Danielle Steel

L'envie rend les gens fous et donne de drôles d'idées à certains.

Le travail de la police ressemble à un de ces puzzles de mille pièces, dont huit cents sont du ciel et le reste de l'eau. Pendant un bon moment, on ne voit rien, puis, petit à petit, on arrive à reconstituer un morceau de ciel ou un petit bout d'océan, et bientôt les pièces se mettent en place, l'image se dessine.

j'en ai vraiment assez et je suis sûre que toi aussi tu ne t'ennuie pas?le rôle de la belle au bois dormant...ça commence à bien faire!!

c'était un premier pas vers la vie

on ne plaisante plus ma grande les médecins commencent à s'impatienter il faut que tu te réveille!!

Partir, c'est un peu comme arrêter de se droguer, de boire ou de fumer. Aussi étrange et effrayant que cela puisse paraître, la violence domestique crée une véritable dépendance.

Une fiancée enceinte après une aventure d’un soir… Cela ressemblait fort à un mariage précipité.

Partager ma vie avec quelqu’un, mais seulement si c’est la bonne personne. Autrement, ce n’est pas la peine, j’ai déjà donné. Avoir la santé, évidemment, mais c’est une réponse de vieux schnock. En gros, être heureuse et bien dans ma peau, avec un homme que j’aime et qui m’aime.

Difficile de rattraper le temps perdu à cinquante ans, a fortiori à soixante. Un jour, on se réveille seul, et on se demande comment c’est arrivé.

J’ai compris bien tardivement que l’existence n’était pas seulement faite pour s’amuser. Sinon, on se retrouve tout seul au milieu d’une bande d’idiots et d’une flopée de jolies filles sans cervelle qui ne cherchent qu’à profiter de vous.

Ayant frôlé la mort, elle portait un regard neuf sur la vie. Son âge n’avait plus guère d’importance à présent, car elle avait l’impression d’avoir quinze ans. Elle était en vie !

Il ne souhaitait que deux choses pour son anniversaire : ne plus souffrir, et retrouver sa vie. Une vie de sexe et de femmes.

Joe et elle n'avaient échangé aucune promesse. Ils n'étaient pas fiancés, il ne l'avait pas non plus demandée en mariage. Ils s'aimaient tout simplement.

"Il longea le buffet d'un pas mal assuré, comme un albatros dont on aurait attaché les ailes et qui ne rêvait qu'à une chose: prendre son envol."

Sans s'en rendre compte, elle était entrée dans la salle de bain où elle se planta devant le miroir. La femme qu'elle y aperçut avait cent ans, lui sembla-t-il. Elle retira lentement sa perruque et se vit telle qu'elle était devenue. Laide. Défigurée. Chauve. Elle avait un cancer, elle avait perdu un sein et ses cheveux. La fille aux yeux sombres et au teint de magnolia au bras de Sam représentait la pire des vérité ... "Je ne suis plus une femme, pensa-t-elle. Je ne suis plus rien."

[...]Elle pleura jusqu'à plus d'une heure du matin. Quand enfin elle put raccrocher, Allegra songea que la vie était cruelle. Carmen voulait désespérément un bébé et perdait le sien ; Sam s'apprêtait à en avoir un alors que cela risquait de gâcher toute son existence. [...]

[...] C'était déprimant de les écouter. Le sort des divorcées n'était pas plus enviable, mais au moins, ces dernières n'avaient pas à supporter l'intolérable douleur de la disparition et pouvaient se retrancher derrière la haine qu'elles éprouvaient pour leurs ex-maris, en particulier lorsqu'elles avaient été abandonnées pour une autre femme plus jeune.Très vite, Sasha les évita,préférant s'isoler et noyer son chagrin dans le travail. Parfois, cela marchait, mais la plupart du temps, cela ne servait à rien. [...]