Heather Morris

Toujours très intrigué par ce thème, j'ai découvert ce livre avec méfiance. Je pensais lire l'horrible, et même sans le décrire dans le détail, il est bien présent et douloureux.

Certains passages m'ont semblé si longs mais j'ai compris par la suite que les détails avaient toute leur importance. Je ne m'attendais pas à une évocation d'un semblant de vie dans ce camps, mais oui, il y avait bien une vie organisée autour de la barbarie. Le dimanche, le travail, les magouilles, l'amour.

J'ai beaucoup aimé le message et neanmoins, je me pose toujours la question de celui-ci. La volonté plus forte que l'impensable, ou la réalité derrière cet exemple d'optimisme? Combien de vies anéanties, tant de destins brisés pour un si maigre espoir ?

Wow. L'un des plus beaux livres que j'ai pu lire. Il est tellement touchant, tellement beau, tellement dur. L'auteur nous laisse imaginer l'horreur, pour nous pousser jusqu'au petit rayon de soleil qui pointe le bout de son nez. Cette histoire, aussi magnifique qu'elle est terrible, doit être partagée. Pour honorer Lale et Gita, mais aussi toutes les malheureuses victimes, directes ou indirectes.

Passionnée par la Seconde Guerre mondiale, j’ai lu énormément de témoignages sur les camps de concentration et d’extermination… mais celui-ci fut pour moi une lecture presque « physique ». J’y étais, je vivais l’histoire de Lale et Gita. A chacun des moments difficiles ou tragiques qu’ils ont vécus j’avais la boule au ventre, angoissée par ce qui pouvait leur arriver et chaque moment furtif de bonheur était pour moi comme un apaisement. On oublie l’horreur vécue et subie par ces personnes surtout durant le contexte actuel mais si Gita et Lale ont su trouver l’amour et garder l’espoir d’un avenir meilleur dans un monde plein de noirceur c’est la plus belle leçon qu’ils peuvent nous donner. Un témoignage nécessaire et plein d’espoir. 🙏

Lale, un juif slovaque, est déporté à Auschwitz et devient le "Tätowierer " du camp. Il tatoue les numéros sur les bras des hommes, des femmes et des enfants. Cela lui permet d'avoir quelques maigres privilèges comme des rations supplémentaires ou la possibilité de circuler plus facilement dans le camp. C'est ainsi qu'il rencontre Gita, une jeune femme juive déportée. Ils vont tomber amoureux en plein enfer. C'est une histoire d'amour, de survie, de résistance, c'est une histoire vraie. On apprend que l'auteur a rencontré plusieurs fois Lale à la fin de sa vie en Australie. Il venait de perdre la femme de sa vie Gita et il a voulu raconter leur histoire d'amour et de survie, une histoire d'amour qui a duré jusqu'à la mort.

Le récit est très touchant, difficile au vu de tout ce que subissent les déportés, mais aussi plein de poésie et d'espoir pour ce jeune couple amoureux. On a peur pour eux jusqu'au bout. Comme beaucoup de témoignages de cette période, c'est un roman à lire pour ne pas oublier ce terrible moment de l'histoire de l'humanité et ne pas le revivre un jour.

J'avais vraiment envie de lire ce livre, d'ailleurs je l'ai lu en 1 jour. Etant assez informé sur cette époque, je n'ai rien trouvé de nouveau bien sûr. Des inconhérences dans L Histoire ainsi que dans l'histoire, mais rappelons que ce sont les souvenirs d'un homme âgé relaté à une journaliste. Personnellement j'ai été touchée par ces personnages, ces survivants, cette histoire partagé. Assez bien écrit, d'ailleurs je lirais bien l'histoire de Cilka, "amie" de Gita dont nous suivons l'histoire d'Amour, avec le tatoueur d'Auschwitch donc... Rien que pour le sfaits historique, à ne jamais oublier, il vaut la peine d'être lu. Les témoignages aussi petits soit il mérite d'être lu, et à défaut de faire honneur à la mémoire collective, elles laissent une traces de ceux qu'ils les ont vécus.

Il est difficile de donner son avis ou de juger sur un tel ouvrage qui relate une partie de l’histoire. Je ne donnerai donc pas de note.



Ce que je peux en dire, c’est que ce livre m’a bouleversée. J’ai été transportée à Birkenau, j’ai été emportée par les flots d’émotions et le déroulement des événements.



La note de l’auteur m’a aussi beaucoup émue, ses dernières lignes rendent les choses encore plus réelles et percutantes.



