Dustin Nguyen

Second volet d'American Vampire Legacy. Nous voilà 13 ans après les événements du premier tome narrant les démêlés de l'ordre des vassaux de Vénus avec les vampires. En 1954, La guerre mondiale est de l'histoire ancienne, la guerre froide s'est installée. Les Soviétiques s'intéressent à un vampire en particulier, le plus dangereux de tous, détenu depuis 1872 par les vassaux de Vénus, à Londres.

L'agent Felicia Book a quitté les vassaux de Vénus pour élever Augustus, le fils de son ancien collègue Cashel McCogan. Ce dernier a disparu à la fin du premier tome, réussissant cependant à obtenir un antidote contre le vampirisme dont souffrait Augustus.



Scott Snyder continue de mêler l'Histoire et les mythe vampiriques. Des alliances se nouent, d'autres choix doivent être faits. Les vassaux de Vénus évoluent.



Dustin Nguyen remplace Sean Murphy au dessin. Le style est différent, façon estampe à l'encre de chine par moments, façon crayonné à d'autres, mais toujours dynamique et brut. Les couleurs alternent : luminosité des espaces enneigés d'Europe de l'Est, ténèbres de la nuit. L'énergie est présente, la violence également. De très beaux effets de mise en scène parsèment ce volume.



L'histoire ne présente pas de surprise particulière et fait passer un très bon moment. Comme remarqué précédemment, l'histoire se conclue peut-être trop rapidement.

Action, mystère, suspense, terreur, horreur, Snyder ne nous épargne rien ici pour nous faire passer un excellent moment de lecture.
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Intitulé « Le Réveil du Monstre », le deuxième spin-off de l’excellente série American Vampire reprend les cinq épisodes de la mini-série « Lord of Nightmares » #1à #5. Aux manettes de ce second récit complet qui se déroule en parallèle de l’histoire principale, le lecteur retrouve l’incontournable Scott Snyder, cette fois associé à Dustin NGuyen (Dessin) et John Kalisz (Colorisation).



Le lecteur quitte donc une nouvelle fois cette série mère qui invite à suivre l’histoire d’une nouvelle race de vampires tout en parcourant différentes périodes de l’histoire des Etats-Unis, pour une nouvelle aventure d’espionnage des membres des « Vassaux de Vénus », l’organisation secrète qui lutte contre les suceurs de sang. Après un huis-clos à la recherche d’un remède contre le vampirisme, dans une Roumanie occupée par les nazis, Scott Snyder effectue un bond d’une quinzaine d’années pour livrer une histoire qui se déroule en pleine guerre froide. Le menace vient cette fois de soldats russes qui cherchent à mettre la main sur Dracula et sur sa capacité à diriger mentalement ses hordes de vampires.



Après avoir affronté le 3ème Reich et son armée de créatures surnaturelles dans une forteresse roumaine, nos héros doivent donc faire face au plus célèbre des vampires, celui dont l’histoire inspira l’écrivain Bram Stoker. Scott Snyder profite donc de l’occasion pour livrer sa propre vision l’histoire de Dracula, mais utilise également avec brio la mythologie du personnage pour nous en apprendre plus sur l’évolution des diverses races de vampires à travers les âges et sur ceux des Carpates en particulier.



Si l’auteur étoffe encore un peu plus l’univers d’American Vampire, il continue également de développer les personnages principaux de la série régulière. Le lecteur retrouve ainsi Linden Hobbes, le leader des « Vassaux de Vénus », mais également Félicia Brook et Augustus, le fils de Cash McLogan. Si le premier a déjà eu affaire à Dracula par le passé, le dernier gagne en importance au fil du récit et promet de jouer un rôle important dans le futur.



Visuellement, Dustin Nguyen a pris la relève de Sean Murphy, dans un style certes différent, mais également très efficace, qui retranscrit parfaitement l’ambiance sombre et inquiétante du scénario.



Encore un épisode parallèle qui ravira tous les mordus de vampires.
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Rien de tel que de revenir aux origines des vampires pour rendre un deuxième tome attractif.



Nous sommes en 1954 et les nazis vampires ne sont plus une menace depuis longtemps. N’espérez pas vous la couler douce, une menace encore plus grande arrive à grands pas.



Nous quittons provisoirement les États-Unis pour aller prendre l’air à Londres et à Paris.



Pas de virée shopping, faut juste cavaler, se prendre des coups, saigner et tenter de faire en sorte que le premier des carpatiques reste dans son sarcophage et ne monte pas sur son trône d’où il pourrait contrôler tous les vampires…



Changement de dessinateur, on passe dans des cases qui ressembles à des aquarelles délavées. Les tons délavés ou lumineux collaient bien aux ambiances et si le changement de dessins m’a un peu déstabilisée au départ, je m’y suis habituée assez vite.



