Citations de Hirohiko Araki (235)
Il y a environ 10000 ans, l’humanité s’est lancée dans l’agriculture. On cultivait du blé et des pois, au début. Depuis, la civilisation n’a cessé de se développer. Les progrès scientifique, la géographie, l’environnement naturel, l’art, les courants de pensée et l’économie… tous ces domaines semblent avoir atteint les limites de leur développement aujourd’hui.
- La géographie est une malédiction. Tout comme est maudit mon lieu de naissance. Les enfants ne peuvent choisir le lieu où ils naîtront ou le nom qu’on leur donnera.
Parlons peu mais parlons bien.
- Je m’en fiche de connaître le vrai but du rokakaka. Si je suis encore en vie aujourd’hui, c’est justement parce que je ne sais rien du tout. C’est pour cela que j’ai vécu à l’écart de tout, dans cet étang. Je ne voulais rien savoir. Si j’avais su quoi que se soit concernant le rokakaka, ça ferait belle lurette qu’on m’aurait tué. Je suis libre, car j’ignore tout.
L’égalité des chances n’est qu’un mythe.
Entretenir une idée fausse. Il n’y a rien de plus effrayant.
Notre lieu de naissance n’est que le point zéro. Il faut viser plus loin.
Certains parasites sont capables de manipuler les coccinelles en les transformant en zombies. Ils peuvent littéralement contrôler leurs mouvements.
L'insecte se protège en simulant la mort... de cette façon, il échappe instinctivement aux oiseaux et à d’autres ennemis qui attaquent les proies en mouvement.
- Moi, je veux gagner, c'est tout. Pas d'hypocrisie entre gladiateurs. Je veux juste te soumettre... te dominer...
- Qu’est-ce qu’ils ont à être tous honnêtes ces Japonais aujourd’hui ?!
- Je connais maintenant ma véritable identité… A la fois Josefumi et Kira, je m’appelle Josefumi Kujo.
Le monde est rempli de menteurs.
- Je n’en peux plus… C’est toujours pareil… C’est toujours moi qu’on abandonne. Toujours… Personne ne fait attention à moi… Je faisais pourtant des efforts mais ça se répète. Je me trouve encore délaissé, abandonné… Comme d’habitude. Mais si on m’abandonne, alors j’ai le droit d’abandonner les autres, moi aussi...
- Quand j’étais enfant, ce jour d’été je suis déjà mort, noyé. Que je sois noyé ou frappé contre un rocher, je n’étais déjà plus de ce monde. Depuis ce jour, à la plage… Mon existence a tout simplement été effacée. Alors ce n’est pas moi qui doit vivre à tout prix.
- C’est la première fois que je vois des poissons nager dans un corps humain ! Quelle panade ! Je vais filmer ça, ha ha ha !
Comment juger si une chose est classe ou non ? C’est simple : il suffit de voir si elle enrichit la vie au non. Voilà le critère déterminant.
Avec un coup de vent, les poissons-volants peuvent sauter jusqu’à 30 ou 40 mètres de hauteur.
- Votre enfant est sorti d’affaire. Oups… Ce n’est pas forcément une bonne nouvelle ?
Cette technique s’appelle une greffe. Ça permet de connecter des branches d’arbres d’origines différentes.