Cullen Bunn

Sympathique premier tome d'une série mêlant trafics, ésotérisme et histoire familiale, dans les rues de la Nouvelle Orléans.



La famille Winters est la créatrice et fournisseuse exclusive d'une nouvelle drogue, aux propriétés incroyables : la "cendre".

Faite à partir de cadavres, elle provoque des hallucinations, variant pour chaque personne, et la nouvelle de son efficacité se répand en ville comme... une trainée de poudre ! En ville, et au-delà, au point d'attirer intérêt et convoitises.



Un petit côté Breaking Bad dans cette entreprise familiale de drogue devant faire face aux "géants du marché". Vendre son affaire ou risquer de se la faire prendre ? Ou bien tout envoyer balader ? La famille Winters va devoir faire des choix !



Le dessin de Jonas Scharf est très plaisant et retranscrit avec talent les diverses ambiances imaginées par Cullen Bunn.



Vivement la suite !

La série ne s'épuise pas



Une suite digne du reste de la série. Nos héros Becky et Drake sont enlisés dans une frontière magique où ils sont pourchassés par le Wendigo. Drake est hanté par les révélations de l'épisode précédent et a perdu de son ardeur habituelle, il va falloir tout le courage de Becky pour l'aider à sortir de se mauvais pas sans se sacrifier inutilement.

De leur côté Gord, Asher et Kirby font une alliance temporaire pour retrouver Becky et Drake mais ils sont poursuivis par l'épée d'Abraham. L'histoire continue donc à jouer avec le côté ambigu de certains personnages, héros malgré eux, mais susceptibles à tout moment de trahir leurs compagnons. Kirby, amoureux de Becky mais trop mercenaire pour lui être fidèle, Asher Cobb dont la quête personnelle est probablement plus importante que celle des révolvers. Becky se revèle de plus en plus forte, elle même tentée par le démon de la vengeance.

Aucun essoufflement, donc mais au contraire une saga qui arrive à garder sa tension épique au fur et à mesure des épisodes. Vivement la suite!!

Un Walking Dead sauce Deadpool, une invasion de zombie qui dévorent les humains les changeant ainsi en zombie à leur tour.



Deadpool ? Dernier "super héros" de la terre ? Dernier espoir pour sauver la situation ? Aie.



Si le coté dessin noir & blanc & rouge est sympa et que quelques blagues peuvent faire sourire, le scénario n'est pas top.

Pour moi l’un de mes préférés dead pool étant fan du personnage j’ai trouver un pure moment de lecture .

Gore et trash du bon dead pool à ne pas mettre entre toutes les mains ...



Dead pool part tuer « Amis & ennemis » , de façon totalement trash et sans scrupule

Demasiada nostalgia en el número anual me hace puntuarlo así.Ese número es casi como el comienzo, pues ahí se recuerda lo que pasó desde que Jean Grey vuelve a la vida (osea sigue el final de "La Resurrección de Jean Grey"), es un flashback pero que bien se puede leer primero. Cuenta cómo reúne al equipo y las primeras sensaciones de Jean vuelta a la vida. Una de ellas que no había tenido en cuenta es que Jean Grey jamás conoció a Laura (X-23) pues murió antes que aparezca en las historias de X-Men.Y de eso se trata este primer volumen. Jean Grey reúne con ella en su equipo de X-Men Red a Nightcrawler, Gaby y Laura (que me parece muy acertado), una nueva recluta india Trinary y Namor. La amenaza es una mutante telépata muy poderosa, casi tanto como la propia Jean.

Situé quelques temps avant « la menace fantôme », cet album suit Dark Maul, l’apprenti de Dark Sidious.

Dark Maul souhaite enfin se battre contre un Jedi mais son Maître a des plans qui ne permettent pas au Sith de se découvrir et le contraint à rester dans l’ombre et à ronger son frein.

Mais à l’occasion d’une petit mission, Dark Maul à l’occasion de se frotter à un Jedi. Se laissera t’il tenter par un combat et désobéir à son maître et risquer ainsi une lourde punition ?

Le synopsis est intéressant, le récit passionnant... j’ai été seulement déçu par l’affrontement, très rapide et peu spectaculaire alors que c’était l’attrait principal de cet album. Il reste une histoire très interessante qui permet de découvrir un guerrier Sith que l’on voit et surtout que l’on entend à peine dans l’Episode I. On découvre ainsi d’où vient son irrépressible envie d’affronter et tuer des Jedi.

L’album se termine par un court récit humoristique avec les droides de Dark Maul sur la planète Tatouine : une idylle entre deux droides à la sauce « Wall-E » mais loin d’être aussi drôle que le film d’animation.

