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Critiques de Clément Ghys (18)
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Vadim : Le plaisir sans remords

Vadim, ce nom vous évoque quelque chose ?

Pour une certaine génération,  ce nom, bien plus connu que son visage, est synonyme d'homme...à femmes.

Cette phrase vous choque ?

Pourtant, interrogez autour de vous, vous verrez.

Vadim, donc, homme à femmes, à filles même,  parce qu'elles sont toujours plus jeunes que lui, parfois très jeunes,  toujours très belles et blondes...

En choisissant Vadim, Clément Ghys n'a pas choisi la simplicité pour son premier livre.

Un choix qui peut surprendre de la part d'un jeune homme de vingt cinq ans qui n'a pas connu cette génération éprise de liberté qui voulait changer le monde dans les années "sixties" et "seventies".

Vadim Plemiannikov, qu'un fonctionnaire tatillon baptisera Roger, deviendra une icône masculine de cette glorieuse (ou moins, selon sa morale) époque.

Un temps journaliste à Paris-Match, il préfère l'oisiveté.  Eternel insouciant, son royaume est le monde de la nuit, Saint-Germain-des-Prés, ses bars et ses boîtes de nuit son refuge.

Premier mari de Brigitte Bardot qu'il découvrira alors qu'elle a à peine seize ans et qu'il épousera à dix-huit.

Première d'une longue série de conquêtes, certaines partageront sa vie (Deneuve, Fonda, Barrault pour les plus connues ) d'autres ne feront que passer.

Lancé dans le cinéma avec Et Dieu créa la femme, dans lequel il livrera le corps dénudé et magnifique de "sa" BB, ce qui, à l'époque déclencha la colère des esprits puritains pas encore prêts à ce genre d'image, il finira en réalisateur de pub pour la promotion d'aliments qui promettent aux femmes (encore elles) de retrouver un corps de rêve.

Grandeur et décadence.

Clément Ghys ne juge pas.

Ni l'homme, ni le père, ni l'amant.

Vadim, c'est...Vadim.

Il aime les femmes, l'alcool, la fête, la vie.

St Germain des Prés,  Saint-Tropez,  tous ces lieux festifs où il croise ses semblables.

A-t-il été heureux ?

Un jour la fête s'est arrêtée.

Les années quatre-vingt puis les suivantes, les jolies jeunes filles, comme lui, ont muri, se sont assagies, sont rentré dans le rang, en tout cas, se sont faites plus discrètes.

L'argent vint à manquer.

De Vadim, il ne reste que le nom.

L'heure de gloire est passée.

Clément Ghys n'en fait pas un héros,  il ne le porte pas aux nues, il ne le diabolise pas non plus.

Une biographie à l'image de l'homme, déroutante par moments, originale, sans révélations fracassantes, plutôt agréable à lire, pour tenter de percer le mystère Vadim...

Un homme de son temps qui a su en profiter...

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Vadim : Le plaisir sans remords





Après la biographie parue chez Seguier en fin 2016, "Vadim un playboy français" qui est étrangement la toute première chronique que l'on a publié pour 2017 on a embrayé récemment sur un autre ouvrage tentant de raconter le mystère de ce réalisateur qui a incarné toute une époque celle des années 60/70 et qui a révélé de nombreuses stars qui furent son égérie, de Brigitte Bardot évidemment, la mythique star de "Et dieu créa la femme", ce film qui avait bouleversé une époque- et qui a quand même sacrément mal vieilli depuis- je veux parler de Christian Vadim que le romancier Clément Ghys tente d'éclaircir les mystères à travers une biographie romancée qui vient de sortir chez Stock.



Il est d'ailleurs assez étonnant que plusieurs auteurs français tentent de percer le mystère d'une personnalité du 7ème art un peu oubliée des jeunes cinéphiles aujourd'hui., et qui a disparu au tout début des années 2000 .



