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Critiques de Françoise Hardy (93)
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L'amour fou

Ah la la ! Elle ne s’en remet pas. Elle avait déjà dit tout ça dans « Le désespoir des singes » et on avait bien compris qu’elle a beaucoup souffert, que ça a été difficile de vivre son grand amour.

Je ne l’aurais pas acheté, mais on me l’a prêté, alors je l’ai lu.

Sûr qu’elle en a bavé, mais ce livre, proposé comme un roman, n’en est pas un. C’est encore une fois son vécu écrit maladroitement, lourdement, plein de jérémiades.

Je me sens dure dans mon jugement. Alors je viens d’aller regarder son clip, intitulé aussi « L’amour fou ». Voilà, c’est ça qu’elle sait faire, être belle, classe et chanter d’un air nostalgique. C’est comme ça qu’on l’aime, pas quand elle écrit.

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L'amour fou

Aimer c'est donner ce qu'on n'a pas à quelqu'un qui n'en veut pas...

Cette célèbre citation de Lacan définit parfaitement "L'amour fou" écrit par Françoise Hardy. Ce roman intimiste analyse intellectuellement les rapports amoureux entre deux êtres dont nous pouvons penser sans être devins qu'il s'agit de notre chanteuse auteure compositrice préférée et de son Jacques Dutronc de mari. Une relation bien complexe liant deux personnalités pour le moins compliquées. Françoise se livre à un exercice de haute voltige, il n'est pas aisé de parler de soi et encore plus de son intimité amoureuse, de revenir sur son passé, ses douleurs avec une pudeur lucide et élégante. Le roman démarre à la troisième personne puis brutalement cède la place à un "je" plus personnel au cours des derniers chapitres. Toute la grâce des écrits de Françoise Hardy, dont je ne cache pas préférer les chansons, tient dans le dépouillement du style et dans la narration sans jugement des relations amoureuses.

Quand les inconscients parlent à notre place, il n'est pas facile de se comprendre et encore moins de comprendre l'autre!

Un amour douloureux mais assumé et sublimé: "J'avancai à nouveau que barrer la route à ses sentiments par peur de subir ou d'infliger la souffrance, non seulement n'arrange rien, mais fait passer à côté de sa vie et amène plus de souffrance encore."

À méditer...
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Le désespoir des singes et autres bagatelles

Arrivée au terme de cette lecture de presque 400 pages j’avoue éprouver pour cette autobiographie (s’achevant en 2008) un abime de perplexité, tant la personnalité de Françoise Hardy me semble… et je ne trouve pas le qualificatif adéquat.

J’ai toujours trouvé du talent à la chanteuse, du moins pour certaines de ses chansons plutôt bien écrites, sensibles, et qui correspondent bien à son timbre de voix un peu feutré mais assez joliment timbré. La femme ne m’a jamais particulièrement émue, ni physiquement, ni de ce que j’ai pu entrevoir de son caractère. Les silhouettes androgynes ne m’attirent nullement, et ses apparitions médiatiques timides et souvent maladroites m’ont souvent ennuyée.

Pourtant, j’ai eu l’envie de lire ce livre à un moment où je ne suis pas disponible pour grand-chose, car Françoise Hardy a fait de la chanson son métier, a évolué dans le domaine artistique et côtoyé des gens intéressants, et je pensais que l’écrit lui permettrait de s’exprimer plus facilement.

En effet, pour le dernier point, le livre est correctement écrit.

Françoise Hardy m’a parue sincère et plutôt sympathique, car elle ne cherche pas à épater, ou à apitoyer, bien au contraire. S’il est un trait de son caractère qui ressort tout particulièrement à la lecture de ces nombreuses lignes, c’est bien une propension ahurissante à l’auto-dénigrement.

Ce paradoxe pour quelqu’un qui fut et demeure encore une star et plus encore une icône, qui a réussi à vivre de sa passion immense pour la chanson, fait tout le sel du livre. Malgré tout, très vite, sans doute à cause de mon tempérament latin, j’ai souffert pour elle de ses tortures mentales qu’elle ne cesse de s’infliger : anxiété maladive, timidité, analyse perpétuelle, doutes, etc… qui sont souvent le lot des esprits créatifs, mais chez elle non compensés par l’euphorie que peut apporter l’acte de création, l’intensité d’une vie faite de passion…

Ici, avec Françoise, la morosité est partout. Ce pourrait être insupportable, mais comme elle est très lucide et qu’elle adore tout décortiquer, elle est la première à se trouver sinistre et ennuyeuse, et ça la rend attendrissante.

Françoise est définitivement une cérébrale : on cherchera vainement le mot « plaisir », ou la moindre étincelle de sensualité. Le seul moment où on la sent véritablement vibrer et où elle se laisse aller, elle qui prône le lâcher-prise, est lorsqu’elle évoque son rôle de mère et son fils adoré Thomas.

