Frances Hardinge

Un roman que j’ai presque abandonné et pour lequel je n’aurais peut-être pas dû insister.



J’avais pourtant accroché aux prémisses de l’intrigue : l’histoire d’une petite fille qui se réveille après une noyade dont elle ne se souvient pas et qui essaie de comprendre ce qui lui arrive.



Par la suite, la magie n’a toutefois pas opéré. Je n’ai pas accroché à l’univers dépeint par l’auteure. J'apprécie habituellement les histoires où il se passe des choses étranges et inexplicables, mais là tout me paraissait alambiqué et bien trop surréaliste. J’ai été dérangée par l’ambiance pesante, par la bizarrerie des antagonistes, par toutes les étrangetés que Triss traversait, notamment sa faim insatiable, que la nourriture ne pouvait sustenter, et qui la contraignait à manger des poupées, des vêtements, des bijoux, des journaux… L’histoire traîne en longueur à partir du deuxième tiers, les personnages font du surplace et je m’ennuyais dans ma lecture.



Et il y avait cette phrase au tout début du livre, qui m’avait beaucoup intriguée : ”Nous allons savoir quel âge a Theresa quand elle sera complètement réveillée.” Mais plus j’avançais dans l’histoire, moins je la comprenais, d’autant plus qu’il n’y a, par la suite, aucun mystère lié à l’âge de Theresa/Triss.



Bref, une lecture qui ne m’a pas convaincue.

J'ai adoré ma lecture, un roman passionnant et captivant. L'héroïne est fabuleuse, elle m'a fait beaucoup de peine en raison de l'indifférence dont elle fait l'objet et de la difficulté qu'elle rencontre à simplement avoir le droit d'être elle même. Un récit féministe et une aventure intriguante, merveilleusement bien écrite

Faith Sunderly, fille de pasteur anglican à la fois naturaliste renommé, vit dans l'Angleterre victorienne de 1869. Le début de l'histoire emmène la jeune fille de quatorze ans, plutôt mature pour son âge, son jeune frère et ses parents sur une île au large des côtes anglaises. Son père est accusé d'avoir trompé la communauté scientifique, l'exil est la meilleure solution pour se faire oublier...

J'ai abandonné cette lecture, triste, sombre, avec des longueurs abyssales. Une héroïne que j'ai trouvée intelligente mais sans vraiment de charisme, bref, j'en étais à la page 100 et rien ne se passait, sinon des événements sans grande importance, juste des mises en bouche, tout était suspicion sans aucun déclenchement d'histoire. La mère de Faith est tellement égocentrique que cela en est totalement ridicule, le père est bizarre, incohérent et mal embouché, le petit frère pas très dégourdi, et cette pauvre fille que tout le monde s'ingénie à tourmenter n'attire que la pitié du lecteur. Abandon, malgré les qualités rédactionnelles de la plume de l'autrice.
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Ce livre est sans intérêt. L'histoire peut être bien mais je n'aime pas trop le fait que Hark doivent à chaque fois faire tout en douce et ça ne m'a pas vraiment plu. On essaye de suivre le héros mais il n'y a pas de logique compréhensive. Les personnages ne sont pas très attachants et, selon le résumé, je m'attendais à quelque chose de beaucoup plus mystérieux et un plus lourd secret. Il y a trop de moments où l'on se demande "Quand est-ce que ça finira ?" et, malgré moi, j'ai eu plus d'une fois envie d'abandonner.

Clairement, je n'ai pas du tout accroché au livre tant pour l'un des personnages que pour la plume de l'auteur et cette ambiance un peu malaisante qui règne dans le roman. Dès lors que j'éprouve une gène si grande envers un personnage ou un sentiment de malaise face à un livre, la lecture m'en est presque impossible. J'ai tout de même réussi à finir le livre, car le monde de ces anciens dieux m'a malgré tout plu.

Hark et Jelt, orphelins, vivotent à l'aide de petites arnaques. Mais quand Hark est arrêté et envoyé sur une île comme travailleur, Jelt le retrouve et lui propose une association pour explorer les profondeurs. Là où autrefois, des dieux immenses et inspirants la peur, régnaient.



Bon, j'attendais beaucoup de ce roman et j'ai été déçue. En fait, sans mon challenge en cours, je l'aurais abandonné. L'intrigue ne correspond pas du tout à ce que j'attendais.



J'imaginais un roman un peu mystique autour de la religion des Abysses. Une découverte d'une sorte d'Atlandide sombre.

Mais en fait pas du tout. Enfin, à un moment il y a un peu de ça, avec l'histoire que raconte un prêtre et qui parle de métamorphose, de peur, de pouvoir, de religion et de folie. Et ça avait un petit côté roman de Brussolo que j'adore. Mais c'était très furtif.



