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Critiques de Florent Silloray (54)
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Le carnet de Roger

Florent Silloray nous entraîne sur les traces de son grand-père, prisonnier de guerre au cours de la seconde guerre mondiale. Au décès de son aïeul, Florent récupère un carnet rédigé par son grand-père. C'est un petit carnet en moleskine, rédigé à la mine de plomb. Roger raconte sa drôle de de guerre et sa captivité, en France et en Allemagne.



Roger était maraîcher près de Nantes. Il est mobilisé au début en septembre 1939 et rejoint son régiment. Il va nous raconter ses classes, ses occupations. Roger note tout ce qui concerne son quotidien. Quand il partira au front, il fera de même. C'est une véritable mine que son carnet, on y trouve le quotidien des soldats, leurs occupations, leurs loisirs, leur nourriture, leur boisson.



Florent Silloray part sur les traces de son grand-père à la recherche du passé de celui-ci, à la recherche de ce passé dont il a très peu parlé. Mais pourquoi parler quand on a tout écrit ? Grâce au carnet de Roger, aux notes de celui-ci, grâce à ses descriptions, grâce aux photos qui accompagnent ce petit carnet, Florent est en quête. Il va chercher les lieux en France mais aussi en Allemagne.



Roger parle de ses conditions de détention. Il n’épargne aucun détail sans faire du misérabilisme. Il décrit ses relations avec ses camarades et avec ses geôliers. Roger explique ce qu'il vit, ce qu'il ressent mais jamais sans se plaindre.



Florent Silloray nous permet de revisiter la période de la drôle de guerre avec les états d'âme des soldats mais aussi de la population. Il nous entraîne sur les routes de l'exode. Florent nous invite dans l'univers de l’armée française en déroute, dans ce qu'ont vécu nos soldats défaits et leurs conditions de détention.



J'ai beaucoup aimé le graphisme et les couleurs choisi par Florent Silloray pour évoquer le parcours de Roger : ces couleurs sépia font un peu penser à des photos d'autrefois. Comme beaucoup d'auteurs et d"illustrateurs qui alternent entre des temps passés et des temps présents, Florent Silloray met en couleurs son parcours sur les lieux parcourus par Roger. J'ai trouvé le graphisme de Florent Silloray très "humain" : le carnet de Roger est un reportage et l'album de son petit-fils est un reportage hommage.



J'ai trouvé cette BD très sensible et très intéressant car évoquant un aspect de la seconde guerre mondiale peu ou pas traité. Ce n'est pas la première fois que je lis une BD ou un roman où un petit-fils part sur les traces du passé de sa famille. C'est parfois une nécessité pour comprendre d'où l'on vient. C'est aussi symptomatique d'une époque où nous ne sommes pas toujours assez à l'écoute des anciens. Certains ont beaucoup de pudeur à parler de leur vie, de leur parcours. Parfois au décès d'un grand-père ou d'une grand-mère, quand on découvre certains documents, on découvre des pans d'histoires oubliées. On découvre des secrets de famille.



Il ne faut pas oublier de s'attacher aux témoignages de nos anciens. Né au Mali, surnommé "Le Sage de l'Afrique", Amadou Hampâté Bâ est l'auteur du célèbre proverbe : « En Afrique, quand un vieillard meurt, c'est une bibliothèque qui brûle. » Ne l'oublions pas.



Merci à Florent Silloray de nous avoir permis de partager le destin de soldat vaincu de Roger.









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Le carnet de Roger

Alors qu’il vient de perdre son grand-père, Florent Silloray tombe sur son carnet qui relate sa vie de soldat et de prisonnier pendant la Seconde Guerre mondiale. Il entreprend alors un voyage pour relier les écrits du carnet aux lieux où son grand-père est passé : lieux de détention, stalag, mine de travaux forcés…

Un témoignage intéressant d’une partie peu connue de la Seconde Guerre mondiale, les prisonniers français. Effectivement peu connue car, comme Roger, les prisonniers de guerre ont très peu parlés de leur période de détention en Allemagne. Le carnet de Roger est donc un témoignage rare de ces soldats qui ont vécu la honte de la défaite, le désespoir et les conditions de vie très difficiles.

Même si les passages sur la recherche des indices du petit-fils sont utiles, ils coupent un peu trop le rythme de la BD et sont un peu trop importants par rapport aux parties sur la vie du grand-père en tant que prisonnier.

Le récit manque un peu d’émotion - à part l’introduction de l’album - et le témoignage reste assez succinct. Mais c’est normal, on ne peut aller au-delà de ce que le grand-père a raconter dans son carnet. Il reste un pan entier de sa vie en captivité dans l’oubli.

