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Critiques de Daisuke Sato (28)
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Highschool of the Dead, tome 1

Par un banal matin d'avril, Takeshi, élève en classe de première, s'apprête à sécher les cours après une nuit blanche. De la terrasse de son pensionnat où il pensait rattraper ses heures de sommeil, il assiste à une scène aussi insolite qu'inquiétante : un professeur se fait dévorer par ce qui lui semble être un mort-vivant ! Sans chercher à comprendre, il interrompt les cours pour alerter Rei, son amie d'enfance. Accompagnée d'Hisashi, son petit ami, elle se joint à Takeshi pour tenter de comprendre et surtout de sauver leurs vies. Dans les couloirs, d'autres groupes réussissent à combattre les zombies mais les morts s'accumulent. La situation est désespérée, le lycée devient trop dangereux, il faut quitter les lieux. Les survivants volent un bus pour fuir, essayer de récupérer les membres de leurs familles et s'éloigner de la menace. Mais le monde a changé, la planète toute entière est contaminée par cet étrange virus...



Grand format, papier glacé et tout en couleurs...la première impression est bonne, d'autant que les dessins en mettent plein la vue, hémoglobine oblige. Partant de là, l'histoire ménage le suspens tout en se conformant aux codes du genre : une horde de zombies à la dent dure, une contamination rapide par simple morsure, des survivants héroïques qui se débattent entre incompréhension et instinct de survie. C'est plutôt bien fait, suffisamment gore pour les fans de sang frais, et certaines personnalités émergent, les grandes gueules, les coeurs purs, les ''malgré eux'' et les profiteurs.

Au final, ce qui dérange dans ce manga, c'est le public visé, à savoir un public masculin libidineux qui ne se contenterait pas d'un bon scénario mais voudrait aussi se rincer l'oeil...Aussi, les jupes sont courtes, les petites culottes affriolantes, les positions équivoques, les poitrines extravagantes. Pour l'instant, on peut passer outre, mais il ne faudrait pas que ce travers prenne le dessus sur le récit. A suivre donc, puisque par ailleurs, on accroche suffisamment aux personnages et à l'ambiance apocalyptique pour avoir envie d'en savoir plus.
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Highschool of the Dead, tome 1

Pris d’une soudaine envie de revenir à un peu de manga pour changer et, m’intéressant au genre horrifique, je suis tombé sur ce Highschool of the Dead, qui sonnait comme le film Shaun of the Dead que j’avais adoré.



Ici, dès les premières pages, on ne peut s’empêcher de faire le parallèle avec une énorme série à succès, Walking Dead, mais ici sous l’angle japonisé bien sûr et dans la tournure que prennent actuellement les mangas : parsemer le récit de quelques touches sexy est devenu monnaie courante… Autant le dire tout de suite, heureusement, à part quelques poitrines légèrement surabondantes et deux-trois plans en contre-plongée qui ne servent pas l’intrigue mais montrent l’entrejambe d’une jeune étudiante, ce premier tome dévoile avant tout (et encore heureux, je le répète !) les prémices de cette histoire de morts-vivants.

De manière aussi subite que rapide, une épidémie s’est déclenchée au Japon comme dans le monde entier et a fait relever les morts pour les transformer en machines anthropophages (ou seulement carnivores, ce n’est pas précisé d’ailleurs…). Au lycée Fujimi, un groupe d’étudiants accompagné d’une professeure et d’une infirmière se débrouille pour rester en vie et forme notre unité de héros, tous très différents les uns des autres, chacun ayant, c’est intéressant pour le moment, des capacités propres et des réactions face au danger vraiment variables. Ce pitch de départ avalé, en seulement trois chapitres d’égale importance, on retrouve des scènes classiques pour un tel début d’aventure zombiesque : compréhension de la situation, isolation dans un bâtiment, questionnements rapides sur l’origine du phénomène, recherche des possibilités de fuite et conséquences malheureuses.

