AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

3.98/5 (sur 2678 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Epinal, Vosges , le 26/11/1970
Biographie :

Anne Percin est auteure jeunesse et enseignante.

Elle poursuit des études de Lettres à Strasbourg où elle consacrera son mémoire de Maîtrise au mouvement Dada avant d'aller enseigner en région parisienne.

Elle a publié "Point de Côté", son premier roman, en 2006 et poursuit son métier de professeur en parallèle.

Ses romans pour la jeunesse (principalement pour grands adolescents) développent les thèmes de la solitude, de la différence et de l'exclusion. L'amour, l'espoir et la dérision n'en sont jamais loin. Opposée à tout étiquetage, elle ne se définit pas comme auteure pour la jeunesse, et cherche à établir des passerelles entre les classifications de genre.

L'un de ses romans pour adultes (au Rouergue) reprend d'ailleurs un personnage de ses romans jeunesse. Souvent considérée comme "écrivain queer", en raison de son refus de son engagement elle publie également dans la revue Hétérographe.

En 2010, "L'âge d'Ange" reçoit le prix des Dévoreurs de livres et le prix Hautes-Pyrénées, tout en auteurs - 13-15 ans et "Bonheur Fantôme" le prix Jean Monnet des Jeunes Européens.

Son roman "Comment (bien) rater ses vacances" connait en 2011 un véritable succès de librairie. Réédité plus de 6 fois, il est question d'en faire une adaptation télévisuelle. Elle a déjà écrit 3 suites aux aventures de Maxime.

"Le premier été" a remporté en 2012 le prix Biblioblog.

En 2014 sort "Les singuliers", roman épistolaire qui remporte le prix Charles Oulmont de la Fondation de France.

En 2015," Western Girl" remporte le prix des Zincorréziens.

En 2018, "Ma mère, le crabe et moi" est adapté à la télévision, avec Émilie Dequenne et Lorette Nyssen.

Après une enfance et une adolescence dans le quartier strasbourgeois du Neudorf, elle a vécu en couple à Paris, en Touraine et surtout dans un village du sud de la Bourgogne. Elle est revenue en Alsace en 2020 où elle enseigne actuellement dans une petite ville à 30 km de Strasbourg.
son blog : http://annepercin.blogspot.fr/
+ Voir plus
Ajouter des informations
Bibliographie de Anne Percin   (20)Voir plus

étiquettes
Videos et interviews (19) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de

Bande annonce du téléfilm réalisé par Yann Samuell, avec Emilie Dequenne, Lorette Nyssen et Jérôme Robart d'après le roman d'Anne Percin. Diffusion sur France 2, mecredi 13 février 2019 à 21 h


Citations et extraits (722) Voir plus Ajouter une citation
Le bonheur, même quand il vous est donné d'un coup, il faut se retenir d'en jouir trop vite, il faut en faire de petites provisions pour les jours d'après.
Car viennent ensuite des jours entiers, tout noirs.
Commenter  J’apprécie          590
Tout arrive, dans la vie. Si le pire peut arriver, c'est que le meilleur aussi. Y'a pas de raison. Après tout. 
Commenter  J’apprécie          580
Ce n'est pas une tombe. Pas plus que ne le sont, sur le bord des nationales, les silhouettes noires découpées dans le métal, sur les sites des accidents meurtriers. C'est vide, ça ne contient rien, ça ne protège rien. C'est juste un lieu, une borne, un espace délimité pour fixer le souvenir du drame...
Commenter  J’apprécie          540
Aimer, c'est sentir vivre en soi quelqu'un qui n'est pas soi.
Commenter  J’apprécie          542
J'ai envie d'avoir quelqu'un, ou que quelqu'un m'ait... j'ai envie d'une présence. J'ai envie d'une main sur mon épaule. J'ai envie... de quelque chose que je ne peux pas écrire, même pas ici.
J'ai envie d'aimer, j'ai envie de crever. C'est pareil, au point où j'en suis, c'est pareil.
Commenter  J’apprécie          520
Mamie n'a jamais su résister au plaisir de bourrer ses petits-enfants de crêpes. Elle les fait mieux que personne et surtout, elle en fait des tonnes. Et quoi qu'on mette dessus ou dedans, elle ne s'offusque jamais. J'ai le souvenir ému d'un crêpe rillettes/Nesquick qu'elle m'a regardé manger, l’œil embué par la fierté familiale. (Peut-être aussi qu'elle se retenait de vomir.)
Commenter  J’apprécie          512
J'ai voulu prouver à ma mère que c'était pas grave de perdre ses cheveux. Je crois qu'elle avait plus peur du regard des autres que de mourir pendant son opération. C'est débile, non ? Qu'on doive se cacher pour être malade, je trouve ça dingue ! Comme si ça suffisait pas de souffrir, faudrait encore le faire en silence ! Et puis quoi, encore ?
Commenter  J’apprécie          500
Parfois, dans le vie, il faut savoir disparaître, pour que les autres se rendent compte qu'ils tiennent à vous.
Commenter  J’apprécie          450
Qu'on fasse cent mètres ou qu'on en fasse trois millions, partir c'est avancer, bouger, vivre. Je n'aime pas le voyage, j'aime le départ. Pas besoin d'exotisme. C'est le premier pas qui coûte. Partir, ce n'est pas mourir un peu. Partir, c'est vivre.
Commenter  J’apprécie          442
La beauté est un voile que la nature a mis sur le monde pour nous le rendre tolérable.
Commenter  J’apprécie          450

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Anne Percin Voir plus

¤¤

{* *} .._..