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3.77/5 (sur 84 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Caen (Calvados) , le 28/10/1967
Biographie :

Frédérique Lorient est une écrivaine française.

Elle naît d'un père militaire et d'une mère femme au foyer et grandit entourée de l'affection de ses parents, de son frère Thierry et de sa sœur Sylvie. La famille déménage souvent entre Toulouse, l'Alsace et Dieuze, avant de s'installer définitivement à Ribeauvillé en 1982. Frédérique a alors 15 ans.

Elle entre au Lycée et fait des études de lettres à Strasbourg.

Frédérique accorde beaucoup d'importance à la Nature. C'est d'ailleurs lors d'une marche dans les Vosges qu'elle rencontre son futur époux Dominique. Ils se marient en 1993.

Passionnée par l'écriture, Frédérique, devenue professeur de lettres modernes, tenait des cahiers d'histoires depuis son plus jeune âge.

Son premier vrai roman, Danseurs de Lumière, paraît le 11 mars 2006. Depuis, elle a écrit 6 romans, dont les plus célèbres sont Apocalypse Maya et Sous un ciel de Harpies.

Aujourd'hui, Frédérique Lorient vit en Moselle, entourée de son mari et de ses trois enfants. Son dernier roman en date est La Corde Rouge paru en septembre 2009.
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Source : Wikipédia
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Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
À quoi bon vivre si l'on m'a vendu... À quoi bon vivre si ma propre fille refuse que je prenne son nouveau-né dans les bras sous prétexte que l'habituer à la douce chaleur humaine en fera un être capricieux et improductif, comme je le suis... Improductif ! J'ai été professeur [des écoles], avant...
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Il n'était même pas capable de lui en vouloir. Quelle détestable capacité que de pouvoir comprendre pourquoi celle que vous aimez vous fait du mal. Comprendre au point de pardonner et de ne ressentir aucune haine, seulement une sorte d'amour féroce, tapi comme une bête fauve. Indélogeable.
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T'es un drôle de mec. Tu donnes l'impression de planer à cent mille. Réveille-toi vite ou tu feras pas long feu. Les bouquins, c'est fini. Les belles histoires, c'est un luxe qu'on ne peut plus se permettre quand il s'agit de savoir si on va crever ou pas.
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Il m'a dit qu'il me défendrait. Mais je ne veux pas qu'on me défende. On ne défend que les coupables et je n'ai rien fait. Je n'ai encore rien fait.
Ne me poussez pas à bout.
Ras-le-bol de courir dans tous les sens comme un lapin effaré.
Ras-le-bol d'avoir peur.
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[...]il avait volé des livres...
Lui qui n'en avait pas ouvert un seul pendant les seize premières années de sa vie ! Les écoles-écrans avaient bien fait leur travail. Il y avait appris les quelques rudiments nécessaires pour travailler sans réflexion ni rébellion pour une usine quelconque. Il aurait parfaitement pu passer sa vie à côté d'une montagne de livres et ne pas ressentir une seule fois l'envie d'en ouvrir un.
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Page 103-104: "-Vous pouvez vous promener seule, le jour comme de nuit, n'importe où à travers Maya. Les Suris ne vous feront jamais de mal, et je suis même prêt à parier qu'ils mourraient pour vous protéger ou pour vous obéir. [...] Vos cheveux sont blond doré, expliqua patiemment Trree, une belle couleur d'épis mûrs, et leurs boucles très serrées font penser aux ondulations des lignes de grains de maïs. [...] Or les Suris savent reconnaître les signes sacrés. Ils voient le soleil dans le maïs, ils ont vu ce soir une déesse solaire."
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J'ai l'impression de trop entendre, de trop voir, de trop sentir, répondit Cléophée encore plus doucement. ça me fait mal. Même parler, ça résonne en moi et ça me fait mal...
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Je me souviens d'un proverbe vachement bien, enchaîna Loé d'une voix rageuse: " Si un type te dit que tu es un cheval, fous-toi de lui. Si deux types te le disent, commence à y réfléchir. Si trois types te disent que tu es un foutu bourrin, fonce au magasin et achète-toi une selle." Moi je te le dis aussi, Dork: T'es qu'un con, doublé d'un salaud. Ca te fait déjà deux avis, Dork. Manque plus que le troisième, et tu pourras aller t'acheter ta parure de con doublé d'un salaud.
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En une seconde, le raz-de-marée fut sur lui: il fut balayé comme un fétu. Le choc vida ses poumons de l'air qu'ils avaient inspiré. Il traversa le passage, emporté par un flot rugissant furieusement et jaillit aussi vite qu'une balle de fusil dans ce qui restait du dôme principal. Car celui-ci n'existait déjà presque plus. Les murs disloqués s'ouvraient comme des fleurs, exhalant vers la surface d'énormes bulles d'air.
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J'ai ramassé une grosse poignée de sable pour la tamiser entre mes doigts entrouverts. Des fragments de nacre, striés, complexes, se mêlaient à des larmes de verre poli dont les traces blanchâtres semblaient avoir été dessinées à la craie. La lumière puissante de l'été jouait dans ces mondes infimes, les révélant puis les éteignant, à mesure que je les faisais crisser en les coulant d'une main à l'autre.
C'est alors que le sable s'est mis à changer.
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