Henri Joyeux

Tout lecteur s’est un jour frotté à la question : "Quel livre a changé ta vie ?"

Question difficile et qui peut même sembler réductrice et/ou ridicule, et pourtant… il n’en est pas moins vrai que le célèbre "Changez d’alimentation" du Pr Henri Joyeux contribue à changer ma vie au quotidien en m’aidant à mieux consommer et à mieux m’alimenter, améliorant sensiblement ma santé et donc ma vie.



Mais l’influence bénéfique de ce livre et de son auteur ne se limite pas à mes seules alimentation et santé, même si c’est déjà beaucoup ; elle s’étend aussi à mon état d’esprit et à ma perception de l’environnement, ainsi qu’aux gens que je côtoie, puis, en bout de chaîne, à mes opinions sur le monde qui m’entoure.



Ma rencontre avec le Pr Joyeux a débuté par une conférence, point de départ d’un changement d’alimentation aussi radical que naturel et dont je me trouve de jour en jour plus satisfaite (pour ceux que ça intéresse, je vous mets le lien de la conférence ci-après). Cette rencontre fut bien plus qu’une simple prise de conscience, elle fut un véritable électrochoc. Au-delà de la découverte de certaines vérités concernant nos "maladies de civilisation", au-delà des conseils et des recommandations nutritionnels pour vivre mieux et en meilleure santé, en harmonie avec ce que Dame Nature met à notre disposition sans qu’il soit besoin de le transformer et de la manufacturer, j’aime la façon sans concession avec laquelle le Pr Joyeux me place face de moi-même, m’oblige avec bienveillance à me poser les vraies questions, les bonnes questions, et me pousse à m’interroger sincèrement sur mes habitudes, mes besoins et mes envies.



Avec "Changez d’alimentation", nous ne sommes absolument pas dans le domaine des régimes, des astuces diététiques et des courants contradictoires qui s’emmêlent au point de ne plus pouvoir rien comprendre à la nutrition. Rien de tout cela. Nous ne sommes pas en présence d’un charlatan ou d’un grand manitou du dernier régime à la mode, mais en conversation, en échange, avec un cancérologue, un chercheur, un homme qui n’hésite pas à se mettre à dos la profession, qui dénonce les lobbies, qui accuse les laboratoires et les industriels de l’agro-alimentaire et qui étaye tout ce qu’il prône par, d’une part, un bon sens à toute épreuve et une longue expérience de praticien et, d’autre part, par des preuves scientifiques irréfutables, résultats de son centre de recherches – non subventionné par l’industrie pharmaceutique.



En lisant ce passionnant et accessible manuel du "mieux manger pour mieux vivre", je ne suis certes pas devenue du jour au lendemain un ayatollah de l’écologie et du radis blanc, mais j’ai pris conscience que le corps humain – mon corps ! - est un temple, une formidable machine naturelle dont on ne pourra jamais assez admirer les incroyables facultés, que ce temple mérite le respect et que ce qui lui permet de fonctionner doit définitivement être plus qualitatif que quantitatif.





Challenge ABC 2015 – 2016

Challenge Multi-Défis 2016

Challenge PAVES 2015 – 2016
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Fêtes de Pâques oblige, vous devez avoir des placards et des paniers débordant de chocolat. Quelques oeufs, une poule par ci, un lapin par-là, une cloche déjà entamée. Bref, tout comme moi, vous êtes cernés par le chocolat. Comment ne pas culpabiliser ?

On connaissait les vertus aphrodisiaques du chocolat mais « Comment se soigner avec le chocolat » semble révéler bien d'autres secrets. Il ne serait pas seulement une simple gourmandise, comme nous l'explique Henri Joyeux, chirurgien cancérologue et conférencier, le chocolat serait un antidépresseur. "Après une chimiothérapie, des traitements lourds, vous pouvez aider un patient à mieux supporter le traitement. Il y a des molécules formidables qui sont présentes dans le chocolat, mais à condition qu'il soit noir et à 70% de cacao". Selon lui, le chocolat est à consommer quotidiennement. "La prescription est de un carré matin et soir ». Ouf, voilà qui m'arrange ! Attention toutefois, car la consommation de chocolat doit être modérée, n'oublions pas qu'une tablette de 100 grammes comporte plus de 100 calories. Il est donc sage de se limiter à une tablette par semaine.

