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Critiques de Henri Cueco (27)
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Dialogue avec mon jardinier

Il y a un petit côté fable dans cette histoire entre deux personnages que tout sépare. Ils me rappellent le rat des villes et le rat des champs, chacun profitant de sa vie



« - C’est quoi pour toi une belle salade ?

- Tu sais bien ce que c’est. C’est quand elle est pommée, blanche au cœur, tendre. Bonne à manger, quoi.

- Eh bien, mon dessin c’est pareil ! »



Leur vie est diamétralement opposée, l’un est un citadin cultivé et artiste, l’autre un cheminot qui a quitté l’école très tôt, et a les deux pieds sur la terre qu’il cultive. L’un est un dilettante, l’autre un travailleur. Pourtant, en vertu de leur ancienne complicité du temps de l’école primaire, ils renouent une amitié faite de curiosité, de respect et de générosité. Le jardinier cultive le potager du citadin qui vient passer ses vacances à la campagne et l’équilibre est trouvé.

On ne sait pas grand-chose de l’un et de l’autre et l’histoire, entièrement dialoguée, va nous les faire connaitre à travers leurs échanges pudiques, curieux, sensibles et d’une grande tolérance.

Il y a beaucoup de simplicité et de sincérité dans ces va-et-vient qui nous font entrer dans la vie de chacun des protagonistes. La grande complicité qui les lie gomme les différences sociales. Ainsi l’un parle de sa peinture tandis que l’autre raconte sa vie toute simple avec candeur.



« La glace, c’est quand on veut faire le beau, quand on veut s’arrêter de travailler. Pour travailler, on n’a pas besoin de se regarder. A la campagne, c’était riche d’avoir une armoire à glace On la mettait dans la chambre des parents. »



C’est à la fois drôle et t’attendrissant et c’est un bon moment de lecture.





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Dialogue avec mon jardinier

Ça se lit sans faim, ce Dialogue avec mon jardinier!

Deux hommes discutent, racontent, se racontent.

Un artiste peintre et son jardinier et la vie qui passe et les légumes qui poussent et les toiles qui naissent.

Le livre embaume le potager plus que la peinture et la térébenthine.

Il y a le son, aussi, avec la mobylette du jardinier qui vient et qui repart (la soupe n'attend pas) dans son HLM.

Rien de triste, mais comme une joyeuse routine qui s'installe entre les deux personnages. Chacun s'intéresse à l'autre, sans forcer. Il faut que cela se fasse, mûrisse.

En arrière- plan, il y a Paris pour le peintre et Nice pour les vacances du cheminot-jardinier.

Le narrateur (le peintre), par courts chapitres, retrace les chemins et diverticules de ces conversations, ces échanges sur la vie et ses choses, les bosses et les creux... jusqu'à la fin en forme de magnifique monologue.

Un de ces livres, à lire, juste comme il faut.







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Dialogue avec mon jardinier

L'un peint, a les doigts pleins de gouache, les mains remplies de pinceaux et des idées pleins la tête.

L'autre jardine, cultive les patates, fauche l'herbe, plonge ses doigts dans la terre, les mains remplies de pelles et râteaux.

L'un est le patron de l'autre et pourtant ils partagent ensemble d'agréables moments. Chacun parle de sa passion et essaie ainsi de lui expliquer son propre travail. Entre les salades qui montent, le potiron qui grossit à vue d'oeil, les toiles éparpillées ça et là, le peintre et le jardinier partagent bien plus qu'un simple instant de leur vie. Ils se rencontrent, se racontent, se retrouvent et nous font partager ces petits moments si précieux et si intenses.



Henri Cueco nous fait partager des moments profonds, parfois sensibles, fragiles et émouvants entre ces deux personnes qui semblent, de prime abord, n'avoir rien en commun. C'est un dialogue simple, touchant et tellement sincère. Ils nous racontent le jardin, la peinture, mais aussi la mort, la jalousie, l'amitié, les voyages avec «la femme», la maladie, le bonheur... tout ça au milieu des patates, des citrouilles ou des groseilles !

C'est frais, authentique, touchant, tendre et ancré dans la terre.



Dialogue avec mon jardinier... je me suis pris une pêche en pleine poire !
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Dialogue avec mon jardinier

J'ai beaucoup entendu parler de cet ouvrage lors de sa sortie dans les salles obscures sans avoir eu l'occasion ni d'aller le voir ni même de le lire jusqu'à ce jour. Maintenant, j'ai mon propre avis, du moins d'un des deux points de vue, celui qui m'intéresse le plus ; celui du côté littéraire et je dois dire que si l'adaptation est égale à celle du roman, je ne devrais pas non plus plus être déçue et les ouïes-dire que j'ai entendu à ce sujet et qui ne sont qu'éloges doivent sûrement s'avérer exactes.