C’est tout de même un témoignage fort intéressant d’une partie peu connue de la Seconde Guerre mondiale.
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Le carnet de Roger

Génial témoignage ! La seconde guerre mondiale vue sous l'angle d'un prisonnier de guerre dont les carnets ont été retrouvés 60 plus tard par son petit-fils. Il illustre alors le carnet de bord, tout en racontant son enquête personnelle sur les lieux de captivité de son grand-père.



Les amateurs du "Photographe", de la "guerre d'Allan", ou de "Raus" se régaleront.
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Le carnet de Roger

Très bel album, aux illustrations prenantes.
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Le carnet de Roger

Voilà un très bel album découvert en 2012 dont je tenais à parler.

On suit ici donc 2 parcours en parallèle : La guerre vue par les yeux de Roger et son carnet, la quête de Florent son petit-fils 63 ans plus tard sur les lieux de passage de son grand-père.

J’ai lu plusieurs fois cet album et je ressens toujours autant d‘émotions. Il y a bien sûr l’aspect historique et témoignage qui est très intéressant mais il y a aussi et surtout ce lien que Florent Silloray tente de renouer avec son grand-père en suivant ses traces.

Ce double intérêt est très bien exploité graphiquement. Les planches qui suivent Roger sont superbes, dans les tons Terre et gris… alors que les planches qui suivent Florent sont plus classiques en couleurs.

J’avoue ne pas avoir trop suivi le parcours de Florent Silloray et je le regrette. Mais je reste marqué par cet album beau, tendre et riche !

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Le carnet de Roger

A la mort de son grand-père Roger, Florent Silloray a voulu à nouveau marcher à ses côtés en évoquant la période noire de prisonnier de guerre que ce dernier avait toujours tue.

Ce sont les carnets de son Papy,écrits au jour le jour à la mine de plomb que le jeune dessinateur a illustrés.

Véritable témoignage sur l'absurdité de la guerre qui transporte un simple maraicher pacifiste breton dans la tourmente du front, dans l'horreur du stalag IV B de Mühlberg puis dans la mine Louise de Domsdorf.

Peur au ventre sous les bombardements,conditions de vie déplorables, désespoir, les pages, au tracé réaliste, colorées d'un marron boueux rendent très bien l'ambiance morbide de ces cinq ans passés loin de sa famille et de sa fiancée.

Chassé croisé entre passé et présent, puisque Florent Silloray incorpore en teintes plus claires ses propres recherches, déplacements sur les lieux traversés jadis et sa rencontre avec un traducteur allemand sympathique.

"J'ai l'impression d'évoluer sur les pages d'un manuel d'histoire du lycée" affirme l'auteur au cours de son périple de fourmi laborieuse, mais c'est tout à fait ça: Le carnet de Roger, document unique, est la traduction en images de tout un pan d'histoire que les jeunes mémoires doivent garder à l'esprit et bien sûr un hommage émouvant d'un petit fils à son grand père (héros bien malgré lui).
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Le carnet de Roger

À la fois témoignage historique et quête familiale, Le carnet de Roger raconte, en alternance, la trajectoire de Roger, prisonnier ballotté au gré des besoins des vainqueurs et l'enquête minutieuse de Florent Sillory pour retrouver des témoins et, surtout, les lieux de cette « aventure ». Le résultat est des plus admirables. […] Amateur d'Histoire et passionné de la Deuxième Guerre Mondiale précipitez-vous sur Le Carnet de Roger ! À lire.
Lien : http://www.bdgest.com/critiq..
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Le carnet de Roger

Pour un premier projet, Florent Silloray a réussi son pari, à savoir honorer de la plus belle des manières la mémoire d'un homme qui n'est autre que son grand-père et sensibiliser naturellement un lectorat sur un pan douloureux de l'Histoire que l'on ne doit pas oublier.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Le carnet de Roger

Florent découvre le carnet de guerre de son grand-père qui vient de décéder. Il décide de partir sur les traces du passé avec ce carnet.

Cela nous permet de découvrir un épisode méconnu de l'histoire : la déportation des prisonniers de guerre français dans les camps de travail.

Les retours en arrière sont bien amenés. L’illustration est agréable sans aucune agression

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Le carnet de Roger

Voici une BD du souvenir, celui de la grande histoire, durant la deuxième guerre mondiale et souvenir de l'histoire familiale du grand-père de l'auteur.



Tout commence avec le décès du grand-père. "Il nous reste une fine pellicule de cendre au creux de la paume. Personne n'ose s'essuyer les doigts. Mon grand-père finit la journée au fond de toutes nos poches" p.21



Le carnet de Roger, c'est celui-du grand-père, retrouvé après sa mort, un petit carnet dans lequel il a tout écrit au crayon de bois, il a retracé sa vie de militaire et de prisonnier.