Acheté 3,99 dans la collection Deadpool la collection qui tue... Je me disais à ce prix là je ne prend pas trop de risque.

Pour la plus part d'entre nous on le connais via les films, voir quelques comics (que j'ai apprécié) dans mon cas.



Mais ici je me demande où est passé le scénario parce qu'il y en a aucun hormis de tuer et tuer tout les personnages connus... Idem pour massacre les classiques qui est du même niveau... Vraiment déçu

Voilà une bande dessinée originale , des fantômes , des esprits , des armes maléfiques , des zombies dans un cadre Far-West . Si vous aimez le fantastique lovecraftien, le gore c’est une série ( encore 4 volumes à suivre) que vous devriez apprécier . Moi , j’ai bien aimé …

Après avoir aidé à sauver le monde avec ses monstres dans le 1er opus de la série, Kei Kanade (aka Kid Kaiju) revient pour botter le train des menaces a taille démesurée.

Un 1er arc qui tient sur plusieurs épisodes plutôt interéssant et qui marque le retour de certains méchants un peu oubliés de l'univers Marvel. Puis quelques épisodes un peu brouillons, manquant de profondeur. Dommage car je trouve que cette série avait du potentiel. J ai aussi été pas mal rebuté par le dessin trop lisse et au style trop manga qui étaient bien éloignés de celui de l'événement Monsters Unleashed.

Cullen Bunn signe de nouveau un scénario solide qui associé au dessin de Brian Hurtt et à la superbe colorisation de Bill Crabtree fait de ce second tome une suite à la hauteur du premier.
Lien : https://www.scifi-universe.c..

Venom "Les monstre du mal" est la première bande dessinée américaine que j'ai lue donc comment vous décrire mes impressions... D'un avis objectif, je vous dirais que c'est un comics que je conseillerais, car je ne me lasse pas de le lire, de le regarder ou bien de redessiner les images. Les scénarios sont plutôt sympas à découvrir.



BerS

Récit en 50 épisodes, THE SIXTH GUN se déroule dans un univers « western » fantastique, dans une réalité alternative située peu après la fin de la Guerre de Sécession. Un pistolero, Drake Sinclair, cherche à rassembler six révolvers aux pouvoirs magiques. Ces armes ont existés de tout temps, quoique sous des formes différentes. Elles exercent un attrait irrépressible sur le Général Hume, un militaire zombifié qui a légué quatre des armes à ses « cavaliers de l’apocalypse », et son épouse, laquelle possède l’un des six révolvers, celui qui confère l’immortalité.

Drake porte secours à une jeune femme, Betty Montcrief, en possession de la sixième arme, hérité de son père adoptif, un pasteur récemment abattu par les hommes de Hume. Le révolver de Betty lui permet d’entrevoir l’avenir et la jeune femme décide de se rendre vers un fort mystérieux surnommé le Maw. Accompagnée par Drake et quelques autres, Betty y apprend la véritable nature des six révolvers.

THE SIXTH GUN constitue une excellente bande dessinée qui mélange adroitement western, fantasy et horreur en assumant complètement ses côtés « pulp ». Nous sommes dans un univers riche, avec comme fil conducteur la quête de six artefacts maléfiques aux pouvoirs redoutables (ramener les morts à la vie, cracher une maladie mortelle, tirer avec la puissance d’un canon, etc.) et des personnages intéressants. La troupe disparate est menée par Drake Sinclair : ambigu, comme tout bon pistolero de l’Ouest, cet anti-héros en quête d’argent ou de rédemption (la suite nous éclairera sur ses motivations) appartenait jadis à la bande de Hume. Au terme de divers péripéties, le rapport de force s’inverse et Drake entre en possession de quatre des six révolvers bien qu’il n’ait guère envie de s’encombrer d’un tel fardeau. Betty, elle non plus, ne se montre pas enchantée à l’idée de garder son arme. Toutefois, tel Frodon et son Anneau, la jeune femme devra le garder hors de portée des forces ténébreuses qui souhaitent s’en emparer.

Le récit est alerte, fort rythmé, et ne perd pas de temps en route : plutôt qu’une longue présentation, l’auteur nous plonge directement au cœur de l’action . Il parsème l’intrigue de flashbacks ou d’explications, toujours brèves, qui ne ralentissent pas le déroulement de l’histoire mais approfondissent les relations entre les différents personnages. Quoique de nombreuses questions restent sans réponses, le récit se termine sur une conclusion provisoire mais satisfaisante qui boucle efficacement ce premier arc narratif de qualité.