Ici, on découvre deux hommes d'un certain âge. Si l'un est vit dans un monde plutôt aisé, il ne fait non seulement jamais étalage de sa fortune et ne prend pas cet air imbu de sa personne qui se rabaisserait à parler aux gens d'un niveau social inférieur au sien. Si le premier aime la peinture, l'autre aime jardiner et tout deux se rendent compte, au fur et à mesure de leurs échanges, que l'un et l'autre ne sont pas si éloignés que cela : Certes, la peinture a été officiellement reconnu comme un art mais pourquoi en serait-il moins mois celui de savoir prendre soin de son potager ? le jardinier en question a l'art et la manière de savoir prendre soin de ses légumes, d'en apprécier ou non )on ne peut pas tout aimer, même lorsque ce sont des légumes que l'on cultive soi-même) les légumes qu'il cultive pour son employeur et ceux qu'il a près de son HLM dans lequel il réside. Il possède une autre qualité : celle de vouloir comprendre ce qu'il y a à comprendre (parfois rien d'ailleurs si ce n'est un simple ressenti, une émotion forte) dans la peinture. Comment cet homme peut-il resté assis pendant des heures en essayant de capter les différentes couleur du ciel ? Mais à l'inverse, le propriétaire ne peut lui que s'étonner son employé, qui est devenu bien plus que cela au fil de leurs discussions, peut passer de longues minutes à arranger son potager, à en prendre soin, ou encore à rester immobile au bord de l'eau en attendant que le poisson tant attendu morde enfin à l'hameçon ?



Si il y avait d'infimes chances pour que ces deux hommes sympathisent, voire même deviennent amis dans la vraie vie, simplement en se croisant dans une ruelle, cette proximité et surtout, l'écriture magique d'Henri Cueco font que cela est possible ici.



Avec ses phrases courtes et simples, cet ouvrage se lit en un rien de temps mais le temps, lui, continue à passer (dans le récit comme dans la vraie vie d'ailleurs), ce qui fait que des choses agréables se produisent, tout comme d'autres, dramatiques mais inévitables, auquel il faut s'y faire car la vie, elle continue et je crois que c'est là le message que l'auteur veut nous faire passer : si l'homme n'est que de passage sur terre, la nature, elle, perdurera, toujours aussi belle pour ceux qui savent le temps de savoir regarder, tout comme l'art pour ceux qui savent l'apprécier. A découvrir !
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Dialogue avec mon jardinier



Un artiste peintre célèbre quitte Paris l'été pour sa maison de campagne. Là il retrouve son jardinier, un homme simple, plus âgé, qui entretenait les ballasts à la SNCF.

L’artiste s’installe dans le jardin avec son chevalet, son travail fait, le jardinier le rejoint, et tous deux discutent. Le jardinier surtout. Ils parlent des toiles qui se font, du jardin, de la famille, des vacances, de pêche…. De la vie.

Le parisien n’est pas arrogant, l’homme de la campagne rappelle régulièrement qu’il n’a pas d’instruction, pourtant il a une réelle finesse, et une curiosité qui le rend ouvert à la peinture, qu’il ne veut cependant pas mettre chez lui lorsque son ami veut lui en donner, parce que cela n’irait pas avec le décor de son HLM.

On pourrait se demander si le peintre ne fait pas parler le jardinier pour s’en moquer car il contribue beaucoup moins à la conversation, se livre moins, mais non il a pour lui une réelle affection.

Non dénués d’humour et de bon sens les dialogues se succèdent.



Un livre court qui se lit avec plaisir. J’ai aimé ces réflexions émises telles quelles. Je voyais bien les deux bonhommes, la femme (l'épouse du jardinier) qui est souvent évoquée. Si l’on connaît le film de Jean Becker on ne peut s’empêcher de visualiser Jean-Pierre Darroussin et Daniel Auteuil.



Challenge ABC 2016-2017

Challenge Petits plaisirs 2015 - 2016

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Dialogue avec mon jardinier

Que dire de plus sur ce petit ouvrage auquel le cinéaste Jean Becker s'est référé pour les besoins de son film ?

Cette relation entre un peintre et son jardinier, par ailleurs ex-camarade de classe dans son enfance est tout simplement savoureuse. Elle repose sur une amitié, une complicité entre l'artiste bobo et le rural, chacun démontrant à l'autre son cadre de vie, ses petites habitudes et son ou ses talents !

Bien sûr, le film dépasse par le jeu d'Auteuil et de Darroussin la relation que l'on imagine dans le livre, mais elle y est en outre sublimée. Aux courts chapitres et dialogues du roman font face des moments de partage et de bonne entente.

