Heather Morris

Des trois tomes, c'est celui que j'ai le plus apprécié. Des passages très émouvants. Il est aussi intéressant de lire "l'après" survie des camps, la reconstruction, le retour à la vie "normale"... un très beau témoignage romancé par Heather Morris.

C’est compliqué de commencer une petite chronique sur un roman tel que celui-ci. Parce qu’on aime ou qu’on n’aime pas, il s’inspire très très fortement de l’histoire vraie de Lale et de Gita : un coup de foudre en plein cœur des camps de concentration.



On pourrait résumer ce roman avec la phrase : « L’humanité dans l’inhumanité ». L’histoire que tout le monde connait est celle des déportés dans les camps de concentration en pleine Seconde Guerre Mondiale. Le décor est planté. Nous savons que cette histoire sera terrible, qu’elle va nous tordre le ventre, et nous donner parfois envie de pleurer toutes les larmes de notre corps.



Ce roman raconte l’histoire de Lale, un jeune garçon juif qui, par un concours de circonstance va se retrouver devenir le tätowierer des camps de concentration. Le marché est simple : il tatoue les prisonniers en échange de sa vie. Et c’est ce qu’il va faire. Car Lale s’est fait une promesse le premier jour où il est rentré dans ces camps : en ressortir vivant. C’était sans compter un coup du destin que Lale va se voir un jour dans l’obligation de tatouer des femmes pour la première fois. Il va tomber immédiatement sous le charme d’une jeune femme : Gita. Mais dans cette prison où l’on se bat pour un morceau de pain et pour sauver sa vie, il n’y a pas de place pour l’amour.



Et pourtant, avec ses maigres contacts dont un officier allemand, il va tenter de se rapprocher de cette jeune femme dont il ne connait rien. Un commencement d’histoire avec quelques lignes sur des bouts de papiers, à des effleurements d’épaules, c’est tout ce qu’ils ne peuvent espérer pour le moment. Car ils n’ont pas le droit d’avoir plus, pas le droit d’être ensemble et leurs vies est incertaine. Alors à quoi bon s’attacher à un étranger dans ces camps où la mort à remplacer l’amour ? Désormais, Lale ne vit que pour Gita, il cherche à ce qu’elle soit dans des conditions moins atroces que les autres. Car Lale étant le tätowierer, il a certains passe-droit donc celui d’avoir des rations de nourritures supplémentaires, qu’il va cacher pour sa bien-aimé. De maigres victuailles mais qui vont aider Gita à tenir dans cet enfer où l’espoir n’existe plus.



Nous croisons beaucoup de personnes dans ce roman. Des personnes qui gravitent autour de Lale, de Gita. Mais le sort de tous n’est que provisoire. L’amour, l’amitié peut très vite être rattrapé par la mort. A chaque fois que les cheminées d’Auschwitz fument, il faut prier pour que ses amis, sa famille, l’être aimé ne fasse pas partir de ces pauvres personnes à qui on vient de retirer ignoblement la vie.



C’était vraiment une lecture très dure, très bouleversante mais au combien merveilleuse. Lorsque je dis merveilleuse, c’est aussi au travers de tous les actes d’amours, de loyauté et d’humanité qu’on voit dans ce roman alors que nous sommes en pleins cœurs des camps. Qui sauve une vie, sauve l’humanité. Mais j’étais happé dans l’histoire car je voulais savoir ce qu’il advenait de ces deux personnes, de ce couple, de cette évidence entre ces deux personnes.



Je vous recommande vivement de lire la postface après ce roman. Elle est essentielle et vous en dira plus sur ces lignes que vous venaient de lire.

Ce troisième roman dans ce registre de la même auteure m’a légèrement déçue. Il est clair que l’histoire reste touchante, et bouleversante quand on sait que ces faits sont réels. Toutefois ma déception porte sur le fait que le premier roman nous apprenait les horreurs dans les camps du point de vue d’un homme. Le voyage de Cilka a été déchirant de part ce qu’elle a dû traverser. Cette dernière lecture, m’a semblé plus légère, comme si les trois sœurs avaient été « privilégiées ». Cet effet est probablement dû au fait que l’auteure ait choisi de consacrer une moitié de l’ouvrage sur leur vie après le camp, ce qui fait que les horreurs des camps n’aient pas été vraiment développées.

