Une romance historique divertissante où l’on suit le personnage de Tabitha, 25 ans, l’une des « vieilles filles » du village, qui se voit forcer de se marier à un homme choisi par son oncle, Preston, l’un des pires débauchés de Londres.
L’une représente l’espoir de faire revivre la demeure familiale de l’autre, et l’autre représente l’espoir d’une autre vie, d’une vie libre de faire ce qu’elle désire… L’intrigue et l’évolution de la relation des deux personnages sont efficaces et bien rythmées, surtout grâce à leur répartie. Les personnages secondaires sont tout aussi attachants que les principaux.
Je ne me suis pas du tout ennuyée lors de ma lecture, c’était un vrai plaisir !
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Malgré quelques références aux précédents romans, on sent bien qu'on redémarre une nouvelle trilogie, avec les mêmes ingrédients : trois demoiselles, trois jeunes nobles et inévitablement trois mariages à venir...
La lecture est agréable, mais moins délectable que les deux premiers tomes... Je suppose que c'est parce qu'il n'y a plus l'effet de surprise. J'ai bien aimé la façon dont la jeune femme s’insinue peu à peu dans le quotidien, et dans le cœur, de son voisin misanthrope. Le rythme est peut-être un peu moins soutenu que dans les trois premiers livres, mais on se laisse entraîner avec plaisir dans le péripéties de cette jeune femme maladroite mais pleine de bonne volonté.
J’ai trouvé un peu dommage que l’existence d’une sœur jumelle ne soit pas davantage exploitée dans le roman. Vu ce dont l’auteur s’est montrée capable dans les autres livres, cela aurait pu donner quelques savoureux quiproquo…
Un bon moment de lecture qui me donne envie d’enchaîner très vite avec le cinquième épisode des Débutantes de Kempton.
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Je n'ai lu qu'un seul roman des débutantes de kempton celui-là justement car je pense que ce genre de roman l'histoire reste toujours à peu près la même, même si j'ai adoré le lire, c'est un livre pleins d'humour, j'ai adoré les réparties des personnages surtout de daphné et Henry.
Une belle histoire bien écrit grâce à la plume de elizabeth boyle.
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Une romance dont j'ai aimé l'héroïne maladroite, un peu naïve, mais tellement sympathique et pleine de bonne volonté ! Le récit état charmant, même s'il ne faut s'attendre à rien de très original dans sa trame. Cependant, la plume de l'auteur est agréable et on passe un joli moment en sa compagnie. Je me laisserai peut-être tenter par les tomes précédents (si j'arrive à mettre la main dessus).
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C’est un roman que j’ai lu en une journée c’est vous dire à quel point il m’a plu. L’honneur en revient à l’auteur qui a su construire une intrigue certes légère mais bien rythmée et pleine d’humour. Daphné et Henry qui ont pris respectivement l’identité de Miss Spooner et M. Disforth se retrouvent pris à leur propre piège. Chacun soupçonne l’autre d’être son mystérieux correspondant mais comment l’amener à se révéler ? Surtout quand la vanité et l’orgueil s’en mêlent ? Quand ce ne sont pas les histoires de famille qui viennent s’ajouter à la confusion des sentiments. Daphné est une Dale et Henry est un Seldon. Et jamais, jamais, il ne peut y avoir de mariage entre ces deux familles comme aiment à le répéter tout autour d’eux des tantes indignées, un cousin irascible et une sœur furieuse ! On passe un très bon moment à lire ce roman pétillant. Je vous le recommande.
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Ellie, Béa, Cordélia et Anne se connaissent depuis leur enfance en internat. Elles ont un secret en commun, une pièce d'argent trouvé dans la couture du matelas de l'une d'elles qu'elles pensent dotée de magie.
Cette pièce leur servira de talisman pour trouver l'amour.
Un roman écrit à quatre mains par quatre autrices du genre. Chacune s'attache à un couple et j'ai passé un bon moment de lecture avec ces derniers. Ca va vite, c'est efficace, rythmé, sans révolutionner le genre mais ce n'est pas ce que je lui demandais. J'ai trouvé dans ma lecture ce que j'attendais : de la légèreté et de l'humour.