Mais, « Comment se soigner avec le chocolat », c'est d'abord une encyclopédie du chocolat. On découvre son histoire, on apprend comment les fèves sont transformées en tablettes, mais surtout on découvre sa composition et ses apports spécifiques.

Une étude menée à Harvard durant 5 ans sur 7841 personnes de plus de 65 ans a démontré que les « consommateurs modérés, 1 à 3 barres par mois, vivaient 1 an de plus » Un livre qui devrait donc rassurer tous les amateurs de chocolat.

Cela faisait longtemps que je voulais découvrir les livres du Professeur Joyeux. Voilà qui est fait !

Je ne suis pas déçue parce que j'y ai trouvé des réponses claires à des questions déjà posées dans le monde médical, mais restées sans réponse.

Ma grand-mère disait "On creuse sa tombe avec sa fourchette" Je savais qu'elle avait raison, mais je n'avais pas de "code" du bien manger... J'ai toujours déploré le manque de réponse des médecins à mes questions sur l'influence de l'alimentation sur la santé et la prescription pléthorique de médicaments.

Ce livre n'est pas toujours facile à lire, mais l'aspect scientifique lui donne de la crédibilité. J'ai été cependant étonnée de l'ancienneté des analyses et tests repris en référence, alors que je disposais de la 7ème édition de l'ouvrage.

Il me reste encore quelques doutes. Adepte de régimes depuis presque 40 ans (eh oui !), je découvre que le Professeur Joyeux recommande seulement 3 repas par jour...

Malgré tout, j'ai déjà intégré un fruit à la fin de chacun de mes repas... Et je me sens déjà en meilleure forme !

Henri Joyeux a été professeur des universités-praticien hospitalier, ses positions sur la vaccination ont pu surprendre et il s'est fait l'avocat, autour du corinavirus, des propos des professeurs Raoult et Perronne.



Dans son dernier ouvrage "Le goût et l'odorat", le professeur Henri Joyeux commence d'ailleurs par rappeler que perte du goût et de l'odorat sont le signe d'une contamination certaine au covid. Il souligne les dimensions culturelles du goût et l'odeur (rappelant notamment qu'un Philippin et ajoutons un Chinois ne mangeait pas du lapin, ce dernier étant considéré comme un animal de compagnie). Il révèle que de la viande de divers animaux est produite et commercialisée à partir du développement de cellules animales.



Les dimensions du goût et de l'odeur sont appréciés par le rôle de tout ce qui, dans le corps, les influencent. Ainsi a-t-on évoqué par exemple les sinus,, le palais, les muscles de la langue ou les nerfs crâniens. le personnel soignant connaît bien le problème des fausses routes qui amènent des résidus alimentaires dans les voies respiratoires. On apprécie les très nombreux schémas qui détaillent des parties de l'anatomie qui rentrent en jeu.



Logiquement, Henri Joyeux évoque les troubles possibles du goût et de l'odorat chez un individu et a contrario comment stimuler ces deux sens. L'auteur s'intéresse par la suite aux plantes aromatiques qui peuvent contrecarrer certains effets négatifs sur le goût et l'odorat que produisent des maladies telles que le Parkinson ou l'Alzheimer.



Un quasi guide gourmet de dégustation des chocolats et du café occupe le chapitre précédant la conclusion. Dans cette dernière, le professeur revient sur la perturbation de ces deux sens qu'a entraînée le coronavirus mais aussi sur celles dues à une alimentation industrielle. Bref il encourage le lecteur à des pistes de rééducation de son odorat et de son goût.

L'auteur revient dans un premier temps sur l'épidémie du récent corinavirus et on est surpris, à la page 15, de le voir se faire l'avocat de Didier Raoult et Christian Perronne la caution scientifique du documentaire "Hold-up" et auteur de l'assez récent ouvrage "Y a-t-il une erreur qu'ils n'ont pas commise ?".



