Citations de Golo Zhao (74)
L’amour n’est jamais une entrave mais une acceptation.
Si tu étais une mouette, moi, Linhof, j’étais un pêcheur. Je rêvais d’un océan inconnu, d’une vie d’aventures. Comme tu étais une mouette, tu as fini par trouver un nid, où ta famille t’attendait.
Le temps passé ne revient jamais plus, la seule chose à faire, c’est d’apprécier constamment le temps qui file.
- Les japonais ??? Ils coupent la tête des poules ?
- Pas seulement des poules !
-Ils coupent la tête de qui ??...
- C'est pas des histoires pour les enfants, va plutôt me chercher de l'eau.
"Yun ! Tu es la plus belle couleur du monde !"
"Pourquoi est-ce que les filles les plus sympas tournent toutes autour de toi, Wen Jun ? ça ne te pose aucun problème de conscience ?! Tu es déjà si proche de Nana ! Pourquoi te servir du badminton pour arracher Yun au monde du dessin !?! ça se fait pas de courir deux lièvres à la fois, juste parce que tu es bon en sport ! Le canon de la classe ne te suffit pas ? Il faut en plus que tu accapares une fille lambda ! Ton milieu aisé ne te suffit pas ? Il faut en plus que tu viennes étudier l'art ! Pourquoi a-t-il fallu que ma route croise celle d'un bon en tout comme toi ?! Et en plus, il me défie ! Mais pourquoi moi ???!!!!"
Souviens toi de moi... ne m'oublie pas...
En général, chez nous, quand les gens dorment dans la terre ça signifie qu'ils sont morts...
Tu sais, Grand frère Ming, autrefois ma maman m'a dit que quand elle serait partie, elle deviendrait une étoile dans le ciel qui me regarderait toujours sans dire un mot...
C'est ce qu'elle m'a dit avant de s'endormir pour toujours.
Non, j’ai compris : j’veux pas changer ! J’préfère sortir du rang et ne pas faire comme les autres. J’aurai ma journée dans l’histoire, une journée sanguinaire !
Sur le chemin qui mène au sommet de la montagne, ne te moque pas des gens qui en descendent en tirant la langue comme des petits chiens.
Ça fait si longtemps que je ne me suis pas retrouvée dans une telle obscurité. Je manque de lucidité. Tant de gens dépendent de la lumière. Je croyais être différente. Cette coupure d’électricité m’a rappelé qu’il faut avoir peur de quelque chose. Noyé dans des lumières aveuglantes, on apparaît forcément sous son plus mauvais jour.
N'oubliez pas : se reposer sur ses lauriers sans jamais se dépasser, c'est se voiler la face.
Et se morfondre sans jamais passer à autre chose, c'est faire du surplace.
Pour la première fois de ma vie, je compris ce qu’était un mensonge d’adulte.
A notre époque, la vie ne se résume pas à des succès ou des échecs. Dès lors qu’on fait ses propres choix, on devient le héros de sa propre histoire.
On fait tous des choix. Parfois, la conséquence est positive. Parfois, elle est négative. C’est aussi simple ce que cela.
Elle a raison. Quand on se remémore le passé, on s tendance à jeter un voile pudique sur les événements qu’on préfère oublier. On cache instinctivement les blessures qu’on a subies. Quand on déterre le passé on se montre sous son meilleur jour en dissimulant les vérités qui fâchent.
A cet âge, les filles et les garçons ne se mélangeaient surtout pas. Si un garçon se retrouvait à côté d’une fille, ils traçaient un trait bien net sur la table pour délimiter la frontière. Les garçons ne devaient pas jouer avec les filles, au risque de se faire mal voir de leurs semblables.
Pour échapper à cette ville, il ne nous reste que les études.
J’ai envie d’avoir une maman qui puisse pincer les oreilles des autres.