Sans être original, Highschool of the Dead se débrouille pour nous faire passer un bon moment et le dessin semble promettre de très bonnes possibilités, même s’il est gâché par des onomatopées qui, pour moi, ne servent à rien (d’autant que dans la version française, il y a besoin de « notes de l’auteur » pour expliciter certaines cases).



Bref, un manga qui se lit vite, quelques cases irritantes de temps en temps, mais un beau dessin au service d’une intrigue pas trop compliqué, que demande le peuple ? Que les mauvais côtés ne prennent pas le pas sur les bons tout simplement…



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Highschool of the Dead, tome 5

Encore un tome d’Highschool of the Dead et encore franchement peu de variations dans le propos ! J’ai l’impression de me répéter, mais pour faire passer son avis, rien ne marche mieux que l’imprégnation par la force, alors je continue !



Dans les cinq chapitres (du 18ème au 22ème) qu’on nous propose ici, nous pouvons contempler l’absence de nuance dans le jeu des personnages qui, dans l’ensemble, ont très peu, voire pas du tout, évolué depuis le début de ces aventures, et ça commence à devenir ma critique principale sur ce manga. Ces aventures ont beau être éprouvantes à souhait, elles n’ont que peu d’impact sur l’intellect et la personnalité des gens que l’on suit ici. Etrange comme procédé scénaristique… D’ailleurs, on trouve toujours une focale bien peu tendre sur les composantes féminines : attirantes avant tout, compétentes quand elles peuvent, mais rarement actives. Ce qui nous ramène aux nuances à trouver au sein de la galerie de personnages.

De plus, je m’étonne et m’agace de voir augmenter exponentiellement les scènes stéréotypées (viol évité de justesse, le courage et la naïveté sans limite de la petite policière…), avec toujours le lot nécessaire et inévitable d’images tendancieuses. Enfin, la pseudo-transformation progressive de Kôta en personnage sombre, inquiétant et colérique est à la fois grotesque et caricaturale : d’un coup, on décide de pimenter l’histoire avec un personnage gentil qui devient méchant, c’est uniquement ça et ce n’est pas agréable à lire.

Pour finir sur l’aspect graphique, je constate encore une constante inadéquation entre les couvertures, quelques scènes et les publicités hypersexualisées d’un côté, et ce qu’on dit de ce manga de l’autre. Au bout d’un certain nombre de tomes, on passe dessus, car c’est lassant… Enfin, il y a toujours autant d’onomatopées qui encombrent le dessin. Un aspect graphique que je trouve d’ailleurs encore plus bâclé dans ce tome-ci. C’est bien dommage, car l’ensemble était plutôt joli jusqu’ici, mais si maintenant le dessin perd tout son charme, où vais-je trouver de quoi vanter ce manga ?...



Je persiste donc à dire que cet « Highschool of the Dead » est avant tout une chronique sur l’égoïsme de chacun en situations de crise : chacun veut voir son petit cas réglé en premier, avant de voir une quelconque organisation à plus grande échelle se mettre en œuvre. À méditer, j’imagine. D’autant que Daisuke Sato multiplie dans son propos des situations futiles au possible : dans un centre commercial, après les réflexions d’usage (ouf !), les besoins tournent vite aux vêtements luxueux et aux jouets pour le chien ! Ils se souviennent qu’il y a des morts-vivants à la porte ??? Bref, je ne le dirai jamais assez : aberrant, encore et toujours.



P.C. (post critiquam) : il est à noter qu’enfin, il y a une blague presque utile et vaguement construite sur la taille de poitrine de la plupart des personnages féminins, c’est la toute première allusion justificatrice que j’ai pu trouvée depuis le tout début de cette aventure, une première en cinq tomes !



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Highschool of the Dead, tome 2

Toute ma bonne volonté, qui avait duré au cours du premier tome, s’est complètement évanouie à la lecture de ce deuxième opus !