Chanter ? Elle est d’une timidité maladive, le trac la paralyse et lui fait détester les scènes publiques.

Séduire ? Ayant été rabaissée dès son plus jeune âge par une grand-mère horrible, elle n’a jamais eu la moindre conscience de son pouvoir de séduction, si ce n’est que très tard.

Aimer ? Aimer c’est souffrir, puisqu’à travers des lignes et des lignes de psychologies parfois un peu fumeuses pour moi, Françoise nous dit simplement que nous sommes tous condamnés à aimer les êtres qui nous font du mal, puisqu’ils nous complètent et sont donc nos opposés. Soit. Si tu veux, Françoise… Malgré cette lucidité qu’elle reconnait avoir mis des années à acquérir sentimentalement, elle avoue être au fond une midinette indécrottable. L’homme de sa vie, Jacques, n’a été qu’un tourment (six mois de bonheur dit-elle), puisqu’il était « polygame », bien qu’il lui ait dit qu’il ne l’a jamais trompé, car, « ce qui se passe au-dessous de la ceinture ne compte pas ». J’avoue que par moment on frise les exposés conformistes, mais c’est exprimé avec un tel entêtement et une telle souffrance que c’est attendrissant, encore une fois.

Qu’elle parle de Jean-Marie Périer (personnage vraiment sympathique), Dutronc, ou les deux ou trois hommes qu’elle a eus dans sa vie, à aucun moment Françoise ne nous évoque un quelconque plaisir charnel. Non par pudeur excessive, (elle nous raconte son dépucelage (et celui de son fils) « je n’ai rien ressenti »), mais parce qu’il semble évident que ce domaine amoureux n’a pas été pour elle des plus satisfaisants. Lorsque ces personnages évoluant dans le milieu du show-biz, avec des horaires décalés, fêtards excessifs pour certains, au risque de faire tomber le mythe, se retrouvent enfin au lit ensemble, ils sont souvent trop épuisés pour faire quoi que ce soit d’autres que dormir. Françoise, sage comme une image, ménagère accomplie, a passé sa vie à attendre ses hommes qui une fois à la maison n’avaient plus la force physique de partager quoique ce soit d’autres que leurs ronflements. Elle est attirée par les hommes faibles « affectivement », androgynes, auxquels elle se soumet pour ne pas être abandonnée. Le côté ludique de l’amour ? Elle est passée à côté, et elle le regrette.

Françoise a attendu aussi toute sa vie des déclarations, des preuves d’amour, et s’est aperçue bien tard de celles qu’elle n’avait pas su voir, aveuglée par sa jalousie, ses carences affectives. Là encore, elle ne dresse pas un portrait aigri ou revanchard de Dutronc, elle constate simplement leurs malentendus.

Pourtant, et là aussi il faut lui rendre justice, elle en est parfaitement consciente, Françoise a eu beaucoup de chance. Après une enfance morne auprès d’une mère célibataire et d’une sœur jalouse, dans un milieu plutôt pauvre financièrement et culturellement, elle est devenue célèbre à la vitesse de l’éclair à 18 ans (un choc terrible), et a bénéficié de moyens financiers très confortables qui l’ont tenue à l’écart tout au moins jusqu’aux années 2005 des soucis matériels.

Une maison sublime en Corse pour les vacances, plusieurs appartement successifs pour cette fille qui n’aime que Paris, déteste voyager (à l’exception d’un engouement tardif pour le Japon), vêtements de luxe (sobres mais coûteux), bijoux rares (sobres mais coûteux), accès à toutes sortes de médecines pour cette hypocondriaques… ajouté à une totale ignorance du monde politique ou social…

Hardy-Dutronc, finalement, vivent et aiment leur confort très bourgeois, même si Jacques a besoin de s’y soustraire régulièrement pour ses excès divers… Thomas ira dans une école privée (Françoise est furieuse de n’avoir pu l’inscrire dans une autre école privée qu’elle convoitait, et nous en écrit tout un paragraphe parfaitement indigent…), sera brillant, et ne fera même pas sa crise d’adolescent, ce qui aurait pu un peu la secouer. Non, il est poli, gentil, sa petite amie est « bien », Françoise regrette qu’il n’ait pas choisi un métier « sûr »… on est loin de la folie des artistes.

Françoise, au fond, aurait aimé être Sylvie Vartan, qu’elle admire et égratigne un peu (car elle a la dent dure). Sylvie la blonde, sûre de sa féminité et de sa séduction, qui sait imposer ce qu’elle veut sur le plan artistique, et qui s’est toujours accommodée de la polygamie de Johnny, jusqu’au jour où elle en a eu marre et l’a quitté. Elles ont en commun de venir d’un milieu populaire, contrairement à France Gall, que visiblement Françoise ne porte pas dans son cœur, car elle a un gros faible pour Michel Berger et aime beaucoup le « civilisé » Julien Clerc.

