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Citations de Cora Carmack (90)


Tiens, c'est décidé, a-t-il enchaîné, je ne tombe plus amoureux de toi. Je suis amoureux de toi. Ce n'est pas trop excessif ?
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Un sourire plein de fourberie s’étirait sur les lèvres de Max.
Et la gifle est partie d’un coup.
Elle ne m’a pas fait mal. Pas vraiment.
La sensation était d’ailleurs étrangement surréaliste. Comme si j’avais été projeté à travers un pare-brise. C’était la première fois qu’une fille me giflait. Et j’étais certainement le seul prétendant au monde, fictif ou pas, à être giflé par sa promise pour avoir plu à ses parents
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A partir de là, je me suis laissée porter par les rires et les conversations décousues. La vie était magnifique, et, si tout se passait comme je l'espérais, elle allait être encore plus belle.
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- Il t'arrive de ne plus te supporter, Golden Boy ?
- Parfois, oui. Et toi ?
Son honnêteté me donnait envie de me confier, moi aussi.
Inspirer.
Expirer.
- Oui, tout le temps.
Nous avons continué de marcher en silence, et, bizarrement, c'était confortable. Je regardais les façades des immeubles, les trottoirs inégaux, les lumières dans les appartements... Je connaissais bien ce chemin, c'était pourtant la première fois que je faisais attention à ce qui m'entourait.
C'était surprenant.
- Tu crois que tout le monde est comme ça, ai-je repris, ou c'est nous qui avons un problème ?
Il n'a pas répondu tout de suite.
- Personne n'en parle, mais je crois que tout le monde est comme ça, même les gens heureux. C'est dur de vivre, et plus le temps passe, moins c'est facile. Alors on s'arrête, on ferme les yeux, on va faire un jogging, ou on prend une longue douche. Ca permet d'oublier qui on est, ce qu'on doit faire tous les jours.
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Les meilleurs moments dans la vie sont souvent ceux qu'on a pas prévus. Et le bonheur se trouve rarement là où on l'attend.
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Je me sens comme une nouille trop cuite.
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Les doigts de Garrick m'ont effleuré la joue, créant un véritble séisme sur leur passage. Je n'ai pas bougé; je ne faisais rien de mal. Mais si je soulevais les paupières, si je voyais son sublime visage, ses lèvres sensuelles, j'étais sûre de franchir une limite complètement, radicalement interdite.
- Bliss...
Ce n'était qu'un murmure, un souffle sur mes lèvres, juste avant qu'il ne s'en empare.
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Elle me faisait penser aux nymphes qui peuplent les pièces de Shakespeare. Elle m'offrait aussi, libre et d'une beauté presque surnaturelle, le tableau le plus érotique que j'aie jamais vu. J'étais sûr de ne jamais l'oublier et je n'allais plus tenir très longtemps.
Ses mains sont revenues sur mon torse, ses ongles m'ont éraflé, et j'ai bondi vers elle. Elle a jeté la tête en arrière et, en même temps que son cri, mon univers s'est désintégré avec le sien.
Elle est retombée sur moi, le regard voilé. Je l'ai serré dans mes bras, et, tandis que les derniers frissons de plaisirs nous traversaient, je mes suis assis sans la lâcher.
Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés enlacés, front contre front, les yeux dans les yeux. Quelques secondes, des heures ou des années, tout ce que je sais, c'est que je n'avais plus envie de bouger. Nos corps s'emboîtaient parfaitement comme deux morceaux de puzzles. Comme deux moitiés d'un tout enfin réuni.
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J'ai essayé d'imaginer nos vêtements jetés par terre, ses mains sur ma peau, mes lèvres sur les siennes. J'ai recommencé. Malheureusement, à chaque fois, c'était Garrick que je voyais. Pas Brandon.
