AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de François Rivière (147)


Poirot : Cette femme est laide comme les sept péchés capitaux mais, j'avoue qu' elle ne manque pas d'allure !
Commenter  J’apprécie          30
Lui aussi, il aurait plaisir à bavarder du bon vieux temps. Depuis un moment, il avait l’impression que ses copains lui battaient froid. Tout ça à cause de cette fichue rumeur ! Crénom, c’était un peu fort de café… presque trente ans après ! C’était Armitage qui avait craché le morceau, sans doute. Foutu blanc-bec ! Qu’est-ce qu’il en savait, lui ? Oh, et puis inutile de ressasser tout ça ! On se fait parfois des idées – on s’imagine qu’on vous regarde de travers.
Commenter  J’apprécie          30
Eh bien, ça avait marché ! La chance avait joué en sa faveur. La chance et sa compétence, bien sûr. Il était très fort dans sa partie – mais ça, ça ne suffisait pas à assurer le succès. Il fallait de la chance par-dessus le marché. Et il en avait eu ! Un diagnostic exact, deux ou trois patientes reconnaissantes – des femmes à grosse galette et à position en vue – et le bouche à oreille avait fonctionné. « Vous devriez essayer le Dr Armstrong… il est très jeune, mais tellement doué… Ça faisait des années que Pam courait de spécialistes en charlatans – et lui, il a tout de suite mis le doigt sur ce qui n’allait pas ! » La machine était lancée.
Commenter  J’apprécie          30
Vers marcha à sa rencontre, la compétence faite femme : — Je suis la secrétaire de Mrs O’Nyme. Un taxi nous attend. Je vous présente Mr Lombard, ajouta-t-elle. Les yeux d’un bleu délavé, perçants malgré leur âge, jaugèrent Lombard. L’espace d’un instant, ils exprimèrent un jugement – mais bien malin qui aurait pu le lire. « Beau garçon. Mais avec un je-ne-sais-trop-quoi de pas net… » Ils montèrent tous les trois dans le taxi. Ils parcoururent les rues assoupies du petit bourg d’Oakbridge et empruntèrent sur un bon kilomètre et demi la grand-route de Plymouth. Puis ils s’enfoncèrent dans la campagne, à travers un labyrinthe de chemins tortueux et verdoyants
Commenter  J’apprécie          30
- Ah ! Ah ! Ah ! Vous connaissez bien mal la pudeur des Britanniques, Anton...
- C'est un peu pour cette raison que Redmore et moi sommes si liés depuis tant d'années...
- Mais vous vous parlez à peine !
- Nous nous comprenons à demi-mot, c'est cela le tempérament anglais : l'affection se passe volontiers de grandes déclarations !
Commenter  J’apprécie          30
LONDRES, 24 Novembre 1940,
A Chelsea, chez Lord Heuston-Davis, pair du Royaume

Jarvis, le valet (au téléphone):
Yes, sir, j’ignore si Master Anthony est visible…

Anthony :
Laissez, Jarvis, je suis la …
Allo ? David ! Ainsi, notre grand reporter est de retour ! Quand nous voyons nous, Old Boy ?
Ce soir, j’accompagne Vanessa à l’Old Vic. Laurence Oliver y reprend Richard III…
Mais non, nous serons ravis de te voir …
Tu verras, la vie sous les bombes ne manque pas de charme !...
Commenter  J’apprécie          30
Curieusement, c'est à Chessy, petite commune de Seine-et-Marne, aujourd'hui annexée par le Disneyland européen, que naquit Babar au cours de l'année 1930. Jean et Cécile de Brunhoff y passent leurs vacances en compagnie de leurs deux très jeunes fils, Laurent et Mathieu. En mère attentive à l'éveil de ses fils, Mme de Brunhoff évoque un beau soir, dans un élan d'improvisation, la silhouette pataude et malicieuse de l'éléphanteau Babar. Les enfants en redemandent. Bientôt, leur père, lui aussi captivé, décide de mettre son propre don d'illustrateur au service des aventures de Babar, qu'il habille de vert et coiffe d'un chapeau melon. C'est lui qui créera le personnage de la vieille dame et toute la ribambelle d'amis du héros pachyderme.
Commenter  J’apprécie          30
"Comme de vrai, il faut noter que les jeux des enfants ne sont pas jeux et les faut juger en eux comme leurs plus sérieuses actions", écrivait Montaigne à une époque où l'on était bien loin encore de se pencher de manière clinique sur les mystères du premier âge de l'homme afin d'en démêler la part d'instinct et celle offrant déjà prise aux sortilèges de l'imaginaire.
Commenter  J’apprécie          30
Qu’est-ce que tu fiches ici, Terry ? Tu m’espionnes ?

Non, Mr Magnus…Je suis venu vous voir répéter vos tours….

Pas question ! J’ai du travail pour toi : tu vas nettoyer ma loge et ranger mes effets…
Ce garçon commence à devenir encombrant…Je ne tarderai pas à m’en débarrasser…
Comme si c’étaient des TOURS….ces imbéciles ignorent que je fais seulement usage de mes POUVOIRS !
Commenter  J’apprécie          30
On vous demande, sir …Là-bas, dans la limousine, Euh …le premier ministre en personne, sir !
Qu’est-ce que je vous disais Diane ? Ceci dépasse même toutes mes espérances. « On » va me prier à l’instant même, d’effacer de ma mémoire tout cette affaire.
Et si une journaliste belge, pleine d’audace, racontait tout cela dans son pays ?
Je trouverais bien le moyen de vous en dissuader, ma chère !
Commenter  J’apprécie          30
7 mai 1945, à bord du Lusitania.