Par contre on ne peut que l'approuver au sujet de l'achat inconsidéré et massif du Remdesivir, un médicament qui a, pour le COVID-19 et d'après l'OMS, une absence d'effet du traitement sur la mortalité des patients et aucun effet significatif sur la durée du séjour à l'hôpital. Plus loin (page 19), il évoque le fait que le Ritrovil a été recommandé pour les personnes résidentes en EHPAD alors que son effet indésirable principal est l'insuffisance respiratoire. Notons que le professeur Henri Joyeux nous informe que lors de la Grippe espagnole, il y eut également des médicaments prescrits qui aggravèrent la santé des patients : « Au sujet de la grippe espagnole, il faut ajouter les effets néfastes des énormes doses d'aspirine prescrites (8 à 30 grammes par jour) à des sujets jeunes pour réduire les maux de tête et autres symptômes grippaux. Ces surdosages furent à l'origine de poumons "humides et hémorragiques", causes de la mort liée aussi à des surinfections bactériennes majeures alors que les antibiotiques n'existaient pas encore » (page 57).



Toutefois l'essentiel de l'ouvrage porte sur les bactéries, les virus, les vaccins et le système immunitaire. le discours est très pédagogique, tout en étant rigoureux scientifiquement. On a par exemple des focus (au contenu souvent étonnant) sous le chapeau de "Le saviez-vous ?" ou "Que retenir encore ?", un langage imagé parlant (comme, page 89, une présentation des défenses immunitaires en évoquant des caractéristiques de combattants militaires et de logistique militaire) et des croquis.



Les chapitres s'intitulent successivement : Pourquoi ce livre ?, Les quatre familles d'agresseurs, Votre corps vous parle du corinavirus, écoutez-le !, Les positions anatomiques de nos défenses, Vos défenses immunitaires en action, L'immunocompétence de tolérance, la comptabilité des transfusions et transplantations d'organes, La soldatesque des microbes au service de nos défenses immunitaires, Les maladies de l'immunité, leur prévention et les traitements actuels, Nos défenses immunitaires, le « premier » de tous nos vaccins, Les vaccins présents et à venir, discerner pour choisir, Conclusion.

Une très bonne synthèse de notre relation à l'abeille, à la nature et à notre santé.

Des prises de position courageuses face aux réalités.

Pour une éducation à la prévention face à la multiplication des maladies de civilisation.

Une meilleure connaissance des abeilles pour leur préservation.

De l'usage des produits de la ruche dans notre quotidien.

Ce livre est un condensé des bienfaits des produits de la ruche : miels, propolis, gelée royale, pollens, venin, d'abeilles...

Publié en 2012, il est "destiné aux ministres de l'alimentation et de l'agriculture, de la santé et de l'économie, à tous les ingénieurs agro-alimentaires du XXI° siècle, à tous nos amis apiculteurs et au grand public afin qu'il découvre les vertus des produits de la ruche et qu'il les utilise en priorité pour sa santé."



Le livre est divisé en deux parties, la première décrit de façon détaillée le monde des abeilles, leur organisation sociale, la production de miel et autres produits, leur organisation corporelle, leur place dans la symbolique et dans l'histoire.

Il insiste, s'il est encore besoin, sur l'importance des abeilles pour la santé des hommes, mais aussi pour la survie de notre vie sur terre...

Je suis déjà une convaincue, mais j'ai sorti mon pot de miel en le lisant... Et prévu ma prochaine cure de gelée royale...

La deuxième partie recense en détail tous les produits fabriqués par les abeilles et leur utilisation pour la santé qui n'est pas toujours très détaillée ou explicite. (Mais on peut facilement trouver d'autres ouvrages)

Je n'ai personnellement jamais essayé le venin, il faut être très courageux pour cela, et à mon avis il vaut mieux être bien accompagné. Mais je crois que cette thérapie est interdite en France.



Le livre de 2012 serait sans doute à réactualiser, je ne sais s'il en existe une réédition.



Le dernier chapitre, intitulé La place de l'apithérapie, essaie de convaincre (mais avec beaucoup de raccourcis) à la fois les autorités et le grand public, de la nécessité de changer notre façon de se soigner. Être des patients plus responsables, prévenir la maladie par de nouvelles habitudes alimentaires, utiliser le miel...

développer la mise en place de ruches notamment à Paris (ce qui a été fait).

Hélas, les toutes les mesures prises par nos gouvernements ne vont pas dans ce sens...

Et c'est un grand débat, n'est-ce pas ?...