Non à la place, j'ai lu une intrigue un peu steampunk qui met un temps fou à se mettre en place et qui reste assez longue ensuite (la fin était interminable). Avec deux personnages principaux que je n'ai pas aimé : Hark trop faible de caractère et Jelt qui est complètement malsain et toxique.



J'ai par contre aimé le personnage de Selphine, dur mais qui fait tout pour sa famille ainsi que la grande place laissée à la surdité, handicap assez rare dans les romans. Aussi l'écriture était vraiment superbe (le prologue 😍)



Bref, une déception malgré une intrigue qui paraissait prometteuse et la renommée de l'auteur. J'avais adoré ses précédents livres.

🐻 Un univers ensorcelant, entre réalisme et fantaisie qui a sû me subjuguer dès les premières pages. J'ai véritablement dévoré la première partie de l'intrigue tant la plume de son autrice est addictive.



J'ai eu tout de suite beaucoup de sympathie pour la jeune Makepeace. Une jeune fille aussi rebelle que touchante. Son évolution se fait en douceur et c'est un plaisir de la voir s'ouvrir au monde, aux incroyables secrets de la famille Fellmotte. A travers elle, on découvre une Angleterre troublée, prise entre deux feux. Le sort du pays est incertain et Makepeace va devoir malgré elle prendre part à la guerre à sa façon.



J'avoue avoir néanmoins légèrement décroché une fois les 250 premières pages passées. C'est dommage car tout avait pourtant bien commencé. La dimension fantastique de cet univers m'a intéressée et le rythme donné à l'intrigue a fait que j'avais toujours envie d'en savoir plus.



Pourtant, dans la seconde moitié du roman j'ai trouvé que le rythme s'est peu à peu essoufflé. Certains passages m'ont donné le sentiments de tourner en rond sans trop savoir sur quoi la suite allait déboucher. Je ne me suis pas plus que ça attaché aux autres personnages. J'ai trouvé une sorte de décollage entre la construction aboutie de Makepeace et celle, trop sommaire, des autres protagonistes. Des pistes sont pourtant lancées mais je n'y ai pas trouvé ce que j'espérais. Ceci n'a pas été suffisant pour que la rencontre entre eux et moi se fasse pleinement.



J'ai néanmoins passé un bon moment de lecture globalement. Je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé ce livre. Je ne peux pas non plus dire que je n'ai pas été déçue quelque part.

Encore une fois, Frances Hardinge a réussi à dépeindre une héroïne forte, nuancée, courageuse le tout dans une ambiance attisée par les vents, la mer déchaînée et quelques esprits tourmentés. Une belle histoire avec du suspense, du romanesque, de la science et une étincelle de féminisme.

C’est beau, imagé, imprégné d’une atmosphère anglaise et pleine de nature et d’humanité. Une lecture « coin du feu » avec du suspens, de la poésie et un soupçon de magie. Une superbe découverte pour cette auteure anglaise qui donne envie de savourer chacun de ses livres&#xNaN

J'avais déjà lu la voix des ombres de Frances Hardinge et j'avais adoré sa plume sombre, poignante et captivante.

Je dois dire que j'ai absolument retrouvé le même engouement pour l'île aux mensonges !



Cette histoire se déroule en 1860.

Nous y suivons donc Faith Sunderly, fille d'un pasteur et naturaliste émérite soupçonné d'avoir trompé la communauté scientifique et religieuse.

Il se cache avec ses deux enfants, sa femme et son beau-frère sur une île où leur secret saurait être préservait. Mais la vérité va les rattraper, un accident dramatique va survenir et Faith va devoir rétablir l'honneur familiale. Mais également porter le poids d'un mensonge qui pourrait s'avérer dangereux ...



La plume est comme d'habitude absolument incroyable de sa richesse et de son empreinte sur le récit.

Cette autrice arrivera toujours à me transporter et j'ai hâte de lire d'autres de ses romans !



L'intrigue est particulièrement bien amenée, j'ai adoré les personnages qui dépeignent parfaitement le contexte historique. Je pense qu'il est bon de se pencher sur les figures féminines du récit.

Faith est un personnage tout en nuances, représentant une jeune fille qui se renferme sur elle-même et tente de passer inaperçue. Elle ne tardera pas à tirer profit de ce trait de caractère et à révéler sa véritable nature pour rétablir la vérité.

Tout est cohérent ; son lien avec son père, l'image que lui renvoie sa mère et l'effet que lui fait cette société patriarcale.



La mère a été un des personnages que j'ai le plus aimé. ce rôle de femme mariée, exécrable au possible et prête à tout pour son honneur et celui des sien était particulièrement bien écrit et rien ne semblait surjoué.

Son rôle servait l'histoire d'une façon très subtile que j'ai adoré découvrir.

Je n'avais jamais vu ça !



