David Ratte

Cette BD explore avec beaucoup de finesse et de pudeur le racisme. Chloé est amoureuse d’Abdelaziz, un français d’origine algérienne. C’est un choc pour sa mère, raciste ouvertement décomplexée. La relation mère-fille va prendre un autre tournant lorsque surgit un drame. A lire jusqu’au bout car le dénouement est fort en émotions…

Dernier tome de la série Le voyage des pères de David Ratte.



Arrivé à Jérusalem où Jésus a été arrêté, Simon retrouve son fils Judas. Alphée est grièvement blessé et Jonas finit par croire aux miracles

Un dernier album très rythmé et émouvant.



Si vous ne connaissez pas encore cette trilogie, alors vous pouvez foncez les yeux fermés!

Pour ce tome 2 le voyage des pères de David Ratte, le road-trip continue.



Jonas et Simon accompagnés par 2 ex prostituées reconverties suivent les traces de Jésus. Les habitants des villages qu'ils traversent racontent les miracles accomplis par cet homme. Pour Jonas, cet homme reste un imposteur.



Toujours plein d'humour et de tendresse.

Une BD qui vaut le détour.

Quelle agréable surprise ! Le voyage des pères de David Ratte.



Jonas se demande bien qui est cet uluberlu que ses fils Pierre et Andre ont suivi. Il va donc parcourir les chemins pour ramener ses enfants au bercail.



Un livre qui parle de religion avec beaucoup d'humour et de tendresse. Le dessin rond et les couleurs pastels sont agréables.



Un album à decouvrir.

J'ai aimé l'histoire car elle met en avant les jeunes d'aujourd'hui : que ce soit par le fait Chloé aime un étranger, parle vulgairement, va à une boîte de nuit.

Je pense que tout peut laisser penser que cela se passe à l'instant présent.

En effet, par exemple, quand Catherine est sortit (à la page 15), on peut aperçevoir une rue tout à fait réaliste : on y voit l'heure sur une plaque de pharmacie, des boutiques...

Aussi, j'apprécie les dessins des différents paysages que l'on peut voir lors des transitions de lieux car c'est très beau à voir.



En revanche, j'ai moins aimé le caractère autoritaire et raciste de la mère de Chloé parce qu'en sa présence, je ressens une ambiance, une atmosphère négative. En effet, lors de l'invitation de la famille d'Abdelaziz, celle-ci est souvent au premier plan : je pense que cela est fait exprès par l'auteur pour nous montrer la vision des choses de Catherine et insister sur son caractère qui a embarassé Chloé (à la page 36, 6ème case).



J'ajouterais que même à son travail, elle est impolie et cela fait qu'elle n'entretiens pas de bonnes relations avec son entourage.



ABDERRAHMANE.

Tout va bien pour Chloé et ses parents. Cependant, un jour, Chloé leur a annoncé qu'elle voulait sortir avec un garçon. Jusqu'à présent, tout allait bien, mais quand sa mère a appris que le garçon s'appelait Abdelaziz et qu'il était arabe, la situation a empiré. Sa mère est raciste et très insatisfaite, mais le père défend sa fille.

Abdulaziz est un très bon garçon. Malgré cela, la relation entre Chloé et sa mère s'est détériorée.

J'ai trouvé ce livre assez bon car il aborde un sujet très sensible, à savoir le racisme, et ce livre est assez touchant après un événement frustrant.

Ce dessin animé raconte l'histoire d'une mère raciste et de sa fille sensible.

Mais c'est aussi l'originalité du livre, l'auteur nous offre aussi un magnifique portrait de sa mère.

En effet, le lecteur ne doute jamais de l'amour de Catherine pour sa fille. Équilibrer l'histoire de cette manière est tout un exploit.

Plutôt que de dépeindre un raciste complètement odieux, elle met elle-même une très forte dose d'amour dans ce personnage, qui est particulièrement malheureux dans cette position qu'elle ne comprend pas.

Dès lors, le racisme lui-même prend une dimension différente.

Les illustrations servent l'intrigue et créent efficacement la scène, favorisant les émotions des personnages.

Une merveilleuse histoire, finalement pleine d'espoir.

Par la suit il y aura des événements dramatiques.

Oscar

Chloé, élève de terminale présente son petit ami Abdelaziz à ses parents. Si son père réagit bien, sa mère en revanche se montre extrêmement antipathique, avec clairement des idées racistes. Mère et fille vont s'éloigner. L'ambiance à la maison est de plus en plus pesante bien que le père fasse des efforts pour raisonner sa femme, Catherine, et réconcilier mère et fille. Il invite ainsi les parents d'Abdelaziz à dîner. Le repas se passe, Catherine laissant parler ses préjugés et cherchant à créer la zizanie. Puis un drame survient : un accident de voiture. Abdelaziz n'y survivra pas, Chloé si. Ces évènements éloignent davantage mère et fille, Chloé ne supportant plus la présence de sa mère. Catherine comprend enfin qu'il faut qu'elle change si elle veut espérer retrouver sa fille.