Pourquoi ce réalisateur qui a quelque peu bousculé la morale de l’Europe de l’après-guerre,ouvert la voie à la Nouvelle Vague, incarné une dolce vita à la française et imaginé un érotisme populaire aujourd’hui suranné fascine à ce point les jeunes générations d'auteur?



Sans doute parce qu'il a façonné la puissance sexuelle de Bardot et que son coté dandy un peu nonchalant incarne l'homme à la française, macho mais protecteur avec les femmes qu'il a aimé ( Bardot mais aussi catherine Deneuve, Jane Fonda et enfin Marie Christine Barrault, excusez du peu) un modèle d'hommes qui n'existe plus vraiment et aussi car inconsciemment, Vadim a posé les fondations d'une culture pop à la française qui ne disait pas son nom.



Il était donc logique de réhabiliter ce cinéaste qui a "créé" Bardot et Fonda, réalisé dans sa filmographie très inégale une jolie adaptation de Sade , et déblayé le terrain à la Nouvelle Vague dans la France pré-68 et cette biographie romancée parfois un peu cruelle ( notamment en insistant sur le dernier film réalisé par Vadim, une pub à la gloire du produit minceur Slim Fast très à la mode au début des années 90 mais que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaitre) mais assez admirative de la carrière de son modèle.



Avec un regard sans concession et plutôt brillant, Ghys sonde cette tendance de notre époque à ressentir de la nostalgie pour cette période pré et post mai 68 où le désir et le plaisir semblait se vivre peut être pas sans regret mais en tout cas sans remords ..
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Vadim : Le plaisir sans remords

J'avoue que pour moi Vadim c'était avant tout le mari de Marie-Christine Barrault, même si je connaissais sa filmographie et les femmes de sa vie de très loin. Pour tout dire j'ai un vague souvenir de Barbarella avec Jane Fonda mais je suis certaine de ne pas avoir vu ses autres films. Comme je ne suis pas une très grande fan de Bardot l'actrice, et surtout de sa façon de parler à l'écran, je n'ai vu pratiquement aucun de ses films. A travers ce livre j'avais surtout envie de découvrir l'homme derrière le cinéaste mais je me suis très rapidement rendu compte que les deux étaient indissociables. Dans ce livre, Vadim vit avant tout à travers les femmes qu'il fréquente, ses ambitions, ses espoirs, ses fantasmes, se dessinent à travers la femme du moment, bizarrement il donne l'impression de ne pas savoir vivre tout seul, toujours en perpétuelle recherche d'approbation, malgré ses fanfaronnades et ses provocations de jeune mondain de St-Germain-des-Près.



J'étais un peu déçue en commençant ma lecture car j'aurai aimé en connaître un plus sur l'enfance de Vadim, j'ai trouvé que cette partie était vraiment survolée dans le livre et qu'elle aurait méritée d'être plus détaillée. On comprend toujours mieux quelqu'un quand on sait d'où il vient et là j'avoue être restée un peu trop sur ma faim par rapport à sa jeunesse, à sa famille et à ce qui l'a amené à être dans cette recherche perpétuelle de plaisirs faciles. La vie du jeune mondain de Saint-Germain-des-Près m'intéressait beaucoup moins, peut-être parce que ce n'est pas une période que j'aime particulièrement, et que les codes de l'époque ne me passionnent pas plus que ça. Bardot, St-Tropez, les décapotables, la dolce vita revisitée, Bonjour Tristesse… tout cela me semble un peu trop "clichés"...
Lien : http://bidules16.canalblog.c..
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Vadim : Le plaisir sans remords

Une epoque, le cinéma et son evolution, la dolce vita française, des femmes, un homme, on ne le lache pas.
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Le Passant du Bowery