Le cadre posé par l'autrice est vraiment très intéressant : une île inquiétante qui va être le théâtre d'un drame. c'est un petit microcosme où tout circule très vite et on remarque par le biais de la population le pouvoir des mensonges et la terreur collective qu'il peut engendrer.

Et puis il y a tout une ambiance avec ce château mystérieux dans lequel les Sunderly habitent, cette île brumeuse et ses mystères.



J'étais satisfaite en refermant ce livre, satisfaite de cette fin audacieuse et de ce dénouement finement amené.



Je le conseille vraiment car le contexte historique notamment avec le rôle de la religion et de la science est vraiment bien dépeint.

Etonnement, je n'arrive pas à me plonger dans cette lecture. J'ai pourtant bien avancé dans le roman qui est bien écrit et avec de belles idées, mais je n'ai pas la moindre accroche avec les personnages et ça ne me donne pour le moment pas l'envie de lire la suite.

J'ai beaucoup d'autres lectures qui m'attendent, alors peut-être que je reviendrai sur celui-ci plus tard mais pour le moment c'est le premier abandon de l'année.

L'abysse, cet endroit aquatique berceau des anciens dieux. Il en existe des légendes et surtout des pleurs ancrées aux plus profonds des âmes.

Cette immensité aquatique qui abrite les vestiges du temps ancien. Ces archipels, terrain de Jelt et Hark, deux orphelins unis par la fatalité. Mais, un jour, la paix de l'humanité se retrouve en danger, la puissante vibration du passé s'invite au présent.

Une longueur dans l'installation, une écriture vague mais des personnages attachants vous immergent sans les profondeurs et leurs mystères.

Voici mon retour de lecture sur La lumière des profondeurs de Frances Hardinge.

"On raconte que les eaux de l'archipel des Myriades étaient jadis la demeure des dieux. C'est la pure vérité."

Depuis leur enfance à l'orphelinat, Hark et Jerk se serrent les coudes et vivotent de petites arnaques tout en rêvant des trésors que recèle l'Abysse. Mais un royaume hanté de cauchemars s’étend sous la mer proprement dite et tout vestige du passé n'est pas forcément bon à remonter à la surface.

Les deux amis vont l'apprendre à leurs dépens… et à ceux de l'humanité tout entière.

La lumière des profondeurs est un roman fantastique dont la couverture m'a tout de suite attirée. Elle est magnifique, d'un joli bleu, et avec des nombreux animaux aquatiques.

Le monde crée par l'autrice est très original. L'univers découvert ici n'est pas sans faire penser à Jules Verne et son vingt mille lieux sous les mers.

Nous sommes dans l'archipel des Myriades avec deux orphelins Hark et Jerk,

Ces deux jeunes gens sont très proches l'un de l'autre, complices y compris dans des arnaques.

Mais Hark va se retrouver de son coté, quand l'une de leurs affaires a mal tournée.

L'autrice a crée ici un personnage sourd, qui est très important et apporte un réel plus. Je n'en dirais pas plus mais c'est une très bonne idée, ça apporte de la profondeur à l'histoire.

Nous ne sommes pas du tout au Pays des bisounours, le monde crée par l'autrice est assez dur. Je me suis d'ailleurs demandée à plusieurs reprises à quelle sauce Hark allait être mangé !

Car.. ici, tous les coups sont permis.. ou presque ! L'esclavage est d'actualité, la vente d'êtres humains, mais aussi le pillage et la vente de reliques des dieux.

L'histoire est bien ficelée, il y a énormément de rebondissements.

J'ai beaucoup aimé découvrir la légende des dieux, les explications données sur leur nature. Là encore c'est original et bien trouvé.

La lumière des profondeurs est un bon roman pour ados que je vous invite à découvrir et note quatre étoiles :)

J’ai eu énormément de mal à rentrer et à me situer dans l’histoire qui est terriblement lente sur les quatre vingt dix premières pages. Je pense également que la relation assez froide de l’héroïne avec sa mère, en particulier au début du roman, m’a un peu dérangé. Une fois ces chapitres passés l’action se met en place, de plus on comprend enfin les étranges capacités de Makepeace et de certains membres de sa famille. Il faut savoir que ce récit se déroule en Angleterre dans les années 1600, alors sous le règne de Charles 1er et en pleine période de rébellion. L’ambiance de ce roman est donc assez sombre et on ne peut que se demander quand notre héroïne va enfin avoir droit à sa part de bonheur.

Une ambiance gothique à souhait, une héroïne courageuse qui sort des clichés du genre, une intrigue originale qui nous fait entrer dans la tête de cette jeune fille hantée par des esprits ... J'ai dévoré ce gros pavé sans peine, et j'ai tout de suite adhéré à l'originalité de cette histoire.