C'est une BD qui m'a surprise, je ne m'attendais pas du tout à ce genre de récit en voyant la couverture! Une mère raciste à notre époque, cela paraît incroyable: le personnage est détestable dans son rapport aux autres d'une façon générale. Néanmoins, il attire la compassion car sous cette dureté importante, on sent Catherine désemparée quand elle est rejetée par sa fille. Elle voudrait l'aider et il lui faudra du temps pour trouver le chemin de la réconciliation. On éprouve aussi de la peine pour ce pauvre Abdelaziz et sa famille. Le graphisme est très joli et les traits sont fins. Mon petit bémol : je n'ai pas trop apprécié le fait qu'il faille un drame pour prendre conscience des choses, surtout qu'en fin de compte, on ne sait pas si Catherine a réellement évolué dans ses idées.

Ce livre parle d'une jeune fille se nommant Chloé qui est amoureuse d'un garçon qui s'appelle Abdelaziz, qui est donc arabe. La mère de Chloé est malheureusement raciste et donc n'est pas d'accord pour que sa fille sorte avec Abdelaziz car il est arabe. Cela va créer beaucoup de tensions entre la mère et sa fille. Un événement tragique va se produire et la mère va tout faire pour récupérer sa fille.

J'ai beaucoup aimé ce livre parce que je pense qu'il pourrait en quelque sorte "réveiller" les personnes racistes et leur montrer le mal qu'elles infligent à certaines personnes.

Note : 5/5

J, 2GATL, Année 2020-2021

Lucas Martins-Wood



Titre: Ma fille, Mon enfant

Auteur: David Ratte

Éditeurs, couleurs et dessins: David Ratte et Matteo Ratte

Genre: BD



Résumé: Chloé était une adolescente ordinaire qui a eu eu un petit copain arabe. Sa mère était très raciste et elle ne voulait pas accepter que le petit copain de sa fille était arabe. Un soir, Chloé est sortie avec Abdelaziz et au retour ils ont eu un accident de voiture...



Critique: J'ai bien aimé ce livre car c'était une histoire émouvante et un peu triste de leur mort et aussi cette histoire est parfois vraie dans la vie (racisme). Les dessins étaient bien faits, il y en

avait beaucoup et ils représentaient bien l'histoire.

Note: 4/5

« Très émouvant »



Cette bande dessinée de David Ratte, se déroule vers l'année 2017, en France.

Tout commence quand Chloé annonce à sa mère que son petit ami est arabe. le problème, Catherine est raciste. Ce qui crée une succession d'embrouilles à la maison. Ces relations entre mère et fille se tendent, s'amenuisent, puis disparaissent.

Un jour Abdelaziz (petit ami de Chloé) meurt dans un accident de voiture.

Catherine veut aider sa fille à surmonter cette épreuve, mais le lien est rompu.

Arrivera-t-elle à le ressouder ?



Je crois que les choses que j'ai le plus aimées dans ce livre, ce sont les illustrations et les couleurs, elles sont magnifiques !

Pour l'histoire, elle est émouvante, on s'attache beaucoup aux personnages. le problème : je n'ai pas trop aimé la fin un peu simple à mon goût.

Sinon c'est une superbe bande dessinée, je vous la conseille fortement.

Esteban



Émouvant



Tout commence quand la lycéenne Chloé rencontre son petit ami qui est d'origine arabe et quand elle l'annonce a sa mère elle a dit c'est une blague parce que sa mère n'aime pas les arabes alors elle va tout faire pour que Chloé et son petit ami se séparent donc sa mère créa des disputes.

Un soir son petit ami Abdelaziz vient chercher Chloé mais avant de partir le père de Chloé demande si il veut prendre un verre de jus d'orange parce qu'il ne boit pas d'alcool et à la fin de cette invitation ils partent et pendant la route tout d'un coup il tombe du pont et Abdelaziz est mort. Chloé a réussi à survivre donc sa mère va l'aider à vaincre cette situation.



Les choses que j'ai bien aimées sont les images et les couleurs parce que j'aime bien les bandes dessinées et ce qui m'a moins plu sont quand Abdelaziz est mort à la fin.

Enzo.B

Lecture très rapide et dans l'air du temps, on parle ici de racisme et la manière dont il est traité parlera à beaucoup de monde. Les clichés sont forcément omniprésent et c'est ce qui en fait une lecture peut être trop "facile". Je l'avais trouvé prometteuse mais finalement la fin m'a coupé dans mon élan, j'en attendais plus. J'ai eu la même impression que lorsque l'on regarde un film super chouette et que la fin nous laisse crédule !

Il arrive souvent que des auteurs revisitent l’histoire de super-héros. C’est surtout fréquent pour les surhommes en collants moulants au sein de l’univers comics. Mais ici, David Ratte ("Toxic Planet") s’attaque à l’histoire du super-héros du Vatican. Si le personnage n’a pas de collants moulants, ses superpouvoirs sont pourtant légendaires et l’approche de son histoire est ici des plus originales.



