Giancarlo Alessandrini

Je ne m'attendais pas à cette conclusion, et surtout je ne pensais pas qu'elle serait présentée de cette façon. Je pensais que le dernier point de vue du Quintett se passerait à la même époque et dans le même lieu que les précédents. Alors je suis un peu déçue, parce que justement, j'aurais aimé voir ce 5ème à l'oeuvre....

Mais avec la mise en garde de la 4ème de couverture : "Si les albums précédents peuvent se lire séparément, celui-ci est indissociable des quatre premiers mouvements. Il est vivement recommandé de ne pas l'ouvrir avant de les avoir lus. Et pour apprécier pleinement cette "chute", il est même conseillé de ne pas feuilleter cet album avant d'entamer sa lecture."

il est difficile de résister à l'envie de dévorer les précédents tomes pour enfin arriver à cette chute.

Dieu que c'est ultra mauvais tant au niveau du scénario que du dessin !!! Leur parution aurait dû être "interdite" car de mémoire, j'ai jamais rien lu de pire. Il m'en reste encore un offert généreusement par notre groupe pétrolier préféré mais rassurez-vous : je ne l'ai jamais comptabilisé dans ma collection ! Vous croyez que je réussirai à le vendre ? Non, plutôt le jeter que d'escroquer d'honnêtes gens !



C'est dommage de sortir une telle bd en se servant du fameux mythe. D'ailleurs, nous le retrouverons bientôt au cinéma (plus précisément le 21 mai 2008.) sous le titre Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal ! Allez, on oublie la bd et on savoure le plaisir de nos retrouvailles avec ce héros qui a baigné notre enfance !

'Si les albums précédents peuvent se lire séparément, celui-ci est indissociable des quatre premiers mouvements. Il est vivement recommandé de ne pas l'ouvrir avant de les avoir lus. Et pour apprécier pleinement cette "chute", il est même conseillé de ne pas feuilleter cet album avant d'entamer sa lecture'

Cette annonce au dos de l'album annonce la couleur et c'est avec un réel plaisir que je me suis plongée dans ce dernier volume de la série.

La dénouement est bien pensé, intéressant ; le final est édifiant.

"Indiana Jones et la cité de la foudre" de C. Moliterni et G. Alessandrini.

En me promenant j'ai été voir dans une boite a livre de ma ville où je ne vais que rarement (il y en a deux mais celle-ci est utilisée pour les livres d'école et de francais). J'étais donc étonné de trouver des bande-dessinées et surtout cet Indiana Jones dont je n'avais jamais entendu parlé (en général je suis plus renseigné sur les romans). Du coup je l'ai pris pour le lire et la collection.



Cette BD est donc une exclusivité du groupe pétrolier Shell et de ce que j'ai compris on ne la trouvait que dans leurs stations essence (ce qui fait qu'il reste un petit peu rare).

La BD elle-même n'est pas exceptionnelle, on voit Indiana Jones faire une aventure en Inde pas très palpitante. Les dessins sont assez moches mais j'ai déjà vu pire donc cela ne m'a pas trop dérangé. Je vois bien que cette BD est faite pour les enfants mais si vous devez l'acheter prenez le à 2 euros maximum en brocante ce n'est vraiment pas rentable à part pour avoir une petite lecture dans la journée.

Mais même avec ces aspects négatifs, je suis content d'en avoir appris plus sur une aventure de notre archéologue préféré !

La grande conspiration.

Ely Parker, responsable gouvernemental des affaires indiennes à Washington, avertit Tex Willer de sa venue imminente sur la réserve navajo mais une conspiration menée par le sénateur Wallace vise à anéantir Parker, Willer et les Navajos dans un même mouvement. Pour Tex et ses pards, une course contre la montre s'enclenche immédiatement dès qu'ils réalisent qu'Ely Parker a été kidnappé avec pertes et fracas. Heureusement, l'agence Pinkerton qui a perdu les deux gardes du corps de Parker met ses ressources à la disposition des rangers.