Et même si le style d’écriture est plutôt simple, l’histoire est prenante et pour ma part ça m’a permis de me concentrer vraiment sur le fond plutôt que la forme.



J’aime beaucoup lire des romans historiques, sur les guerres mondiales et celui-ci m’a beaucoup touchée et je pense qu’il est important de lire ces témoignages, par devoir de mémoire.

Roman émouvant dont j'ai toutefois un avis assez partagé. Tout au long de cette lecture j'ai ressenti plusieurs émotions : de la lassitude en passant par la déception pour finir par être réellement émue. Lassitude et déception parce qu'à mon goût il y a eu beaucoup de longueurs et détails invraisemblables. Un détenu pouvait-il réellement se déplacer à sa guise si facilement ?



Les personnages de Lale et Gita sont attachants mais je trouve que leur histoire d'amour est survolée, moi qui pensais que c'était la base de ce livre. Chapitre après chapitre, il y a énormément de détails sur la vie au camp, ses horreurs et ce qu'ont enduré Lale et les autres détenus pendant toutes ces années à Auschwitz, mais peu de détails sur leur histoire d'amour, leurs échanges etc... ou du moins pas assez à mon goût.

J'ai quand même bien apprécié les 50 dernières pages qui offrent un rythme soutenu ainsi que le mot de l'auteur qui nous permet de bien se remettre en tête que tout ça est réél, que ce couple a réellement existé ainsi que toutes les horreurs qu'ils ont subi pendant cette période noire.

Il est intéressant de lire un livre traitant de ce sujet en ayant les mots d'une personne l'ayant vécu, même si c'est (beaucoup) romancé...

Lale est un déporté, prisonnier du camp d'Auschwitz et il est chargé de la sinistre tâche de tatouer les numéros sur les bras des prisonniers ayant passé la sélection et défilant devant lui. Il travaille sans les regarder afin de se préserver de la douleur qu'il verrait dans leurs yeux en les marquant à jamais.

Un jour, pourtant, il lève les yeux sur une jeune femme prénommée Gita. Ils savent qu'ils sont faits l'un pour l'autre mais le cauchemar quotidien n'est pas propice à l'amour.

Pourtant ces minuscules moments de joie leur font oublier ce monde si noir et Lale fait une promesse à Gita : un jour, ils seront libres et heureux de vivre ensemble.



A travers le témoignage de Lale, nous découvrons son vécu ainsi que celui d'autres prisonniers dont Gita dans le camp.

Les conditions sont très difficiles et ils sont obligés de composer pour leurs survies.

Ce roman parle d'un homme et d'une femme qui ont trouvé l'amour au cœur de cette tragédie. Mais il évoque également tout ce à quoi peuvent se raccrocher les prisonniers pour essayer de tenir dans cet enfer : l'espoir que leur famille va bien, l'être aimé, l'espoir d'un retour à une vie de liberté...

C'est un livre qui met en avant l'espoir.

J'ai beaucoup aimé cette lecture et j'ai hâte de découvrir le livre "le voyage de Cilka" pour savoir ce qui lui arrive.

Jusqu'à présent, j avais lu des livres dont j avais les visions des auteurs qui ont été prisonniers des camps de concentration et dont ils essayaient de survivre dans cet enfer ( travaux forces, très peu de nourriture, ... ) ! Mais ici, ce livre m a permis de voir une vision, une vision d une personne dont on parle pas souvent dans les bouquins d histoire mais qui avait un rôle à jouer dans les camps, celui de TATOUEUR.

Le genre de roman qu'on a du mal à décrire tellement il bouleverse. C'est un témoignage incroyable, très fort, très puissant. L'horreur et l'amour se mélangent à l'espoir et à la culpabilité, au courage, à la solidarité. Une histoire vraie qui m'a touchée et dont je garderai longtemps le souvenir. Je le recommande.

3 mots : tragique, poignant, révoltant.

J’ai été à la fois touchée et fascinée par l’histoire vraie du Tätowierer. La journaliste Heather Morris a su raconter son récit avec finesse. Cette terrible période historique m’intéresse beaucoup, je lis régulièrement des romans à ce sujet. Celui-là est d’autant plus poignant puisqu’il s’agit d’un témoignage. L’histoire d’amour amène une forme d’espoir et de beauté dans ce camp de l’horreur. Je rassure les personnes sensibles comme moi : les scènes de tortures sont soudaines et difficiles mais ne s’éternisent pas.
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Ce roman est le témoignage de Ludwig Eisenberg, qui se présentera sous le nom de Lale, rapporté par la journaliste Heather Morris.



