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Critiques de Daniel Way (48)
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Wolverine: Dark Wolverine Volume 1 - The Pr..

L'année 2009 aura été placée sous le signe des ténèbres pour Marvel : tous leurs titres sont devenus "dark". Ainsi la série mensuelle de Wolverine est rebaptisée Dark Wolverine à partir du numéro 75. Norman Osborn a pris le pouvoir grâce à son coup d'éclat dans Secret Invasion et il a créé sa propre équipe des Avengers dans Dark Avengers 1: Assemble. Parmi les recrues, on trouve Daken le fils de Logan (apparu pour la première fois dans Wolverine Origins: Savior) qui a usurpé l'identité de son père. Ce tome comprend les numéros 75 à 77 de la série mensuelle, ainsi que les épisodes 73 et 74, et une courte Dark Wolverine Saga de 8 pages.



Comme le titre l'indique, Daken a une affection marquée pour Nicholas Machiavel et son ouvrage de référence Le prince. Daken n'est pas un criminel par conviction, mais plus par opportunité et par réaction contre son père. Il se retrouve enrôlé dans les Dark Avengers, mais il a ses propres objectifs et il compte bien placer ses pions en dépit du besoin obsessionnel de contrôle d'Osborn et de ses compagnons plus ou moins clairs dans leur tête. Dans cette histoire, Daken tisse des liens compliqués avec les Fantastic Four, tout en s'amusant aux dépends de Lester (Bullseye, ennemi juré de Daredevil), sous les yeux d'une Karla Sofen pas dupe.



Cette histoire est une mise en selle pour le personnage qui sort ainsi de l'ombre de son illustre paternel. Le fait qu'elle se compose uniquement de 3 épisodes (75 à 77) permet de découvrir la direction générale de l'intrigue, sans savoir si elle tiendra ses promesses dans la durée. Les dessins de Guiseppe Camuncoli ont une légère teinte cartoon qui traduit bien la légère distanciation du personnage par rapport à l'attitude dictatoriale d'Osborn. D'un autre coté, ce style empêche le lecteur de prendre Daken trop au sérieux. Way et Liu dressent le portrait d'un jeune homme tout juste sorti de l'adolescence avec une attitude "no limit" reposant sur sa capacité de régénération. Camuncoli insuffle une grande énergie dans chaque personnage, Venom est un vrai monstre, les regards échangés sont lourds de sous-entendus et la paranoïa s'installe pour rester. On est toute fois très loin de l'intensité de Thunderbolts vol.2: Caged Angels.



Ce tome est complété par une aventure de Logan qui retrouve un copain biker au milieu de l'Amérique profonde. Et cet hell's angel est confronté à un trafic de drogue au sein de sa meute dans lequel son fils est impliqué. L'histoire est agréable à lire, les dessins de Tommy Lee Edwards ont juste ce qu'il faut de rugueux et mal dégrossi, mais cette histoire ne fera pas date dans les annales du mutant griffu.
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X-men : Original Sin

Ce tome est un crossover entre la série "X-Men : legacy" et "Wolverine : origins". Il se situe après Wolverine Origins 5: Deadpool et après X-Men: Legacy: Sins of the Father. Il contient le numéro spécial "X-Men : original sin", les numéros 28 à 30 de "Wolverine : origins" et les épisodes 217 et 218 de "X-Men : legacy".



Dans les tomes précédents de Legacy, Charles Xavier a dû faire face à plusieurs de ses anciens élèves et ennemis dont il avait manipulé les esprits pour effacer des souvenirs ou forcer des décisions. Chacun lui a reproché d'avoir asservi des individus à sa volonté, faisant fi de toute déontologie et de tout sens moral, estimant que la fin justifie les moyens. De son coté, Wolverine a recouvré l'ensemble des ses souvenirs et a appris qu'il a un fils : Daken.