Les créateurs de la série American Vampire avaient eu la bonne idée de revisiter le mythe du vampire, notamment en dotant la souche américaine de pouvoirs que la souche carpatique ne possédait pas et en scindant les vampires en races. On a plus de choix.



Toujours de l’action, du sang, de la violence, des combats et une course-poursuite pour éviter que le roi des carpatiques (pas besoin de vous donner son nom, vous le connaissez) ne se réveille plus qu’il ne l’est déjà.



Si l’histoire ne révolutionne pas le genre, elle est tout de même un cran au-dessus du premier tome mais n’apporte pas les surprises de la série mère (American Vampire). On est dans du classique, même si la mise en scène est bien faite et qu’on ne s’embête pas une seule seconde.



Conventionnel mais bien foutu. Classique mais efficace. Ou quand le mythe rejoint les nouveautés pour donner quelque chose de punchy qui fait passer un excellent moment, même si des pages de plus auraient permis de ne pas finir se conclure si rapidement.


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Un tome cette fois-ci assez décevant par rapport aux autres dans lequel Les Vassaux de Vénus doivent faire face à une organisation vampirique voulant réveiller Dracula lui même.

Un scénario moyen et des dessins franchement pas terribles pour une fin baclée et rapide. A oublier...

Un Tome 2 dans la même veine que le premier. Cette fois on revient vraiment aux origines des histoires du vampire de Bram Stoker mais forcément à la sauce American Vampire. L’action et l’intrigue étaient pas mal, même si on reste pas mal sur notre faim. J’espère que le scénario mis en place dans ce spin-off se croisera et se développera davantage avec la série de base dont il me reste à continuer avec le T6.

On continue le comics Ascender non sans plaisir ! L’intrigue avance, lentement certes, et les relations entre les personnages évoluent ! C’est un réel plaisir d’embarquer dans ce récit de Jeff Lemire avec Dustin NGuyen pour nous y guider !


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C'est toujours de l'aquarelle, graphiquement, c'est comme le premier volume.

Pour le scénario, j'ai trouvé que cela traînait un peu en longueur et l'accumulation de nouveaux "monstres" fait trop dériver dans l'heroïc fantasy. On se croirait un peu dans une aventure de D&D, le côté SF a quasiment disparu.

Tout le milieu de la BD est même limite chiante, un concentré d'ésotérisme autour des mères qui sont là mais pas là, tuées ou réincarnées ou désincarnées. J'ai eu du mal à suivre, pire, je m'en fichais.

Déception.

Ascender est une suite à la première série du duo Lemire/Nguyen : Descender.

Alors que la première série était une SF pure et dure, cette suite tire sur la fantasy au départ. De la magie, un monde végétal et coloré, un contraste frappant avec l'ambiance froide de Descender.

Mais ce n'est qu'un détail tant la série va s'enrichir au fil des tomes et que Lemire va prendre le temps d'introduire et de construire ses nouveaux personnages.

Mais la palme d'or revient surtout aux dessins à l'aquarelle de Nguyen qui sont tout simplement sublimes.

Les illustrations saisissent le regard. Le dessin, d'une grande délicatesse, tranche avec le style traditionnel du comics pour nous entraîner en beauté et douceur dans un monde empli de sous-texte et de clins d'œil. En revisitant des contes traditionnels avec les personnages de Gotham City, Dustin Nguyen nous fait travailler nos références, tant du côté des classiques que de celui de la pop culture. On adore l'omniprésence d'Alfred, qui, nous le savons tou.te.s, est le vrai héros de cette cité dangereuse… Pour une meilleure compréhension de l’humour et des jeux de mots, je recommande cette lecture à partir de 11-12 ans !

Charmant, inventif, son pinceau se fait même magistral dans la dernière histoire, pour esquisser sur une vingtaine de pages plus avares en texte, forêt luxuriante habitée par Poison Ivy et citadelle de glace. Un régal.
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Gotham City est le repère de fameux super-héros mais également de sombres légendes... Redécouvrez les contes de Pinocchio, La Princesse au petit pois, Alice au pays des merveilles ou encore La Reine des neiges, qui prendront vie sous les traits de personnages qui vous sont familiers. Ce comics destiné aux plus jeunes, possède une veine graphique similaire à Little Gotham. Les illustrations sont réalisées à l'aquarelle, ce qui donne un côté moins sombre aux héros de Gotham City, plus adapté pour les enfants, mais s'émancipant cependant des codes graphiques du comics classique. Ce recueil d'histoires courtes, est une belle porte d'entrée dans l'univers des comics.