Je ressort mitigée de cette lecture.

Il n'y a rien à dire quant à la qualité d'écriture de l'auteur. C'est un livre qu'on retrouve avec plaisir. La chronologie et la manière dont l'histoire est racontée est très bien.

Mais je suis mitigée sur le ressenti de mes émotions, de ma perception du personnage principal. Pas évident d'être objectif sur les comportements des hommes pendant cette sombre période de l'histoire...

Mon premier livre historique. Une belle histoire d'amour et d'amitié dans un contexte aussi difficile que la seconde guerre mondiale.



Intéressant, émouvant, j'ai plutôt apprécié la lecture. Cependant j'ai trouvé que tout s'enchaînait assez rapidement et qu'il manquait parfois de détails. La relation entre les deux protagistes est au final peu détaillée, ce qui m'a empêché de m'attacher aux personnages.



J'en ai conclus que je n'étais pas le public de ce genre de roman.

Ce livre “inspiré d’une histoire vraie” retrace l’histoire d’amour entre deux juifs slovaques déportés dans le camp de la mort : Auschwitz Birkenau.



Lale Sokolov, 26 ans, chargé de tatouer les nouveaux déportés arrivant au camp tombe éperdument amoureux de Gita Furman alors qu’il doit la tatouer.



Débrouillard et “déporté privilégié” si on ose le terme, Lale parvient à protéger Gita des travaux les plus difficiles et du manque de nourriture. .



Ce témoignage, c’est Heather Morris, journaliste et cinéaste qui le retrace après que Lale se soit confié suite au décès de sa femme Gita en 2003.



Si l’histoire est intéressante, je me questionne fortement tout de même : ce témoignage tardif serait lié à la peur d’être considéré comme un collabo, soit. En revanche, on ne trouve aucune mention dans les travaux des historiens d’un tatoueur d’Auschwitz qui le serait resté durant 3 ans (de 1942 à 1945) mais surtout, aucune trace dans les archives d’Auschwitz non plus…



Je m’interroge sur la part de fiction dans cette histoire sur fond de réalisme. D’ailleurs, ce livre a été attaqué par le centre de mémoire d’Auschwitz pour cause "d'inauthenticité” et d’une version trop édulcorée des faits … Shoah business ?

Ce roman-Témoignage du tatoueur d'Auschwitz nous fait passer par toutes les émotions ressenties par Lale.

De son arrivée à Auschwitz à sa rencontre avec Gita puis à l'évolution de leur histoire d'amour dans ce qui a été l'enfer sur terre.

Nous (re) découvrons l'enfer des camps de concentration Nazis, la lutte des prisonniers pour leur survie et aussi leurs espoirs d'une vie meilleure.

Ce livre véhicule énormément d'émotions des plus dures aux plus belles.

Je vous le conseille à 300%.

Une histoire vraie bouleversante au cœur des camps de concentration. Certains passages font état de l’horreur qui y régnait, mais on le sait : cela c’est vraiment passé. J’ai été bluffée par la force incroyable qui anime Lale : il fera tout pour s’en sortir. Et quand l’amour croise sa route, le tatoueur en devient encore plus touchant. Une lecture fluide et émouvante. J’ai hâte de lire les suivants.

C'est l'histoire de Lale, jeune homme joyeux et confiant en l'avenir, envoyé au camps d'Auschwitz en raison de sa confession, en 1942.

Il est d'abord tatoué, "32407" est sa nouvelle identité ; avant de devenir à son tour le "tätowierer". Celui qui attribue sa nouvelle identité à  chaque arrivant du camps en la gravant dans leur peau.

Un jour, il voit arriver celle qui sera désormais "39402". Mais son nom c'est Gita. Et au premier regard, il sait que c'est la femme de sa vie.



C'est donc LEUR histoire.

Celle d'un couple qui se forme au milieu de l'indicible horreur.

De cet Amour qui permet d'espérer et de tout faire pour peut-être se donner un Avenir. Celui qui peut faire naître l'Espoir.



Pour cela, Lale bravera bien des interdits, et ses propres peurs.



Lale... Cet homme bienveillant, sa vivacité d'esprit et sa merveilleuse vision de la Femme...