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Je l’avais vue entrer avec son petit copain. Ils respiraient l’assurance et, malgré leur allure un peu trop ouvertement provocante, la désinvolture. Lui était tout en noir, yeux, cheveux, vêtements, tatouages. Tous les motifs que je pouvais voir – une collection de têtes de mort, de pistolets et de coups-de-poing américains – étaient morbides ou agressifs. Elle, en revanche, était lumineuse. Du rouge vif de ses cheveux à la teinte de son rouge à lèvres, en passant par la couleur des dessins sur sa peau. De petits oiseaux volaient le long de son cou, et ce qui ressemblait à la cime d’un arbre émergeait du décolleté en cœur de sa robe années 1950.
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Tandis qu’il s’éloignait, je me suis laissée tomber contre le mur. Le sexe, de toute évidence, n’était pas fait pour moi. Dieu, par l’entremise d’un pot d’échappement, me faisait savoir que j’étais née pour être nonne. Va-t’en dans un couvent !
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- Garrick ...
- Quoi ? Ce n'est pas parce que je ne peux pas t'avoir maintenant que je suis prêt à te céder à Cade.
Ma raison, au mot "maintenant", avait déraillé, mais je me suis ressaisie.
- Je vais faire comme si tu n'avais pas parlé de moi comme d'un objet qu'on possède- On peu t se posséder mutuellement.
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- Cade et moi ne sommes pas ensemble. Nous ne l'avons jamais été.
Ses yeux étaient grands ouverts et sa tête penchait d'une façon qui me disait qu'il ne me croyait pas.
- Est-ce ce que tu pensais depuis tout ce temps ? Que je le trompais avec toi ? Oh mon Dieu...
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Comme mon père aime à le répéter, désormais, on apprend tellement de ses erreurs ! Même à être heureux… 
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Depuis, j’ai toujours l’impression d’avoir ce couteau dans le ventre.
Autre endroit, même supplice.
À moins que je ne fasse quelque chose pour me libérer.
Oui, mais non. C’est plus facile d’être malheureuse. Plus facile de me libérer du bras de Stella que de provoquer un méga-conflit paternel. 
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Glissant les bras autour de son cou, je me suis dressée sur la pointe des pieds et, signal universel de l'éternel "embrasse-moi", j'ai légèrement incliné la tête en arrière.
Il n'a pas perdu son temps. Sans blague. En moins d'une seconde, j'avais sa langue entière tout au fond de la gorge et l'impression désagréable d'être étouffée par le fils naturel d'un lézard et de Gene Simmons.
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— Tu es adorable, a-t-il repris.
— Oui… « ridiculement adorable ».
— Peut-être préfères-tu « ridiculement sexy » ?
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Il m’a souri.
— On fait la paix ?
J’ai opiné juste avant de recevoir le coussin en pleine figure.
— À partir de maintenant, a-t-il cru bon de préciser.
— Persécuteur.
— Menteuse.
— Crétin.
— Adorable.
— Tu es nul en insultes.
— Tu fais la grimace chaque fois que je prononce ce mot, alors ça compte.
— Golden Boy.
— Angry Girl.
J’ai souri. Il n’était pas seulement charmeur, il avait aussi le don de désamorcer mes colères.
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J'avais décidé de cocher cette fichue case "sexe" de mon agence. Alors je l'ai regardé, en me mordillant les lèvres. J'étais venue pour ça.
- Peut-être que nous pourrions aller l'attendre ensemble ?
J'espérais avoir l'air plus assurée que je ne l'étais vraiment. Mais il fixait mes lèvres avec une telle intensité que je ne savais si je voulais fuir ou si j'étais prête à me damner pour un baiser.
- Excellente idée.
Il s'est levé et m'a offert son bras.
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Je n’ai compris à quel point j’étais encore choquée qu’en éclatant nerveusement de rire. J’ai aussitôt fermé les yeux. Les doigts de Garrick m’ont effleuré la joue, créant un véritable séisme sur leur passage. Je n’ai pas bougé ; je ne faisais rien de mal. Mais si je soulevais les paupières, si je voyais son sublime visage, ses lèvres sensuelles, j’étais sûre de franchir une limite complètement, radicalement interdite.
— Bliss…
Ce n’était qu’un murmure, un souffle sur mes lèvres, juste avant qu’il ne s’en empare.
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