Claudio Nizzi a bien mitonné son histoire où un politicien aux dents pointues et au bras long veut le beurre et l'argent du beurre, la place d'Ely Parker et les gisements de minerais précieux situés sur les territoires des Navajos. Tex Willer est pris en tenailles et il doit prioriser les urgences en délégant à ses compagnons les opérations de contre-attaque car les militaires dépêchés sur ordre depuis Washington arrivent déjà en terres indiennes avec des intentions belliqueuses. La circulation de l'information est prioritaire et Pinkerton tient une place prédominante. À la sinistre galerie de personnages affiliés, le sénateur corrompu Wallace, le banquier affairiste Griffith, l'Indien renégat Corvo Rosso, le colonel carriériste Grossman répond un cortège de samaritains impromptus, le jeune berger navajo Piccolo Puma, Mac Parland, agent courageux et perspicace de la Pinkerton, le fidèle lieutenant Jules de Fort Defiance ou encore Samuel, le vieux et dévoué chercheur d'or. Les forces du mal pourtant parfaitement huilées sont contrariées par des cailloux blancs qui malmènent les engrenages mortifères. Giancarlo Alessandrini réalise un découpage impeccable et des cadrages parfaitement adaptés. Son graphisme vif et puissant relègue la précision au profit de la dynamique du récit. Les visages donnent l'impression d'être esquissés et parfois approximatifs. Néanmoins, l'aventure du Maxi Tex, bourrée d'actions et de rebondissements, se lit sans temps mort avec un plaisir constant.

Ce 5ème tome va enfin mettre un lien direct entre les 4 personnages découverts au fur et à mesure des albums précédents, lien autre bien évidemment que le quintett!! En effet nous découvrons que chacune d'elle a été surveillée par un dénommé Trabal, espion qui se cachait à l'époque sous les traits de l'infirmier en chef, et que chacune, impliquée dans un meurtre, ne l'a probablement pas été sans raison liée aux autres....

15 ans après, Dora Mars, Elias Cohen, Alban Méric et Nafsika Vasli se retrouvent à Paris pour enfin découvrir toute la vérité sur les drames qu'ils ont chacun vécu à Pavlos en Macédoine. Mais la recherche ne sera pas si simple car la manipulation de l'époque continuant, c'est un grand nombre de résistances qu'ils rencontreront sur leur route... jusqu'à la découverte d'un montage diabolique...

Belle chute, dommage que les albums précédents n'aient pas été à cette hauteur.

Nous suivons ici, Indiana Jones dans son périple au coeur de l'Egypte. Rythmé et léger, c'est un bon moment de lecture avec cette BD.

A travers cette bande dessinée, nous suivons Indiana Jones dans une aventure en Egypte. Il est à la recherche d'un secret qui se trouve dans une pyramide. Un certain professeur Mortimer, l'a cherché avant lui mais sa disparition soudaine est inquiétante.

Notre héro sera épaulé par une de ses amies journaliste.

Ce livre est très plaisant à lire et comporte du rythme. On ne s'ennuie pas. Les rebondissements apportent un bon suspens. Les dessins sont bien (mieux que l'autre BD d'Indiana Jones de la même collection).

Cependant, je trouve qu'il manque un peut de profondeur dans l'histoire.

Mais cela n'enlève en rien le plaisir de cette lecture!

Cette bande dessinée ne m'a pas convaincue.

Petite lecture hors de mes sentiers battus. Dans les pas d'Indiana Jones en bd. Un peu décevant il faut bien le dire.



L'histoire nous conduit en Inde au moment où Gandhi prêche la marche du sel, non-violente, à l'aube de l'indépendance. Après une mystérieuse agression dans le train qui conduit le docteur Jones à Bombey, son amie, une danseuse indienne, est enlevée sous ses yeux. Accompagné d'une journaliste du Globe, Indiana Jones se lance sur les traces d'un temple et d'une cité perdue où une secte qu'on croyait disparue pourrait bien retenir la danseuse en vue d'un sacrifice...



L'aventure riche en péripéties et en rebondissements tient ses promesses. Elle est aussi très colorée, aux teintes et parfums de l'Inde. Tout cela tente toutefois trop de ressembler au cinéma. On ne trouve pas dans cette Inde dessinée et cette histoire le charme et le mystères que dégagent des albums comme ceux d'Hergé ou de Cuvelier pour ne citer qu'eux.



En résumé une enfilade de combats, de soirées de gala et de sacrifices avortés. L'Inde mystérieuse et l'archéologie aventureuse ont connu de meilleurs sorts dans le 9ème art. Difficile de passer sur les planches dessinées après Blake et Mortimer !

