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Citations de Hans Koppel (36)


Notre lectorat est plus âgé et, espérons-le, plus intelligent, mais peu importe. Nous ne voulons tout simplement pas parler du suicide parce que c’est trop affreux. Il n’y a pas de dimension de pardon dans le suicide et nous devons tenir compte de nos fidèles lecteurs. Donc, nous n’abordons pas ce thème, un point c’est tout.
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A quoi bon en faire un drame ? A chaque seconde, chaque jour, des êtres humains rendaient leur dernier souffle, et ce depuis la nuit des temps.
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La vie quotidienne était un drame permanent. Il y avait même une certaine grandeur là-dedans. C’est peut-être affreux à dire, mais c’était assez excitant, comme le jour de la rentrée pour un écolier ou un premier amour. Au milieu de toute cette désolation et de tout ce chagrin, la vie avait un sens.
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C’est typique des gens qui, pour minimiser leurs propres excès, diabolisent ceux des autres. C’est comme les alcooliques qui demandent « un demi », au lieu d’« une bière ». C’est même à ça qu’on reconnaît quelqu’un qui a un problème avec l’alcool.
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Crier ne servirait à rien. Il fallait trouver un autre stratagème.
Avec un briquet ou des allumettes, elle aurait pu mettre le feu au rouleau d’essuie-tout, laisser la fumée s’échapper à travers la bouche d’aération et attirer l’attention de quelqu’un. Mais si la ventilation donnait dans le conduit de cheminée, la fumée ne ferait réagir personne, même maintenant, alors qu’il faisait chaud dehors. Les gens penseraient qu’ils brûlaient des papiers et n’y verraient rien de suspect.
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Il n’y a aucune différence entre les hommes et les femmes, si ce n’est que les hommes sont, par nature, mauvais, et les femmes, par nature, bonnes.
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L’agresseur affamera particulièrement les femmes indociles. Le manque de nourriture réduit considérablement leur capacité à résister. La femme finit tout simplement par ne plus avoir assez d’énergie pour lutter, quoi qu’on lui ait fait subir.
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Les choses sont ce qu’elles sont. Soit on tourne la page et on avance…
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La violence est l’expression la plus sûre du pouvoir.
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Tout était une question de pouvoir. Il s’agissait de conforter sa position sur l’échelle ou de grimper plus haut, si possible. Chez les filles, ça se réglait de manière assez naturelle, en revanche, chez les garçons, il fallait parfois employer la manière forte.
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La ville est plus petite, c’est sûr, mais la mer et les plages sont magnifiques. Le ciel est partout, on a l’impression que tout est possible.
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De la musique dans les oreilles, le regard au loin, c’était la meilleure façon d’échapper aux conversations sur le temps qu’il faisait. On tombait toujours sur quelqu’un qui avait envie qu’on s’intéresse à sa personne et qu’on discute le bout de gras, c’était le problème quand on vivait dans une petite ville.
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Il n’y a vraiment rien de positif à vivre sous le regard des autres. Quoi que tu fasses, évite de montrer ton visage. A moins d’être Simon Spies, tiens-toi à l’écart des médias.
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Les méthodes utilisées par les agresseurs pour soumettre leurs victimes sont les mêmes partout et sont aussi vieilles que le monde. Les chefs ont recours aux mêmes techniques que les dictateurs, pour la simple et bonne raison qu’il n’existe que deux moyens de gouverner : la carotte et le bâton.
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Comme vous le savez, l’Autrichien moustachu n’est plus simplement une figure historique ; il a pris une dimension mythique : Hitler est aujourd’hui la référence, le symbole du mal absolu.
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Prendre un verre, c’était toujours ce qu’il y avait de mieux. En règle générale, il savait au bout d’une demi-minute si ça valait le coup de poursuivre ou pas. Le dîner, c’était de l’autopunition, on risquait de se retrouver coincé des heures, à afficher un sourire niais, à souffrir le martyre. Non, quiconque possède un peu d’expérience sait qu’il vaut mieux se retrouver autour d’un verre. Si le courant passait, rien n’interdisait d’aller plus loin.
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