Une vie incroyable où l'Horreur et le Bonheur se sont côtoyés pendant de bien trop longues années...



Un témoignage puissant.

Une lecture dont on ne peut sortir indemne... forcément...

Il s'agit d'un livre bouleversant.

Nous découvrons le quotidien de Lale, déporté à Auschwitz. Il devient le tatoueur du camp et va contribuer à la déshumanisation de celles et ceux qui vont passer entre ses mains et qui ne seront plus que des numéros. Petit à petit il crée un réseaux de relations afin d'obtenir de la nourriture qu'il distribue aux autres détenus, un peu d'humanité dans cette noirceur. Et il rencontre Gina dont il va tomber amoureux. Un regard qui le bouleverse et qui lui rend espoir.

J'ai lu avec intérêt la postface et la note de l'auteur. Lale a tardé à témoigner car il avait peur qu'ils soient considérés lui et sa femme comme des collaborateurs nazis. Il s'agit en effet d'un récit de souvenirs que Heather Morris a remis en forme.

Le quotidien des détenus est effroyable. J'avais déjà été confrontée à cette horreur en lisant, avec beaucoup de difficultés, Si c'est un homme de Primo Lévi. Lale dépeint la libération des camps et la débâcle allemande. L'horreur ne s'arrête pas à la libération des camps et les Russes commettent également des exactions.



Un livre à mettre entre toutes les mains afin de ne jamais oublier.

Très prenant. Une écriture facile à lire, sur un sujet douloureux. C'est parfois un peu romancé mais ça reste réaliste. Un beau travail de mémoire. A lire car nous devons nous souvenir des atrocités passées pour luter afin qu'elles ne se reproduisent plus

J'ai toujours eu un certain attrait pour la Seconde Guerre Mondiale et plus particulièrement depuis la 3ᵉ.

J'avais également lu cette même année le Journal d'Anne Frank qui est aujourd'hui une lecture que je refais régulièrement.

J'ai vu ce livre passé sur TikTok depuis un moment mais je n'avais jamais osé l'acheter par peur que cela ne me plaise pas.

Alors quand il y a quelques semaines je suis tombé dessus, je me suis dit pourquoi pas et après avoir ouvert ce livre je ne l'ai plus l'acheté.

Cela a été un véritable coup de cœur.

Je recommande ce livre à 100% mais ce n'est pas un livre heureux c'est un livre triste, remplie des horreurs de la Seconde Guerre Mondiale.

Même au cœur des événements les plus horribles, de belles choses peuvent germer. C'est une façon de résumer l'histoire de Lale et Gita, une histoire d'amour qui prend sa source en enfer, dans le camp d'Auschwitz-Birkenau.



Je ne m'étalerai pas plus sur l'histoire au vu du succès rencontré par ce roman. Passons au ressenti...



La réalité des camps décrite est terrible, c'est indéniable et au milieu de tout cela la rencontre de Lale et Gita, leurs stratagèmes pour survivre et se voir sont un rayon de soleil et sont bien retranscrits. Mais il m'a manqué quelque chose... je n'ai pas vibré autant que je l'aurais pensé. Le style de l'auteur est pour moi trop froid, il ne m'a pas fait ressentir toutes les émotions de cette histoire... j'ai donc un peu le sentiment d'un rendez-vous manqué.

Difficile de dire que j'ai passé un bon moment avec un tel récit, mais je ne regrette pas de l'avoir lu. J'ai eu du mal à lire certains passages tant ils étaient choquants. Je me demande encore comment des hommes ont pu infliger de telles atrocités à d'autres, comment un seul individu a réussi à entraîner une nation entière dans sa folie.

Face au quotidien dans le camp de concentration, aux sévices nazis ou aux privations, Lale et Gita ont pourtant réussi à faire naître leur amour au cœur de l'enfer, se raccrochant à l'espoir de se construire une vie ensemble au dehors.

J'ai beaucoup aimé lire la façon dont l'auteure a recueilli le témoignage de Lale, personnage principal de ce récit.

Depuis toujours, cette période de l'histoire et surtout celle des Juifs m'a toujours bouleversée. C'était le seul chapitre pendant mes cours d'histoire qui me passionnait totalement. Je suis donc contente de m'être enfin lancée dans cette histoire. Évidemment, sans surprise, c'est un roman très poignant.

