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Citations de Daniel Handler (215)


J'aurais voulu te regarder pour toujours, ou dormir à côté de toi pour toujours, ou dormir pour toujours tandis que tu t'éveillerais et me regarderais, en tout cas quelque chose pour toujours.
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- Ne te sous-estime pas, déclare Jordan. Tu as toutes les qualités qu'Ed Slaterton recherche chez ses milliers de petites amies, quand on y pense : tu as deux jambes.
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Et tu sais quoi, Ed, le problème avec les désirs du coeur, c'est que le coeur ne sait même pas ce qu'il désire, jusqu'à ce que l'occasion se présente.
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" La benjamine du trio Baudelaire n'était encore qu'une toute-petite, et, comme la plupart de touts-petits, elle s'exprimait dans un langage qui manquait parfois de clarté. Dans sa tête, chtroupi signifiait sans doute : " Je ne toucherai jamais à une pastille de menthe, j'ai bien trop peur d'y être allergique aussi.""
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"Klaus adorait lire et, à douze ans, il en avait déjà dévoré plus que la plupart des gens n'en liront dans un vie entière."
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Attends, lui dit Fiona, reprenant sa lecture. Écoute la suite. « La fausse golmotte médusoïde, ou amanite médusoïde, est d'une rare toxicité. Comme l'a fait observer le poète : « En une heure, une spore est assez / Pour faire de vous un trépassé. » »
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Aux dires de certains, le monde est un peu comme un étang : la plus infime action du moindre être vivant, pareille à un caillou jeté à l'eau, y provoque remous et ridules, et ces ondulations se propagent de proche en proche, plus loin, plus loin, toujours plus loin, jusqu'à ce que pour finir le monde entier se retrouve changé par ce geste anodin.
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Ça me rappelle un distique qu'a écrit ma sœur,dit Quigley;et il récita ce court poème, signé Isadora Beaudraps :
Faire la fête à mi-chemin
Risque de gacher la fin.
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Et moi, renchérit Klaus, j'aurai une bibliothèque géante. Aussi confortable que celle de la juge Abbott, mais cinq fois plus grande.
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Certaines idées sont fixes, d’autres vous trottent dans la tête. Certaines sont censées être noires, mais qu’en savons-nous, puisqu’elles sont invisibles ?
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Ma citations préférez est " Si vous aimez les histoires qui finissent bien ,vous feriez beaucoup mieux de choisir un autre livre . " car elle est drôle

Guillaume k 5e3
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Une salle d'attente en général, est une pièce assez peu meublée, mais avec une armée de sièges, des tas de magazines écornés et des tableaux mièvres aux murs - "mièvre" signifiant ici "montrant des chatons dans un panier". C'est là que les médecins et dentistes font patienter leurs patients avant de leur faire mille misères à des tarifs exorbitants.
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Durant plusieurs jours, ils eurent le cœur si lourd que même sortir du lit leur pesait. Klaus n’éprouvait plus d’intérêt pour les livres. Dans le cerveau fertile de Violette, les rouages s’étaient arrêtés. Même Prunille, trop petite pour bien comprendre ce qui se passait, mordait avec moins d’enthousiasme.
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Le livre était interminable, et difficile de lecture, et Klaus se sentit de plus en plus épuisé à mesure qu'avançait la nuit. Parfois, ses yeux se fermaient. Il se retrouvait à lire la même phrase encore et encore.Il se retrouvait à lire la même phrase encore et encore.Il se retrouvait à lire la même phrase encore et encore.
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Les gosses, faut leur serrer la vis, approuva le diable aux crochets. Qu’ils sachent qui est le maître, un peu !
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À ce point de mon récit, je crois devoir, une dernière fois, mettre le lecteur en garde. Comme je l'annonçais au début, l'histoire que voici n'est pas de celles qui finissent bien. Je reconnais qu'à ce stade on s'attendrait à une heureuse fin. Le comte Olaf paraît bien parti pour aller tout droit en prison, et les trois enfants Baudelaire semblent près di bonheur parfait dans la jolie maison de la juge Abbott. Hélas, il n'en est absolument rien. Si vous le souhaitiez, il est encore temps de refermer ce livre et de ne pas lire la triste fin qui suit. Si vous le souhaitez, rien de vous interdit de passer le restant de vos jours à imaginer que les enfants Baudelaire triomphèrent du comte Olaf et qu'ils vécurent heureux auprès de la juge Abbott et de sa fabuleuse bibliothèque...
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Des livres, il en existe de toutes sortes, dans tous les formats, tous les genres. Et rien d'étonnant après tout : les gens aussi, il en existe de toutes sortes, dans tous les formats, tous les genres ; il est bien normal que chacun souhaite lire ce qui lui plaît. ( Par exemple, si vous détestez les livres dans lesquels des enfants vivent des aventures horribles, vous feriez mieux de refermer celui-ci séance tenante.)
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Si vous aimez les histoires qui finissent bien, vous feriez beaucoup mieux de choisir un autre livre.Car non seulement celui ci finit mal mais encore il commence mal et tout y va mal d'un bout à l'autre, ou peu s'en faut. C'est que dans la vie des enfants Baudelaire, Les choses avaient une nette tendance a aller toujours de travers.
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Dans son bois pelé, au beau milieu, était gravé un œil saugrenu. Toute la bâtisse semblait de travers, comme une vieille dent déchaussée. — Bouh ! fit Prunille. Et chacun comprit ce qu’elle entendait par là « Quelle abominable bicoque ! Aucune envie d’habiter là ! » — En tout cas, enchantée d’avoir fait votre connaissance, dit Violette à la juge Abbott. — Tout le plaisir est pour moi, répondit la juge. Peut-être un jour, viendrez-vous m’aider à jardiner un peu, tous trois ? ajouta-t-elle en agitant son pot de fleurs.
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Il était très grand, très maigre, et son costume gris rat était tout maculé de taches sombres. Son menton n’était pas rasé et, au lieu de deux sourcils comme le commun des mortels, il n’en avait qu’un, très long, sur toute la largeur de son front. Ses yeux étonnamment luisants lui donnaient l’air à la fois furieux et affamé.
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