Si les «Monty Python» avaient déjà prouvés qu’il y avait moyen de réussir à faire une approche originale et hilarante de la vie de Jésus au cinéma, l’approche de David Ratte à travers les pères des apôtres ne démérite pas non plus. Certaines répliques ou interprétations libres du texte original sont à mourir de rire. La blague/réplique récurrente utilisée par l’auteur est également désopilante.



Le dessin est d’une grande lisibilité et fait un peu penser à celui de "Alim le tanneur" et au style Disney, avec des personnages très attachants aux bouilles bien rondes. Le côté légèrement caricatural des personnages renforce encore le côté humoristique de l’album, tandis que les paysages et la colorisation aux couleurs douces collent parfaitement à l’ambiance légère du récit.



Si le tirage de cette série n’atteindra probablement jamais celui de l’œuvre originale, la lecture de ce premier tome est pourtant à conseiller.

Résumé : Chloé vit chez ses parents et prépare son bac. Elle a une belle complicité avec ses parents jusqu’au jour où elle leur annonce qu’elle a un petit ami, Abdelaziz. La nouvelle passe très mal pour sa mère, Catherine, qui se révèle être raciste, bien qu’elle le nie. Elle n’a aucun problème avec les Arabes, mais pas pour sa fille ; elle mérite mieux, quand même. Elle va d’ailleurs tout tenter pour séparer les tourtereaux.

Quand le destin s’acharne, Catherine essaie de se rapprocher de sa fille mais elles se sont beaucoup trop éloignées, et la réconciliation semble impossible.



Mon avis : C’est grâce à @livressedesbulles que j’ai découvert cette bande dessinée sur le racisme ordinaire, et j’ai eu très envie de la découvrir. Sujet malheureusement d’actualité, plus que jamais dans ces moments de tensions et de peur de l’autre ; il est, à mon sens, important d’en parler, d’expliquer. Comment peut-on rejeter son prochain sans même le connaître ? Au cœur de cette famille normale du Sud de la France, on découvre une mère intolérante au possible sans raison, raciste jusqu’au trognon bien que son mari ne le soit pas du tout. Je l’ai haïe, j’ai eu envie de l’emplastrer, de la secouer, je lui ai souhaité mille souffrances. Car je ne comprends pas ce rejet. Comment ne pas juste souhaiter que son enfant soit heureuse ? J’ai été émue aux larmes par l’histoire de Chloé et d’Abdelaziz, révoltée aussi par l’injustice et la bêtise qu’ils ont dû subir. Je n’ai pas compris comment le père, aussi tolérant soit-il, arrivait à supporter cette femme - SA femme - et son venin, sa bêtise, sa méchanceté.

En conclusion, c’est une œuvre à mettre entre toutes les mains, même des plus jeunes, afin de mettre fin, il serait temps !, à ces pensées moyenâgeuses.

Je suis partagée concernant cette lecture. Je trouve important que le sujet du racisme « ordinaire » soit abordé, et ici par le biais de la bande dessinée. Ce genre de situation existe encore dans bien des familles, malheureusement. J'ai bien aimé le graphisme, la manière dont sont représentées les émotions des personnages, la mise en couleur et l'attention portée aux détails. J'ai néanmoins trouvé le personnage de la mère un peu caricatural et je pense que cela aurait pu être traité avec davantage de finesse. J'ai eu l'impression de rester un peu à la surface des choses, malheureusement.

Chloé, lycéenne, vit son premier amour avec Abdelaziz, un jeune musulman. Si son père , qui connait ce garçon bien élevé, accepte cette relation, sa mère la supporte très mal.

A coup de clichés racistes, la relation mère -fille est mise à mal.



Derrière ce sujet brûlant qu'est le racisme, l'auteur met en avant aussi et avant tout l'Amour inconditionnel d'une mère. Amour qui s'exprime certes de façon maladroite.

Les dessins ne m'ont pas particulièrement séduite, pourtant , j'ai trouvé que les émotions étaient très bien représentées.

La fin m'a un peu étonnée mais le propos est bien amené , c'est une bande dessinée qui se lit très vite, et qui peut à mon avis servir de point de départ à discussion dans un lycée par exemple.

Une très belle histoire qui parle de l'intolérance et de ce qu'elle peut entraîner. Une belle histoire traitée avec beaucoup de justesse et de délicatesse...

L'humour est toujours présent mais le ton est bien plus grave,

Belle conclusion sur l'ouverture d'esprit et la bienveillance qui font grandir.

Ah ces jeunes... toujours à s'enflammer pour une cause improbable ou à suivre le premier hippie qui passe... mais que faire, que faire ?!

L'auteur transpose avec grand talent nos tourments de parents à l'époque du Christ, et ça fonctionne !

Personnages craquants, humour de situations, de dialogues,

c'est très fin, perspicace, et jubilatoire !

Ce tome est dédié aux différentes plaies lancées sur l'Egypte. Humour toujours présent et bon récit.

Jonas apprend qu'il n'est pas juif complètement et qu'il aurait des ancêtres égyptiens. On remonte alors à l'exode juif avec Moise. Assez humoristique et part sur les mêmes bases que le voyage des pères.