Les 2 histoires s'enchevêtrent : Daken est enlevé par la nouvelle incarnation de Mister Sinister et Sebastian Shaw du Hellfire Club. Wolverine et Xavier doivent collaborer pour le retrouver. Et Logan sollicite un service de Xavier : tripatouiller l'esprit de Daken pour qu'il puisse passer outre sa soif de violence. Cette demande entraîne les 2 hommes sur le chemin des souvenirs : leur première rencontre (qui ne fut pas le fruit du hasard, loin de là), le déconditionnement de l'esprit de Logan par Xavier, etc.



Daniel Way et Mike Carey se partagent l'écriture des épisodes de manière fort habile. L'un comme l'autre, ils avancent l'histoire globale au temps présent ; et Way développe le point de vue de Wolverine, alors que Carey développe celui de Xavier. Encore une fois, cette histoire va chercher loin dans la continuité et l'historique des mutants. Encore une fois, le miracle a lieu : à partir de matériaux très disparates construits au gré des changements de scénaristes de l'époque, Way et Carey réussissent à mettre en évidence une logique lumineuse en insérant des scènes complémentaires. Et ces dernières ne servent pas à tout balayer à grands coup de continuité rétroactive, mais à compléter des moments que l'on croyait usés jusqu'à la trame pour mettre en lumière la cohérence des actions des uns et des autres.



La moitié des illustrations sont réalisés par Scot Eaton qui est en petite forme : les visages manquent de finesse, les décors manquent de précision. Soit il n'a pas eu assez de temps pour peaufiner, soit il faut qu'il change d'encreur. Par opposition Mike Deodato est dans une forme éblouissante. Ses illustrations dégagent une énergie phénoménale et Wolverine n'a jamais été aussi sauvage et imprévisible. Le scénario de Way lui donne l'occasion de revenir sur la célèbre première rencontre entre Wolverine et Hulk (Incredible Hulk 180 et 181 en 1974) : la monstruosité de Hulk éclate au grand jour et l'animalité de Wolverine tient en respect le lecteur.



L'histoire de Daken se poursuit dans "Wolverine Origins: Dark Reign" et l'histoire de Xavier dans "X-Men Legacy: Salvage".
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Deadpool Classic 10

Quand dans le tome 9 de Deadpool Classic, Deadpool a mystérieusement disparu et a été remplacé par Alex Hayden (Agent X), j'ai continué à lire malgré l'absence de mon personnage préféré. D'une part parce que même si l'Agent X est moins cool ils ont quand même quelques traits de personnalité en commun. D'autre part parce que je voulais savoir le fin mot de l'histoire. Et aussi parce que Gail Simone écrit très bien, et avait créé des personnages secondaires sympathiques et intéressants.



Malheureusement, j'ai été déçue par ce tome. Oh, j'aime toujours énormément les passages écrits par Gail Simone, surtout la fin - je n'ai pas été déçue par les révélations que j'attendais, et Deadpool revient enfin. Mais ils ne forment pas la plus grande partie de ce tome, et à côté de cela, j'ai trouvé les histoires de Scalera et Way (tiens, déjà lui !) fades, malgré quelques situations amusantes. Dorkin a un meilleur sens de l'humour, mais pas tellement de sens du rythme. Aucun des trois n'écrit vraiment bien les personnages secondaires.

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Dark Reign - Marvel Monster Edition, tome 1

Pour les fans de Dark Reign



Dark reign, la période, où sous la coupe de Norman Osborn, les super criminels ont en quelque sorte pris le pouvoir aux USA et font régner leur loi en manipulant les médias, est une période tout à fait fascinante de l'univers Marvel. Les meilleurs scénarios parus en français sont notamment dans la série Dark Avengers, et aussi Invincible Iron man n°1. En VO, les épisodes des Thunderbolts et de l'Avengers Initiative sont tout à fait intéressants. Ici ce sont tout de même des épisodes de seconde zone qui nous sont proposés.

L'épisode avec Deadpool est pas trop mauvais, avec cet humour déjanté assez macabre qui le caractérise. Un bon scénario de série Z pour ceux qui aiment chercher le second degré dans les histoires de zombies pas très catholiques.

