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Citations de François Rivière (147)


— Je vous assure, mademoiselle, que je n'ai aucune intention irrespectueuse.
— De quoi s'agit-il ?
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— J'ai rendez-vous avec Mr Whittington.
— Par-là, je vous prie.
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Il valait mieux que Mme Ferras soit morte d'une erreur de dosage de Véronal. Pourquoi se serait-elle suicidée ?
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Appelez moi Cendrillon... Je trouve que ça me va très bien...
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Les terreurs secrètes de sa femme réagissaient-elles mystérieusement sur les autres membres de l’expédition ? Ou bien était-ce l’angoisse pesant sur le groupe qui affectait à ce point le système nerveux de cette femme ?
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Je ne dis pas qu’elle aime les querelles, mais elle les provoque !
— Comment ? Pourquoi ?
— Pourquoi ? Pourquoi ? Mais parce qu’elle s’ennuie. Elle n’est pas elle-même archéologue, mais seulement la femme d’un savant. Les découvertes scientifiques la laissent totalement indifférente : elle élabore elle-même ses petites émotions et prend plaisir à mettre les gens dos à dos.
— Mary, vous parlez sans savoir. Vous êtes le jouet de votre imagination.
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— J’ai toujours cru que tous ces gens-là s’entendaient à merveille. Ils me produisaient l’effet d’une famille heureuse, fait assez surprenant, étant donné la nature humaine. N’est-ce pas, mademoiselle Leatheran ?
— Euh je ne sais jusqu’à quel point vous avez raison, major. Les haines dont j’ai été témoin à l’hôpital ont souvent eu pour origine des vétilles, par exemple une discussion au sujet d’une théière.
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Les deux jeunes gens sont très aimables. L’Américain est plutôt taciturne, alors que l’Anglais ne cesse de bavarder. D’habitude, c’est le contraire qui a lieu. Leidner est un garçon délicieux, si modeste et si simple ! Je le répète pris individuellement, tous ces gens-là sont agréables, mais je me fais peut-être des idées. La dernière fois que je suis allé les voir, j’ai eu l’impression qu’il se passait quelque chose d’anormal. Je ne saurais préciser, mais aucun d’eux ne paraissait naturel. L’atmosphère était tendue. Je ne pourrais mieux m’expliquer qu’en disant qu’ils se faisaient trop de politesses.
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Un architecte anglais, un missionnaire français, de Carthage, qui s’occupe de relever les inscriptions anciennes. Il y a aussi miss Johnson, une Anglaise, qui rince les fioles au laboratoire, et un petit bonhomme rondouillard qui s’occupe de la photographie… un Américain. Et les Mercado… Dieu seul sait à quelle nationalité appartiennent ceux-là ! Très jeune, elle a l’allure sinueuse du serpent. Ce qu’elle peut détester la belle Louise ! Pour finir… deux jeunes gens. Un drôle de mélange, mais, dans l’ensemble, assez sympathique. N’êtes-vous point de cet avis, Pennyman ?
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— La belle Louise ! Encore une des siennes !
— Sachez, mademoiselle, que nous l’avons surnommée la Belle Louise. Nous ne l’appelons jamais autrement.
— C’est donc une beauté ? demandai-je.
— Telle est du moins son opinion. Elle se croit une Vénus.
— Voyons, soyez galant, John, repartit Mrs Kelsey. Vous savez pertinemment qu’elle n’est pas la seule de cet avis. Elle a ravagé bien des cœurs.
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Somme toute, rien ne me coûte d’essayer, monsieur le professeur. J’espère pouvoir être utile à Mrs Leidner. Probablement le voisinage des indigènes et des gens de couleur lui inspire-t-il toutes ces frayeurs ?
— Pas du tout ! Ma femme aime beaucoup les Arabes. Elle goûte fort leur simplicité et leur gaieté naturelle. C’est seulement son second séjour dans ce pays. Il y a deux ans à peine que nous sommes mariés, mais déjà elle se fait comprendre en arabe.