Françoise traîne aussi un vieux complexe d’infériorité à cause de son peu de culture, mais elle aime apprendre et surtout approfondir ce qui l’intéresse. En l’occurrence, la psychologie. Sa passion pour l’astrologie est connue (et elle en parle assez prudemment), mais elle a écumé les salons de voyantes, hypnotiseurs, magnétiseurs et autres directeurs de conscience. Et nombre de psychothérapeutes. Ainsi elle nous fait part de quelques recettes qui m’ont personnellement beaucoup ennuyée, tant elles sont raisonnables. Mais sa curiosité et son envie d’apprendre sont bien sympathiques.

Bien sûr je ne suis pas objective, je réagis avec ce que je suis à ce qu’est Françoise. Elle nous le martèle sans cesse : nous sommes con-di-tion-nés. Certes, mais à partir de là, quoi que l’on fasse, nous répèterons toujours les mêmes erreurs, et comprendrons bien trop tard ce qui aurait pu nous être bénéfique. Youpi ! Qu’est-ce qu’on rigole avec Françoise !

Ses amis ? Houellebecq (qu’il est drôle), Stockausen (idem)… j’exagère, elle aime parfois s’entourer de femmes aux antipodes d’elle, ainsi une vieille call-girl défraichie qui a eu tout le monde dans son lit (y compris Thomas qu’elle a initié), deux ou trois lesbiennes laides mais qui ont « compris que la beauté intérieure compte plus que tout ». Elle est folle d’admiration pour la pianiste Hélène Grimaud (elle en parle avec plus de chaleur que de n’importe qui), et de certains grands scientifiques. Elle a la chance d’avoir aussi pour ami d’adolescence Patrick Modiano, qui passe son temps à lui envoyer des petits mots hilarants et légers pour la dérider.

Françoise ne se sent bien qu’avec les femmes androgynes comme elle : si Charlotte Rampling constitue son nirvana de séduction, elle assassine (il n’y a pas d’autres mots) Romy Schneider (qui a séduit Jacques, qui entre nous s’est bien laissé faire), n’est pas tendre avec Catherine Deneuve, sans doute trop féminines pour être fréquentables. Quand elle est triste, heureusement il y a Benjamin Biolay dans les parages… c’est dire…

Je me moque, mais gentiment, parce que je l’aime bien au fond Françoise, j’accepterais même de déjeuner avec elle… si c’est moi qui fais la cuisine.

Elle m’a touchée quand elle avoue avec sincérité son incapacité à chanter en mesure, ce qui lui a valu des séquences d’enregistrement désastreuses avec de grands musiciens qui croyaient qu’elle faisait sa diva (c’est mal la connaître). Malgré tout, sur le plan musical, je m’attendais à apprendre davantage que quelques anecdotes un peu people assez ennuyeuses. Seule son évocation de Mireille et son mari Emmanuel Berl est un peu émouvante.

Françoise avoue ses lacunes dans le livre, mais dans la vie elle n’est pas diplomate pour un sou, est maladroite verbalement et souvent agressive… elle a froissé nombre de gens. Elle en a pris pour son grade également, pour avoir exprimé certaines idées « réactionnaires ». Si elle ne cache pas sa détestation de la gauche et une certaine sympathie pour le libéralisme, elle pense avoir été imprudente dans certains de ses propos que les médias se sont empressés de tronquer. Ceci dit, elle ne prétend pas avoir une pensée politique affirmée et même intéressante. Lucide, je vous dis.

Au final, j’aurais envie de lui écrire, allez Françoise, va manger un bon couscous, bois un bon Chablis, et je te laisse deviner pour le reste, mais lâche-toi !! Profite tant qu’il est encore temps.

Et écris-nous encore de belles chansons.

Encore une chose… le titre de ton livre, « Le désespoir des singes », j’ai bien compris, c’est un arbre qui te plait, mais pour les « autres bagatelles », j’attends toujours. Peut-être dans le prochain tome ?


Lien : http://parures-de-petitebijo..
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Un cadeau du ciel...

Françoise Hardy écrivain c'est surtout à son autobiographie Le Desespoir des singes et autres bagatelles que j'avais dévoré avec une réelle passion. que l'on pense forcément : avec ce livre, je pouvais enfin mieux comprendre pourquoi Françoise Hardy ressassait avec autant de constance et de douleur rentrée le même répertoire mélancolique en décortiquant avec un tel talent point les tourments et les vicissitudes du sentiment amoureux.