Je travaille dans une médiatheque et je suis scandalisée par certains passages de ce livre: on y apprend que les jeunes filles sont "normalement attirées par les garcons" , que la masturbation féminine ressemble á un rëve plus ou moins érotique d'attente du Prince Charmant... mais oú était donc ce monsieur pendant les 50 derniéres années? qu'une jeune fille qui se masturbe a été influencée (par quoi, mais un film porno bien entendu! les filles on peut pas avoir des pensées comme cela par nous mëme, il faut que ce soit le diable qui nous les murmure á l'oreille...), qu'une jeune fille qui aurait pu malgré la lecture de ce livre se masturber pourrait ëtre décue par l'expérience avec un homme (notons que Mr Joyeux ajoute dans la mëme phrase les mots "peur", "violentée ou violée"... bonjour les associations d'idées...) et "risque" (le mot n'est pas de moi) de choisir l'homosexualité féminine.... notons enfin que pour Henri Joyeux, les homosexuels sonts des "affamés d'affection" et qu'on "oublie de préciser que le fait d'étre affamé traduit une carence, une insuffisance, un manque préalable, que la personne affamée essaye de combler tant bien que mal en suivant désirs, attirances et sensations qu'il ou elle ressent en lui ou elle sans vraiment les comprendre"... effarant.

de nombreux adolescents viennent consulter des documents qu'ils ne peuvent trouver chez eux et découvrir des informations dont ils ne peuvent parler ouvertement: je n'ose imaginer une fille de 13 ans, attirée par les filles, ou se masturbant qui lirait ce torchon et découvrirait qu'elle est victime d'un manque préalable...

ah et j'oubliais: "les causes de l'homosexualité masculine sont connues depuis longtemps des spécialistes de la psychologie. Freud déjá (...) les avaient répertoriées. On retrouve en général des blessures de coeur, des blessures des sentiments (...) Il peut s'agir d'un isolement familial affectif ou social. (...) d'un choc psychologique de la petite enfance (...) ou de l'adolescence.(...)"

Blessures (2 fois), isolement, choc, et plus loin déception... pour terminer sur : "la déception n'ira qu'en s'aggravant"... et on termine sur... le suicide... ah d'accord, ah bah alors c'est simple la vie, les relations, il a tout compris Dr Joyeux.

On passe ensuite aux terribles "relations contre-nature" (non, non ce n'est pas la pédophilie ou la nécrophilie... mais l'utilisation du rectum dans l'acte sexuel homosexuel...) finalement il est dröle ce livre...

je me demande á quoi ressemble la vie sexuelle de Mr Joyeux... et j'espere qu'il n'a pas d'enfants... ou qu'un l'un d'eux est gay, cela lui ouvrira peut-ëtre l'esprit et l'aidera á réfléchir...

J'ai directement ouvert ce livre à la rubrique "végétalisme" et j'y ai lu que je devrais être morte depuis belle lurette ! Je l'ai aussitôt refermé. Mais bon, il va falloir que je le lise entièrement pour me faire une opinion...

Dans cette septième édition, le professeur Joyeux met à jour ses conseils alimentaires et nutritionnels pour une meilleure santé et surtout limiter les risques de cancer. Il est en effet chirurgien cancérologue, et ce livre résulte de ses nombreuses années d'expérience et d'analyse. Il tire à boulet rouge sur les multiples régimes médiatisés et à la mode, et sur les méthodes contraceptives (entre autre), responsables selon lui de nombreux cancers féminins.

Si tout le monde lisait ce livre, on colporterait moins d'inepties alimentaires. Si tout le monde appliquait ce livre, il n'y aurait presque plus de malades!

Dans cet ouvrage, on trouve des explications sur les relations entre nutrition et maladies de civilisation, et notamment les cancers, avec tout un chapitre sur les cancers liés aux aliments. On trouve aussi des conseils sur les bonnes habitudes à prendre, les modes de conservation et de préparation des aliments, et un passage en revue des différents régimes existants, des plus nocifs (Atkins...) aux plus prometteurs (méditerranéen, jeûne thérapeutique).

L'occasion de se pencher sur ce sujet si essentiel à la vie qu'est notre alimentation.

Ceci dit, cet ouvrage n'est pas mon préféré, ni de ceux du P. Joyeux, ni des autres de ce sujet. Pas assez pragmatique à mon goût, en fait.

Changez d'alimentation est un livre santé qui est très intéressant, mais honnêtement je m'attendais à autre chose, la moitié du livre parle de cancer ou autres maladies avec des termes scientifiques incompréhensibles, si on n'est pas un minimum intéressé par la science, on ne comprend pas, de plus quand on referme le livre, on devient légèrement parano sur notre futur consommation alimentaire.

