Danny-Philippe Desgagné

Nous sommes cette fois dans un thriller sur fond de religion. Nous allons suivre Dorian qui va mener l’enquête suite à la découverte, dans une chapelle, d’un corps de femme qui a été torturée. Il va se faire aider de Thomas qui se dit être un ange mais est-ce vrai ou est-ce un dégénéré?



L’histoire est intéressante mais j’y ai trouvé beaucoup de longueurs surtout pour les 100 premières pages que j’ai lu partiellement en diagonale. J’ai également trouvé que les chapitres étaient trop long lorsqu’on ne parlait que de religion, de ce qui est vrai ou faux et que cela n’apportait pas grand chose au suspense et à l’intrigue, j’ai d’ailleurs passé le 3/4 de ces chapitres sans avoir eu l’impression de rater quelque chose.



Ensuite le rythme a été plus rapide et je suis rentrée dans l’histoire et j’ai eu peur pour les personnages principaux qui sont attachants et bien décrits.



La plume de l’auteur est recherchée, fluide avec des touches d’humour.



Les chapitres sont relativement courts (sauf 2-3), ce qui apporte du rythme.



L’intrigue est intéressante et j’ai vraiment apprécié les petites touches d’humour dans ce récit sombre.



je lui ai trouvé un petit air de Da Vinci Code. Je félicite d’ailleurs l’auteur pour ses nombreuses recherches qui se sentent dans le roman.



En résumé une lecture en demi teinte pour moi qui aime les histoires au rythme effréné mais qui devrait plaire aux personnes qui aiment que l’histoire s’installe doucement.
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Un thriller glaçant que j'ai aimée lire, tout comme j'ai aimée découvrir ses personnages et son histoire.



On entre dans une machination infernale, que même une vie ne suffirai pas à décrire !



On y découvre aussi nos croyances sous un nouvel angle et c'est particulièrement ça qui m'a plu dans ce romans.



Je félicite l'auteur danny-philippe Desgagné pour avoir su m'emporter dans son univers et remercie aussi les éditions MERA pour me l'avoir fait découvrir !

Quand j'ai reçu ce livre de la part de Leor Literary Agency, j'avoue que je ne connaissais ni le nom de l'auteur, ni le titre de ce roman. Intriguée, en lisant la 4ème de couverture, je me suis dit : GO ! Et puis il faut bien l'avouer le titre donne le ton !



Le moins, que l'on puisse dire, c'est que ce livre est carrément différent des autres thrillers que j'ai pu lire ! Pourtant, tout commence par un polar classique (dans la 1ère partie, tout s'installe.), quoi que d'entrée de jeu, on ne nous colle pas qu'un cadavre ... Mais plusieurs corps tués de façon différentes et monstrueuse. Direct, je me suis dit : ce n'est que le début et une centaine de pages d'hémoglobines m'attendent !



Sepp Ganser, notre détective à la Brigade Criminelle et Hélène Laffont, Psychologue au FBI, vont devoir travailler en duo. Leurs différences les mènent sur des avis mitigés, mais la psy pense qu'il s'agit d'un COPYCAT. Pour le coup, ils vont intégrer la Konvention, la confrérie où se réunissent les meilleurs serial killers tous les cinq ans et devoir mener l'enquête sous une autre identité sans se faire prendre ...







La seconde partie, tourne autour de cette Konvention et le lien Sepp/Hélène ... Leurs devoirs et l'envie de découvrir qui tient les ficelles parmi tous ces sociopathes.







Je m'arrête là, car pour moi, ce livre se découvre ... Pas besoin d'en faire des tonnes pour comprendre que vous ne sortirez pas indemne de cette lecture ! C'est époustouflant (parfois, quelques longueurs ou clichés, mais ça passe) et vraiment, l'humanité me fait peur en lisant cette histoire, qui semble tellement réelle.