Car grâce à ce livre confession, loin des biographies lisses et sans saveur, j'ai pu en savoir plus sur les douleurs intimes de l'artiste et de la femme : enfance difficile, jeunesse amère, chagrin. C'est évidemment l'une des sources dans lesquelles elle puise pour aborder avec une telle tristesse, mais aussi une telle beauté dans ses chansons les passions et les grandes questions de la vie: l'amour, la croyance et la fragilité de l'existence.



Après avis non autorisés voici le tour de "Un cadeau du ciel", Françoise Hardy revient notamment sur le cancer dont elle a été victime. Après avoir passé "trois semaines entre la vie et la mort", elle a décidé de témoigner dans ce livre de tous les stades par lesquels elle a pu passer.



On retrouve sa plume, son mélange d'empathie et de détachement, pour nous raconter cette maladie et cette épreuve si intime, et ce témoignage de courage et de force spirituelle est malgré une seconde partie plus difficile à suivre et un peu trop ésotérique un bon moment de lecture...
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Avis non autorisés...

Vouloir à tout prix sortir de son registre habituel peut vous permettre de faire de splendides découvertes et c'est superbe parfois le doute vous saisit dès les deux premières pages et c'est l'horreur. C'est ce sentiment que j'ai ressenti après les deux premières pages d'Avis non autorisés de Françoise Hardy ! Un bien beau gâchis que voilà cette chanteuse des années sixties , retirée du monde de la variété depuis longtemps , épouse emblématique de Jacques Dutronc n'a t'elle donc que des raisons de se plaindre? Quel que soit le thème de réflexion abordé , le ton est grincheux , à la limite geignard .Les avis exprimés sont péremptoires ni justifiés ni argumentés un peu à la manière des conversations de comptoirs . Surprenant regard d'une femme vieillissante qui visiblement nie le phénomène inéluctable de la sénescence qui nous attend tous plus ou moins vite mais qui'est inéluctable ... je sais de quoi je parle ! Alors je rejoins le cœur des critiques et vous suggère moi aussi de laisser ce livre là où vous l'avez trouvé dommage , vraiment dommage !
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Le désespoir des singes et autres bagatelles

Depuis qu’il est sorti, je me disais que je lirais cette autobiographie un jour.

Et bien j’ai eu raison d’attendre et de tomber sur une occasion à deux euros sur un vide grenier.

J’aimais bien la personnalité de Françoise Hardy, son personnage un peu en dehors du showbiz, sa classe. Je lui trouvais une sensibilité particulière. Je ne détestais pas ses chansons.

Je pensais qu’elle avait des choses intéressantes à dire dans son bouquin.

Or, à part parler de ses chansons, de son Dutronc qui lui en a fait baver, de ses maisons de disques, encore son Dutronc, ses chansons, ses enregistrements , ses compositeurs, son Dutronc, ses chansons….. on assiste à un plat défilement chronologique de sa vie.

En plus, ses révélations assez privées sur des gens célèbres qu’elle a côtoyés ne sont pas du meilleur goût.

Bref, bien qu’ayant sauté de nombreuses pages, je me suis profondément ennuyée et je suis déçue, et du livre, et de Françoise Hardy.

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L'amour fou

L'amour fou, Françoise Hardy sait ce que c'est. Elle l'a connu.



Au bout de trente ans, pour apaiser sa souffrance, elle le couche sur le papier - premier roman - qui accompagne un disque éponyme.

L’amour fou c’est avec Jacques Dutronc, notamment, auquel elle est toujours mariée, qu’elle l’a connu. Mais l'amour fou qui a traversé sa vie ne fut pas forcément heureux. Bien au contraire. Il fut souvent insaisissable, douloureux, éreintant



"Ce livre raconte une façon d'aimer qui est extrême et qui ne peut amener que des choses négatives", a confié Françoise Hardy dans une interview. Et effectivement, la femme du roman est follement éprise d'un homme aux comportements ambigus. Elle ne vit que pour lui, par sursaut, quand il lui montre un peu d'affection et elle meurt à petit feu quand il se désintéresse de son cas. C'est une histoire intemporelle.



Il lui déclare sa flamme pour la repousser aussitôt, il lui dit des mots tendres pour mieux l'ignorer ensuite. Quand il s'installe dans une autre relation, elle le pense malheureux, forcément manipulé par sa nouvelle conquête, elle s'imagine qu'elle est son seul recours, son seul apaisement.



Evidemment, elle s'imagine des sentiments réciproques qui n'en sont pas, elle invente un amour qu'elle est la seule à ressentir. Pas une seule fois, elle admet qu'il ne l'aime pas. Et quand elle le fait, c'est un éclair fugace de lucidité, aussitôt remplacé par d'autres espoirs, par un autre point de vue qui lui permettrait de garder la flamme allumée.