J'ai énormément de mal avec l'univers DC (comme celui Marvel) mais j'essaye de m'y intéresser un peu plus et quand j'ai entendu parler de ce comics, j'ai tout de suite eu envie de le lire ! Mais, impossible de le trouver en librairie, c'est par le plus grand des hasards que je l'ai vu en occasion et j'ai sauté dessus.



Dans ce comics, on retrouve quatre contes différents et mis en place dans l'univers de Gotham City. C'est un livre qui vise les enfants et les dessins sont donc beaucoup plus simples et colorés que ce que l'on trouve dans les comics adultes, ce qui ne m'a clairement pas dérange, au contraire. Même si je n'avais pas toute les références et que j'ai du passer à côté de pleins de choses, j'ai adoré découvrir cet univers par ce biais. Chaque personnage trouve sa place et apporte des choses aux différents contes. J'ai notamment adoré retrouver ces derniers via ce nouveau biais et voir comment des textes anciens (alors pas tellement mais quand même un peu) sont mis au goût du genre et peuvent donner envie d'être découvert de cette manière.



Une très bonne lecture, fraîche, légèrement déroutante et marrante. Je n'en demandais pas plus !

Mon tout premier comics à l'aquarelle acquis lors du Batman-Day ! Une réécriture des contes de notre enfance à la sauce Gotham qui me permet de découvrir l'artiste Dustin Nguyen.



Quatre histoires :

🪵 Il était une fois Waynocchio

🌱 Il était deux fois La Princesse au petit pois

🫖 Il était trois fois Alfred au pays des merveilles

❄️ Il était quatre fois La Reine des neiges.



Poétique, émouvant et beau : en trois mots, voici l'esprit de cet album.



Quand on referme ce livre qui entremêle les contes de trois célèbres écrivains (Les aventures de Pinocchio de Carlo Collodi, La Princesse au petit pois et la Reine des neiges écrits par Hans Christian Andersen, Alice au pays des merveilles de Lewis Caroll) et Batman la série animée, on se sent nostalgique, un brin mélancolique. Il se dégage une très grande sensibilité à la fois des quatre histoires et des dessins.



Les trois premiers contes sont drôles avec des héro.ine.s et des méchant.e.s envoyant piques et vannes à tire-larigot et une chute qui clôture le récit. Le dernier, plus sombre, aborde l'immense peine du docteur Freeze partagée aussi par Batman : la douleur d'avoir perdu un être cher. Mon coup de cœur va au troisième conte, Alfred étant un de mes personnages préférés du Batverse.



Esthétiquement, c'est magnifique. Le dessin magnétique et délicat à l'aquarelle de Dustin Nguyen m'a vraiment scotchée. Les couleurs épurées et le trait enfantin vont à l'essentiel et font ressortir les émotions des personnages : leur innocence, leurs doutes, leurs vicissitudes. Coup de cœur pour la typographie utilisée lors du quatrième conte et pour le graphisme qui éclate le format classique du comics.



Si vous avez des bouts de chou, ce comics constitue une chouette porte d'entrée afin de leur faire connaître l'univers de Gotham qui ici, bien entendu, est édulcoré et tout doux !



Une pépite atypique à avoir dans sa bibliothèque : bref, lisez Les contes de Gotham !

J’ai découvert le travail de dessinateur de Dustin Nguyen avec Little Gotham, que j’avais adoré. Alors quel plaisir de le retrouver dans Les contes de Gotham ! A dire vrai, c’est parce que c’est Nguyen, avec ses belles illustrations en aquarelle (je crois, je ne m’y connais pas très bien), que j’ai acheté ce comics. Si son trait a quelque peu évolué, il n’en reste pas moins reconnaissable et toujours aussi plaisant à regarder. Je suis parfois restée plusieurs minutes sur des planches tellement je trouvais ça beau. Et non seulement c’est beau, mais en plus ça reflète parfaitement l’innocence de certains personnages, la folie d’autres, l’humour ou la beauté d’un récit… Et justement, parlons des histoires !

Comme le nom de ce comics l’indique, Les contes de Gotham, nous avons affaire ici à des contes – mais pas n’importe lesquels : le premier s’inspire de Pinocchio en nous faisant vivre les aventures de Waynocchio, le deuxième fait référence à La princesse au petit pois (avec d’autres contes qui s’y invitent) et le troisième s’intitule Alfred au pays des merveilles – je pense que vous devinez quelle est l’histoire originale. Quant au dernier, c’est une inspiration très libre de La Reine des neiges d’Andersen, et elle ne laissera personne indifférent·e. En effet, nous quittons le format des cases et des bulles pour découvrir là une mise en page plus proche des albums jeunesse ; la typographie évoque l’écriture gothique ; les dessins sont d’une beauté froide et époustouflante ; l’ensemble est incroyablement beau. En lisant cette histoire, mes yeux sont devenus humides (je n’ai pas pleuré, il m’en faut plus, mais j’ai vraiment été touchée par cette adaptation de La Reine des neiges). Si ce conte clôt en beauté l’ouvrage, les trois précédents ne sont pas en reste, mais dans une ambiance plus légère, plus loufoque, mélangeant merveilleusement bien les œuvres originales et l’univers de Gotham ; je pense que le récit qui s’éloigne le plus du conte dont il s’inspire est La Princesse au petit pois, qui nous permet de découvrir un récit assez inattendu tout en gardant une inspiration très reconnaissable. Dans chacun de ces contes, nous y suivons tantôt les super-héros, tantôt les super-vilain·es, et j’ai adoré les jeux de mots, notamment ceux de ce cher Alfred !