Parfois l’arbre cache la forêt. Parfois aussi, il suffit au flâneur de pousser les branches pour dévoiler la forêt. Le flâneur, c’est ce passant qui nous fera traverser le XXème siècle. L’arbre, c’est cet immeuble situé au 222 Bowery, à New York. La forêt, c’est les avant-gardes qui y trouvèrent refuge, en attirèrent d’autres et d’autres encore, artistes de tous bords : Patti Smith, Lydia Lunch, Andy Warhol, Brian Jones, David Bowie, Susan Sontag etc. attirés par Mark Rothko, John Giorno, Lynn Umlauf, Michael Goldberg ou William S. Burrough, « le vieux sage beat » qui « était le trait d’union entre tous » - vivant là dans son « bunker » mythique. Richement documenté, cet ouvrage de Clément Ghys, journaliste, n’épuise jamais, ni son sujet, ni le lecteur, celui-ci se confondant peu à peu avec ce « passant » qui rêve ce New York des arts et de la baise, de la misère violente à la gentrification peu glorieuse, des homosexuels et des années sida, et se demande : « Quelle drôle de ville que New York où on semble ne jamais échapper au romanesque, où on doit se contenter du pire et du meilleur, et jamais de l’entre d’eux. » Un livre fou, éblouissant, rock et génial. Recommandé.
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Le Passant du Bowery

Acheté à la faveur de l’exposition Rothko à la Fondation Louis-Vuitton, ce drôle de documentaire me laisse dubitative.

Le narrateur, derrière lequel se cache maladroitement l’auteur, cherche à retrouver la magie du passé artistique du 222 Bowery Street, adresse prestigieuse par la succession de ses locataires : Léger, Rothko, Burroughs, Giorno… excuser du peu.

Malheureusement, au lieu de s’effacer devant son sujet et ses personnages, l’auteur s’attache à montrer combien il est brillant et cultivé. Tant de prétention finit par fatiguer. Aussi, je me suis éloignée pour laisser les figures emblématiques de la Beat generation entre elles.

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Le Passant du Bowery

J'étais extrêmement intriguée par ce résumé et étais ravie de le recevoir grâce à l'opération Masse critique (merci à Babelio et aux éditions du Seuil).



Mais je suis désolée, je n'étais pas la cible et mon avis s'en ressent. Mon avis ne sera pas représentatif, je pense.



J'ai adoré la plume de Clément Ghys. Mais j'ai détesté le narrateur. J'aurais apprécié le reste, le côté culturel et historique mais j'ai beaucoup manqué de références. Des noms connus mais beaucoup de noms connus que de nom et de noms inconnus...J'ai été parfois bien perdue.

Le narrateur ne m'a pas aidée évidemment puisque sa personnalité, ses pensées m'ont vraiment mise en retrait.



Je garde mon exemplaire afin de le retenter plus tard, quand je serai mieux informée.
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Le Passant du Bowery

Le casting façon New York grande époque Beats génération attire, on sent combien le récit devrait croustiller à chaque page... Bref, j'achète.

Le propos est dilué jusqu'à l'insipide, le name dropping s'avère vain, le "je" du narrateur nappe le tout d'une sauce indigeste... Bref, pourquoi j'ai acheté ?
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Vadim : Le plaisir sans remords

17 ans après sa mort Vadim fait encore parler de lui. Pourquoi ce séducteur et cinéaste, découvreur de talents et surtout de femmes-déesses à talent, intrigue-t-il encore ? Plus que lui-même c’est ce qu’il représente qui fascine notre génération parce qu'au fond, Vadim est un fait de société à lui tout seul !



Après l’immense succès du film “Et Dieu créa la femme” tourné en 1956 Vadim devint star de sa génération tout comme celle qu’il choisit pour être sa muse, Brigitte Bardot.



A l’instar de toute sa vie, Vadim papillonne au fil des pages en les imprégnant de sa légèreté. Il fut certes découvreur de talents mais sut aussi et surtout humer l'air du temps comme personne.