C'est tantôt dur, souvent vrai. L'écriture est parfois compliquée, autant que les sentiments éprouvés. Ca sent le vécu. Ceux et celles qui sont tombés amoureux fous une fois dans leur vie vont vibrer et remercier le ciel de s'en être tirés !! (en espérant que ça soit le cas). Ceux qui sont impliqués dans une histoire impossible comprendront peut-être qu'il n'y aura pas de fin heureuse et y trouveront le coup de pouce nécessaire au renoncement..



Au final, une autobiographie au style confus, introspectif, égocentrique et ennuyeux, dans lequel Françoise Hardy ne cesse de se lamenter…



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Le désespoir des singes et autres bagatelles

Mon ressenti après la lecture de ce livre : tristesse.

Tout ce qu'a pu endurer Françoise dans sa vie, et surtout dans sa vie sentimentale est d'une tristesse sans nom, les seuls moment de bonheur ou de sérénité sont ceux qu'elle vit quand elle devient maman de Thomas.

Jacques Dutronc, son compagnon d'infortune je dirais car je ne le considère pas comme son époux car elle a été là pour lui dans l'ombre mais lui ne la considère pas .



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Avis non autorisés...

Si vous aimez Françoise Hardy, achetez-vous un disque, écoutez-le tranquillement et laissez de côté ce livre qui manque d'intérêt. « Avis non autorisés » a un parfum de règlement de comptes d’une personne d’un certain âge qui donne son avis sur tout. Une lecture ennuyeuse.
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Le désespoir des singes et autres bagatelles

Oublions ses facheuses déclarations pré-campagne électorale dans laquelle elle revenait malencontreusement sur la proposition du futur président Hollande sur les taxations fiscales... et oublions aussi sa passion pour l'astrologie que je ne partage absolument pas avec elle pour se concentrer sur l'essentiel : Françoise Hardy est incontestablement une de nos chanteuses françaises vivantes les plus fascinantes qui soient!!!



Certes, ce n'est pas une artiste de ma génération, mais, lorsque j'étais gosse, j'avais pris la facheuse habitude d'écouter en boucle plusieurs de ses morceaus, comme Message Personnel ou Partir quand même (oui j'ai toujours eu des gouts musicaux qui mettent super la pêche).



Puis, j'avais un peu arrété de suivre de près celle qui reste pourtant l'égérie de tous un tas de chanteurs branchés, comme Blur qui avait fait un duo avec elle, avant de me réinteresser à elle, par le prisme de son autobiographie Le Desespoir des singes et autres bagatelles que j'avais dévoré avec une réelle passion.



Je pouvais enfin mieux comprendre pourquoi Françoise Hardy ressassait avec autant de constance et de douleur rentrée le même répertoire mélancolique en décortiquant avec un tel talent point les tourments et les vicissitudes du sentiment amoureux.



Car grâce à ce livre confession, loin des biographies lisses et sans saveur, j'ai pu en savoir plus sur les douleurs intimes de l'artiste et de la femme : enfance difficile, jeunesse amère, chagrin. C'est évidemment l'une des sources dans lesquelles elle puise pour aborder avec une telle tristesse, mais aussi une telle beauté dans ses chansons les passions et les grandes questions de la vie: l'amour, la croyance et la fragilité de l'existence.
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Avis non autorisés...

Si vous êtes communiste, que vous votez à gauche ou extrême gauche, que vous vous appelez François Hollande, Eva Joly, Cécile Duflot, que votre coiffure ou votre tenue vestimentaire est excentrique (à l'exception de Lady Gaga), que vous ne désirez pas voir un film dans lequel joue Jacques Dutronc... passez votre chemin, ce livre n'est absolument pas fait pour vous et va même aller juste qu'à vous faire mal ou vous indigner, en revanche...



Si vous êtes spirituel, que vous votez à droite, que vous vous appelez Nicolas Sarkozy, Nicolas Hulot, François Fillon... vous pouvez lire et peut-être même apprécié ce livre, à condition bien sûr que :



- Vous ne fassiez pas de faute d'orthographe (j'espère, ne pas en avoir fait de trop dans ma critique) ;

- Vous ne soyez pas né sous une mauvaise étoile ou soleil, je ne sais plus trop ;

- vous ne fassiez pas des enfants à tout va ;

...



Je ne connais que très peu Françoise Hardy, mais cette femme m'a toujours inspirée de la sympathie, elle semble douce, mesurée dans ses propos, délicate... Quel choc a été pour moi ce livre, je n'en vois déjà pas beaucoup l'intérêt (pourquoi a-t-elle eu besoin de l'écrire), mais alors il va complètement à l'encontre de ce que je m'imaginais d'elle. J'ai eu le sentiment que Françoise Hardy a eu besoin d'écrire ce livre pour se défouler, car tous les sujets traités font débat et il semble qu'elle n'ait peut-être jamais pu en parler directement avec quelqu'un, et du coup, elle se venge, personne ne pourra la contredire en direct sur les propos qu'elle y tient.