En avril 1942, chaque famille juive de Slovaquie doit remettre un enfant, âgé de dix-huit ans ou plus, aux autorités pour l'envoyer travailler pour le gouvernement allemand.

Lale, alors âgé de 23 ans se porte volontaire au sein de sa famille.



Il est alors déporté à Birkenau, où il se démarquera rapidement des autres travailleurs par sa grande empathie et son intelligence. Par un enchaînement d'événements et grâce à une bonne étoile il devient le Tätowierer.



Son poste, bien que difficile - encrer dans la peau de milliers d'inconnus une série de chiffres qui deviendront leurs nouvelles identités - lui confère quelques avantages, qu'il fera tout pour mettre au service des autres, au péril de sa vie.



Être le Tätowierer lui permettra également de rencontrer Gita, la femme dont il tombe amoureux au premier regard. Mais est-il possible d'imaginer une quelconque relation dans ce lieu d'horreur ?



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J'ai beaucoup aimé la façon dont la journaliste nous a retranscrit l'histoire de Lale. Les chapitres sont un peu courts mais l'écriture est fluide et on accroche très vite. Heather Morris a su faire passer beaucoup d'émotions dans cet ouvrage que je recommande.

Une histoire d’amour improbable dans les circonstances terribles d’un camp de concentration où l’on survit grâce à l’espoir, un brin de malice et quelques carrés de chocolat.

Les personnages sont attachants et leur destin magique dans ce désastre nazi.

Une histoire vraie qui prouve que l’amour peut sauver et que l’espoir aide à vivre.

Un récit simple, une écriture fluide, pas de chichi.



Ce livre m’a plu car oui au final le bonheur l’emporte. Un livre agréable.

Hello les bookaddicts,



"Si tu te réveilles le matin, ce sera forcément une bonne journée"



J'avais lu pas mal de chroniques sur ce livre. J'ai toujours aimé lire des écrits romancés ou des histoires vrais qui se passent durant la première et la seconde guerre. C'est une période qui à la fois me fascine et m'émeut profondément.



J'ai découvert le journal d'Anne Frank durant mon adolescence et depuis j'en ai lu un paquet...



Bref, cette fois rien que le titre m'a attiré et la ressemblance de la couverture avec "le garçon au pyjama rayé"... Heather Morris a passé pas mal d'années a faire des recherches sur Lale et Gita qui sont les deux protagonistes de ce livre. Elle raconte leur histoire à travers le récit que Lale lui a fait de son vivant entre 2003 et 2006. Pendant 12 ans, elle envisage d'en faire un film. Et en 2018, sort le livre.

On atterrit immédiatement en avril 1942, la déportation de milliers de slovaques qui pensent aller fournir de la main d'oeuvre au Reich. Parmi eux, Lale qui se retrouve à Prague puis à Auschwitz/Birkenau. On vit sa vie au jour le jour où il espère juste voir se lever le suivant. Mais il a fait le pacte avec lui même d'en sortir vivant.



Il va y passer presque 3 ans, rencontrer Gita, tatouer des juifs,... Bref, tenter de survivre en faisant les choix les plus judicieux.



Son histoire semble invraisemblable et pourtant c'est un parfait reflet de la vie dans les camps de concentration avec des moments très durs... Les émotions sont mises à rude épreuve... On peut y voir le vrai sens des mot courage, solidarite et altruisme.



J'ai beaucoup aimé ce livre qui m'a permis d'en apprendre plus, le fait qu'il vienne d'un survivant aussi est important. Je regrette juste de ne pas savoir ce que sont devenus leurs compagnons proches de galère. Le style est sans frioritures. Les scènes de vie sont décrites avec beaucoup de réalisme.



Forcément, j'ai pleuré mais j'ai aussi souri et vu à quel point l'amour entre ces deux-là a aussi porté leurs amis proches, c'est l'espoir que tout n'est pas perdu qui leur a permis de survivre à cet enfer. On découvre aussi jusqu'où il fallait aller pour survivre... et aussi la bienveillance de ses prisonniers prêts à sacrifier leur ration de nourriture pour la donner à un malade,...



Je conseille la lecture de ce livre même pour les adolescents déjà au fait de la Shoah et de la vie dans les camps.