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« Quatre mariages et un enchantement » est un recueil sans en être vraiment un, puisque les quatre histoires se suivent chronologiquement pour n'en former qu'une seule, écrite à huit mains. Ceci dit, on sent bien la patte de chaque autrice.
Passé une introduction de quelques pages présentant les quatre héroïnes, on retrouve l'une d'entre elles quelques années plus tard, en quête d'un mari de toute urgence. Et qui mieux qu'un homme éliminé d'office pour l'aider à trouver la perle rare ? Évidemment, on sait tout de suite comment ça va finir, mais la réelle alchimie entre Anne et Rhys les rend très attachants. Une première partie certes convenue mais très mignonne, même si la scène de fesses sort de nulle part.
La seconde partie avait, en théorie, tout pour me plaire : une héroïne intrépide rêvant de contrées éloignées, un ami d'enfance et de fausses fiançailles. Sauf que... malheureusement, ça ne fonctionne pas. On peine à ressentir la moindre complicité dans les interactions de Cordélia et Kipp. L'histoire se traîiiiiiiiiiiine, c'est long comme pas permis, il ne se passe rien, on sous-entend une histoire secondaire avec le frère de l'un et la dame de compagnie de l'autre mais en fin de compte on ne sait plus trop, le rival est mis en avant mais ne sert finalement à que dalle, tout comme la fiancée « légitime ». Et ne parlons même pas du dénouement où la solution aux problèmes arrive toute seule. Vraiment, j'aurais aimé avoir quelque chose de gentil à dire, un truc que j'aurais aimé, un point positif, mais non. L'ennui, le vrai. Pas de bol, c'est la partie la plus épaisse...
Heureusement, passé un début assez poussif, la troisième partie rattrape largement le coup, avec une intrigue secondaire autour du père d'Ellie. Coupable, pas coupable ? Cette fois, on sent clairement que les personnages ont un passé ensemble, même si leur attraction n'est pas si palpable que ça. En revanche, les voir se déchirer sur la question, avec l'enquête de Lawrence en toile de fond, fait que l'on ne s'ennuie jamais et apporte une profondeur qui manquait aux deux histoires précédentes.
La dernière partie, celle de Béatrice, est la plus courte, et c'est fort dommage, parce que même si la romance est rapide, on y croit. Béa et Frédérick vont bien ensemble, leurs échanges ne manquent ni d'humour, ni d'intérêt, leur passion commune pour la science transparaît partout ou presque, et la vieille tante apporte un peu de légèreté supplémentaire. En outre, même si tout n'est pas parfait, le handicap du héros est plutôt bien traité, sans validisme ni en faire des caisses, ce qui, mine de rien, n'est pas si fréquent.
Globalement, j'ai passé un plutôt bon moment à lire « Quatre mariages et un enchantement », quoique réellement plombé par la deuxième partie. Le truc, c'est qu'à l'exception peut-être de la dernière, les autres sont de ces histoires que l'on apprécie mais vite oubliées, surtout quand l'on en dévore beaucoup du même style. Donc... j'ai aimé... mais trouvé ça sympa, sans plus.
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Le propos de ce roman: Jusqu'où les personnes iront-elles pour sauver ceux qu'elles aiment?
Je pensais à un énième roman de gare, un peu mieux qu'un roman Harlequin, sans plus.
Avec surprise, je me suis mise à apprécier les aventures de Noisette, alias ....
Quelques rebondissements intéressants se déroulant sous La Terreur.
Bref, une lecture de détente se lisant rapidement par une journée morne.
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Dès les premières pages, j'ai compris que "cela ne le ferait pas". Tout de suite, l'intrigue m'a paru complètement emberlificotée, avec des flash-back, de l'espionnage et du contre-espionnage, des identités secrètes, des morts simulées, des complots d'état dont on ne sait pas trop le pourquoi du comment.