Je vous déconseille ce livre, qui pour moi, n'apporte rien, il y a des sujets pour lesquels j'ai été d'accord et d'autres pour lesquels je suis en totale opposition mais n'est ce pas le propre de chaque individu d'avoir ses propres opinions sur les différents sujets d'actualités.
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L'amour fou

Oublions ses facheuses déclarations pré-campagne électorale dans laquelle elle revenait malencontreusement sur la proposition (toujours pas votée soit dit en passant) du futur président Hollande sur les taxations fiscales... et oublions aussi sa passion pour l'astrologie que je ne partage absolument pas avec elle pour se concentrer sur l'essentiel : Françoise Hardy est incontestablement une de nos chanteuses françaises vivantes les plus fascinantes qui soient!!!



Hélas ses livres ne sont pas toujours du même niveau la preuve avec cet amour fou, un peu baclé et peu convaincant..
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Avis non autorisés...

Il y a des livres que l’on ne devrait peut-être pas lire ou alors qu’il aurait mieux valu ne pas écrire.



J ‘ai toujours aimé Françoise Hardy non pas seulement pour son charme, sa voix et son talent mais pour sa sensibilité et son intelligence. Je ne la savais pas aussi gravement malade (elle souffre depuis 2004 d’un lymphome) et son dernier livre : « Avis non autorisés » semble bien être une sorte de testament intellectuel.

On peut certes dire qu’elle n’a jamais pratiqué la fameuse langue de bois en vigueur dans le showbiz artistique ou politique, aussi ne se prive-t-elle pas d’écrire toute l’absurde bêtise de ce monde. Tout d’abord, elle clame le droit à l’euthanasie, et je ne peux que partager pleinement cette conviction que la lâcheté de nos hommes politiques et religieux écartera encore longtemps du droit français. Elle souligne ensuite l’irresponsabilité criminelle des religions manipulant à des fins de pouvoir des consciences peu éclairées sur des mythes ridicules, dénonce la surnatalité, mère de toutes les misères, ce en quoi elle a totalement raison.



Sans fausse pudeur, elle dénonce encore l’incompétence de ceux qui se placent en grands pontes, de la foule de petits guérisseurs, manipulateurs et autres ostéopathes qui ne soulagèrent pas ses ennuis gastriques récurrents mais son portefeuille.

Enfin, elle fustige la laideur, la vulgarité, l’épaississement de la médiocrité et de la bêtise propulsés en exemple par nos médias avides de fréquentations au plus bas dénominateur très commun.



Je ne peux par contre plus la suivre lorsqu’elle aborde les deux thématiques tendancieuses que sont la politique et l’astrologie dont elle est une fervente adepte.

En politique, Françoise ne cache pas ses sympathies à droite et ses grandes antipathies à gauche, copine de Carla et de Sarko, elle en oublie pour le coup leur vulgarité, elle qui la dénonce par ailleurs.

A gauche, elle n’en admire pas moins, comme tout bon français, Michel Rocard et Hubert Védrine ! Parce qu’incompréhensibles l’un et l’autre ! Le torve DSK a échappé à sa plume acérée… dommage ! Puis elle se plaint du manque d’attention de François Hollande qui ne vient pas à son secours lorsqu’elle a des problèmes d’ISF !

Sa critique de l’abaissement de l’âge de la retraite, des 35h est affligeante et paradoxale chez une personne qui semble privilégier la spiritualité plutôt que le matérialisme ! Et l’on retrouve tout le danger de ces artistes qui tentent de s’exprimer sur des sujets sensibles.

Doit-on travailler jusqu’à la mort ? Ce n’est surement pas son cas et elle le démontre en nous narrant ses passions astrologiques, ses multiples lectures et voyages, ses fringues à « n X smic »…



Il semblerait que ces notions de travail à rallonge ne s’accordent qu’avec certaines classes sociales et soient de toutes façons une régression de nos sociétés en quête de bonheur et d’accomplissement spirituel.



Finalement, s’en même s’en rendre compte, elle enchaîne les poncifs et étale son manque total de discernement dans quelque domaine que ce soit et surtout en matière d’astrologie où les vagues formules passe-partout s’appliquent à tous et à leur contraire. Ayant pratiqué pendant près de dix ans la chose, je crois me permettre de dire que bien d’autres facteurs que la supposée influence astrale interviennent dans le caractère d’un homme à commencer par le lieu où sa destinée a choisi de le faire naître !