Le dessin, pour sa part, se montre classique, efficacement classique même, proche de l’école européenne dans le découpage, assez sobre, et la caractérisation des personnages, bien typés.

Une bande dessinée enthousiasmante qui supporte très bien la relecture. Hautement conseillé !


Lien : http://hellrick.over-blog.co..

Je me la suis offerte parce que les illustrations me rappellent beaucoup celles de Nailbiter, que j'avais déjà beaucoup aimé. Du coup, concernant cette histoire, j'ai bien accroché même si j'ai trouvé le dénouement trop rapide.

Deux ans après la sortie du premier tome intitulé « Deadpool : la nuit des morts-vivants », qui avait mené notre anti-héros au beau milieu d’une apocalypse zombie à la George Romero, nous retrouvons le scénariste Cullen Bunn pour un second tome déjanté.



Souvenez-vous ! Deadpool avait trouvé la solution à l’épidémie zombie. Quand un zombie le dévore, celui-ci se transforme en Deadpool. Mais cette solution n’est pas forcément la plus brillante…



Ce second tome, même s’il perd un peu de son charme, préserve son humour noir décapant. Un comics qui s’attache bien aux caractéristiques loufoques du plus célèbre des anti-héros.

Avec All-New X-Men, Hopeless signe des histoires plus légères et plus fun. Mais, cela reste du bon divertissement. [...] Mark Bagley fait un boulot honnête au dessin, c'est propre et efficace.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..

Délicieusement effrayant, horriblement addictif, Harrow County rend dépendant dès les premières planches tant par son graphisme élégant que son suspense haletant.
Lien : http://www.bdgest.com/chroni..

Petite déception pour cette suite finalement inutile.

Si les dessins restent impressionnants et la lecture fluide, je n'ai pas retrouvé les qualités du premier tome. Il n'y a quasiment pas d'idées neuves, ou alors elles sont sous-exploitées. On ne retrouve plus toutes les références zombiesques, ni même la cascade de gags.

Il reste tout de même le plaisir de voir toute une galerie de zombi'pools totalement idiots, mais c'est très mince comparé au tome précédent !

La chasse des Skinwalkers nous rapproche de la fin de cette incroyable saga. Cette série est une véritable pépite, une série unique, que je ne peux que continuer à vous recommander !




Lien : http://www.sceneario.com/bd_..

Cet album regroupe les quatre parties de la saga intitulée Héritages pour le personnage des Marvel, Wolverine. L’histoire est dédiée principalement à l’enfant présumé de Wolverine. Dans le récit, nous découvrons par flashback la vie de Wolverine et ses choix passés qui ont menés son fils à devenir un mutant malgré lui.

Le récit est assez perturbant. Les flashback entrecoupant l’histoire en petite partie ne permettant pas réellement de s’immerger dans les détails. Nous apprenons malgré tout à connaître le fils de Wolverine et quel destin compte-t-il choisir finalement.

Au niveau du graphisme, l’atout réside dans le travail des personnages. Les décors sont parfois simplifiés tellement que c’est pas attrayant à lire. Les couleurs sont corrects mais la colorisation logicielle est flagrante et gâte un peu cette bande dessinée.

Un ensemble un peu décevant alors que l’histoire semblait assez bien construite.
Lien : https://lectureroman.wordpre..

« The Sixth Gun » se déroule dans l’Amérique du XIXe siècle, juste après la fin de la Guerre de sécession et propose un western fantastique peuplé de morts vivants et de créatures mystiques. C’est dans ce Far-West hanté par des forces occultes que le lecteur est invité à suivre les pas de Drake Sinclair, un aventurier qui tente de récupérer un lot de six révolvers aux pouvoirs incommensurables, convoité par plusieurs personnes malintentionnés.



Cullen Bunn livre un scénario riche en rebondissements, qui ne lésine pas sur l’action. Il a cependant parfois tendance à vouloir en faire un peu trop, mélangeant un peu de tout, trop rapidement. Il ne s’encombre donc pas d’une mise en place minutieuse et ne s’attarde pas non plus sur le développement psychologique des personnages, mais fonce directement dans le tas, proposant un récit original, rythmé et particulièrement divertissant, mais qui ne fait pas forcément dans la finesse ou dans la profondeur.



Visuellement, Brian Hurtt (Queen & Country) accompagne avec beaucoup d’efficacité les délires de son scénariste. Grâce à un découpage efficace, il contribue à la grande lisibilité de cette histoire rocambolesque et propose au passage quelques très belles doubles-pages.



Divertissant et très plaisant à lire !
Lien : https://brusselsboy.wordpres..