Donc voilà, c’est drôle, c’est touchant, c’est superbe visuellement… Et c’est pour cela que mon grand regret est que Les contes de Gotham ne bénéficie pas du même format que Little Gotham (plus grand de quelques centimètres et couverture rigide).



Batman – Les contes de Gotham est un comics que je recommande bien sûr aux fans du Chevalier noir, mais aussi à quiconque souhaite découvrir des contes revisités avec humour et beauté. Croyez-moi, vous ne serez pas déçu·es !

Bonne lecture à vous.
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En final, Batman s'égare dans une tempête de neige et croise la Reine des neiges, un récit plus intimiste sur le chevalier noir avec de très beaux dessins pleine page.
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Prétextant les diverses célébrations qui rythment l’année, nous redécouvrons les personnages dans une perspective décalée et particulièrement jouissive. Avis aux amateurs.
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J'ai eu un peu de mal à entrer dans ce Little Gotham mais après 2-3 petites histoires la sauce a prise et j'ai adoré redécouvrir cet univers en mode chibi !

Le chibi colle parfaitement à l'univers sombre de Batman et lui apporte une touche d'humour.

En espérant un autre tome !

Little Gotham est un comic book composé de 24 épisodes qui reviennent sur des fêtes et des événements importants aux Etats-Unis ; comme le dit si bien le résumé, jour férié ne rime pas avec congé, et nos super-héros se retrouvent encore et toujours à lutter contre le crime.

La grande originalité de ce volume, c’est avant tout le dessin, puisqu’il adopte un style chibi, ou SD (Super Deformed) : les personnages ont un corps assez petit, avec une tête beaucoup plus grosse [...]. Avec ces personnages totalement disproportionnés et des couleurs à l’aquarelle, le résultat est très mignon, et même le sombre Batman semble plus détendu, et tout de suite beaucoup plus adorable.

Mais n’allez pas croire pour autant que tout est rose à Gotham ! Même si ces aventures sont dessinées dans un style qui pourrait plaire aussi bien aux plus grands qu’aux plus jeunes, les petites histoires présentes dans ce volume ne sont pas pour autant dénuées d’intelligence et de traits d’esprit, bien au contraire, et l’ensemble est tantôt drôle, tantôt touchant, et toujours très poétique.

[...]

Les protagonistes sont nombreux, et on retrouve une bonne partie de la Bat-family – même Batwoman fait une petite apparition – ainsi que de nombreux vilains. Alors oui, il y a beaucoup d’individus qui peuplent ces jolies pages, mais que vous soyez fan ou totalement novice dans l’univers de Batman, vous pouvez d’ores et déjà lire Little Gotham puisqu’il y a, à la fin du volume, six pages de galerie présentant les personnages par le biais d’illustrations et de brèves biographies. De plus, comme il s’agit d’histoires courtes, il n’y a pas besoin de connaître les aventures du Chevalier noir sur le bout des doigts ; vous pouvez découvrir Little Gotham indépendamment des récits principaux.



Vous l’aurez compris, j’ai totalement été charmée par Little Gotham ! Si la couverture ne vous rebute pas, alors il y a de grandes chances pour que ce comic book vous plaise d’emblée. Si au contraire, l’illustration ne vous attire pas vraiment, n’hésitez pas à feuilleter le livre : l’ensemble est très dynamique, et il y a de fortes chances pour que vous ayez finalement envie de le lire…

L’univers de Batman est très sombre, et un peu de légèreté est toujours bienvenue ; c’est désormais chose faite !
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J'ai beaucoup aimé la lecture de cet album.

J'étais à la fois intriguée et dubitative face à un Gotham ''Chibi". Et pourtant, le charme a opéré. Les dessins sont tout simplement magnifiques. Et les histoires sont drôles et bourrées de clin d’œil à l'univers de Batman.

Il apporte un peu de douceur dans le monde de brute, qu'est l’univers de Batman. Cela nous permet de voir d'autres facettes des personnages ( notamment vis-à-vis de notre petit Alfred :) ).