Après un premier tome agréable (finalement quand on trouve pire, on apprécie le moyen, j’imagine… nouveau proverbe dionysien), ce deuxième tome de Highschool of the Dead se dérègle complètement ! J’ai lu que cette série avait cartonné, tant en manga qu’en animé, car elle serait une formidable relecture du genre « survival horror » : dès ce deuxième tome (et l’ensemble me le confirme), je dis non !

Déjà, dans ces quatre chapitres, malgré un enchaînement classique (approvisionnement en arme, repos dans un lieu dit « sûr », affrontement avec humains hostiles, sauvetage de la veuve et de l’orphelin), on peine à se sentir vraiment en danger, à imaginer un mort-vivant sortir de derrière chaque porte. Absence de rythme, faiblesse du scénario : les défauts se multiplient ici et on a l’impression que toutes les qualités du premier tome sont dézinguées pour le plaisir. Personnellement, j’ai vraiment eu du mal à terminer ce deuxième tome, tant l’intrigue est agaçante et les personnages, à part un ou deux, sont ennuyants à mourir, et puis j’ai beau être habitué au sens japonais choisis par certaines publications françaises de manga, je trouve cela très immersif, mais ici rien n’y fait, l’enchaînement des cases étant loin d’être cohérent à certains moments.

Abordons gaiement ce qui m’a le plus interloqué dans ce deuxième tome. Les femmes, disons-le franchement, ne servent évidemment à rien : j’ai l’impression d’enfoncer une porte ouverte (aucune allusion sale ici, je suis on-ne-peut-plus sérieux, pour une fois), mais c’est vraiment l’impression générale. Il faut bien avouer qu’à part s’amuser entre filles à se caresser sous la douche pendant que les zombies rôdent, elles n’ont pas la jugeote de faire grand-chose d’autre… ah, si : porter uniquement des porte-jarretelles pour faire la cuisine (j’ai l’impression de raconter un film porno, c’est charmant…) aux deux jeunes hommes qui font quasiment tout le boulot : bah oui, la femme selon la culture de Daisuke Sato, c’est ça, on dirait. De toute façon, j’aurais dû me méfier quand, en regardant la page Wikipédia de ce manga, j’ai pu être renseigné sur les mensurations exactes de chacun des personnages féminins (allez vérifier : véridique !). Enfin, on plaisante, on plaisante, mais ce qui, au fond, est vraiment gênant ici, c’est le paradoxe continuel entre une série qui semble se prendre au sérieux et qui vise un public jeune, mais qui arbore des couvertures très tendancieuses, puis contrebalancent cela par une intrigue qui tient le coup au départ, pour finir par retomber dans ses travers les plus choquants pour uniquement se faire plaisir au gré des idées fallacieuses qui viennent à l’auteur. Ce balancement continuel ne m’émeut pas, ou en tout cas pas dans le sens voulu par ledit auteur. Bon, après (soyons magnanimes), si vous aimez les poitrines qui tombent jusqu’au nombril, les professeurs qui se battent en simple nuisette et les petites étudiantes tellement naïves car elles aiment se balader nue plusieurs fois par volume, ne boudez pas votre plaisir ! Il est seulement regrettable que ce manga se dise « de zombies », alors que c’est loin d’être sa dimension première…



Bref, un développement et une déception de la taille des atouts des charmantes demoiselles qui peuplent ce manga sans âme. Je vais tenter de m’accrocher, car les bonnes critiques m’intriguent : si c’est ça qui mérite des éloges, alors le manga tombe bien bas avec sa mode de placer du ecchi et du hentai (formes pornographiques du manga) un peu partout…



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Highschool of the Dead, tome 4

Déjà (ou encore un plutôt ?) le quatrième tome de Highschool of the Dead et je réussis tant bien que mal à me remettre dans l’histoire, même si ce n’est pas énorme, énorme, non plus.