Excusez moi, Miss...Vous êtes américaine, n'est ce pas ? Vous aimez votre pays ?

Bien sur, j'aime mon pays. Que me voulez vous ?

Je dois sauver ces documents d'une importance capitale....accepteriez vous de les prendre ? ...Sachez qu'il existe un réel danger ...

J'accepte, mais que devrais je faire après ?

Je prendrai contact avec vous grâce à une annonce dans le Times : "Compagnon de voyage, désire renouer avec etc..."si après trois jours, vous n'avez pas de nouvelles, rendez vous à l’ambassade américaine !
Commenter  J’apprécie          30
Pardon, mon amour, j'ai tout gâché. Ne m'abandonne pas !

JAMAIS SIMON !
PAN. AH !
PAN ! PAN !

Où diable a-t-elle pris ce révolver ?
Elle en possédait deux. Elle avait caché l'autre chez Rosalie Otterbourne !
Vous vouliez lui laisser cette porte de sortie , Poirot ?

Mmmm... il me semble que j'avais lu son destin la première fois que je l'ai vue dans ce restaurant du West End...
Commenter  J’apprécie          30
Ayant opté pour un décor de neige, Hergé se concentre presque seul sur l'exécution des planches comme s'il cherchait à exorciser les démons extérieurs.
La dernière page de Tintin au Tibet, qui paraît dans le journal le 25 novembre 1959, abandonne le yéti à la solitude des cimes. Casterman refuse la couverture audacieuse sur fond uniformément blanc que l'auteur a imaginée. L'album rencontre tout de même un grand succès de librairie et se voit consacré par Le Figaro en figurant au palmarès des vingt meilleurs livres de l'année : une première pour une bande dessinée !
Commenter  J’apprécie          20
Oh! Il y a eu quelques incidents pendant les travaux.. Mais rien de grave.
Commenter  J’apprécie          20
Vous avez toujours été un menteurs. Quand vous avez eu cet accident d'auto et qu'on vous a soigné dans notre hôpital, vous avez trouvé moyen de persuader à notre infirmière en chef que le docteur vous avait prescrit le vin comme remède tonique, mais qu'il avait oublié de le mettre sur l'ordonnance. Vous souvenez-vous ?
— Si je m'en souviens ! Elle rageait, la brave femme, quand elle a découvert le pot aux roses ! J'y étais bien, dans cette vieille boîte
– grâce à vous, Quat'sous ! Il paraît que maintenant ça ne va plus très fort ? L'œuvre manque de fonds, dit-on ?
Commenter  J’apprécie          20
Quand les coïncidences s'accumulent, elles ne relèvent plus du hasard !
Commenter  J’apprécie          20
J'ai rencontré plus d'un assassin possédant un visage d'ange. Une malformation des cellules grises n'est pas incompatible avec des traits de madone !
Commenter  J’apprécie          20
J'ai fini mon récit et je suis fatigué. Moi qui voulais un jour sortir un livre sur un échec de Poirot, tout finit d'un étrange façon.
Commenter  J’apprécie          20
1938-1958
La physionomie de la romancière, toujours réticente à toute promotion, reste peu connue mais le nombre de ses lecteurs ne cesse de croître et, fait nouveau, les jeunes générations s'entichent à présent de Poirot et de miss Marple. C'est qu'elles apprécient par-dessus tout l'atmosphère bon enfant de ces fictions souvent drôles où l'action n'est jamais ralentie par de pesantes descriptions, où des dialogues enlevés les font sourire et où, surtout, la solution de l'énigme procure un sentiment de plaisir toujours renouvelé. Pour elles, le nom même d'Agatha Christie est devenu celui d'une vraie magicienne.
Commenter  J’apprécie          20
Merci, dit sèchement miss Brent qui baissa la tête et monta dans le taxi dont le chauffeur tenait la portière ouverte. Le juge Wargrave l’imita. Le capitaine Lombard dit : — J’attendrai avec miss… — Claythorne, dit Vera. — Je m’appelle Lombard. Philip Lombard. Les porteurs empilaient les bagages sur le toit du taxi. À l’intérieur, le juge Wargrave déclara à sa voisine, avec toute la prudence inhérente à son ancienne fonction : — C’est un bien beau temps que nous avons là. — Oui, en effet, acquiesça miss Brent. « Très distingué, ce vieux monsieur, se dit-elle. Bien différent du genre d’hommes qu’on rencontre habituellement dans les pensions de famille du bord de mer. De toute évidence, Mrs – ou miss – Oliver a d’excellentes relations… » — Vous connaissez bien la région ? demanda le juge Wargrave
Commenter  J’apprécie          20



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de François Rivière (1375)Voir plus

Quiz Voir plus

Murder On The Orient Express, Agatha Christie

What's the nationality of Hercule Poirot ?

French
Canadian
Belgian
German

10 questions
0 lecteurs ont répondu
Thème : Murder on the Orient Express de François RivièreCréer un quiz sur cet auteur

{* *}