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Citations de David Fauquemberg (93)


Voir c’est pas regarder seulement. C’est savoir ce qu’on va trouver.
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Naviguer c'est être attentif, garder les yeux ouverts en grand, sentir plus fort. Si seulement on mettait le même soin à tout, dans la vie...
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Avant de voir mon île, je reconnais toujours son parfum de terre. Je guette l’agitation des arbres à l’horizon, le grondement des brisants, les détritus qui flottent à la surface. Si tu vois du plastique, des objets qui servent à rien, tu sais qu’il y a des hommes !...
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Grand-père dit : Si tu sais voir, le ciel te parle. Regarde ses couleurs, la teinte du soleil quand il embrasse l’océan, la course des nuages…
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L'art est une chose d'une grande humilité, il ne prétend jamais être au-dessus du reste. On a beau être artiste, on est de la tribu. Et puis ceci: un poème est aussi difficile à tendre qu'un pont suspendu. Ils aident les gens à traverser.
p 79
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" Les gens disent, Faut vivre avec son temps... Ils ne comprennent pas que l'argent corrompt le coeur des hommes, ils se jalousent, l'avidité leur retourne la tête !... Alors ils saccagent tout, ils en oublient les conséquences..."
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Mieux vaut se taire qu'offenser.
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Cuba est ainsi faite, señor, que voulez-vous… Isla de locos !... »
L’île des fous.
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« Les gens disent, Faut vivre avec son temps… Ils ne comprennent pas que l’argent corrompt le cœur des hommes, ils se jalousent, l’avidité leur retourne la tête !... Alors ils saccagent tout, ils en oublient les conséquences… »
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Les Polynésiens, trois choses nous importent : un lopin de terre où bâtir son Fare, un coin de lagon pour la pêche, une montagne à cultiver.
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Les hommes pêchèrent toute la matinée, traçant et retraçant le même sillon à portée de rivage.A chaque virement, Rongo Walker posait un pied dehors pour observer le français. Prendre un bleu à son bord, c'était toujours à quitte ou double". Pour qui pigeait vite, et ne gênait personne, 5 vous mettaient la pagaille sur le pont, un danger pour les autres.
Le français s'en tirait pas mal, on parviendrait peut etre à en faire un pécheur.
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Ceux qui savent pas naviguer, personne les admire. Ils ont même pas de nom. Un jour ils vont mourir, ils vont laisser aucun savoir, aucune réputation, pas une histoire à raconter. Comment on peut vouloir mourir comme ça, ne rien laisser ?
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On dit : C'est un poète, il a l'amour des mots... Aimer les mots, c'est aimer les hommes surtout. On ne peut pas se parler à soi-même comme si on était seul!.. Tout le monde aime les mots , nous les Maoris plus encore. On a perdu cela,mais nos anciens pouvaient se disputer trois jours et trois nuits sans repos pour décider du sens d'un verbe
p 78
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"Nous autres Maoris, on sait bien que la terre ne peut appartenir à l'homme -c'est l'homme qui lui appartient..."
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Arbre, laisse tomber tes bras
Ne les dresse pas dans le ciel
Pour implorer cet aveuglant nuage auréolé...

C'est un poème de colère, celui-là, un cri de protestation contre ces foutus pays qui se croyaient permis d'utiliser le Pacifique pour y lâcher des monstres.Les Anglais, les Russes,les Chinois, les Américains bien sûr, qui faisaient exploser leurs bombes à trente milles d'un atoll, nos pauvres cousins recevaient leurs foutues retombées !...Les Français aussi, qui ont violenté les entrailles des Tuamotu. De quel droit tous ces gens polluent-ils notre océan, la nourriture, Kai Moana, qu'il offre à nos enfants ?...
... car ce n'est pas un soleil ordinaire...
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Souvent il grommelait, on aurait dit qu'il n'avait pas confiance dans les mots qui sortaient, pas assez en tout cas pour les rendre compréhensibles ...
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La nature, tout bouge ensemble. C'est le grand mouvement, on peut pas aller contre. L'homme doit savoir sa place.
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"Le cœur des relations humaines, au bout du compte, ce sont les bonnes manières. C'est le plus beau cadeau que les hommes puissent se faire..."
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Bluff, c'est le bout de la route. Nous autres Maoris, on dit Murihiku -la queue du monde...
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Quand l'océan te prend et qu'il veut pas te rendre, c'est comme si t'étais invisible, on peut pas te trouver.
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