Ces cinq chapitres (du treizième au dix-septième) offrent, pour commencer, quelques scènes d’action un peu plus poussées qu’auparavant, avec un vrai impact sur l’intrigue, ce coup-ci. Nous avons là un tome de transition, clairement, où notre groupe de survivants se fait peur, mais ne perd aucun élément et surtout retrouve son indépendance, ce qui nous renvoie à des scènes plus intimistes comme au début de l’aventure. On peut, en revanche, être déçu de voir que certains personnages, le chien Zeke en est un exemple parfait, ne servent absolument à rien : pourquoi ne pas utiliser ces personnages de seconde zone à bon escient en les faisant mourir de manière intéressante ou en tout cas en les faisant agir de manière détournée ? Non, apparemment la décision est prise depuis le début de cette série : le groupe de départ ne doit pas changer du tout dans sa composition ! Une fois cet aspect-là compris, on peut suivre l’histoire sans trop s’inquiéter… Moi, personnellement, je trouve cela navrant, car on voit les chapitres défiler mais pas tellement d’évolution en toile de fond ; même les aspects plus généraux, comme l’attaque à la bombe qui coupe l’électricité, sont traités uniquement comme des événements ponctuels avec un effet simple et décisif. Enfin, même s’il y a encore moult scènes que je trouve déplacées, elles sont davantage explicitées (au moins, il y a un petit effort de scénarisation) et j’y vois là, avant tout, la description d’une société gavée de frustrations qui est peut-être celle du Japon actuel, finalement. Avis assumé et sûrement hautain d’un « occidental » envers une société lointaine, mais franchement la société japonaise vue de ce manga est quand même louche… surtout pour un manga que tout le monde prend pour une référence en fait (si ce n’était pas le cas, j’en ferais pas autant !).



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Highschool of the Dead, tome 3

Dans ce troisième tome d’Highschool of the Dead, après un rapide moment d’action bienvenu pour nous réveiller un peu, eh bien on parle, on parle à n’en plus finir.

D’ailleurs, en parlant de dialogues, à part dans les moments de franches engueulades, à quoi servent vraiment les femmes dans ce troisième tome ? À rien, une nouvelle fois car ce n’est pas la première fois que ça se remarque, excepté à être des marchandises que l’on veut protéger ou s’accaparer (après lecture complète, au moins une scène dans chaque tome montre un homme extérieur au groupe vouloir s’ « approprier » une femme pour des avantages en nature…) ! Lunatiques, il est de toute façon difficile de les apprécier ou de s’identifier à elles : il faut bien avouer que Daisuke Sato fait tout pour les rendre irritantes ; chacun en conclura ce qu’il voudra sur les rapports que l’auteur entretient dans la vie réelle avec la gent féminine…

À noter (ouf, on respire !) quelques rares scènes intéressantes en-dehors du groupe de survivants que nous suivons depuis le départ, mais pour le moment aucun lien notable n’est fait entre les deux, ce qui donne des transitions plus que tranchées.



Encore un avis très très mitigé, donc, sur cette série de manga que beaucoup critiquent en positif et à laquelle je ne trouve toujours aucun intérêt.



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Highschool of the Dead, tome 7

Soyons honnêtes, il y a du mieux, malgré tout le mal que je pense de cette série, dans ces quatre chapitres (les derniers publiés pour l’instant, en ce début d’année 2013). L’intrigue, déjà, adopte un rythme qui avance beaucoup plus « tambour battant » qu’à l’accoutumée. Certains passages sans parole font même beaucoup de bien, cela repose avec bonheur nos cerveaux embrumés par les vapeurs toxiques de dialogues habituellement trop fades. De plus, comme nous sommes revenus à un environnement social plus restreint, chaque personnage me semble déjà plus utile en lui-même. Bon la maîtresse ès kendo combat toujours les morts-vivants en porte-jarretelles, mais au moins elle se permet de tirer la couverture à elle, en bien, au détriment des deux personnages masculins bien trop mis en avant jusque là, tandis que les femmes servaient de jolis bibelots décoratifs et de vulgaires objets de convoitise.