1932 : Alban découvre une vieille malle avec des papiers qui remettent en cause ce qu'il a vécu en 1916. Il va mener l'enquête, aidé par Dora et Elias.

Ils découvriront trés vite que Le jeune pilote, amour de Dora, n'est pas mort d'un accident mais assassiné mais ce n'est pas la la révélation de cet ultime tome. Dans les faits ils vont découvrir que leurs histoires étaient liées et dirigées sciemment par deux mystérieux démiurges...Difficile d'en dire plus!

Cela clôture plutôt agréablement ces 5 tomes, même si l'explication finale est "tirée par les cheveux" pour le moins.

Bon suspens globalement.

Je n'ai pas du tout retrouver l'ambiance des films Indiana Jones. Les dialogues sont fades et sans émotions, l'aventure se révèle très linéaire et très monotone. Et puis, même les méchants sont d'une mollesse extraordinaire. le dessin est également très moyen car on reconnaît à peine Harrison Ford - enfin s’il n’y avait que ça ! - et la colorisation est assez terne.

Bref, une bande dessinée pas très travaillée et qui manque cruellement de tout à chaque page. Cela a été un vrai calvaire de terminer la lecture de cet album - j’avais l’espoir que le scénario décolle un peu à chaque page, peine perdue… - Il faut dire que cet album est distribué gratuitement par une célèbre compagnie pétrolière - mais est-ce que « gratuit » doit rimer avec « médiocrité » ? C’est dommage de dénaturer autant une célèbre saga à travers une bande dessinée galvaudée.

J'ai aimé retrouver Indiana Jones en bande dessinée, les dessins sont beaux et l'intrigue se tient. Cette fois-ci, notre archéologue se lance à la recherche du Professeur Mortimer qui a disparu en Egypte en laissant derrière lui de mystérieux manuscrits.

Il y a de l'action.

Incroyable dénouement !

Les 4 premiers tomes nous avaient beaucoup d'informations sur les amours de chacun et leur difficulté. Dans celui-ci on se retrouve 15 ans après et le passé refait surface. Dans ce tome on comprendra tous les tomes précédents. Une bonne série intelligemment montée avec à chaque fois un dessinateur différend.

Ce livre nous (re)découvrir l'univers du petit Indi. Il y a beaucoup d'action, centrée sur le mystère de base, et du suspens, le tout au bon dosage, ce qui fait de ce livre un livre parfait!! je vous le conseille vivement!

Une très belle fin ..., où on découvre les protagonistes à la recherche de ce qui leur est vraiment arrivé....le moins que l'on puisse dire est que c'est surprenant !



A noter le dessin agréable et surtout les couleurs particulièrement réussies.

Après quatre tomes qui racontaient chaque fois une histoire d’amour différente sur fond de guerre, Franck Giroud quitte Pavlos et nous invite à retrouver plusieurs protagonistes 16 ans après les drames vécus.



Si les tomes précédents pouvaient être lus dans un ordre aléatoire, il n’en va pas de même pour cette chute qui vient faire un beau pied-de-nez à ceux qui scrutaient les détails de Pavlos afin de trouver un indice pouvant les mettre sur la piste de cette révélation finale. C’est donc dans un nouveau décor que Franck Giroud va faire de nombreuses révélations qui vont apporter une nouvelle dimension à cette série et peut-être même un peu trop la dénaturer.



Certes, Franck Giroud ("Le décalogue") parvient une fois de plus à démontrer sa maestria au niveau de la construction de cette série et de la cohérence de cette conclusion. L’auteur referme chaque porte avec précision, mais le fait souvent à l’aide de longues correspondances parfois fatigantes.



Graphiquement, la plupart des lecteurs qui attendaient avec impatience une conclusion dessinée par Giulio De Vita ("Wisher") seront déçus de voir Giancarlo Alessandrini au dessin. Il faut dire que le travail de De Vita sur les premières et dernières pages des albums précédents était assez alléchant tandis que le dessin classique d’Allessandrini laissera le lecteur un peu plus indifférent.

Destiné plutôt à un public jeune, cela ne m'a pas empêché d'apprécier les aventures rocambolesques du célèbre Indiana.