L'épisode avec miss Marvel est totalement nul, à moins qu'il ne faille le relier à une autre histoire dans un autre ouvrage pour y trouver un quelconque intérêt. Dommage parce qu'il y avait des choses intéressantes à faire dans cette période Dark Reign.

L'épisode le plus intéressant est celui de la panthère noire malgré une mise en scène calamiteuse et confuse au début. Une intéressante histoire d'initiation au culte de la panthère noire associée à une quête mystique de tornade pour sauver son mari. Pas mal, si les 2 autres épisodes avaient été du même tonneau, j'aurais monté ma note de 1 point.
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Supreme Power, tome 5 : Nighthawk

Après un troisième tome consacré au colonel Joe Ledger, alias Dr Spectrum, ce cinquième tome propose à nouveau un hors-série dédié à l’un des personnages-clés de la saga. C’est cette fois Nighthawk, l’équivalent de Batman chez DC, qui est au centre de l’intrigue de cette mini-série. D’ailleurs, tout comme l’homme chauve-souris, notre justicier va devoir affronter un clown psychopathe dans cet album.



Le personnage de Nighthawk est très intéressant car, n’ayant pas de super-pouvoirs, il est plus vulnérable que les autres héros de cette série. De plus, son côté intransigeant et sans-pitié sied parfaitement à l’esprit de cette collection «MAX». Il faut d’ailleurs avouer que le scénario de Daniel Way est particulièrement riche en hémoglobine et réservé à un public averti. Au graphisme, on retrouve d’ailleurs un habitué de cette collection «MAX» et de récits sanglants : Steve Dilon ("Preacher").



Un bon one-shot qui n’apporte cependant pas grand-chose au récit principal.

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Deadpool, tome 6 : Liste noire

On le savait depuis les tomes précédents : Wade Wilson en a marre, il veut mourir. Il veut qu'on le tue. Ce qui est fort compliqué. Mais cette fois ci, il a un avantage !







En effet, il a perdu son facteur auto-guérisseur ! Mais il a de la fierté quand même, donc il ne compte pas se laisser faire et va même demandé à se faire entrainer spécialement pour l'occasion ! On suit donc le dernier tome de cette série avec plaisir. Parceque Deadpool et son humour sont de retour, et que le final est à la hauteur, pleine d'ironie. En environ 200 pages, il propose nombre de dialogues et se montre, en outre, ultra dynamique, et parfois même un peu trop rapide. Mais on en sort totalement satisfait, en attendant la prochaine série !
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Deadpool, tome 5

Deadpool n'en peut plus. Il veut mourir pour rejoindre la femme de sa vie, qui n'est autre que la mort elle même. Mais ce n'est pas si facile quand on a un facteur auto-guérisseur...



Aprés avoir provoqué Hulk dans Opération Annihilation, il voit cette fois une belle opportunité se présenter quand un autre Deadpool, bien plus méchant, se présente face à lui. Il découvrira ensuite l'existence d'un sérum qui lui enléve toute possibilité de guérison et fera tout pour se le procurer. Et entre ces deux histoires, il fera même un numéro musical racontant sa vie depuis que l'agence Arme X l'a récupérer !



Des épisodes dans lesquels on va croiser, au fil de la route de Wade Wilson, Captain America, Wilson Fisk, Cable, l'Uncanny X-Force (dont fait parti Wolverine) ou encore Daken (le fils de Wolverine). Et ceux-ci seront comme toujours perplexe face à un Deadpool mercenaire, pas le dernier quand il s'agit de tuer, mais qui ne posséde pourtant pas un mauvais fond. Un Deadpool qui a besoin d'eux mais qui passe son temps à les manipuler. Une personnalité insaisissable pour un personnages encore plus unique qu'auparavant dans ce comics qu'on prend un grand plaisir à lire !
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Deadpool, tome 4 : Opération annihilation

Deadpool est de retour ! Et cette fois, on le retrouve dans l'espace pour une premiére histoire qui le verra se marrier avec un extraterrestres informes et gigantesque, avant d'être engagé pour détruite une lune dévoreuse de planétes ! Improbable ? Oui oui, mais c'est tout aussi drôle et jouissif !