Bref, bonne humeur retrouvée sur ce manga ? Que nenni ! Ma bonne volonté fut douchée en deux pages et trois allusions plus énormes que moi et à la subtilité aussi épaisse qu’une feuille de papier à cigarette ! La sexualité, loin de moi l’idée d’être contre cela dans la littérature, doit-elle pour autant n’être que sujette à moqueries, gênes et vannes plus ou moins douteuses. Les travers d’Highschool of the Dead sont bel et bien toujours présents, même dans ce septième tome. Il suffit de voir comment les survivants se ravissent d’une hallebarde comme arme de corps-à-corps (après avoir opté pour la baïonnette depuis quelques temps, eh oui, rien que ça !), sans jamais pensé à des couteaux de base…. Navrant. Il est vrai qu’au cours de ces sept tomes de la série Highschool of the Dead, on en a appris plus que jamais sur les armes de gros calibre ou les armes très peu conventionnelles, malgré tout je cherche encore le fond réaliste à cette histoire. Enfin, une dernière chose que je n’ai, là aussi, jamais compris dans ces sept tomes, pourquoi les gens passent continuellement leur temps à se crier les uns sur les autres, alors qu’ils apprennent à se connaître au fur et à mesure et que, surtout, le bruit attire toujours plus de morts-vivants sur eux ? Ah, réalisme quand tu nous tiens !



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Highschool of the Dead, tome 6

Eh bien, eh bien… Trois chapitres (du 23 au 25) qui ne servent quasiment à rien, je crois bien !

J’essaye pourtant de positiver (promis !) : autant le dessinateur Shouji Sato se fait bien plaisir avec un trait relativement régulier avec le recul (scènes d’action flamboyantes, plongées flagrantes sur des poitrines qui semblent vouloir prendre l’air), autant le scénariste Daisuke Sato nous laisse, selon moi, complètement en rade avec des intrigues inexistantes ou inutiles et des personnages auxquels je n’accroche pas du tout. Parler de ces aspects m’attriste, car il n’y a vraiment aucune évolution positive depuis le début. L’exemple que je trouve le plus flagrant est quand même le choix des armes : depuis le premier tome, ils se sont rendu compte que le bruit attirait les morts-vivants et dans ce tome, même le héros principal, qui rappelle cette règle une énième fois, préfère se servir allègrement d’une arme d’assaut trouvée on-ne-sait-où plutôt que de favoriser un simple couteau de boucher trouvable n’importe où (pour rappel : ils sont alors dans un centre commercial…). Je vous passe les traditionnels dialogues plan-plan qui desservent un peu plus l’ensemble, qui se nourrit lui-même de son incapacité à avancer dans l’histoire, tant les chapitres s’enchaînent mais baissent de plus en plus de régime. Bref, du réchauffé prédigéré et mal servi : c’est un calvaire que d’essayer d’enchaîner les tomes de cette série.



En définitive, les fans des premiers tomes seront sûrement heureux : un peu d’action sans queue ni tête, des dialogues complètement fades, des personnages sans fond, des pseudo-intrigues… on agrémente tout ça d’un noyau de survivants auquel il ne faut pas toucher et de quelques scènes visant à nourrir la frustration sexuelle de certains lecteurs masculins à peu près pubères. Hop, le tour est (mal) joué !



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Highschool of the Dead, tome 1

Je continue dans ma lancée, encore une autre saga de manga que je commence et comme j'aime de plus en plus les histoires de zombies (merci Walking dead!), Highschool of the dead m'a bien tenté.



Dans un pensionnat, un homme va attaquer un professeur et va alors commencer un véritable massacre. Les morts se relèvent et mordent les vivants, ici les zombies sont aveugles et ne sentent rien, ils se repèrent grâce à leur ouïe.



On va suivre plusieurs élèves : Takashi avec son meilleur ami, Hisashi et Rei qui vont se mettre à l'abri en hauteur et fabriquent des barricades avant de se rendre compte qu'ils doivent redescendre pour sauver d'autres vivants et partir retrouver leurs familles. Vont se joindre à eux l'infirmière Shizuka, Saya une jeune surdouée, Kôta un garçon et Saeko une championne de Kentô (art martial utilisant un sabre). Ils vont réussir à rejoindre un bus pour s'enfuir...