Et la romance passe carrément à l'arrière plan...
Je n'ai terminé le roman que pour vérifier s'il y avait finalement une explication un tout petit peu rationnel ou logique à toutes ces péripéties sans queue ni tête, mais la lecture m'a semblé pénible.
C'est dommage de finir la série sur une si mauvaise impression...
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J'ai été un peu déçue par ce cinquième tome qui commençait très bien, mais qui est parti dans tous les sens par la suite.
Comme dans le précédent tome, j'ai regretté que l'existence des jumelles ne soit pas davantage exploitée.
J'ai bien aimé le héros, une canaille au coeur tendre et aux poches vides, mais l'héroïne m'a un peu moins plu : elle m'a paru à la fois très superficielle, versatile et naïve.
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Le charme n'a pas opéré cette fois.
La lecture est agréable mais l'histoire est longue à démarrer, avec des flash-backs pour revenir sur ce qui aurait en fait été "les meilleurs moments", à mon avis (les différents épisodes du rapprochement entre les deux amoureux). En plus, dès le départ, l'intrigue est nettement moins crédible avec des histoires d'espionnage, de chantage et autres complots autour des diamants du fameux collier de Marie-Antoinette.
Le couple d'amoureux est sympathique, mais leur relation occupe relativement peu de place dans le roman par rapport aux autres péripéties dignes d’un roman d’aventures. Du coup, leur attachement extrême semble bien soudain.
Le héros apparaissait déjà dans les deux précédents tomes, mais sous un tout autre jour, et après l'avoir découvert si futile et inconséquent, il est bien difficile de le prendre au sérieux dans son nouveau rôle de séducteur profondément amoureux de sa dulcinée, une jeune femme qui n'a pas froid aux yeux et qui n’hésite pas à se lancer dans l’aventure.
Je me demande de quoi seront fait les prochains tomes : les trois héroïnes et les trois héros apparaissaient à chaque fois dans les trois premiers tomes, comme personnages principaux ou secondaires. Or pas de quatrième demoiselle de Kempton évoquée dans ce roman, ni de quatrième noble célibataire d’ailleurs. J’espère quand même y retrouver le charme des deux premiers tomes...
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J'ai beaucoup aimé ce deuxième tome des Débutantes de Kempton, peut-être même encore plus que le premier. (Et pourtant je me demande si à un autre moment, dans un autre état d'esprit, je n'aurais pas détesté cette histoire…)
On retrouve le style d'Elizabeth Boyle, plein d'énergie et marqué par une bonne dose d'humour et d'auto-dérision. C'est réjouissant, très amusant et en plus surprenant, car riche en rebondissements inattendus. Alors c'est vrai qu'on peut faire une croix sur le réalisme, mais l'histoire reste cohérente et on est pris dans le rythme trépident des péripéties : un vrai page-turner comme qui dirait.
Les deux personnages sont sympathiques et c'est amusant de les voir essayer de refuser l'évidence lorsqu'ils commencent à suspecter l'identité de leur mystérieux correspondant épistolaire : par lettres interposées, ils sont tombés amoureux de l'ennemi, leur deux familles étant dignes des Capulet et des Montaigu de Shakespeare. Et la situation se complique encore lorsqu'ils tentent de pousser l'autre dans ses retranchements pour l'amener à se dévoiler. Cela donne des péripéties hautement improbables, mais c'est délectable…
Enfin bref, même si c'est loin d'être de la grande littérature, j'ai adoré cette romance et j'espère que le troisième tome me plaira autant...
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J'ai passé un très bon moment avec Sous le Sceau du Scandale. J'ai été agréablement surprise par le ton énergique et non dénué d'humour et d'ironie, ainsi que par l'intrigue qui sort, un peu, des sentiers battus.
Ce n'est pas un chef-d’œuvre de la littérature, c'est vrai, mais je trouve que l'histoire se démarque bien des dernières romances historiques que j'ai pu lire. L'histoire est un peu plus "chaste" et les antagonismes entre les deux héros donnent du piquant à l'histoire.