La seconde histoire le voit provoquer Hulk à un point assez inimaginable. Et dans quel but ? Celui d'être enfin tué pour retrouver enfin l'amour de sa vie : La mort elle même !



La troisiéme envoie Deadpool dans un hôpital psychiatrique dans lequel il va rencontrer un docteur encore plus timbré que lui, dans une espéce de Joker/Harley Quinn encore plus déjanté !



Autant dire que, durant ces 3 histoires qui vous occupera un petit moment, on redécouvre un Deadpool totalement fou, qui se parle à lui même, et au lecteur, de nombreuses fois. Bien dessiné, bien rythmée et trés dynamiques, ces planches plairont à ceux qui ont aimés les précédents. Il n'y a pas de raisons qu'il en soit autrement !
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Deadpool (v2) n°9 Fear Itself (1/2)

En dehors des arcs de Deadpool, Fear Itself se targue d'une histoire plus global. Et Deadpool ne fait ici que figure vendeuse...



Car, en aucun cas, cette histoire ne lui est dédié. Il en occupe bien les deux premiers chapitres mais céde ensuite sa place à Spider Man, à Wolverine, et ne revient qu'avec la X-Force, dans un rôle secondaire. Ce qui n'empêche pas tout cela d'être trés sympathique. D'autant que chaque personnage a son propre style graphique et que les histoires mettent en avant, forcément, La peur. La partie Spiderman est ainsi vraiment réussis et prenante, la partie Wolverine m'a paru moins intéressante, et le style moins agréable à l'oeil.



Reste 264 pages trés agréables, parfois même franchement drôle ou effrayante. Un bon petit morceau donc.
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Deadpool (v2) n°8 Je suis ton homme

Et voici le troisiéme Tome de cet série de Deadpool. Cette fois, le mercenaire disert (comme il se nomme lui même) va vivre différentes aventures…



En effet, différentes courtes histoires vont se succéder. On va ainsi le voir rejoindre temporairement les Avengers (ce qui le mettra en joie… avant que la tentation du mercenaire ne soit plus forte), travailler avec Dracula (oui oui !) ou encore retrouver la Fouine. Il deviendra même aveugle le temps d’un cours épisode ! Si ce Tome se perd un peu par son absence de cohérence ou de logique entre les histoires, celles-ci sont souvent trés drôles et de nombreux super héros seront de passages, tout comme les supers vilains. Les références à tout et rien, et autres brisages du 4éme mur sont nombreuses et c’est donc un vrai plaisir, une nouvelle fois, de lires ses aventures !
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Deadpool, tome 2 : Vague de mutilation

Hilarant. Voilà comme qualifier au mieux ce deuxiéme tome Marvel Deluxe consacré à Deadpool !



Norman Osborn tente toujours de prendre le contrôle du monde et a, pour ce fait, discrédité les X-Men. Et au passage, il lance un de ses nouveaux Avengers, Hawkeye (sous le masque duquel se cache Bullseye), pour mettre Deadpool hors d’état de nuire. Ce dernier prend la chose de la meilleure maniére, grand enfant qu’il est, et s’en amuse tout du long.



Au hasard, il rencontre Spider-Man pour pour pouvoir apprendre de lui, veut intégrer les X-Men, Se moque de Bullseye, et met en place des plans incroyables dans un seul but : être aimé des autres super-héros. Sans compter son petit passage par la case piraterie. Et on signalera la pertinence de la VF le faisait entonner… un morceau de « Laisse Béton » ! S’il se lit bien vite, ce tome m’a convaincu par la folie qu’il dégage et rend hyper attachant ce super héros hors norme qui n’est finalement que le gamin un peu lourd de l’école, celui qui fait le pitre pour qu’on l’aime… Et qui se met en danger…
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Deadpool : Une affaire épouvantable

Autre série Deadpool, celle que l’on doit à Daniel Way a été édité en france en Marvel Deluxe. Ce premier épisode tient toutes ses promesses !