Les dessins sont très bien faits avec les traits fins et l'histoire est haletante, je me suis laissée prendre au suspense. J'ai hâte de pouvoir lire la suite, cette saga compte 7 tomes à ce jour.
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Highschool of the Dead, tome 1

Voici un manga qui évite soigneusement de se comparer à Walking Dead pour se réclamer d'un George Romero (La nuit des morts-vivants) pour être soi-disant un véritable hymne au genre zombie.



Le monde a été contaminé le 13 avril 2010 par une maladie mortelle d'origine inconnue, qui apparaît le même jour dans les principales villes, transformant les humains en zombies et entraînant le déclin de la civilisation. Bref, on aura droit à une apocalypse zombie sur toute la planète. On se concentrera malgré tout sur un groupe de lycéens japonais dans une espèce de survival games.



Le frisson et l'effroi ne seront pas au rendez-vous à cause d'une surenchère dans les effets. A vrai dire, ce manga a massacré le mythe d'une façon laborieuse. Violence, érotisme et mort dans le milieu des adolescents : voilà pour les contours.



A noter également une grande faiblesse au niveau du scénario qui ne nous fait pas vibrer. On ajoute des personnages plats et stéréotypés : on n'est pas aidé. Il manque également une atmosphère angoissante propre au genre. Absence de réalisme, absence de trame solide : on accumule beaucoup de défauts.



Pour se consoler, on peut toujours regarder Highschool musical dans un autre genre moins gore.
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Highschool of the Dead, tome 1

Challenge BD 2020. Je cherchais une dystopie à lire. Une fin du monde possible. Une alternative de vie différente à celle que nous avons actuellement. Ai-je bien choisi de lire une histoire de virus zombifique en ces temps épidémiques ? Des lycéens se battent dans leur école pour survivre contre des morts vivants. Scénario classique : une morsure, une transformation en une vie de bouffeurs de viandes. C'est du vu et du revu mais n'empêche que le dynamisme des traits et de l'histoire est plutôt encourageant pour la suite. J'ai dégoté le 2 dans un bac "cession" de biblio, quelqu'un avait dû en avoir marre du combo mort/baston/zombie. Ca me va, j'avais le 1 qui traînait chez moi depuis bien bien longtemps alors autant en profiter !
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Highschool of the Dead, tome 2

Bon ce tome 2 est moins horrifique que le 1er. Est-ce un réel manga horreur ou un manga ecchi? L'auteur se lâche et fait apparaître les jeunes femmes tout aussi dénudées les unes que les autres. Et vas-y qu'on agrippe la poitrine de l'une puis de l'autre ! Euh ouai on en oublie le sujet principal là non ? Donc finalement la mesure du -10 ans là, c'est peut-être pas pour les scènes de zombies ?
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Highschool of the Dead, tome 2

Dans ce tome, Takashi et Rei sont partis en moto de leur côté et doivent rejoindre le reste du groupe au commissariat. Ils vont s'arrêter à une station essence pour faire le plein mais vont croiser un gars qui veut prendre Rei avec lui ainsi que la moto. Takashi va devoir agir. Tout le groupe va se retrouver sans pouvoir traverser le pont et vont s'abriter chez une amie de l'infirmière, Rika pour reprendre des forces. Ils vont aussi essayer de sauver une petite fille.



Ce deuxième tome est beaucoup plus riche en action, on a aussi pas mal de belles scènes de combats et toujours des dessins aussi magnifiques. Vivement la suite.
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Highschool of the Dead, tome 4

Dans ce tome apparaît un nouveau problème ^^



Les gouvernements, étant ce qu'ils sont (même dans un manga, c'est pareil), ont toujours peur des nouvelles maladies virulentes donc ils essayent de tout tuer à coup de bombes et tant pis pour les survivants!! Dans le cas présent, c'est une bombe à impulsion électromagnétique qui a été lancée.