En hommage à son grand-père, il va partir sur les traces de celui-ci grâce à ce qu'il raconte dans son carnet. J'ai beaucoup aimé cette partie de recherche. "A droite des champs en dévers qui grimpent jusqu'à un bosquet... C'est là. Un frisson dans le dos me le confirme. Papy est comme perché sur mon épaule". p.47



L'auteur alterne les dessins effectués d'après les carnets de son grand-père et les dessins montrant toutes les recherches effectuées. Il a fait un sacré travail !
Lien : http://pages.de.lecture.de.s..
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Le carnet de Roger

Plus qu'un BD, mieux qu'un documentaire !
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Le carnet de Roger

Florent Silloray est parti sur les traces de son grand-père, ancien prisonnier de guerre de la seconde guerre mondiale, de la débâcle de mai-juin 40 à ses années dans un stalag près de Leipzig.

Pour cela, il disposait d'un document de choix : le carnet-journal que ledit grand-père avait tenu jusqu'en 1941.

L'album alterne les parties en couleur qui mettent en scène l'auteur et retracent sa propre enquête avec les parties en vert monochrome qui font revivre la captivité de Roger, le papi.

J'ai trouvé que les parties en couleur étaient d'un intérêt parfois inégal... ce qui me faisait avoir hâte de retrouver Roger. Mais d'un autre côté, le choix de rester parfaitement fidèle au texte du carnet, et donc de demeurer uniquement en mode narratif et de n'intégrer aucun phylactère dans les cases, donne à l'ensemble un côté terriblement monotone, aggravé encore par le vert monochrome. Tout cela incite en fait à lire le texte et à tourner les pages très vite, sans s'attarder sur les dessins, alors que quand on se force à bien les regarder, on se rend compte de l'incroyable travail de reconstitution que Silloray a dû abattre.

Bref, même si le témoignage est intéressant et le travail de l'auteur indéniable, je ne suis pas complètement convaincu par l'approche technique choisie, et je resterai globalement mitigé.

La fin est cependant joliment émouvante, et l'hommage palpable.
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Le carnet de Roger

L'auteur raconte à partir de carnets retrouvés après la mort de son grand-père, le vécu de son aïeul soldat de l'armée française en 1939, puis prisonnier de guerre en Allemagne jusqu'à la libération. Un témoignage poignant servi par des dessins réalistes qui alternent entre les tons sépia pour le passé, et les couleurs pastels pour le temps présent qui rend compte des recherches menées par Florent Silloray sur les traces de son grand-père.
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Le carnet de Roger

J'ai trouvé cette lecture touchante, émouvante. Au delà du récit de la vie d'un soldat dans la drôle de guerre puis de ses premiers mois de captivité en Allemagne, c'est aussi le parcourt d'un homme qui part à la découverte de ce qu'à vécu son grand père... et de tout ce qu'il n'a pas raconté...

Et le tout servi avec des dessins que l'on croirait sortis d'un carnet de voyage.....

Belle lecture

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Le carnet de Roger

Le témoignage, d'un prisonnier français dans des camps de travail en Allemagne, d'une grande humanité.

L'hommage, que lui rend son petit fils, des plus touchant.

Le tout, en fait un album d'une lecture passionnante, de belles illustrations, et surtout plein d'émotion.

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Tout froissé

« Tout Froissé » est né dans une corbeille à papier. Personne n’avait jamais vu ça. On lui fait subir tout un tas de tests. Désemparé, le docteur qui ne savait pas comment guérir un enfant en papier, le jeta dans sa corbeille. De nouveau, abandonné dans une poubelle, il fit une fabuleuse rencontre… Un album drôle et plein d’imagination pour les enfants de 4 à 6 ans.
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Un tournage en enfer : Au coeur d'apocalyps..

Dix-huit mois de tournage aux Philippines dans des conditions parfois dantesques. Douze mois de montage. Débuté en mars 1976, le film sort, à peine achevé pour le Festival de Cannes 1979 où il obtient une palme d'or (la deuxième pour Francis Ford Coppola) ex-æquo avec Le tambour. Tournage démesuré donc, pour un film qui ne l'est pas moins. Nombreux acteurs contactés pour le rôle du capitaine Willard, qui tous refusent pour diverses raisons. C'est Martin Sheen qui le joue. Il ira jusqu'au bout, reprendra quelques semaines après une crise cardiaque. Puis c'est Dennis Hopper qui fait des siennes, puis Marlon Brando... Et Coppola qui oscille entre la paranoïa, la déprime, l'autoritarisme. Démesure à tous les niveaux.