Le monde est envahis par les Skrulls, une espéce extraterrestre peu désireuse d’être nos amis. Pour les infiltrer et trouver le moyen de les détruire, Nick Fury fait appel, à contrecoeur, à Deadpool. Celui-ci remplit sa mission mais les données qu’il doit transmettre sont intercepté par quelqu’un d’autre, ce qui fait passé Deadpool pour un con. Et il n’aime pas vraiment ça…



Cette nouvelle série est aussi l’occasion de découvrir certaines évolutions de l’univers Marvel. On croisera nombres de personnages connus, tel que La veuve noire ou Norman Osborn entre autre. Mais ce qui fait la force de ce premier tome, c’est bien sûr son héros, totalement fou. Lui même le dit à plusieurs reprises et c’est bien comme ça qu’il est connu, pour sa folie. Ainsi, il va de n’importe quoi en gros bordel tout au long de ce tome qui se lit assez vite mais propose des dessins de bonnes qualités et un rythme forcément soutenu. Un autre trés bon moyen de se lancer dans l’univers de ce héros pas comme les autres !
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X-Men Universe n°11 Nation Deathlok

Ce numéro voit le retour assez attendu d'Astonishing X-Men... Du moins avant d'apprendre que Daniel Way était au scénario. Le responsable de Wolverine: Origins ou de Deadpool nous livre pourtant un épisode convenable qui, sans nous procurer un plaisir immense, reste un divertissement acceptable. En espérant que l'arc en cours ne baisse pas en qualité. Cependant, les dessins de Pearson sont assez gênants. Les hommes et les femmes n'ont jamais autant ressemblé à des primates que sous les crayons de Pearson sans parler de Cyclope qui a désormais le même coiffeur de Norman Osborn.

L'épisode des X-Men du jour, bien qu'anecdotique, nous livre une histoire intéressante sur le passé de Xavier pour l'aider à soulager une Jubilé qui souffre d'être un vampire.

Enfin, double-ration d'Uncanny X-Force. J'aime beaucoup Remender qui, sous la plume de amnésique de la rédaction Panini devient Remember. Cependant, ces épisodes d'Uncanny X-Force m'auraient plus été utiles si je les avais lus avant de me coucher tant ils sont soporifiques. Le côté SF ne fonctionne pas, l'action vous endort, les dialogues sont mauvais.

Bref, c'est un numéro vraiment bas dans un magazine que j'attendais il y a à peine quelques mois avec impatience et que je risque de redouter pour le numéro suivant. Peut-être que cette baisse de qualité est due à l'absence d'X-Factor qui sauvait l'ensemble?
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Starr le tueur

Il est possible d'écrire une bonne bande dessinée sans se prendre au sérieux, c'est ce que prouve le duo d'auteurs ici présent. Sous ses airs d'histoire pour décérébrés et amateurs de gros muscles, Starr le tueur démontre de grandes qualités ; un pur divertissement qu'il serait dommage dédaigner.
Lien : https://www.bdgest.com/chron..
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Starr le tueur

Graphiquement, on a droit à du très bon Corben [...] Le maître excelle dans les cadrages, dans la dynamique des scènes d'action, dans cette façon d'insister sur les expressions, du grand art qui démontre bien combien cette consécration à Angoulême était on ne peut plus justifiée !
Lien : http://www.sceneario.com/ban..
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Deadpool, tome 4 : Opération annihilation

Si vous avez aimé les épisodes précédents, celui-ci n’a aucune raison de déroger à la règle.
Lien : http://www.actuabd.com/Deadp..
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Deadpool (v2) n°9 Fear Itself (1/2)

Des marteaux tombent du ciel donnant à celui qui le reçoit des pouvoir exceptionnels. Evidemment ça devient très vite l'anarchie, et Deadpool est au milieu de tout ça dans sa posture d'anti-héros, mais là il a carrément l'air ridicule. Je n'ai pas aimé cette histoire.
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Deadpool : La mort de Deadpool

tros fou ce type il me fait éclater de rire
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Deadpool : La mort de Deadpool

trop bien
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Marvel knights 09

Ce numéro de Marvel Knights est un bon cru qui ravira sans hésiter les amateurs !
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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