Pour résumer, l'auteur instaure une ambiance tellement glauque et angoissante que le lecteur va vraiment se trouver en situation d'apnée ! Desgagné dépeint ici une histoire sans limites meurtrière, une véritable descente aux Enfers. Les Personnages évoluent et pas toujours en bien ... Le sang coule sans modération ! Qui en veut ?
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Ce livre est génial ! Composé de deux parties toutes les deux aussi passionnantes l'une que l'autre, dans la première on est immergés dans la Konvention elle même ainsi que dans la résolution de l'enquête, et dans la seconde on est plutôt sur l'après Konvention (c'est mystérieux mais pas de panique c'est tout aussi prenant que la première partie). Tout au long du roman, des rebondissements, du suspense, des émotions (oui j'ai même versé quelques larmes, l'auteur sait martyriser nos petits coeurs) qui font de ce livre un véritable page turner ! Les personnages sont très attachants et on se sent investis autant qu'eux dans leur quête assez originale. J'ai tout de même eu une légère préférence pour la partie 1 car j'ai trouvé l'idée de la Konvention de serial killer excellente. Je ne peux que vous recommander cette pépite qui saura ravir vos coeurs !
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Avis : 4.4/5



Personnages : 5/5

Décors : 4/5

Trame : 4/5

Emotion : 5/5

Globale : 4/5









Un titre plus qu'accrocheur, un synopsis mettant en lumière l'horreur qui attend le lecture et voilà que j'ai plongé dans ce roman très audacieux. 

Le livre est découpé en deux parties.

Dans la première, on découvre un tueur en série qui élimine d'autres tueurs en série selon leurs méthodes. Un enquêteur, Ganser, et une profileuse, Laffont, doivent impérativement résoudre cette énigme sous peine de vengeance sans précédent. Quoi de mieux d'intégrer donc la Konvention, confrérie où se réunissent les meilleurs serial killers quelques jours tous les cinq ans ?

Durant la seconde partie, on suit la traque des têtes pensantes de cette Konvention avec un Ganser méconnaissable...









De l'effroyable réalisme



Impossible dans Killer kills killers d'en tirer une scène tant le choix est large

Il fallait donc opter pour une thématique et là, on tombe forcément sur le phénomène du macabre. Ce thriller est parsemé de morts, certes. Mais la violence utilisée, les descriptions dépeintes, le calme déroulé par ces psychopathes ont de quoi faire frémir. L'hôte de la Konvention demeure de marbre face aux pires crimes, semble à l'aise avec des intestins pendouillant ou un corps dont on a retiré toute la peau à vif. Ganser et Laffont déambulent parmi ces gens pour qui l'empathie n'existe nullement, voyant petit à petit leur propre humanité s'effriter.









Une traque dantesque



La vraie traque se développe dans la seconde partie avec une course effrénée vers Overkill, l'hôte, et surtout pour dénicher la vraie tête pensante régissant cette confrérie. Une petite surprise attend le lecture avec l'identité du Big Boss.

Si vous devez lire ce bouquin, sachez que le rythme devient vital, suffocant, à s'époumoner en faisant tourner les pages. Desgagné réalise ici une véritable descente aux Enfers avec un Ganser métamorphosé et bien décidé à ne plus reculer, le tout avec une équipe très spéciale. Un brin d'humour, un peu de torture et hop, tout s'enchaîne encore, des têtes tombent, des balles pleuvent et du sang gicle.

Pour les amoureux du genre ou les passionnés de tueurs avides de victimes, Killer kills killers à tous les atouts pour devenir un livre de chevet.
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L’intrigue générale me plaisait plutôt et au vue de la note sur Babelio je me suis laissé tenter…

Malgré de (très) nombreuses longueurs narratives, notamment autour de passages de la Bible je suis parvenu à terminer ce livre.

Le risque quand on utilise le surnaturel c’est que tout devient possible et que des incohérences scénaristiques deviennent « légions».

La fin du roman est à mon avis bâclée , l’auteur expédie le dénouement de façon douteuse et peu crédible.

Mais ce qui m’a dérangé le plus c’est que les 2 protagonistes principaux puissent avoir des discussions théologiques interminables alors que la situation est au summum du danger.

Les quelques passages humoristiques ne sont pas très subtils.

Soyons juste. Je connais l’auteur. Je savais que le mec avait beaucoup, beaucoup d’imagination, mais là, je suis tombé sur le cul. Mais quel histoire, bordel de merde. J’avais la langue à terre. Pas mangé pendant 3 jours. Je vois très bien ce roman être adapté dans une super série. Et elle va battre des records. Ce roman est à lire sans modération, d’un seul trait (de toute façon, des qu’on le commence, on ne peut plus arrêter) c’est comme une drogue. Âmes sensibles, s’abstenir....ou pas. Des fois, ça fait du bien quand ça brasse.