A bientôt,



Nessa

J'ai lu plusieurs livres sur Auschwitz notamment "La Mort est mon métier" de Robert Merle et "Si c'est un homme" de Primo Levi. Je viens de terminer "Le tatoueur d'Auschwitz" de Heather Morris. C'est une histoire vraie, forte et incroyable. Après la froideur allemande du premier livre, la description froide de Primo Levi sur les conditions de vie ou de survie, voici que le dernier "Le tatoueur d'Auschwitz" ajoute à l'horreur un fond de beauté qui ne meurt jamais. J'ai hésité longtemps avant de le lire car la couverture fait un peu "roman à l'eau de rose". Que Nenni ! Lisez- le !

Cette histoire vraie, c'est l'histoire de Lale et de Gita, c'est une histoire d'amour au sein d'une des plus grosses atrocités jamais vu. Lale est tatoueur dans les camps d'Auschwitz et Birkenau, un jour il tatoue Gita et c'est le coup de foudre, il cherche alors à la retrouver et c'est le début de leur histoire à deux. Au fil des pages on suit Lale dans sa vie au camp, dans son travail, dans son rapport avec les autres, sur comment il va survivre et vivre avec les horreurs qu'il côtoie.



Je n'ai pas les mots pour vous expliquer à quel point j'ai aimé ce roman, j'ai beaucoup aimé la façon dont ce livre est écrit, le récit est axé sur la vie quotidienne, sur les petites victoires, sur la bonté, sur la solidarité, sur l'humanité entre les détenus, sur la survie aussi. C'est puissant, c'est touchant, ça ne laisse pas indifférent. N'hésitez pas à le lire ! Il en vaut le coup !
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Que dire sur ce roman ?



Tout d'abord, j'aime beaucoup les livres et tout autre support traitant de la Seconde Guerre Mondiale. C'est un sujet qui m'intéresse beaucoup et qui me prend très souvent "aux tripes" comme on dit.

C'est pourquoi aussi, ce roman est un véritable coup de coeur.



L'histoire de Lale, ainsi que son parcours et sa rencontre peu habituelle avec Gita, m'ont pris en plein coeur. Ce roman, à la fois tragique et authentique, nous plonge dans le calvaire des camps. Il met en lumière la volonté de survivre à ce décor invivable où trône la peur et la misère, mais il démontre également la solidarité encore parfois présente entre les prisonniers.

De ce livre, je garderai l'espoir et la force de Lale à vouloir s'en sortir.



C'est, selon moi, un des incontournables à lire ! Un beau livre, fort en émotions (il m'a fait lâcher des larmes) et donneur d'espoir.

Je n'ai pas été très investie dans cette lecture que j'ai trouvé froide et impersonnelle malgré le contexte historique. Le personnage principal semble traverser les épreuves sans émotion, ou en tout cas, sans en faire transpirer. Je pense que les phrases courtes et la conjugaison au présent y sont pour beaucoup !

Suite à ma lecture du « tatoueur d’Auschwitz », j’étais bien évidemment obligée de continuer avec le récit de Cilka !

Déjà intriguée par cette jeune femme dans le « tatoueur d’Auschwitz », j’ai été impressionnée et émue face à son courage, son abnégation et sa rage de vivre !

C’est un récit poignant décrivant une jeune femme qui, malgré son destin malheureux, décide d’espérer et d’entrevoir une fin heureuse à tout ce qu’elle a subi.

Elle n’a que 16 ans lorsqu’elle arrive au camp d’Auschwitz-Birkenau et 19 à son arrivée au goulag de Vorkouta ! Et pourtant, elle a survécu avec force et dignité ! Même au cœur de l’enfer, elle a fait le choix de faire passer les autres avant elle, elle a fait le choix de vivre et de ne pas se laisser briser par cette horreur.

Enfin, la plume d’Heather Morris est exceptionnelle dans la retranscription des émotions !

C’est une histoire magnifiquement horrible qui m’a énormément touché et qui restera dans mes pensées encore longtemps !

Un témoignage, une histoire vraie. Pour ne pas oublier.

Ça chamboule certes mais il est important de connaître ce pan de l'histoire. L'inhumanité, la cruauté, la violence que des hommes ont eu envers d'autres hommes.. Inimaginable.

Heureusement ces récits si durs sont ponctués de moments plus "doux", plus humains qui permettent de souffler un peu au cours de notre lecture.

Les mots sont justes, dignes et respectueux.

Difficile de lâcher ce roman néanmoins plein d'espoir une fois commencé.