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Ce sont des sortes de terreurs nerveuses. Dix contre un qu’il s’agissait de stupéfiants ! Et il n’y voyait goutte, à l’instar de maints autres maris. Ils se demandent pourquoi leurs épouses sont si susceptibles et changent d’humeur à tout bout de champ.
— Oui. J’avouerai même que cela m’a surpris très agréablement.
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Personnellement, que vous a-t-elle dit, docteur ?
— Elle ne m’a pas le moins du monde consulté. J’ai l’impression de lui être antipathique. C’est Leidner qui est venu me voir pour m’exposer son projet. Eh bien ! mademoiselle, que décidez-vous ? Du moins, vous verriez du pays avant votre retour en Angleterre. Les fouilles prendront fin d’ici deux mois et ne manqueront pas de vous intéresser.
— Après tout, pourquoi ne pas essayer ?
— À la bonne heure ! Leidner se trouve précisément à Bagdad aujourd’hui.
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— Il ne m’a guère fourni de détails, mais il semblerait que Mrs Leidner soit sujette à de fréquentes terreurs nerveuses.
— La laisse-t-on seule toute la journée avec les serviteurs indigènes ? m’informai-je.
— Oh ! Non. Ils sont toute une bande de Blancs… sept ou huit. Je ne crois pas qu’elle reste seule dans la maison. Toujours est-il qu’elle se met dans des états assez bizarres. Leidner est débordé de besogne, mais il adore sa femme et s’affecte de la voir souffrir ainsi. Il serait plus tranquille s’il la savait sous la surveillance d’une personne sérieuse et compétente.
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"L'argent est capricieux...Il va à qui il veut."
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Quand vous aurez fait le tour de l'île en 80 minutes, que les embruns, les vagues, les à-pics des rochers vous auront épuisé, il faudra se rendre au Pub The Pilchard Inn où le feu crépite dans une cheminée miniature. Là vous pourrez vous réchauffer en dégustant une délicieuse soupe de poissons.
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Ce que tout le monde en sait. Pas plus. C’est un des petits États balkaniques, n’est-ce pas ? Capitale : Ekarest. Population composée de brigands pour la plupart. Ces derniers ont l’aimable habitude d’assassiner leurs rois et de faire des révolutions. Le dernier était Nicolas IV, n’est-ce pas ? Assassiné il y a sept ans environ. Depuis, la Herzoslovaquie est une république. Tu aurais dû me dire tout de suite que ton affaire la concerne.
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Cette fois, Jimmy accepta le reproche et hâta son récit. — C’était à Paris, il y a quatre ans. Je retournais chez moi, au milieu de la nuit, et je passais par un quartier désert, quand j’aperçus une demi-douzaine de brutes assaillant un vieux monsieur honorable. J’ai horreur des combats où les forces sont trop inégales ; c’est pourquoi je me suis rué sur les bandits.
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Oui, il était venu habiter Paris après l’assassinat du roi Nicolas. Plus tard, on lui a proposé la présidence de la République, mais il a refusé. Il est resté fidèle jusqu’au bout à ses principes monarchistes – ce qui ne l’a pas empêché de tremper dans toutes les révolutions qui ont éclaté aux Balkans ! — Le roi Nicolas, c’est bien celui qui avait épousé une drôle de femme ? demanda Jimmy.
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Parfaitement, mon vieux. J’espère que ce n’est pas une blague. « Méfiez-vous des politiciens », dit la sagesse des nations. Et pourtant, j’ai foi en celui-là. Il assure, dans sa lettre posthume, que les éditeurs me remettront la somme en échange du manuscrit. Ce dernier a voyagé si longtemps que, si je veux m’en charger, je n’ai pas de temps à perdre. Et pourtant, je préférerais me rendre immédiatement dans la région où se trouve ma mine d’or.
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