Citations de Elise Broach (32)
- (...) Les humains ont des vies tellement compliquées tu ne trouves pas ? Pourquoi volerait - on quelque chose qu'on ne peut pas vendre et qu'on ne peut même pas accrocher dans son salon ?
Marvin hésita. Pour sa part, il comprenait parfaitement.
- Peut - être juste pour le posséder. Parce que c'est très beau... et que, comme ça, tu peux le regarder quand tu veux.
- Ça n'a aucun sens, fit remarquer maman. Et ce n'est pas juste.
- Oui, confirma papa. Les hommes sont champions dans l'art de se créer des problèmes.
Marvin se tourna vers lui. Maman et papa étaient toujours si fiers de lui, même quand il n'y avait pas vraiment de quoi.
[...] c'était plutôt agréable de savoir que ses parents croyaient inconditionnellement qu'il pouvait tout faire et, en plus de ça, montraient leur fierté chaque fois qu'il accomplissait quelque chose.
Il n'avait jamais vu James aussi heureux. "C'est parce que James était inquiet pour moi, comprit-il. C'est parce que nous sommes des amis."
- J'aime t'embrasser, il a dit.
Je l'ai regardé droit dans les yeux.
- Moi aussi, j'aime t'embrasser.
C'est seulement plus tard que j'ai repensé à ses morts, "J'aime t'embrasser", et pas "Je t'aime".
Soudain il s'est penché vers moi et m'a embrasse. Comme ça. Sa bouche était chaude et furieuse sur la mienne, mais ferme.
Mais Jamie fixait simplement le sol. Livide, il restait planté là, tremblant.
- Je ne peux pas le croire, a-t-il dit. Je n'arrive pas à croire que c'est fini.
Beth a effleuré son épaule.
- Tu peux. C'est fini.
- Je veux juste dire, vous êtes tellement bonne en peinture et ces choses-là, j'imagine que vous êtes aussi douée pour l'expliquer à d'autres.
Vous pouvez passer des mois et des mois avec quelqu'un, et ne rien apprendre de cette personne, et à l'inverse, la découvrir en quelques minutes. grâce a une seule histoire. Peut-être que chacun d'entre nous a une histoire, une seule, qui explique qui nous sommes réellement.
" Avec Kit, c'est comme si j'avais vu une autre part de moi-même "
page 304
" Il y a des moments où tout bascule, et de manière si soudaine, un battement de cils, à peine le temps de reprendre son souffle "
Page 22
" Ses yeux étaient grands ouverts, figés sous la pluie. Elle était morte. "
Page 23
" Ses yeux étaient grands ouverts, figés sous la pluie. Elle était morte."
C.V
"vous pouvez passer des mois et des mois avec quelqu'un et ne rien apprendre de cette personne, et à l’inverse, la découvrir en quelques minutes, grâce à une seule histoire. Peut-être que chacun d’entre nous a une histoire, une seule qui explique qui nous sommes réellement.
Hind.B
" Ce qu'est la beauté, je l'ignore, mais elle se rapporte à beaucoup de choses. "
" Personne ne voit vraiment une fleur. Elle est si petite et nous avons si peu de temps. Voir prend du temps, tout comme avoir un ami. "
" Ses yeux étaient grand ouverts, figés sous la pluie. Elle était morte."
- C'est le trajet le plus ennuyeux de ma vie.
kit a grogné :
- Et sa intéresse qui ?
Les visages sont différents dans le sommeil. Détendus, ils révèlent leur vrai caractère, retrouvent leur ancienne innocence, débarrassées des masques que les gens portent le jour.
Peut-être que tout était de ma faute. Mais comment peut-on savoir si c'est la meilleure chose à faire ? Si l'on pouvait prévoir ce qui va se passer, ce serait différent. On ne ferait pas les mêmes erreurs.
On se laisse prendre à l'histoire de ces trois jeunes avec pour toile de fond le désert de l'Amérique.
Les rebondissements sont bien amenés, ils maintiennent l'intérêt du lecteur.
Mais, une fois le livre fermé, on oublie les personnages très facilement!!