J'ai beaucoup aimé ce roman québécois traitant de la vie d'autrefois dans les villages du Québec. Beaucoup d'éléments historiques sont révoltants, d'autres sont touchants. Les personnages sont vraiment intéressants: il y en a qu'on déteste (le curé), d'autres que l'on adore et surtout, une majorité que l'on comprend et que l'on aime voir évoluer. Les thèmes abordés sont: la misère, l'amour, la mort, la religion, la trahison, la pauvreté, les mensonges...
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Mon mari allant régulièrement au Québec, il me rapporte des livres d'auteurs québéquois.
Ce livre en fait partie.
Francine Ouellette nous raconte l'histoire de sa mère, née en 1914 en Saare, en Allemagne près de la frontière française. Son enfance, son adolescence, sa famille gaie et généreuse puis l'émigration au Québec lors de l'arrivée au pouvoir d'Hitler.
Deux parties dans ce livre, d'abord en Allemagne puis au Québec où sa mère a eu des difficultés d'adaptation à cause de la langue mais ne s'est jamais départie de sa gaité, ni de son amour pour sa famille.
Malgré une écriture qui peut sembler un peu enfantine au départ, j'ai finalement eu beaucoup de plaisir à sa lecture; j'espère d'ailleurs continuer la découverte de cet auteur avec sa série Feu sur l'histoire des amérindiens.
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J'ai eu beaucoup de plaisir à retrouver les personnages de Au nom du père et du fils, dont Clovis - qui poursuit maintenant son rêve de devenir médecin - et Biche pensive. Roman historique qui met en évidence des côtés un peu plus sombre du passé de notre société, mais qui en fait prendre conscience de belle manière.
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Lecture obligatoire lors de mon secondaire 5, ce livre fut un cauchemar pour moi, probablement parce qu'une telle brique découragerait n'importe quel adolescent, et assurément parce qu'une histoire du genre, proposant nombre de personnages stéréotypés (gentil médecin, méchant curé), ne venait absolument pas chatouiller mes intérêts d'antan... Souvenir pénible.
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Une fresque lyrique (très) et un peu longuette dans le passé (les années 1920-30) du Canada. Le plaisir de langue québécoise et de l'histoire de la Province francophone catholique au milieu des anglais protestants, sur les Terres arrachées aux indiens... mais ce tome 2, arrivé jusqu'à moi par le hasard d'une boite à livres, me suffit : il ne m'a pas donné envie de me pencher sur le tome 1.
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Un récit historique québécois très romancé que les amateurs de drame ne manqueront pas d'apprécier. La prémisse est assez banale, mais prometteuse; les personnages sont un peu clichés, mais très attachants. Bien qu'un peu mélodramatique sur les bords, c'est une belle histoire très prenante que j'ai lue avec avidité deux fois plutôt qu'une!
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L'histoire se passe dans le monde de l'aviation de brousse à Shefferville mais semble secondaire par rapport à l'étude des états d'âme des principaux personnages que l'auteur se plait, et se complait, à décrire en long, en large, de biais, par dessus, par dessous, de travers etc. Bref un roman de 770 pages qui, quant à moi, aurait bien pu en faire 300 de moins sans qu'on y perde au change, bien au contraire. Il y en a qui aime s'écouter parler, faut croire qu'elle aime se lire! Avec raison dans la mesure où son écriture est jolie et agréable. J'a aimé pour le description d'un monde qu'on ne connait pas, pour la retenue dans l'éloge de l'Indien et la profondeur des caractères. Mais faut pas être pressé car c'est long longtemps!
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La suite de «Au nom du père et du fils», il se lit d'un trait après ce premier tome. Appréciable pour l'écriture si ce n'est pour l'histoire en générale.
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Très belle description de la chute des peuples amérindiens du Canada.
Les fourrures qui émanaient de leurs terres firent leur malheur.
L'homme blanc les massacra de la façon la plus naturelle : en lui faisant cadeau de ses bactéries.
Beau roman historique, écrit du point de vue des indiens.
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L'histoire nous raconte une époque du Québec à peine révolue. L'omniprésence et la toute puissance de la religion, l'assimilation des amérindiens, les familles nombreuses aux destins tragique. Lu à l'adolescence je n'ai pas apprécié pleinement ce roman. Peut etre me manquait-il la connaissance historique que j'ai actuellement.
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Probablement le premier livre avec du joual que j’ai lue, vers 10 ans et je me rappelle seulement de ne pas avoir aimer du tout!
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