"Mi figue-Mi raisin"

L'histoire est intéressante, la plume nous transporte dans l'époque du XVII ème Siècle. L'univers restera assez sombre & froid, donc l'auteur fait parfaitement son job pour nous plonger dans l'ambiance. J'ai aimé le personnage principal, nous pouvons ressentir ces différents "états". Hélas, mon avis global reste mitigé surtout concernant la fin.

Comme avec mon avis ... Avec les fantômes nous ne savons pas sur quels pieds danser ! (Rire) ^-^

Ce fut une assez belle découverte. J'ai pris ce livre sur un coup de tête à cause de son résumé et je n'avais pas d'attente particulière. J'ai beaucoup aimé l'univers mais je trouve dommage que l'on ai une carte de toute l'archipel des Myriades mais que l'histoire se concentre sur seulement deux îles, on ne parle pas du tout du reste, c'est dommage. J'aime aussi le principe des bénis de la mer, que les personnes sourdes soient "valorisées" et que tout le monde connaisse la langue des signes. La relation entre Jelt et Hark est intéressante. J'ai beaucoup aimé les personnages de Quest, Vyne et Selphine. Je ne m'attendais pas à cette histoire autour des dieux, un peu macabre, mais j'ai apprécié plonger dans cet univers. Une bonne lecture sans plus.

J'ai ce livre depuis longtemps dans ma PAL, le résumé m'a toujours attirée et je me suis enfin lancée... et j'ai été déçue

Dans La voix des Ombres, on suit l'histoire de Makepeace qui peut communiquer avec des âmes errantes et les abriter en elle. Elle finit par se rendre compte qu'elle n'est pas la seule à avoir cette faculté, sauf que ces autres personnes ne l'utilisent pas de la même manière...



Je pense que je m'attendais à tout autre chose quand j'ai commencé le livre et j'ai eu beaucoup de mal à rentrer dedans... Je m'attendais à un truc un peu oppressant et au final c'était pas du tout ça 🤷‍♀️

Puis, une fois que je me suis faite à l'idée, je me suis juste ennuyée. J'ai pas apprécié l'écriture, c'était beaucoup trop long et trop répétitif. Et pourtant, certains passages étaient durs à lire et pas vraiment utiles au récit à mon sens. Ça n'a pas fonctionné avec moi...

Aussi, je me suis pas vraiment attachée aux personnages, je les trouvais froids et hostiles. Un peu comme tout le récit d'ailleurs et je pense que c'est ça qui m'a le plus dérangé... Du coup, j'étais hyper déçue parce que ce livre et cette intrigue avait un immense potentiel, et il a pas du tout été exploité comme je l'espérais.



J'ai jamais réussi à abandonner un livre mais j'avoue que pour celui-ci j'étais à deux doigts de le faire...
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Faith Sunderly a 14 ans et est la fille soumise et dévouée d'un pasteur naturaliste de l'Angleterre victorienne. Afin de fuir des rumeurs de fraude concernant les recherches paternelles, toute la petite famille (père, mère, oncle, Faith et son petit frère) se retrouve exilée sur une petite île battue par les vents au large des côtes anglaises. L'accueil sur place n'est pas des plus chaleureux et les choses se corsent encore plus quand le révérend Sunderly est retrouvé mort. Faith va alors devoir braver les interdits que l'époque fait peser sur son genre pour enquêter sur la disparition de son père et faire éclater la vérité au grand jour.



L'île aux mensonges est un remarquable thriller victorien, baigné d'une atmosphère vénéneuse, et qui nous plonge au coeur d'une société dont les convictions sur les origines de l'humanité ont été violemment secouées par la récente publication des travaux de Darwin. Ce contexte scientifique tout particulier se double également une réflexion fine sur la place réduite que cette même société daignait accorder aux femmes. Faith n'a rien d'une rebelle dans l'âme et s'efforce initialement de remplir consciencieusement ses devoirs filiaux. Mais comment ne pas être révoltée face à l'étroitesse du destin que sa famille lui réserve ? La résolution du mystère paternel s'accompagnera donc d'une émancipation libératrice pour notre héroïne. Par ailleurs les personnages féminins présents dans le roman sont particulièrement intéressants dans la mesure où ils s'avèrent tous plus complexes que ce que l'on pourrait soupçonner au premier abord, chaque femme devant trouver une stratégie qui lui est propre pour exister au sein du carcan victorien.
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J'ai eu beau essayer, ce roman m'est tombé des mains au bout d'une centaine de pages. Pas moyen de rentrer dans l'histoire dont le résumé était pourtant alléchant. Je n'ai pas réussi à m'imaginer l'univers de l'autrice, pas plus que je ne suis parvenue à m'attacher aux personnages. Mais surtout, j'ai trouvé l'intrigue beaucoup trop longue à se mettre en place. Durant les 100 premières pages, on avance pas d'un pouce. Dommage...