J'ai lu Dialogues avec mon jardinier avant de voir le film qui s'en inspire. Sans être de la grande littérature, l'œuvre est néanmoins sublime par la profondeur de ses protagonistes.
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Dialogue avec mon jardinier

Ce livre est plein d'humour et il parle aussi de la mort et du vieillissement.

On retrouve souvent un ton philosophique l'air de rien. Le personnage du jardinier est sympathique. Donc lecture sympa mais pas un coup de cœur.

A noter que j'ai beaucoup aimé l'adaptation au cinéma avec Daniel Auteuil et Jean-Pierre Darroussin.
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Dialogue avec mon jardinier

L'artiste et le jardinier, ou l'amitié dans le potager. Deux hommes qui se découvrent, se confient leurs rêves, se livrent leurs incertitudes et se lient d'une amitié simple et profonde.

Un dialogue sans prétentions qui nous réconcilie avec le sens d'une vie, frugale mais généreuse en bienveillances.



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Dialogue avec mon jardinier

Une série de dialogues entre un peintre et son jardinier , et autant de manières d'aborder les grands thèmes tels que : La nature , la beauté , l peinture , la vie , la mort , la politique la religion ,les femmes ….

La confrontation de deux styles de vie.

Et ,peu à peu au fll des dialogues, une réelle complicité et une amitié naissent ...Tout en légèreté teinté de touches d'humour jusu'à l'émotion du final (que je vous laisse découvrir !)



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Dialogue avec mon jardinier

Une lecture inoubliable rythmée par des dialogues tendres, drôles et touchants. Une amitié rare en deux hommes très différents. Ce livre se lit rapidement et facilement et vous laisse, à la dernière page, sur un carré de jardin à discuter avec vous-même. J'ai maintenant très envie de voir l'adaptation cinématographique avec Daniel Auteuil et Jean-Pierre Darroussin.
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Dialogue avec mon jardinier

J'ai gardé un souvenir de pétillants dialogues, bourrés de bon sens et d'humour, mais aussi parfumés de tendresse et d'amour de la vie.
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Le collectionneur de collections

Petit livre que j'affectionne étant moi-même collectionneuse... mais pas à ce point !!!

Henri Cueco accumule et dessine tout ce qu'il ne se résout pas à jeter.

En évoquant ses collections il parle aussi de sa vie, de sa femme, de leur maison et de sa pratique artistique.
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Dialogue avec mon jardinier

J'avais pris ce livre à la bibliothèque vraiment par hasard un peu à cause de la couverture...



Et j'ai pris beaucoup plaisir avec ce livre. C'est une histoire d’amitié attachante et simple.



Les sujets de discussion sont sans prétention, anodins : le thé, le pinard, la salade, la citrouille, un couteau et un bout de ficelle, un poisson...



Les personnages du peintre et du jardinier discutent de leurs observations sur la nature et la vie tout simplement. Beaucoup d'émotions se dégagent de ce livre : une belle leçon de vie.




Lien : http://aproposdelivres.canal..
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Le collectionneur de collections

Pas enthousiasmé par tout...mais j'ai beaucoup apprécié son amour pour les patates et sa passion pour les sandows!



A encore beaucoup de mots et d'objets à entasser!



Peux mieux faire!



Un maître lecteur!
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Dialogue avec mon jardinier

Très beau livre.
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Dialogue avec mon jardinier

Je n'ai pas vu le film, mais je me suis un peu ennuyé à la lecture de ce roman. Soit, il est question de la vie et de la mort, mais rien de bien profond non plus.

J'espère que le film sera mieux....


Lien : http://motamots.canalblog.co..
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Dialogue avec mon jardinier

Savoureux, à consommer sans modération. Idéale pour un week-end de pluie sous une grosse couverture en mohair.

Pour se réconcilier avec l'être humain.
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L’été des serpents

Un ouvrage à la couverture explicite et engageante, cela donne toujours envie de se ruer dans sa lecture. Pour celui-ci, j’ai tout de suite capté le message de la Seconde Guerre mondiale, et la première citation de la quatrième de couverture m’a engagé à le découvrir.



Nous sommes en 1992. L’auteur, Henri Cueco, a soixante-trois ans et se souvient de ses années de guerre à Uzerche, son village natal, au centre de la France, en Corrèze. Loin de Paris et des départements du nord-est, les habitants continuent leur vie normalement, en côtoyant néanmoins les maquisards.

