La poésie, les jardins, l'architecture, la peinture, la spiritualité, le quotidien même : tout ici, et à Kyoto plus encore, résonne d'une efflorescence de sens qu'une vie entière ne suffit pas à épuiser.
Absorbons ces poèmes qui font écho au souhait rilkien d' "entendre chanter les choses". Des poèmes-lâcher-prise, écrits par des fous de poésie. Ils n'impose rien, ils offrent, ils tendent, ils éclosent. Ils disent une "reconnaissance" - ce serait ici le sens profond du mot "satori". Ils sont une "folle sagesse" mise en poésie.