l’atterrissage d’un avion à l’aéroport JFK.. un avion visiblement mort, tout comme les passagers à son bord.. Ephraïm Goodweather, épidémiologiste au CDC est appelé avec sa collègue Nora, pour déterminer s’il s’agit d’un virus. Et ce qu’il va découvrir fait froid dans le dos !



Des vampires, non pas gentils et guimauves comme on a tendance à en croiser beaucoup mais style zombie, assoiffés de sang humain et avec une tendance à se reproduire plus vite que l’éclair commencent à envahir Manhattan.



Il se lie donc à Abraham Setrakian, prêteur sur gage et survivant de l’holocauste, mais seul homme à connaître la vérité au sujet des Strigoï (vampires). Ensemble ils créent un petit groupe qui semble être l’ultime rempart pour la survie de l’humanité !



Ce livre regorge de descriptions et d’explications qui permettent d’imaginer aussi bien les personnages que ce qui les entoure. Elles donnent tout de même un sentiment de longueur parfois mais au final c’est un livre qui se lit bien et pour les amateurs de livres d’horreur c’est une super lecture.



Le suspense est présent dès le début, on est tenu en haleine tout le long du livre par un changement de lieu et de personnages à chaque chapitre. J’ai, malgré tout, trouvé que la fin de ce tome était un peu rapide même si elle mets en place la suite qui promets d’être palpitante.



L’histoire du livre est beaucoup plus épurée que celle de la série, certains personnages n’y sont pas, des faits aussi mais même en ayant vu la série avant de lire le livre je ne me suis pas sentie « perdue », la trame se suit et les évènements s’enchaînent de façon assez similaire.



Je n’attendrais donc pas la sortie de la saison 2 pour lire le 2ème tome ! J’ai hâte de savoir si l’humanité va survivre ou juste servir d’immense garde – manger !
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