La plume est très légère ce qui rend la lecture agréable et moins insoutenable malgré la dureté et l'atrocité des évènements.

L'histoire d'amour qui se crée est véritablement magnifique, une touche d'espoir dans cet enfer, évidemment, on souhaite juste une chose : qu'ils survivent tous les deux et qu'ils puissent vivre heureux (et eurent beaucoup d'enfant, comme dans les films)..

J'ai vraiment eu des frissons à de nombreux passages du roman, j'ai espéré avec eux, j'ai été blessé avec eux alors que je lis cette histoire bien au chaud au fond de mon lit..

Vraiment un magnifique roman, j'ai beaucoup aimé

J'ai eu envie de lire ce livre en le voyant mis en avant par Babelio.

Je connais comme beaucoup l'histoire des camps de concentration, par l'école, par

les documentaires mais peu par la lecture et je me suis laissée tenter.



Grand bien m'en a fait.



Je ne sais pas si tous les faits sont réels (Lale y aurait vécu un peu...différemment) mais dans l'absolu ce n'est pas grave.

Ce livre permet de (re)découvrir l'horreur vécu par tous ces pauvres gens, de manière peu approfondie, je dois l'admettre, et au travers de chapitres courts.

De ce fait je le trouve accessible à un plus grand nombre d'entre nous et notamment les jeunes.

Étant maman je sais que les programmes d'Histoire ont changé en classe, on survole un plus rapidement la Seconde Guerre Mondiale que de mon temps (normal l'Histoire et en perpetuelle écriture ) mais je me dis que ce livre pourrait être proposé en cours , une sorte de lecture obligatoire intelligente.

Bref j'ai lu ce livre en une seule journée et j'ai aimé 🥰

ce livre est un chef-d’œuvre !

l’histoire se déroule lors de la seconde guerre mondiale dans les camps de concentration, alors je vous laisse deviner l’ambiance.. très belle histoire vraie, à lire pour en savoir davantage sur l’histoire de la guerre !

on est plongé entre tristesse, inquiétude et enthousiasme selon les personnages, je recommande !

Émotionnellement j’ai du mal à lire des romans sur la guerre. Celui-ci m’a été prêté par ma meilleure amie alors j’ai fait un effort et je n’ai pas été déçue.

Je me suis plongée dans la vie de Lale et Gîta, de leur AMOUR et de leurs survis.

L’histoire est écrite d’une main de maître avec une écriture fluide et sans pathos.

Un merveilleux témoignage historique où l’amour et les amitiés aident à traverser les épreuves les plus horribles de la guerre.

À découvrir absolument !

Encore un livre sur la Seconde Guerre Mondiale, et plus particulièrement sur les camps de concentration. Je l’ai beaucoup vu passer sur Bookstagram, et les nombreux avis positifs m’ont donné envie de le lire. Et comme beaucoup, j’ai bien aimé cette jolie histoire d’amour, malgré le contexte très compliqué qui entoure les personnages.



Le personnage de Lale fait preuve de beaucoup de courage, son amour pour Gita et sa débrouillardise lui ont permis de tenir jour après jour.



Même si j’ai adoré l’histoire, j’ai trouvé que certains passages étaient un peu trop rapides, que les paragraphes semblaient décousus et qu’on avait du mal à se représenter le temps.



En effet, les paragraphes commençaient souvent par “plusieurs semaines plus tard”, ce qui fait qu’on a du mal à se projeter sur le temps passé, et donc les difficultés qu'ont dû vivre les personnages.



Même si je ne m’attendais pas à un livre particulièrement plus long, j’aurais aimé que les paragraphes soient travaillés différemment pour mieux apprécier ma lecture.



Affaire à suivre dans la suite de cette trilogie !
Lien : https://www.cahierlecture.fr..

il y a certains jours où nous nous plaignons mais l histoire de ces trois soeurs devraient nous rappeler que c est parfois pour des futilités.

le courage et l abnégation pour survivre face à cette cruauté nazie.. ce lien.. et cette promesse faite à leur père qui sera leur leitmotiv pour la survie

Quelle courage !

Heather Morris nous raconte cette histoire en nous tenant en haleine.