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3.83/5 (sur 21 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Villeneuve-sur-Lot , le 18/08/1955
Biographie :

Daniel Boudet de Montplaisir est un conseiller de l’Assemblée nationale et un historien français.

Il publie régulièrement des tribunes sur le site légitimiste Vexilla Galliae et dans les actes annuels du Centre d'études historiques.

2003 "La monarchie"
2008 "Le comte de Chambord : dernier roi de France" (biographie d’Henri d’Artois, petit-fils de Charles X, Henri V)
2011 "Louis XX : petit-fils du roi soleil, "

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Marie Curie prend un amant de Irène Frain aux éditions Seuil Le 4 novembre 1911, un journal parisien à grand tirage livre à l?opinion cette nouvelle extravagante : « Marie Curie a un amant. » A l?époque, Pierre, son mari, le savant avec lequel elle a eu son premier prix Nobel en 1903, est mort depuis cinq ans. Mais Marie a le tort d?être femme, d?être célèbre, d?être une « étrangère » (elle est d?origine polonaise), d?être « juive » à en croire certains de ses pourfendeurs (ce qui n?est pas le cas). Comme le capitaine Dreyfus vingt ans plus tôt, il faut l?abattre. Et peu importe que la célèbre veuve, qui s?apprête à recevoir son deuxième prix Nobel, soit une icône de la science mondiale. Son amant, c?est Paul Langevin, ami d?Einstein, lui aussi savant d?exception, familier des Curie aux temps héroïques. Mais Paul est marié. Et l?adultère excite la presse à scandale. Pour percer le secret qui attacha si fort Marie Curie à cet homme, au risque d?y perdre sa réputation et d?y laisser la vie, Irène Frain a interrogé des lieux méconnus, des archives négligées, des photos oubliées. Et c?est une bouleversante et inédite histoire d?amour qu?elle nous donne à lire dans ce « thriller médiatique » d?une terrible modernité. Charles X de Jean-Paul Clément et Daniel de Montplaisir aux éditions Perrin Monté sur le trône en 1824 à la mort de son frère Louis XVIII, Charles X appartenait à un autre siècle. En se faisant sacrer en 1825, il voulut rétablir une monarchie absolue fondée sur le droit divin, l?Eglise et l?aristocratie foncière, alors que s?affirmaient face à lui la bourgeoisie libérale, la presse et le régime parlementaire. Survint la révolution de 1830 qui lui fut fatale. L?ouvrage, qui embrasse l?ensemble de sa vie ? le prince, l?émigré, le roi, le proscrit ?, éclaire les facettes de ce personnage qui n?était pas appelé à régner et donne toute leur place aux recherches les plus récentes. Il montre comment ce frère de Louis XVI a compris la Révolution, interprété la Charte octroyée par son devancier, s?est engagé avec fougue en plein romantisme au service de la chrétienté, renouant avec le succès, après son aïeul Saint Louis, lors des expéditions en Grèce et à Alger. Si Charles X a fait des erreurs incontestables, notamment chercher à ressusciter un monde et un système de pouvoir que la Révolution et Napoléon à sa suite avaient abolis, il s?est passionné pour les problèmes du temps et a tenté de les résoudre : faut-il limiter la liberté d?expression ? Quels doivent être les rapports entre l?Eglise et l?Etat ? Quel est le rôle de la France en Europe et dans le monde ? Roi mal-aimé dans une période oubliée ? celle de la Restauration ?, Charles X, » chevalier troubadour « , grand mécène, sut redonner à la France tout son lustre. Son règne fut une période d?intense activité intellectuelle et a paradoxalement esquissé les premières formes de la France d?aujourd?hui. Clementine Churchill. La Femme du Lion de Alexandre Philippe et Beatrix de l?Aulnoit aux éditions Tallandier Londres, mars 1908 : Clementine Hozier et Winston Churchill se rencontrent à un dîner où ni l un ni l autre ne voulaient se rendre. Leur coup foudre est à l origine d un étonnant roman d amour qui va durer près de soixante ans. Ensemble, ils ont eu cinq enfants. Alors que les femmes de chefs d État ont tant de mal à trouver la mesure entre effacement et influence, dès le jour de son mariage, à 23 ans, Clementine tient sa juste place. Elle restera toujours incroyablement fidèle à ses convictions, ses certitudes, ses ambitions. de la légende Churchill, elle a connu tous les secrets, les ombres, les vérités derrière le mythe. Tout ce que l histoire ne saura jamais et qu elle a voulu cacher. Parce que dès le premier jour, imperturbable et fière, elle n a cessé de croire en lui. Pour vivre avec ce monstre sacré de la politique, il fallait un tempérament d acier. Fruit d une longue enquête, cette biographie trace le portrait d une femme ardente dont le destin exceptionnel se confond avec l histoire tragique du XXe siècle.
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Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
Daniel de Montplaisir
La guerre est un massacre de gens qui ne se connaissent pas, au profit de gens qui, eux, se connaissent, mais ne se massacrent pas.
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Or voilà qu'en 1973 parait en France un monumental ouvrage témoignant avec un extraordinaire talent de l'horreur des camps de Sibérie, l'Archipel du goulag d'Alexandre Soljenitsyne . Une révolution d'Octobre à l'envers assortie d'inoubliables apostrophes qui provoquent plus de dégâts qu'un feu nucléaire.
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La Rochelle, ne pouvant plus rien attendre de l’Angleterre capitule le 26 octobre en implorant le pardon de Louis XIII. Plus jamais aucune ville de France après ce jour ne sollicitera un concours étranger, l’idée d’appartenance à une nation l’emportant dorénavant sur l’allégeance religieuse. Mais subsistera longtemps dans les esprits, notamment d’hommes politiques, qu’il existe en France un « parti de l’étranger » inlassablement prêt à se réactiver.