Le récit est parfois un peu bavard, avec un peu trop d'analyses sur "les regards enflammés" et autres bêtises de ce genre, mais l'histoire est prenante et on tourne les pages avec impatience pour découvrir le sort des amoureux.
Le héros m'a bien plu, davantage même que l'héroïne qui est pourtant sympathique elle aussi : c'est amusant de voir le libertin sans scrupule être rattrapé par l'amour, surtout pour une vieille fille revêche, comme il la voyait au départ.
Une lecture bien sympathique donc et si tous les tomes sont de la même eau (je croise les doigts), cela promet de belles heures de lectures...
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Louisa Tempest arrive de la campagne accompagnée de sa sœur jumelle qui désire plus que tout rencontrer son âme sœur durant la saison.
Louisa, de son côté, souhaite uniquement rentrer chez elle. Elle sait que Londres n'est pas pour elle. Pas avec le lourd secret sur les mœurs de sa mère.
Grâce à son chat incontrôlable, Hannibal, qui décide de filer dans la maison du voisin, Louisa fait la connaissance de lord Wakefield, un homme brisé par la guerre.
Malgré son caractère irascible, Louisa décide de l'aider car oui lord Wakefield a besoin d'aide. Il s'est enterré dans sa maison et refuse tout contact avec l'extérieur.
Louisa a du pain sur la planche...
Bon, ce livre est agréable à lire pour passer le temps, en vacances mais ne restera pas dans ma mémoire.
Les personnages principaux sont plus attirés physiquement l'un vers l'autre que réellement amoureux. Ils ne se connaissent pas vraiment.
Sans oublier que certaines scènes m'ont paru peu crédibles comme la séance de batifolage dans le bureau de son oncle alors que l'oncle en question était censé arriver à tout moment. On est au 19ème siècle!
L'histoire suit son cours gentiment jusqu'à sa conclusion évidemment prévisible.
Je me suis pas sentie emportée par la romance alors que c'est un peu ce que j'attends de ce genre de littérature.
Vite lu, vite oublié!
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Ce roman m’a beaucoup déçue car j’ai eu l’impression pénible qu’Elizabeth Boyle ne savait pas quoi faire de ce couple. Son histoire croise celle de la sœur jumelle Louisa et patine beaucoup. Lavinia et Alaster errent à travers les pages cherchant à comprendre ce qu’ils font là ! Ce n’est que dans la deuxième moitié du livre (enfin !) qu’un début d’intrigue commence à faire son apparition : à partir du moment où Alaster présente Lavinia à sa mère et que celle-ci l’emmène à une soirée scandaleuse, on s’intéresse enfin à nos deux personnages principaux. Mais cela n’enlève pas le fait que je les ai trouvés très ternes tous les deux. La faute en est je pense à la légèreté du ton –point commun à la série- mais qui, là, dessert surtout Alaster. On ne croit pas un instant à son personnage de « plus beau débauché de Londres », je le trouve surtout inconsistant voire simplet. Il passe son temps à avoir la bouche ouverte dès lors qu’il croise Lavinia. Et on se demande bien pourquoi tant elle me semble insipide quand elle ne passe pas pour écervelée. Se laisser entraîner à la fameuse soirée par la mère d’Alaster alors que depuis le début du roman, elle nous rebat les oreilles avec ses règles de bienséance, montre de sa part un crâne vide ! Bref, je suis arrivée avec soulagement à la fin de leur histoire ! J’ignore si Elizabeth Boyle a écrit un autre roman de cette série mais j’espère qu’elle va surmonter ce passage à vide et rebondir, c’est tout le mal que je lui souhaite.
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une romance historique sans surprise et sans originalité. Pour les amateurs du genre
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ce livre est à paraître, mais c'est l'autre côté de l'histoire du volume 4 des "débutantes de Kempton"
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Pas mal du tout mais il faut lire les 3 premiers tomes en 1 fois. Les 2 suivant sont une histoire à part, mais à lire ensemble.
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