Il n’y a qu’en matière de spiritualité que finalement elle donne le meilleur d’elle-même concluant que nous sommes ici-bas en terrain aride d’apprentissage. Comme souvent par ailleurs, la place qu’elle donne à ses lectures et son appréciation sans influence de certains pseudo chefs-d’œuvre reste passionnante. Mais il n’était nul besoin avant tout cela ne nous assommer d’analyses douteuses sur l’état de notre planète.
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Avis non autorisés...

La toute première impression que je me souviens avoir eue, dès les premières pages du livre: trouver triste que Françoise Hardy semble si mal dans sa "vieillesse" et ce depuis longtemps apparemment. Mais réflexion faite et après avoir réécouté en souffrant certaines de ses chansons, je me dis qu'elle n'a jamais vraiment respiré la joie de vivre.



Je suis toutefois restée dans un état d'ouverture très large car j'aime lire les pensées des autres, même si elles ne vont pas dans le même sens que les miennes. J'ai donc lu avec intérêt les "avis" de Françoise Hardy, avis qu'elle assène, à mon sens, comme des vérités absolue, ce que je trouve très dérangeant. Si encore elle avait l'excuse d'être drôle et décapante, pourquoi pas. Malheureusement, son livre ne relève pas de la figure de style d'après moi.



L'auteure balaye les thèmes essentiels propres à notre société. Elle nous parle du vieillissement (ça ne donne pas envie), de l'euthanasie (du coup on y pense là maintenant tout de suite même si tout va bien, finissons-en), de la religion (sujet délicat et courageux) qu'elle oppose à la spiritualité (sujet délicat et courageux). Elle nous fait part également de ses opinions politiques (ce sont les siennes hein) et de sa perception de l'écologie et "de ses représentants". Je tiens d'ailleurs à réagir sur ce dernier point, là c'est moi qui donne mon avis non autorisé et tranché: je pense que Françoise Hardy a une vision bien restreinte de "l'écologie et de ses représentants". Je me suis étranglée en la lisant. Entre son admiration pour Nicolas Hulot et Maud Fontenoy, il ne semble pas y avoir grand chose d'autre en matière d'écologie dans le paysage de Françoise. Enfin, elle aborde également la médecine alternative (et ses mauvaises expériences dans une sincérité touchante et désarmante), ses lectures, la mode du début du 21e siècle et l'astrologie qu'elle défend de manière intelligente, je trouve.



La toute première impression que j'ai eue en fermant le livre? Un livre qui fait qu'on a l'impression que son auteure est déjà morte. N'est-ce pas tellement triste? Elle donne l'image d'une vieille dame fatiguée et un brin aigrie qui aura passé sa vie à lutter contre la dépression, à se complaire dans le négativisme et à s'isoler de plus en plus. J'espère pour elle qu'elle ne partira pas avec l'impression que tout était bon à jeter, que tout n'a été que souffrance.



Si vous n'avez pas un moral fort en ce moment, je vous déconseille d'avoir la curiosité d'ouvrir ce livre.



Retrouvez l'article complet sur le blog: http://mesmotsenblog.blogspot.be/2015/08/litterature-32-avis-non-autorises-de.html
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L'amour fou

L'amour-fou de François Hardy est une histoire passionnelle entre X. et Elle. Rencontre froide, attitude froide jusqu'à ce que l'on brise la glace, que l'on s'attire, que l'on s'aime pour se séparer. L'amour-fou c'est la rencontre de deux êtres qui malgré la séparation, les dissemblances se retrouvent, mais sont-ils fait pour être heureux ensemble?



Une lecture en dent de scie, trop de phrases pompeuses et lourdes, sans doute par l'exercice de style: emploi de la troisième personne du singulier? Exercice périlleux qu'il faut absolument maîtrisé mais là l'auteur s'égare. J'ai du relire plusieurs fois certaines phrases pour comprendre. Un manque de fluidité. A la fin du roman, un retour au "je" qui rend la lecture plus agréable et plus compréhensive.

Une histoire qui est loin d'être originale mais avec qui j'ai vibré parfois.



Ce livre est sorti en même-temps que la parution du CD de la chanteuse, peut-être serait-il intéressant d'allier les deux?



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Le désespoir des singes et autres bagatelles

Tout comme sonkoy le début est intéressant mais très vite .nous sommes pris par l'ennui qui se dégage de cette autobiographie du au fait que Francoise Hardy attache trop d'importance à de petits détails donc j'ai abandonné, lorsque ça devient une corvée d'ouvrir un livre ,je laisse tomber sans regrets.⭐⭐
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L'amour fou

Ouille ... pourquoi "faire simple" quand on se complaît dans le compliqué .....



