Emma Green

Je ne te changerais pour rien au monde , Josephine. Et si tu savais comme j’aime tous les Joe que tu es ……..

« Je suis une garce , une amoureuse …… »
« Je suis une enfant , une mère ……… »
« Je suis une pécheresse, une sainte …….. »
« Je n’en QI pas honte ……. »
« Je suis ton enfer , je suis ton rêve ……… »
« Je suis rien entre les deux …….. »
« I’m a bitch , I’m à lover « 
Mon fucking dandy aux yeux gris-bleu

J'ai appris à accepter avec le temps que je n'étais pas et ne serais jamais une fille "cool".
Je suis déjà bien assez occupée à essayer d'être moi.

Même quand on se croit mort à l'intérieur, parfois, il suffit de prendre soin des autres pour se sentir un petit peu plus vivant.

Je suis le fils d'une mère qui m'a donné la vie. D'une autre qui me l'a sûrement sauvée. Et maintenant d'un type qui a la manie de tout gâcher.
Voilà exactement pourquoi je ne voulais pas savoir. Pour ne pas être le gosse d'un raté.

Pourquoi croit-on toujours que les gens qui nous aiment ne sauront pas le faire quand on en a le plus besoin ?
Maintenant, c'est trop tard. Et à qui d'autre pourrais-je en parler ? Qui d'autre qu'une mère pour éponger les chagrins de son enfant ?

Les hommes intelligents ne le sont pas toujours au meilleur moment.

Liv Sawyer est mon soleil.

Les ténèbres n'avaient aucune chance.

Toi et moi, depuis le début, ce n'est pas une malédiction, Liv, chuchote Tristan. [...] Toi et moi, c'est un putain de miracle.

-Tu peux courir cent bornes, je serais toujours là, fait-il le plus calmement du monde.
-Pas si je t'achève avant. Dans cette rue, aucun témoin, aucun risque d'être vue...

-Non. On est blessés. Sur nos gardes. Et... coupables.
-Coupables de rien du tout ! La seule chose qu'on peut vous reprocher, c'est votre bêtise !

-Toi, tu préfères les mecs torturés, les sauvages, les fiers, les bad boys, fait-elle en esquivant mon geste.
-Non, je milite pour les garçons gentils et équilibrés ! Mais dès qu'il s'agit de Tristan Quinn, je deviens un énorme cliché...

Quatre heures de sommeil à tout casser : mes nuits sont courtes, agitées et frustrantes. Voilà ce que j'ai récolté en signant ce stupide document. Ce début de cohabitation forcée avec Tristan est sur le point de me rendre dingue.
Ou de m'envoyer derrière les barreaux pour un bon nombre d'années.

-C'est hors de question, soufflé-je enfin.

-...

-Pourquoi tu ne dis rien ?

-...

-Tristan, c'est maintenant que tu dois dire la même chose que moi !

-Qu'est-ce que tu fais là ?!

-Bonjour à toi aussi, Sawyer.

-Quinn, je ne plaisante pas.

-Tu m'as vu sourire ?

-Non, mais je t'ai assez vu tout court.

Merci de m'avoir aimée si fort... et de m'avoir appris que je ne méritais rien d'autre qu'un amour absolu comme le tien.

- Arrête de penser et vis Cléo.
Je peux encore entendre sa voix qui me répétait ça.
- Ça va, Madame-je-sais-tout ! Lui rétorqué-je dans une grimace. Je fais comme je peux sans toi.

Peter Walsh nous repére et nous rejoint à grands pas. Je bondis pour aller m'asseoir à côté de Romeo et lui laisser la banquette d'en face.
Seul.
Face à ses responsabilités.

Si la vie en vrai ressemble à ça avec toi, je suis partant pour une vie toute entière...

Est-ce qu'on est finalement rien d'autres, en devenant adulte, que le fruit de ses parents.

A force de vouloir le meilleur pour ses enfants, on fini par exiger d'eux qu'ils soient parfaits.