Très documenté, Florent Silloray raconte le tournage de ce film mythique, n'ayons pas peur des mots, que personnellement je n'ai vu qu'une seule fois dans sa première version. Il en existe deux autres, une de 2001 Apocalypse Now "Redux" de 194 minutes et une de 2019 Apocalypse Now "Final cut", de 183 minutes, au montage le plus proche de la vision de Coppola.



En 1976, Francis Ford Coppola fort de son succès avec Le Parrain, s'empare d'un scénario de John Milius, d'après un roman de Joseph Conrad, Au cœur des ténèbres, et compte bien faire un film inoubliable avec un point de vue très original pour l'époque sur la guerre du Vietnam qui vient juste de finir. Les ennuis s'accumulent, les dépassements de budgets et les doutes, la peur de faire le bide le plus cher de l'histoire du cinéma hantent le réalisateur. Le plateau est tendu, les financiers stressés.



C'est tout cela que raconte Florent Silloray, à travers une attachée de production de la société de production crée par Coppola. Sarah Evans est un personnage fictif qui se balade dans tous les lieux de tournage et de décision pour nous faire vivre au plus près la réalisation de ce film. Et l'on prend conscience de la démesure du projet, de ce que peut impliquer un film fait avec des vrais personnes et non pas sur fond vert avec des effets spéciaux numériques qui, s'ils sont bluffants, ôtent un peu de magie et d'humanité. L'album est très beau, les couleurs dans les tons verts et jaunes semblent coller aux paysages, la mise en scène est plaisante et permet de se retrouver aisément dans la genèse du film, de l'idée à la sortie sur écran. C'est passionnant et ça donne envie de (re)voir le film.



PS : J'ai trouvé et regardé la version de 2001, et je peux dire que ça marche encore, que l'on suit le capitaine Willard avec attention. C'est un film au rythme et aux images fascinants. Je n'ai pu m'empêcher de penser aux conditions de tournage décrites dans l'album, notamment dans certaines scènes. Cela permet de mesurer les performances des acteurs et de tous ceux qui ont travaillé sur ce film. C'est lent et tendu, sombre. A coup sûr un grand film. Et une bande dessinée qui donne autant envie de le revoir est forcément un très bon album.
Lien : http://www.lyvres.fr/
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Un tournage en enfer : Au coeur d'apocalyps..

On reste admiratif certes devant le film mais surtout devant la volonté intransigeante de Coppola, son génie, ses exigences, un budget qui va exploser, des caprices de stars, la démesure en tout. Mais quel film.
Lien : https://www.ligneclaire.info..
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Un tournage en enfer : Au coeur d'apocalyps..

Si la couverture et le pitch sont alléchants, le contenu est un peu déceptif. L’auteur est un « fan » qui n’a pas eu accès à des informations autres que celles que l’on peut trouver depuis bien longtemps déjà sur ce tournage hors du commun. Ainsi, n’étant pas un insider plus qu’un autre, le livre n’apporte aucune anecdote inédite, et donc son intérêt documentaire est limité, d’autant qu’il souffre de la comparaison avec l’abondante littérature couvrant le sujet depuis de nombreuses années, ainsi que du documentaire vidéo reprenant les images tournées par Eléanor Coppola. Reste à voir l’intérêt d’une version en bande dessinée de cette aventure, et là encore, si le point de vue d’une petite assistante de production est un point de départ intéressant, il ne tient pas la longueur. L’histoire de notre héroïne n’est pas du tout traitée finalement, et les dialogues et les textes sont poussifs et informatifs. Le tout est longuet voir indigeste à lire, d’autant que je n’ai personnellement pas accroché à l’esthétique crayonnée du dessin... Pas convaincu donc, mais ce n’est que mon avis, et mes goûts ! Un ouvrage qui plaira sans doute aux afficionados désirant redécouvrir une aventure qu’ils connaissent déjà, et à ceux qui découvriront ici les périples de ce qui fut, sans doute, le plus improbable tournage de l’histoire du cinéma.
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Un tournage en enfer : Au coeur d'apocalyps..

L'épique et long tournage du film Apocalypse Now est relaté dans cette bédé, principalement constituée d'archives. Le montage financier est difficile et finalement fixé à seize millions de dollars en 1976, tout dépassement incombant au producteur-réalisateur. Pour qu'American Zoetrope puisse produire son film, Francis Ford Coppola a l'idée d'adapter les deux premiers µ Parrain sous la forme d'une mini-série pour la télévision, pensant qu'elle y trouverait une bonne audience et lui permettrait de se refaire financièrement9. En outre, il n'hésite pas à investir son propre argent et à hypothéquer ses biens7.
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