Du coup, nos héros vont apprendre à survivre dans un monde sans électricité, voitures comprises, et pleins de morts-vivants ^^
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Highschool of the Dead, tome 1

Ceci est un manga pour lecteurs avertis car beaucoup de violence.



Je me tâte encore à lire la suite (on m'a prêté les 7 premiers tomes) car ce n'est pas le type de manga que j'affectionne le plus bien que les dessins soient sympas et bien faits!!



Je crois que la curiosité va l'emporter, juste pour savoir quel but à l'auteur et accessoirement pour savoir comment cela va se terminer ^^
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Highschool of the Dead, tome 1

Pour ma part ce manga m'a gonflé, il n'a rien de novateur, les personnages sont bêtes comme des manches à balais, et j'ai eu l'impression que le seul intérêt de l'auteur était de montrer des filles, des poitrines disproportionnées, des culottes, bref, du fan-service en veux-tu en voilà !!

Merci, mais non, je ne marche pas...
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Highschool of the Dead, tome 3

Takashi et ses amis vont devoir se défendre face à une meute de zombies alors qu'ils sont tout près de chez Saya. Le quartier semble quadrillé par des fils barbelés. Ils vont être sauvés par la mère de Saya et trouver refuge chez ses parents.Ils vont vite se rendre compte qu'il vont être perçus comme les enfants et n'ont pas le droit de porter des armes. Les parents de Saya ont réussi à s'organiser et hébergent chez eux beaucoup de gens seulement bientôt l'électricité va rendre l'âme !!



Sur ce tome, je n'ai pas grand chose à dire, je l'ai trouvé moins intérressant, il manquait quelque chose. L'ambiance n'est plus la même, il y a beaucoup moins de suspense et ce sur place est assez frustrant. Bref, une petite déception.



Note : 2.5/5
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Highschool of the Dead, tome 6

Le havre de paix que constituait le centre commercial est finalement mis en péril par un ado qui est devenu fou!

Nos héros sont donc contraint de le quitter plutôt que prévu pour partir à la recherche de leurs parents.



Finalement, ce manga est moins morbide que je le pensais à la fin du tome 1. Il parle certes de fin du monde mais il analyse également quels pourraient être les comportements de chacun face à ce type d'évènements.



Le 1er tome parlait de zombies de façon à mettre l'histoire en place dans un contexte bien particulier. Les autres tomes sont plus accès sur comment survivre, comment s'entraider et comment faire pour véritablement trouver de l'aide de personnes responsables (adultes ou ados). La plupart des adultes de ce manga les prenant pour des mioches incapables d'aider, de réfléchir et encore moins de se battre/ se défendre contre les zombies.
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Highschool of the Dead, tome 2

Finalement, le tome 2 relève un peu le niveau morbide du 1 :-)



Dans celui-ci, les personnages principaux s'allient à d'autres (de la même école) pour essayer de survivre à leur première journée au milieu du chaos total qu'est devenu leur ville (et accessoirement le monde entier) avec les moyens du bord. Entre les morts-vivants qui rodent dans la ville pour en créer d'autres et ceux qui essayent de survivre, ce n'est pas toujours évident. Car même dans le 2ème camp, il y a 2 clans qui s'opposent : les fous furieux que plus rien n'effraie à part leur propre mort et ceux qui ont encore un peu de jugeote pour sauver plus faible qu'eux.



Je sens que la suite va être très intéressante :-)
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Highschool of the Dead, tome 7

J'ai appris en furetant sur internet hier que ce 7ème volume était pour le moment le dernier sorti la série :-) l'auteur s'est arrêté début janvier 2011!!

J'espère sincèrement qu'il trouvera une suite à cette série :-) Je trouvais que le 1er volume était morbide mais la suite est très intéressante donc j’attends les prochains volumes avec impatience ^^



Dans ce volume, nos héros réussissent à retrouver la mère de Rei en vie et d'avoir des nouvelles de son père :-) ils savent également où ils doivent aller pour pouvoir espérer sortir vivants de ce chaos!!
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