La maladie d’Alzheimer est devenue la première cause de démence dans le monde et celle de Parkinson se maintient à la seconde place. Les femmes sont plus touchées que les hommes par la première. Eux seraient plus victimes de celle de Parkinson. Ces deux affections irréversibles sont redoutables. La première atteint 20% des octogénaires soit une femme sur 4 et même jusqu’à 40% au-dessus de 90 ans. Un homme sur 5 en souffre à partir de 85 ans. On compte 150 000 cas de Parkinson dans l’Hexagone et 8000 nouveaux chaque année. Ces maladies se développent de plus en plus rapidement dans les populations. On compte 1,3 million de malades aujourd’hui. Et on en prévoit 2 millions à l’horizon 2040. Leur nombre devrait même doubler tous les 20 ans ! De plus, les médicaments utilisés sont d’une efficacité douteuse et peuvent même se révéler nocifs en raison de graves effets secondaires. Et aucune molécule efficace ne se profile à l’horizon des prochaines années. Quel espoir nous reste-il ? La prévention…

Cet ouvrage est un essai écrit à quatre mains qui commence par un exposé de présentation de ces deux maladies. De la vulgarisation bien flippante qui remplit plus de la moitié de l’ouvrage. Les moyens pour éviter la catastrophe ne viennent qu’à la fin. Il faut réformer notre alimentation, manger moins de protéines animales, éviter barbecue et grillades, fuir la malbouffe et toute la production industrielle, (50% de risques éliminés). Faire de l’exercice de manière régulière. Marche, course, natation, vélo, etc (encore 50% de risques éliminés, mais il semble que cela ne soit pas cumulatif !). Ne pas oublier de faire fonctionner son cerveau en lisant, en faisant des mots croisés, des sudokus et autres. Garder un esprit positif et curieux. Au total, toutes sortes de petits et de grands conseils bien utiles que le lecteur devra mettre en pratique. Un ouvrage agréable, facile à lire et sans doute bien utile qui commence fort sombrement pour s’achever sur une note d’espoir. Nous irons tous au paradis (comme chantait l’autre), mais nous ne choperons pas tous ces deux saloperies…
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Savez-vous que les médecines douces (homéopathie, phytothérapie, acupuncture, médecines chinoise ou ayurvédique, etc.) sont attaquées de toutes parts ? Ainsi les professeurs Even et Debré ont été interdits d’exercer la médecine pour avoir publié leur livre « Les 4000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux ». Le professeur Henri Joyeux a été radié pour avoir osé s’interroger sur les risques de certains vaccins. Le docteur Marc Branden est menacé de 10 ans de radiation pour avoir soigné de très nombreux patients atteints de la maladie de Lyme autrement que par les voies officielles. L’herboriste Michel Pierre a été trainé devant le tribunal correctionnel pour la simple promotion de ses plantes et de ses tisanes. Son confrère, Jean-Pierre Raveneau, a été condamné en 2016 à un an de prison avec sursis pour exercice illégal de la pharmacie en récidive alors qu’il est lui-même pharmacien. Souvent les médias relèguent les médecines douces au niveau du charlatanisme voire de la sorcellerie. La médecine allopathique poussée par Big Pharma, qui se soucie plus de ses profits que de la santé des patients, se montre de plus en plus totalitaire à défaut d’être toujours efficace. Mais pour nombre de pathologies, c’est l’approche naturelle qui devrait être considérée comme la première et la meilleure des médecines. Il ne faudrait pas oublier le fameux principe d’Hippocrate : « Primum non nocere » (d’abord ne pas nuire).