L’auteur déroule la vie de ce touche-à-tout séducteur et pygmalion qui osa tout pour vivre à 100% et sans remords ses plaisirs dans une France prude et moralisatrice des années 60. Il fit le bonheur de la presse populaire féminine et à scandales car ces hommes-là fascinent, qu’on les aime ou les déteste, ils ne laissent jamais indifférents.



Naissent-ils hédonistes ou est-ce la vie et toutes ses aspérités qui les rendent ainsi ? Un peu des deux.



Alors que sa carrière de cinéaste décline avec les années et que toutes les femmes qu’il a révélées à l’écran (Brigitte Bardot, Catherine Deneuve, Jane Fonda,...) connaissent un succès international, Vadim résiste sans amertume, rien ne semble saper son moral, il reste beau, séduisant et croquant la vie à pleine dent. C’est là qu’était son génie !



Un homme dont la vie même répond exactement à la soif de nostalgie de notre époque.



Clément Ghys, né en 1985, a été journaliste à Libération ; il travaille aujourd’hui à M, Le Magazine du Monde. “Vadim, le plaisir sans remords” est son premier livre.
Lien : http://dominique84.overblog...
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Vadim : Le plaisir sans remords

Je connaissais vaguement le nom de Vadim. Je savais qu’il avait été l’époux de Brigitte Bardot, qu’il était associé à ce fameux film Et Dieu créa…la femme. J’en savais assez peu sur ce personnage finalement. Lorsque je découvris le livre Vadim, le plaisir sans remords, je me suis lancée avec surprise dans cette lecture. Je voulais en apprendre davantage sur Vadim mais aussi sur ce Saint-Germain-des-Près, qui continue encore à faire briller mes pupilles. Un endroit magique où j’étais avide d’en délecter les quelques moments vécus par ce fêtard de Vadim.



Suite de la critique à lire sur Auria.fr
Lien : http://auria.fr/vadim-plaisi..
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Le Passant du Bowery

J'ai lu ce livre dans le cadre de la masse critique Babelio et j'étais plutôt ravie de le recevoir. En effet, j'avais entendu l'auteur Clément Ghys parler du livre avec Laurent Ruquier et le sujet m'avait intéressé. J'ai aimé ce cheminement dans ce bâtiment, le style de l'écriture. Par contre je ne connaissais pas tous les artistes cités dans le livre et çà m'a un peu perdu. Je pense que si j'avais mieux connu leurs oeuvres, j'aurai pu mieux appréhender ma lecture. Mais çà n'a pas affecté mon plaisir de lire ce bouquin. En allant faire un tour sur Google Maps, on voit que l'immeuble a l'air abandonné. Le mieux serait d'aller voir sur place :-)
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Vadim : Le plaisir sans remords

Reçu dans le cadre de la masse critique Babelio, j'ai découvert avec envie cette biographie de Roger Vadim, réalisateur que je connaissais un peu.

Pas de grande découverte sur ses films ou la mythologie Bardot mais une réelle approche de l'époque d'après-guerre, où ces jeunes gens inventent le nouveau monde et réalisent de façon parfois brutales que l'avenir leur appartient.

J'ai beaucoup aimé cette analyse de la jeunesse des années 50, mais pour une biographie rien de bien neuf sur l'homme qu'était Vadim.

J'ai nettement moins aimé la description un peu bâclée des années 70-80.



Un livre à lire pour ceux qui sont nostalgiques ou pour ceux qui veulent un peu vivre cette époque particulière des années 50-60.
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Vadim : Le plaisir sans remords

Merci Babelio pour l’envoi de ce livre.



Roger Vadim, le réalisateur de Et Dieu… créa la femme.



Ce séducteur qui tenu dans ses bras les plus belles actrices de son époque.



Mais que reste-t-il de ses années cinquante si libres et légères ? Que reste-t-il de Vadim aujourd’hui ? La jeune génération sait-elle qui il est en dehors des étudiants de cinéma ? C’est ce que ce propose de retracer l’auteur : la vie d’un garçon de Saint-Germain-des-Prés dans les années 50 et son parcours de réalisateur.



