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Citations de Florence Belkacem (33)


J’ai le sentiment qu’avec le temps la mort détient ce pouvoir magique d’effacer les nuages sombres d’une existence pour ne renvoyer que les moments de ciel bleu.
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« Surtout, ne jamais tuer une coccinelle ! C’est la bête à bon Dieu… »
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C’est le devoir des vivants que de se souvenir de ceux qui ne sont plus.
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La difficulté, aujourd'hui, c'est que l'addiction aux écrans - télé, ordi, téléphone, tablette - détourne notre regard de ce qui nous entoure. Combien d'entre nous prennent encore le temps de se tourner vers le ciel et de suivre un papillon des yeux ? Quand on pense que saint François d'Assise parlait aux oiseaux et que nous nous contentons de les regarder sur un écran...
Notre société hyper connectée éclipse toute poésie, elle réduit notre capacité à nous émouvoir et à nous émerveiller. Le rationnel rejette l'irrationnel, comme jadis "la mauvaise monnaie chassait la bonne" et, dès lors qu'on ne comprend pas ce qui arrive, on refuse d'y croire.
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Aux esprits sceptiques et hermétiques, je dis : "Vous ne savez pas à côté de quoi vous passez." Et si je crois que les âmes nous inspirent, c'est aussi parce que j'ai un amour immodéré de la vie. Je ne peux concevoir qu'avec la mort, l'âme soit à jamais précipitée dans les ténèbres, et je pense bien au contraire qu'elle survit au-delà de l'existence sur terre.
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Les morts sont les invisibles, mais ils ne sont pas les absents.
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Les défunts ont pour habitude d'envoyer des plumes, des oiseaux, des papillons... Ou encore des coccinelles.
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La mort repousse, tient à distance. Tout à coup, on devient incapable de toucher l'être que l'on a tant aimé, chéri. Comme si déjà l'on établissait une frontière entre les vivants et les morts.
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Partout en France, des légendes régionales voient le jour. Selon Philippe Huet, auteur de La véritable histoire de la bête à bon Dieu, si l'on en écrase une en Basse-Bretagne, on s'expose à mourir le lendemain ! En Charente, si un berger marche sur une coccinelle, il voit périr son plus beau mouton. En Lorraine, si l'on en observe près des ceps, le vin sera bon. Et, dans la Creuse, on met des coccinelles autour du cou des enfants en guise d'amulette pour les protéger des maladies...
Mais l'histoire que je préfère et celle-ci : dans la Beauce, lorsqu'une coccinelle se pose sur la main, on recommande de la laisser marcher jusqu'au bout de son doigt, puis de dresser celui-ci vers le ciel et de souffler dessus pour que le petit insecte s'envole. Une fois arrivé au ciel, la coccinelle devient un ange et réserve une place au paradis pour celui ou celle qui l'a aidée.
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Une belle lecture qui n'a fait que renforcer en moi cette belle croyance que les liens ne sont jamais complètement brisés... Il suffit de laisser son coeur et son esprit ouverts... Merci Florence
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"ce doit être maman qui se manifeste ! Elle nous dit qu'elle pense à nous.
Tu crois vraiment ?
Mais oui ! Tu as dû l'appeler en lisant toutes ces lettres. .. Elle t'a entendue, et elle est venue.
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Je suis convaincue que ceux qui quittent notre monde sont dans une autre temporalité, et c’est seulement si l’on continue à s’adresser à eux qu’ils peuvent le ressentir et nous le faire sentir en nous envoyant des signes. À l’inverse, je pense qu’ils s’éloignent si on ne les associe plus à notre vie.
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Le hasard c'est Dieu qui se promène incognito.
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La tristesse a envahi notre maison, les rues, le pays et même les enfants s'en rendent compte. À Paris, on ne parle plus que d'attentats et d'arrestations. Avant, on craignait le FLN et maintenant, c' est l'OAS. Car l'Algérie ne sera bientôt plus française. Le général de Gaulle en a décidé ainsi.
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Tes racines, tu les découvriras un jour et tu trouveras l’apaisement. En tout cas, n’oublie jamais : espérer, c’est vivre ; désespérer, c’est mourir.
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Espérer toujours. Ne désespérez jamais.
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Redonne la clarté à mes ténèbres.
Remets en liberté mes jours funèbres.
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À la différence du philosophe, je ne pense pas que les « morts gouvernent les vivants », mais je crois qu’ils peuvent inspirer et aider les vivants. Ils ne meurent vraiment que lorsqu’on ne pense plus à eux, et nous pouvons éviter de leur infliger cette « deuxième mort » provoquée par l’oubli et le déni. C’est le devoir des vivants que de se souvenir de ceux qui ne le sont plus.
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On n’apprécie rien si on ne contemple pas. Ce qui manque au monde, c’est la contemplation.
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Les morts sont les invisibles. Ils ne sont pas les absents.
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