Cet ouvrage de vulgarisation médicale peut être une référence en la matière. L’auteur s’est donné pour objectif de présenter un grand nombre de maladies, handicapantes ou non, chroniques ou non et de proposer des moyens alternatifs de retour à la santé. Le lecteur va de découvertes en découvertes en lisant ce livre qui se dévore comme un roman. Ainsi apprend-il que la médecine chimique est complètement dépassée sur le terrain de la maladie d’Alzheimer et sur celui de nombreux cancers. Que l’arthrose, la maladie de Parkinson et bien d’autres pathologies ne se soignent pas comme on le croit généralement. Qu’il est possible de faire revenir à la normale un taux élevé d’hypertension par la pratique d’un régime alimentaire de chasseur-cueilleur et que les premiers effets peuvent se constater en une semaine. Que le sucre, les métaux lourds, les additifs et l’alimentation trop riche en protéines de mauvaise qualité sont préjudiciables à notre santé tout comme l’excès de produits laitiers qui ne sont pas nos « amis pour la vie » comme le prétendait le vieux slogan d’une agence qui avait pour mission de faire écluser la surproduction de lait en Europe. Ceci pour ne citer que quelques exemples. Chacun aura de quoi puiser à sa guise, même dans l’annexe qui propose dix remèdes naturels, simples, efficaces et méconnus. L’auteur a voulu ouvrir des pistes, faire sortir des thérapies de l’ignorance et même de l’interdit. À chacun de se faire son idée et même d’approfondir ensuite la question si besoin est…
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L'alimentation nous concerne tous. La thèse essentielle développée dans cet intéressant documentaire (malgré un lexique médical complexe) ne peut être plus simple et plus compréhensible, les aliments et l'activité physique sont nos meilleurs alliés pour conserver une santé de fer. Si ce message a été mille fois martelé par les médias, l'ouvrage du professeur Joyeux a le mérite d'étayer ces affirmations par des recherches scientifiques qui paraissent crédibles. Alors, c'est décidé, je me mets au bio, au régime semi-végétarien, au badminton et à compter d'aujourd'hui, je vais lire religieusement les étiquettes des produits alimentaires pour éviter les colorants et conservateurs. A oublier aussi les aliments transformés et les plats cuisinés, le barbecue et la cocote-minute. Plats maison et cuisson à la vapeur douce deviendront mes meilleurs amis . Moins de champagne et de sucreries et bien sûr arrêt définitif de la cigarette autour de moi car le tabagisme passif me guette, un jeûne de temps en temps et me voilà prête à devenir centenaire... ou... bonne soeur !

C'est un scandale que d'apprendre que le professeur henri joyeux a été radié de l'ordre des médecins suite a sa prise de position sur les vaccinations.

Les lobbys n'apprécient pas qe quelqun denonce en autre le scandale des vaccins qui coutent 7 fois plus cher....eh oui 3 seulement sont obligatoires..ils en ont ajouté 3 de plus.

Impossible de trouver dans les pharmacies que les 3 obligatoires. C'est les 6 ou rien.







Livre qui reste dans la lignée du professeur kayat , campbell etc...



On en arrive toujours a la meme conclusion sur notre alimentation et le rapport avec les maladies cancérigène.



Fruit légume de saisons, petits poissons, peu de viandes, moins de laitage. Cuisson douce.



A bannir les multitudes de régime....bannir les produits industriels au maximum.

Eviter tous les produits avec un code E...



Il faut changer notre facon de s'alimenter en reprenant les bonnes habitudes. Et a vie



Moi jai changé depuis 6 mois et je men porte a merveille.. au revoir moi hypertension. .

Un peu scientifique, genre vulgarisation mais cela produit son effet, je me suis remise à manger du miel, le nectar de notre protection à tous les niveaux ! Pas mal dans le fond !

« Que l’aliment soit ton seul médicament ! », avait préconisé Hippocrate il y a bien longtemps. Plus que jamais, ce précepte découvert intuitivement, et scientifiquement prouvé de nos jours est d’actualité dans un monde où fast-foods, grande distribution et malbouffe règnent en maîtres. Pour rester en bonne santé, il faut donner à notre organisme les aliments qui lui conviennent, tout comme il faut donner le carburant adéquat au moteur de notre voiture si nous voulons qu’elle fonctionne bien. Quels sont donc les aliments qu’il serait préférable d’éviter ? Quels sont ceux qu’il faut privilégier pour préserver voire améliorer notre santé ? Une bonne nutrition peut-elle freiner ou stopper les symptômes de certaines maladies ? Peut-on éviter le cancer, les maladies dites de civilisation ? Que penser du gluten, du sucre, des produits laitiers, de la viande, des régimes, des additifs, de la nourriture industrielle, des édulcorants, des sodas, etc ? Dans une approche holistique pleine de bon sens et de sérieux, le professeur Joyeux tente de répondre à toutes ces questions et à bien d’autres.