p.224
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Au contraire du français, filou comme individu mais honnête comme nation, l'anglais est honnête comme individu mais filou comme nation.
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Dans l’immédiat, le roi de France revient dans sa capitale plus auréolé de sa victoire que ne le fut jamais aucun de ses prédécesseurs. Bouvines est, de fait, la première grande bataille rangée remportée par un Capétien, elle devient la bataille. Le roi écrit à l’Université de Paris : « Louez Dieu ! Nous venons d’échapper au plus grave danger qui nous ait jamais menacés. » Et c’est vrai. Clercs, bourgeois et peuple de la capitale avaient compris, ou pressenti, que se jouait à Bouvines non pas le trône des Capétiens, mais bien la survie du royaume des lys, qu’auraient dépecé ensemble Anglais et Germains.

p.71
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Nikita Panine (vers 1805 note du lecteur) : "Les deux états respectifs (...) de la France et de l'empire de Russie par leurs distances éloignées ne pourront se trouver jamais dans le cas de se nuire réciproquement ; ils pourront en revanche se réunir et, dans une bonne harmonie, empêcher que les autres (puissances), par leur envie de s'agrandir et de dominer, ne fassent tort à leurs intérêts." Une observation de bon sens que l'histoire confirmera à plusieurs reprise et que France et Russie, selon les périodes, exploiteront ou perdront de vue.
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Elle fait part (...) de la déception que lui a causé la France. Bien qu'auréolée de sa contribution décisive à l'indépendance américaine (...) celle-ci reste "indécrottablement" attachée à la Turquie, pays le plus rétrograde qui soit : "Vos politiques sont éperdument amoureux et protecteurs des marabouts : ceux-ci leur sont si chers qu'il n'y a pas d'occasion où ils ne fassent savoir qu'ils les soutiendront du tout au tout. Que le bon Dieu les leur donne un jour pour voisins et ils changeront de langage !"
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Nées en France, la révolte et l'anarchie ont gagné l'Allemagne voisine et se répandent avec une insolence qui grandit à mesure que les gouvernements cèdent avec plus de facilité; leur torrent dévastateur a finalement atteint nos alliés ... Maintenant, ne connaissant plus de bornes, elles menacent dans leur insolence l'empire qui nous a été confié par Dieu ... Mais cela ne sera point. Notre ancien cri de guerre : " pour la foi, le tsar et la patrie "...
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Nous avons tout juste assez de religion pour nous haïr, mais pas assez pour nous aimer les uns et les autres.
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Toutefois, malgré leur apport, vers dix-huit heures, Wellington croit la partie perdue : « Nu-tête, adossé à un arbre, il voyait sans bouger son armée battue. Elle fuyait autour de lui. Son désespoir était au comble. J’ai vu des larmes sortir de ses yeux » a rapporté l’un de ses officiers d’état-major. Mais, une heure plus tard, le gros de l’armée prussienne, avec à sa tête le vieux maréchal Blücher, le soldat le plus déterminé d’Europe à combattre Napoléon, vole enfin au secours des Anglais. Dès lors, la tendance s’inverse […].

p.13
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