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Citations de Gitta Mallasz (72)


"Ce que tu peux faire une fois, tu peux le refaire à tout moment. Ne t’inquiète pas ! car l’obstacle te renforce lui aussi."
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"Tu peux toujours descendre, tu peux toujours remonter. Cela ne dépend que de toi."
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Le projet est chez le Père; tous les projets. Si tu fais le plan de ce que tu vas faire, avec ta tête, voilà que tu lâches la bride au temps - avant son temps- sur l'exécution. Car la tête et le temps sont un.
.
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Il y a une loi pour l'eau
et une autre loi pour celui qui a soif.
L'eau est toujours eau,
mais celui qui a soif n'a pas toujours soif.
Si l'eau gèle, l' assoiffé meurt de soif.
Si l'eau s'évapore, l'assoiffé meurt de soif.
Les hommes dans leur soif s'entre-tuent .
Mais le sang n'est pas l'eau,
et ils ont de plus en plus soif.
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. Pourquoi suis-je si peu sûre de moi, que je ne sais même pas ce qu’il me faut ?
-Rafraîchis ton palais, car tu l’as gâté avec beaucoup de nourritures inutiles.
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Rêver pour vous réveiller ! De rêveurs vous deviendrez des éveilleurs !
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Pendant le silence qui suit, je me demande quelles seront nos possibilités d'évolution en tant qu'êtres humains, et je reçois immédiatement une réponse à ma question muette.
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Plus grand est l'obstacle, plus grande est la confiance en ta force. La grandeur de l'obstacle n'est pas punition, mais confiance
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Une brève introduction ne sera pas inutile pour comprendre les événements qui vont suivre.
Je voudrais insister sur le caractère tout à fait ordinaire de la vie que nous avions menée, mes trois amis et moi, jusqu'au jour où commença cet enseignement. Et pourtant, cette vie fut une préparation à ce qui nous attendait.
C'était en 1923 - j'avais seize ans - que je rencontrai Hanna à l'École des arts décoratifs de Budapest, où sa table était à côté de la mienne. Dès le début, elle se montra tout à fait expansive et amicale à mon égard. Moi qui étais née dans une famille de militaires, et avais reçu une éducation toute Spartiate, j'étais déconcertée par le caractère naturellement tendre de Hanna. Dans mon enfance et mon adolescence, manifester ses sentiments était un signe de faiblesse, et même un simple baiser d'adieu pouvait devenir affreusement embarrassant.
Hanna, au contraire, dont le père était directeur d'une école élémentaire, avait grandi dans l'atmosphère beaucoup plus détendue d'une famille juive moderne, et n'éprouvait aucune gêne à montrer ce qu'elle ressentait.
En dépit de ces différences de tempérament et d'éducation, nous nous liâmes, pendant ces trois ans d'études, d'une amitié profonde. Pourtant, au sortir de l'école, nos chemins se sépa­rèrent, et nous ne nous vîmes plus que rarement. Hanna continua ses études à Munich; quant à moi, je me lançai à corps perdu dans le sport. Devenue championne de natation, je me laissai griser, pendant cinq ans, par l'adulation presque idolâtre que manifestent les Hongrois envers les héros du sport. C'est à cette époque que je fis la connaissance de Lili, qui pratiquait la thérapie corporelle. Chaleureuse et naturelle, elle avait beaucoup d'élèves, et je compris très vite que si ses classes étaient surchargées, c'était que ses élèves y trouvaient beaucoup plus qu'une simple relaxation : une nourriture pour ce qu'il y avait de plus profond en eux.
Pendant toute cette période, j'ai su peu de chose de Hanna, sinon qu'elle s'était mariée avec Joseph, qu'elle connaissait depuis l'enfance : un homme calme, qui était ce que nous appelons aujourd'hui un designer (il dessinait des meubles). Sa seule présence avait un effet apaisant sur son entourage : je l'ai vu plus tard, lorsque nous vivions ensemble à Budaliget. A l'auberge du village, les discussions politiques les plus houleuses se calmaient lorsque Joseph arrivait, et en quelques instants l'atmosphère redevenait complètement paisible grâce à sa silencieuse présence.
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La chenille ne sait pas qu'elle va devenir papillon. A nous, voici que l'Ange a donné la description de l'Enfant nouveau, que nous sommes appelés à devenir.
Mais suivons-nous cet appel ?
Avec nos sens d'aujourd'hui nous ne pouvons pas encore saisir la nature terrestre et divine de cet HOMME futur, pourtant c'est en puissance notre nature tout entière.
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"A la place de la grisaille ensommeillée
Viendra un rayonnement merveilleux de couleurs.
Mais maintenant, la multitude d’images en couleurs,
De films en couleurs
Rendent grise la vue de l’homme.
Car au lieu de donner la couleur, il la reçoit."

Dialogues avec l'ange,
1943 (avant l'apparition des films en couleurs)





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G : Qu’est-ce qui en moi ressemble le moins à ton image ? Je l’arracherai.
-L’incertitude.
G : Je ne comprends pas.
-Ne vacille pas.
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Il faut que tu trouves un bonheur que tu n’as jamais connu, un nouveau sourire : le Léger. Si tu sens un poids trop lourd, tu n’es pas sur ton chemin. Si ton fardeau te semble léger, tu es sur le chemin.
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G. Dois-je jeûner le vendredi ?
-Non.
Je m’imaginais que le jeûne pouvait être un moyen de purification spirituelle.
NON ! QUE LA MESURE, CHAQUE JOUR, SOIT TON JEUNE ! Donne de l’eau à celle qui parle !
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"Les livres ou les hommes ? – C’est la même chose."
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Le temple où Dieu est vénéré est sacré et pur.
Vienne à mourir la religion,
et le temple peut devenir entrepôt.
C'est la vénération de Dieu
qui fait du temple un temple.
Les temples e t les religions meurent encore,
mais le nouveau Temple, lui, n'a pas de murs -
il ne peut pas mourir.
Vous êtes les bâtisseurs et les futurs prêtres
du Temple immortel qui a un nom :
le monde délivré.
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Le vouloir est un mur et non une marche.
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quelle est la vraie liberté ?
SERVIR ! si tu sers tu es UN avec LUI et alors tu es libre. il n'y poids, ni temps, ni mesure, ni quantité. puissiez vous servir !
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Si nous nous précipitons, nous ommes dans l'avenir: la mort par-devant. Si nous tardons, nous sommes dans le passé: la mort par-derrière. Si nous agissons au moment juste, nous sommes en contact avec l'éternité.
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Le vouloir est un mur et non une marche
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