« Changez d’alimentation est un essai de vulgarisation diététique qui a rencontré un grand succès puisqu’il a été édité et réédité à plusieurs reprises et à chaque fois complété au fur et à mesure des avancées de la science. Tout est sourcé, les études sont là, avec nombreux graphiques et tableaux à la clé. Facile d’abord et de compréhension, même si parfois il peut devenir assez technique, ce texte est particulièrement éclairant et difficilement discutable. Il devrait être lu par le plus grand nombre et repris par le corps médical et par les médias. Notre santé ne s’en porterait que mieux, la sécurité sociale aussi. Les médecins seraient moins surchargés, les services hospitaliers aussi. Seul Big Pharma y perdrait. Une mauvaise alimentation est source de toutes sortes de maladies et autres ennuis de santé, car elle affaiblit notre immunité en empêchant notre organisme de fonctionner au mieux. Il suffirait de réduire drastiquement notre consommation de graisses saturées, de charcuteries, de sucreries, de viande rouge, de laitages, de café, d’alcool et manger plus de légumes, de crudités, de fruits, de poissons, de fruits de mer, d’amandes, de noix et de graines germées pour obtenir et maintenir la pleine santé. Le lecteur apprendra beaucoup dans cet ouvrage mesuré et raisonnable. Même si le professeur condamne fermement le véganisme et l’instinctothérapie, il n’est pas un ayatollah de la diététique vu qu’il permet et conseille même un bon verre de vin rouge par repas et un carré de bon chocolat noir le soir. Une somme très complète et indispensable. Un des meilleurs ouvrages sur la question.
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Où et comment le chocolat fut-il découvert ? Les Indiens d’Amérique du Sud avaient fait du cacao leur plante sacrée depuis des milliers d’années. Mais quand les premières graines furent présentées à Christophe Colomb, celui-ci ordonna de les jeter à la mer, car il les prit pour des déjections animales. Plus averti, Pizarre les garda pour sa consommation personnelle. Mais finalement, le cacao devenu chocolat finit par parvenir d’abord dans les cours royales qui l’adoptèrent à titre de médicament et surtout pour ses qualités présumées aphrodisiaques. Madame de Pompadour en buvait des quantités impressionnantes pour compenser la froideur légendaire que lui reprochait amèrement Louis XV. Puis, peu à peu, sa consommation finit par se démocratiser. La fabrication du chocolat, au départ pratiquée par des artisans chocolatiers, passa après la seconde guerre mondiale à l’industrialisation et à la concentration entre les mains de puissantes sociétés comme Cadbury, Lindt, Menier, Suchard, Poulain, et autres. Mais de valeureux maîtres artisans-chocolatier comme Jean-Claude Berton continuent la tradition de la qualité et même innovent avec des produits riches en fibres et en omégas 3 !

Cet ouvrage est une monographie ou un essai de vulgarisation sur le chocolat sous tous ses aspects. Entre les deux auteurs, Joyeux et Berton, c’est ce dernier qui se taille la part du lion. En effet, si l’aspect thérapeutique (celui qui intéressait au départ le lecteur) ne représente qu’à peine un petit quart de l’ouvrage, tout le reste est consacré à une présentation bio-géographique du chocolat, suivie d’une étude de celui-ci à travers l’Histoire et terminée par une présentation des différentes étapes permettant de passer de la cabosse de cacao à la plaque de chocolat. Le lecteur découvrira bien des choses dont il ne se doutait même pas sur les manipulations nécessaires, sur le travail des premiers chocolatiers, sur le Nutella, produit contenant plus de sucre et d’huile de palme que de cacao, et sur l’autorisation de l’introduction d’huiles végétales en lieu et place, dans une certaine proportion, du beurre de cacao. Les effets sur la santé du bon chocolat (noir avec fort pourcentage de cacao) semblent ne plus avoir à être démontrés. Le chocolat est bon pour le cœur, pour le transit intestinal, pour se libérer des addictions (tabac, alcool, haschich), pour lutter contre l’insomnie, pour stimuler la mémoire et même combattre les maladies de Parkinson et d’Alzheimer. La liste est longue de tous ses bienfaits. Alors pourquoi se priver d’un ou deux carrés de bon chocolat noir chaque soir ? Dommage que cet ouvrage, intéressant par bien des aspects, tourne vers la fin au publireportage en faveur d’un produit sans doute de très haute qualité, mais pas à la portée de toutes les bourses, inventé par l’auteur chocolatier.
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