Un style alambiqué qui colle parfaitement avec les états d'âme de la narratrice ... et de l'homme aimé ..... Deux personnalités à l'esprit "tortueux" .... qui m'ont horripilée à plusieurs moments ....



Un mal-être assurément doublé d'un nombrilisme certain ....



Bref .... je n'ai pas aimé ce "roman" ....
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Le désespoir des singes et autres bagatelles

Tout le monde connaît Françoise Hardy, la chanteuse magnifique de Message Personnel, de Tous les garçons et les filles, de Partir quand même, de VIP, etc...., l'égérie de Jean-Marie Perier, la femme de Jacques Dutronc et la mère de Thomas Dutronc.

On se souvient de son amitié pour le grand Serge Gainsbourg, Etienne Daho, Sylvie Vartan,...

Dans son autobiographie au titre un peu compliqué, qu'on ne comprend qu'en fin de livre, Françoise Hardy se livre avec beaucoup de pudeur, sans rien épargner ou presque (les noms de certains protagonistes ne sont pas cités). Il n'y a aucun voyeurisme malsain, ni de course aux révélations sensationnelles.

Non, ce livre déroule une vie somme toute banale mais devenue extraordinaire par le succès de la chanteuse, dès 18 ans, avec Tous les garçons et les filles.

Au départ, sa mère est une fille-mère et l'enfance de Françoise Hardy se déroule entre une grand-mère tyrannique, une soeur capricieuse, une mère aimée et un père déjà marié.

Puis ce sera le succès, à un âge très jeune, la rencontre avec Mireille et Emmanuel Berl, dont plus personne ne connaît l'oeuvre ni les discours qu'il écrivit pour le Maréchal Pétain, et bien sûr, avec Patrick Modiano, qui fréquentait Berl.

Puis, son aventure avec Jean-Marie Perier, puis ses débuts au cinéma, notamment avec John Frankenheimer, et ses succès dans la chanson...

Françoise Hardy parle sans détour de sa relation avec Jacques Dutronc, de son amour pour lui, des relations multiples de Dutronc, notamment avec Romy Schneider.

Et ce qui bouleverse, c'est l'amour d'Hardy qui dépasse toutes les aventures sexuelles de Dutronc, qui les pardonne et les accepte. C'est tellement incroyable qu'on se demande parfois si on n'est pas dans une fiction.

On est attendri aussi par l'amour qu'elle porte à son fils Thomas.

Les pages dans lesquelles, elle raconte comment elle aide sa mère à mourir sont d'une justesse et d'une sincérité époustouflantes.

Bien sûr, la vie de Françoise Hardy est parfois un catalogue de rencontres : les Rolling Stones, Bob Dylan, Michel Berger, France Gall, Hélène Grimaud, Alain Bashung, Gabriel Yared ...

Bien sûr, ses propos sur l'astrologie et les sciences parallèles peuvent également agacer.

Mais on ne peut lâcher cette autobiographie, car Françoise Hardy est d'une rare honnêteté et c'est ce qui fait sa force.
Lien : http://livrespourvous.center..
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Le désespoir des singes et autres bagatelles

Je ne suis pas une spécialiste de l'autobiographie, et pas non plus une fan de Françoise Hardy, mais l'occasion s'est mêlée à la curiosité : j'ai donc découvert une femme sensible qui parle des célébrités croisées (que de souffrances en chacune !), de sa venue à la chanson, de ses amours troublées, de son parcours professionnel (musical et astrologique), un peu de son fils, de son histoire familiale complexe, Agréablement touchée par certaines réflexions, certaines anecdotes, j'avoue m'être lassée un peu au fil de la lecture : à trop regarder le verre à moitié vide, j'ai eu soif de réjouissances.
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L'amour fou

Que l'on ne s'y trompe pas, Françoise Hardy plus connue en tant que chanteuse est également une romancière. Dans ce livre, il s'agit de l'Amour avec un grand A. Celui qui par définition échappe à la raison, est passionnel, maladif, source de bonheur, de jalousie et destructeur.

Récit mettant en scène Elle et X. au passé, Elle raconte l'attente, l'imaginatif qui galope, les souffrances endurées par les actions ou le comportement de X, les tourments et l'affliction qui en découlent et alimentent l'amour. Elle s'y noie dans cette spirale, s' y accroche car persuadée que seul X. peut lui apporter cet amour. L'instinct de protection se réveille, Elle veut se tenir à distance de X. tout en étant habitée par lui. Quand ses amis lui disent de tourner la page car Elle est malheureuse, Elle veut encore y croire. Masochisme ? Non, mais l'amour qui survient à cet instant de son existence la rend fragile et dépendante.



la suite sur :

http://fibromaman.blogspot.fr/2012/12/francoise-hardy-lamour-fou.html
Lien : http://fibromaman.blogspot.f..
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