En 1939, Henri Cueco a dix ans. Il en a quinze à la libération. La période de guerre a coïncidé avec les bouleversements du début de l’adolescence. Et pendant la première moitié du livre, ce n’est pas vraiment une « chronique des années de guerre » qui est livrée au lecteur. Plutôt un état des lieux de ses changements corporels et psychologiques qui entraînent des questions fondamentales sur la sexualité et l’amour chez les pré-adolescents. C’est avec nostalgie et tendresse que l’auteur se rappelle ses premiers émois, ses stratagèmes pour observer les jeunes filles et les femmes mais aussi de tout ce qu’adultes et plus vieux adolescents lui racontaient pour l’effrayer à ce sujet.

Cette première partie ne m’a pas vraiment plu car je ne m’attendais pas du tout à ce genre de récit. C’est intéressant, certes, et l’on a l’impression d’être dans un film tel que « La guerre des boutons ». Mais cela ne correspond pas à des chroniques de guerre comme on peut se l’imaginer. D’autant que j’ai trouvé les idées parfois désorganisées, à la manière de bribes de souvenirs arrivant en masse dans la mémoire du narrateur, sans ordre précis.



Dès la seconde moitié du roman néanmoins, le lecteur plonge vraiment dans la vie de l’auteur et des habitants d’Uzerche durant cette guerre. Les patrouilles allemandes, les couvres-feu, le maquis, les arrestations de juifs, la peur, les fusillades. Une atmosphère lourde et terrifiante, vécue à travers les yeux d’un enfant, pas encore assez mature pour comprendre tous les aboutissants de ce conflit.

Henri Cueco arrive parfaitement à rendre compte de cette situation ambigüe où on cachait les amis juifs mais où l’on ne croyait pas aux camps de concentration et où l’on pensait que seul les hommes seraient arrêtés par les SS. Dans la logique de ces citoyens, en quoi les femmes et les enfants représentaient un quelconque intérêt ? Et pourtant, le narrateur se souvient encore de cette petite fille, Sarah, qui un jour disparaîtra à l’arrière d’un fourgon allemand pour ne jamais réapparaître.

Cette seconde partie du roman m’a beaucoup plu. J’ai trouvé le narrateur vrai, attachant ; et l’histoire correspond davantage à ce à quoi le lecteur s’attend.



En plus de ces souvenirs, à chaque début de chapitre Henri Cueco réserve un paragraphe sur sa vie actuelle. Père et grand-père, il évoque ses petits-enfants qui sont maintenant sa vie, paisible. Mais il décrit parfois aussi la vie du village, les ragots entre voisins, tout ce qui fait vivre au quotidien ; un quotidien de paix.

J’ai beaucoup aimé ce parti pris de l’auteur de nous confronter à l’enfance puis à la vieillesse. Une enfance de résistance face à un long vieillissement sans héroïsme : « Il va falloir apprendre à mourir de maladie et de vieillesse. [...] J’ai raté ma guerre. J’étais trop jeune pour être un héros. » Un paragraphe magnifique, qui prend aux tripes, qui nous fait vaciller et réfléchir.



Un livre qui a tout à fait répondu à mes attentes dans sa seconde partie. Une déception sur la première partie.
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Dialogue avec mon jardinier

Ce livre nous conte une histoire d'amitié simple entre deux hommes très différents.

Le récit se déroule uniquement sous forme de dialogues et nous fait découvrir peu à peu, tout en délicatesse, la personnalité du jardinier et de son patron, le peintre.

On ne se demande jamais qui est le locuteur, car les mots et les expressions sont bien différenciés. Ils traduisent avec pudeur les deux univers et les deux visions du monde, qui vont se rejoindre sur des choses simples et banales : les légumes, la peinture, les vacances, la nature et le sens de la vie.

L'écriture est très agréable. C'est une leçon de vie très douce qui mérite beaucoup plus d'être lue que de nombreux romans dits "feel good".

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Dialogue avec mon jardinier

Après avoir beaucoup aimé, et vu plusieurs fois, le film, j'ai voulu me pencher sur le livre. Exercice difficile s'il en est. J'ai passé mon temps à penser : Ah oui, ça ça intervient à tel moment du scénario, ça il en a fait une scène avec comique de répétition, tiens, là le film a brodé.

Alors ? Peut-être aurais je mieux apprécié ce livre, en particulier la maïeutique, si je n'avais été autant envahie par le film. Les dialogues sont parfois difficiles à saisir, si on ne sait pas qui a débuté l'échange du jour. Par contre j'ai apprécié qu'il n'y ait pas une différence de classe aussi marquée que dans le film, même si sous entendue.

Bref, un petit livre simple et sans prétention qui s'avère beaucoup plus profond qu'au premier abord. Et je trouve que livre et film se répondent, chacun des deux ayant les défauts de ses qualités, et vice versa.
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