Les chapitres débutent presque tous par »La jeune-fille danse dans la boîte de nuit. » car tout commençait dans les boîtes autour d’une danse et d’un regard. Comme si elles-étaient interchangeables ? Vadim s’est toujours défendu de façonner les femmes qu’il aimait en actrice de cinéma, blonde de surcroît. Un peu réducteur en effet et l’auteur nous montre que c’est plus complexe que cela et que tout tenait de l’époque et de l’aura de Vadim, un jeune-homme auquel on peut difficilement résister. D’abord Bardot, qu’il épousa dès sa majorité et qu’il propulsa en même temps que lui dans le brûlant Et Dieu… créa la femme. Puis celle qu’on oublie bien souvent, Annette Stroyberg sans cesse comparé à Bardot, puis Deneuve et Jane Fonda. Des femmes belles aux caractères de feu qu’il lança, pour la plupart, sur les plateaux de cinéma. Mais Vadim est un homme aux multiples facettes qui rêve sa vie comme un film. La réalité est parfois toute autre. Et dans ce livre nous voyons que le vrai personnage principal de sa vie est la Femme. Qu’il regarde, façonne, met en image, certes, mais parfois c’est elle qui est plus en avance que lui et créer le décalage.



En parallèle, c’est également l’époque que décortique Clément Ghys et surtout le quartier de Saint-Germain-des-Prés et le cinéma en pleine mutation. C’est la vie dans les bars et les boîtes, les discussions, les castings et la vie facile. C’est le cinéma français qui s’écrit et c’est Godard qui dit de lui : » Ainsi, inutile de féliciter Vadim d’être en avance, car il se trouve seulement que si tous les autres sont en retard, lui, en revanche, est à l’heure juste. »



Le livre est beau et nostalgique, montrant la fascination d’un homme pour un autre qu’il n’a pas connu et pour un âge d’or qu’il fantasme.
Lien : https://topobiblioteca.wordp..
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Le Passant du Bowery

« Le Passant du Bowery » est une promenade mélancolique et inspirée dans le mythique immeuble new-yorkais, antre de la Beat generation.
Lien : https://www.lepoint.fr/livre..
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Le Passant du Bowery

Un livre passionnant sur le milieu interlope de l'avant-garde new-yorkaise !

Clément Ghys nous fait découvrir le 222 Bowery à New-York où l'on va croiser William Burroughs, Andy Warhol, Mark Rothko, John Giorno et bien d'autres.... un monde de création et de folles nuits débridées !
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Le Passant du Bowery

Tout d’abord, je tiens à remercier Babelio de m’avoir permis de lire ce livre. Nous nous retrouvons au cœur du New York des années 60, dans un immeuble qui a accueilli tout le gratin artistique de l’époque.



Ce livre rend véritablement hommage à ce New York des années 60 et à ces artistes dont les noms restent encore aujourd’hui dans la mémoire collective et bien plus, car ce livre est à la gloire de la liberté (sexuelle, mais pas que) qui commence à poindre à l’époque.



Cependant, il faut vraiment s’intéresser à l’histoire de l’art contemporain pour que ce roman devienne réellement passionnant, car, même si le sujet en lui-même est très intéressant, la multiplication à outrance des références à l’histoire de l’art contemporain peut rendre la lecture relativement opaque au lecteur non-initié.

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Le Passant du Bowery

Le livre est un cri d’amour à l’endroit de New York, et pour cette simple raison, nous le remercions, tant aujourd’hui l’idéalisme a déserté le roman français.
Lien : https://www.transfuge.fr/202..
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Vadim : Le plaisir sans remords

Clément Ghys retrace le parcours désinvolte et romanesque du cinéaste qui, tel un démiurge, fit naître le phénomène Bardot.
Lien : http://next.liberation.fr/li..
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